Despentes offre une légende à Haenel

Daniel Schneidermann - - Scandales à retardement - Le matinaute - 148 commentaires

Depuis hier soir, mon Twitter est Despentes. La Despentes de "On se lève, on se casse, et on vous emmerde". La Despentes qui écrit, à propos de la sortie de Adèle Haenel,  "on a appris comment ça se porte, la robe de soirée. A  la guerrière". La Queen. Madame Despentes. Standing oveicheunne. Comme tout le monde, j'ai lu et relu le texte de Despentes. Comme tout le monde, ça m'a fait du bien. Mais au-delà des "on se casse" (qui, aujourd'hui, a la possibilité matérielle de "se casser" ?) le passage le plus intéressant du texte de Despentes, à mes yeux, est le passage sur les 25 millions qu'a coûté le J'accuse de Polanski. Car Virginie Despentes, qui a elle aussi fait des films (il était question de Baise-moidans...

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