Céline, et le côté obscur de la force, d@ns le texte

La rédaction - - Scandales à retardement - 139 commentaires

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La cause serait entendue: il y aurait un "bon" et un "mauvais" Céline.

Le génie du "Voyage au bout de la nuit", et l'immonde pamphlétaire antisémite de "Bagatelles pour un massacre". Et si les choses étaient plus compliquées ? Et si, dès le "Voyage", se dissimulait entre les lignes le futur monstre, vomissant le progrès, la démocratie, et se rangeant du côté des lyncheurs, plutôt que des lynchés ? C'est la thèse, à contre-courant, exposée par une jeune universitaire, Frédérique Leichter-Flack sur le site du Monde, dans un court texte qui nous a donné envie de l'approfondir, en pénétrant...d@ns le texte, au cours d'une émission qui n'a jamais si bien porté son nom. C'est peu dire que Judith est en désaccord avec cette thèse, et leur débat est sans concession.

Mais à propos, comment la critique des années trente...

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