Natacha Polony, reine des medias, ex-coincée

Daniel Schneidermann - - (In)visibilités - Le matinaute - 295 commentaires

"J’écris de chez les timides, les coincées, celles qui se sont senties moches, mais qui n’ont pas pensé pour autant que c’était de la faute des mecs" : directrice de Marianne, Natacha Polony se lâche. C'est dans ce personnage révélé de l'ex-timide, de l'ex-coincée, de l'ex-moche, qu'elle vient pourfendre, tagada tagada, le texte de Virginie Despentes dans Libération, la même Despentes autrice immortelle du "j'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf." (King Kong théorie).

Le seul fait que Polony soit obligée de se couler dans les mots, dans la scansion, dans la fureur de D...

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