"Il faut des victimes emblématiques"

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Pilule 3e et 4e génération : Pascale Krémer (Le Monde) raconte son enquête

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Les pilules de 3e et 4e génération sont-elles potentiellement dangereuses pour les femmes qui les prennent ? Si oui, une poignée de gynécologues médiatiques a-t-elle pendant des années occulté les dangers, du fait de ses liens étroits avec les laboratoires. Ce sont les questions redoutables que pose une série d'enquêtes publiée depuis mi-décembre par Le Monde. Questions posées à Pascale Krémer, journaliste au Monde, auteur des enquêtes. Mais aussi à Jean-Yves Nau, médecin, ancien journaliste au Monde, qui dans ses chroniques pour Slate.fr s'est demandé si nous n'étions pas en train de céder à la panique. Et enfin, Nathalie Bajos - directrice de recherche à l'Inserm, spécialiste de santé sexuelle, qui s'inquiète du traitement alarmiste des médias sur le sujet.

L'émission est présentée par Daniel Schneidermann, préparée par David Medioni, avec François Rose
et déco-réalisée par Mireille Campourcy et François Rose.

La vidéo dure 1 heure et 11 minutes.

Le Making-of, raconté par David Medioni

Les trois papiers de Pascale Krémer dans Le Monde constituent ce que l'on appelle un vrai beau scoop. Un vrai scoop puisque Krémer a braqué les projecteurs sur une affaire que peu de gens soupçonnaient: l'affaire des pilules de 3e et 4e génération. Le témoignage de Marion Larat, devenue hémiplégique suite à un AVC (accident vasculaire cérébral) ...

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