Saint-Brevin : Salamé et Mabrouk effacent l'extrême droite
Paul Aveline - - Silences & censures - Médias traditionnels - Les énervé·es - 28 commentaires
Selon une maxime légèrement amendée, mal nommer les choses c'est ajouter aux malheurs d'une petite ville attaquée par l'extrême droite. Le 24 mai sur France Inter, on parle de Saint-Brevin. Une marche y est organisée en soutien à son maire démissionnaire, Yannick Morez, épuisé par les attaques de l'extrême droite. Son domicile et ses voitures ont été incendiés. Son crime ? Être favorable à l'installation d'un centre d'accueil pour demandeurs d'asile sur sa commune, qui compte un peu moins de 15 000 habitants. Auditionné au Sénat le 17 mai, Yannick Morez dénonçait un "attentat criminel" contre lui et sa famille. Les mots sont importants. Sur France Inter donc, Nicolas Demorand évoque la situation : "À la une de l'actualité ce matin, une...