#PasDeVague : "pour les medias, l'élève pénible est forcément pauvre"

La rédaction - - Pédagogie & éducation - 38 commentaires


#PasDeVague : c'est le cri de révolte de nombreux enseignants après une vidéo virale d'un lycéen braquant une de ses profs avec un pistolet à billes dans la région parisienne, et surtout après la réaction du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer. "Pas de vague", ce mouvement inédit a été très médiatisé, mais a-t-il été bien compris ? Ce mouvement émancipateur constitue-t-il une grande libération de la parole, ou est-il...tout simplement réac' ? Questions à nos quatre invités : Benoît Teste, professeur et secrétaire général adjoint du SNES-FSU ; Angélique Adamik, professeure et membre du SNALC-Versailles ; Kamel Chabane, professeur, membre du collectif "territoires vivants de la République" ; et Florent Huart, professeur syndiqué à la CGT.

#PasDeVague, la fin d'une omerta ?

Retour sur les prémisses de l'affaire : #PasDeVague se déclenche après la publication par Le Parisien de la vidéo d'un lycéen pointant un pistolet à billes sur une professeure. Vidéo très vite médiatisée, qui donne lieu à de nombreuses réactions, notamment du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer. Le ministre insiste sur le fait qu'il faut que les enseignants signalent les incidents à leur hiérarchie. En réponse, #PasDeVague rassemble les témoignages de profs se disent abandonné.es par leur hiérarchie face à leurs problèmes (nos articles sont à lire ici et ). Une "omerta", le terme est de Benoît Teste, est-elle brisée ? S'agissait-il d'un système ? "Les chefs d'établissement qui n'ont pas...

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