Entre le gouvernement et l'Histoire, une ligne j@une infranchissable ?

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Quelle ébullition ! En quelques jours, le projet de suppression de l'enseignement obligatoire d'Histoire en Terminale S a enflammé, bien au-delà des professeurs d'Histoire, de nombreux intellectuels, et journalistes. "L'Histoire en phase terminale", titre ainsi Libération à la Une.

C'est l'appel lancé dans le Journal du dimanche par vingt intellectuels, historiens dans leur grande majorité, qui a mis le feu aux poudres. Mais le gouvernement veut-il vraiment "liquider l'Histoire" ? Ses adversaires ne caricaturent-ils pas son projet ? En le regardant de près, on s'aperçoit que ce projet de réforme n'obéit pas seulement des motivations négatives. Certains de ses promoteurs souhaitent sincèrement rééquilibrer le système, au bénéfice des filières littéraires. Syndicats, parents d'élèves: la communauté éducative est d'ailleurs bien plus partagée que ne le laissent supposer les pé...

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