Twitter : "L'anonymat peut protéger la liberté d'expression, mais aussi lui nuire"

La rédaction - - Nouveaux medias - 134 commentaires

Insultes, outings, vidéos virales : tous les coups sont-ils permis sur les réseaux sociaux ?


Dans la lutte contre la loi Travail, tous les coups sont-ils permis sur les réseaux sociaux ? Sur Facebook, une enseignante poste une vidéo titrée "Tais-toi Macron !".Sur Twitter, des partisans de cette loi Travail, particulièrement violents, voient leur identité brusquement révélée contre leur volonté. Liberté d’expression, bienfaits et méfaits de l’anonymat sur les réseaux sociaux : retour sur une semaine particulièrement agitée. Pour en parler sur notre plateau, Hélène, enseignante (qui préfère qu’on ne donne pas son nom) et auteure de la vidéo virale sur Macron, Denis Robert, journaliste d’investigation qui a "outé" quatre Twittos, et Marcel Sel, blogueur et écrivain belge (sous pseudo) qui a publié une enquête "Comment Denis Robert a lynché un innocent".

L'émission est présentée par Daniel Schneidermann, préparée par Sonia Villagrasa et Vincent Coquaz,
et déco-réalisée par Sébastien Bourgine et François Rose.

La vidéo dure 1 heure et 10 minutes.

Si la lecture des vidéos est saccadée, reportez-vous à nos conseils.



[Acte 1] Entre les journalistes, comme Denis Robert, qui travaillent sous leur vrai nom, et les Twittos complètement anonymes, il y a aussi cette enseignante, Hélène, dont on connait le visage et le prénom, mais pas le nom. Pourquoi ne pas donner son nom ? Retour sur sa vidéo "Macron tais-toi !" : Comment ce "coup de colère" a-t-il &eacu...

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