"Brûler l'ambassade d'Algérie" : comment les propos de Louis Sarkozy sont devenus un sujet

Élodie Safaris - - Scandales à retardement - 58 commentaires

Azzeddine Ahmed-Chaouch : "Si je n'avais pas insisté ainsi en coulisses, ce ne serait pas sorti"

Dans un portrait publié dans "Le Monde" du 14 février, Louis Sarkozy affirme que s'il avait été "aux manettes", il aurait "brûlé l'ambassade d'Algérie" suite à l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal. Des propos d'une rare violence qui n'ont pourtant suscité quasi aucune reprise politique ou médiatique. Jusqu'à ce que le journaliste Azzeddine Ahmed-Chaouch s'active sur Beur FM, et en coulisses. Récit.

Les silences des médias sont parfois plus éloquents que leurs obsessions. Ce jeudi 13 février, Le Monde publiait, sous la plume d'Ivanne Trippenbach, un portrait de Louis Sarkozy qui "caresse un destin politique". Il y est décrit avec "un air d'imposant cadet de l'US Army, amateur de viande de bison et de jujitsu, mâtiné d'une courtoisie de gentleman des salons washingtoniens". Après un paragraphe sur "la radicalité surjouée des talk-shows" qui "le rattrape parfois", et sous une photo de son avant bras tatoué, la journaliste introduit une citation du jeune toutologue de LCI"spontané, « penseur libre » tel qu'il se décrit, le jeune Sarkozy s'enflamme". L'enflammade en question :"Si j’étais aux manettes et que l’Algérie arr...

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