SNCF : les chaînes d'info entre "prise d'otages" et "grève sauvage"

Manuel Vicuña - Juliette Gramaglia - - 11 commentaires

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"Détournement", "grève sauvage", "prise d'otages"... Tout le vocabulaire de circonstance était de sortie ce week-end pour dénoncer le droit de retrait exercé par certains conducteurs de la SNCF depuis vendredi 18 octobre, en réaction à un accident en Champagne-Ardennes. Côté gouvernement, le Premier ministre Edouard Philippe, en déplacement à la Gare de l'Est de Paris, a dénoncé un "détournement du droit du retrait" et annoncé avoir demandé "à la SNCF d'examiner toutes les suites qui pouvaient être données, et notamment judiciaires". Le PDG de la SNCF, Guillaume Pépy, dans une interview donnée ce lundi 21 octobre au Parisien, a renchéri : "Dès lors qu'un conducteur gréviste a été qualifié en « absence irrégulière », il y aura naturelle...

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