Nadia Noh 15 mai 2023 à 13:29

Dans les films français, il y avait aussi les Frères Pétard ( aussi avec Gérard Lanvin)

Steve Lhomme 7 mai 2023 à 17:23

Je rajouterai La Loi de La Jungle d'Antonin Peretjatko, assez méconnu mais film français assez récent. Tout le film est un délire absurde et à un moment ils prennent une boisson qui les met dans un état second.

Rick Blaine 7 mai 2023 à 11:18

Merci pour cette fort intéressante émission, que j'aurais aimé plus longue ! Comme apparemment vous tenez compte des commentaires qui réclamaient naguère des émissions plus courtes, j'insisterai pour ma part en sens inverse, en espérant que mon point de vue sera lui aussi écouté (il n'est jamais interdit d'espérer) : depuis que le format des émissions ASI est passé à 1H, cela rend effectivement plus digestes certains sujets que je trouve déjà mineurs, mais lorsque l'on touche à des thèmes qui seront traités en profondeur, ou qui sont rarement traités, je reste assez souvent sur ma faim. Ce qui n'enlève rien au contenu même des émissions - une mauvaise émission ne susciterait pas la même légère frustration. Mais voilà, n'hésitez pas à prendre plus de temps, promis je suis sûr qu'on est plein qui ne zapperions pas.

Pour compléter la sélection :

Les films de Noé ont pour la plupart, explicitement (Enter The Void, Climax) ou non (Irréversible, Lux Aeterna) une dimension psychédélique.

Il en va de même pour les animes deEiichi Yamamoto, parmi lesquels le sublime Belladonna mélange influences pop art et psychédéliques, sur fond de chasse aux sorcières à l'aube de l'ère moderne en France (adapté d'après l'oeuvre La Sorcière de Michelet).

L'immense Akira de Katsuhiro Otomo, dont la portée immense ne s'est toujours pas démentie, est lui aussi centré sur une bande de jeunes bourrés d'amphétamines. Cette addiction aux substances de synthèse rentrera en collision avec les expérimentations menées sur l'un d'eux par l'armée, avec des conséquences apocalyptiques.

Il en existe naturellement mille autres

FORTUNALAND 6 mai 2023 à 21:39

Et les freres pétard d'hervé Palud ?
 et vous avez aussi oublié l'alcoll comme drogue bien francaise !!!

kruk 6 mai 2023 à 16:27

vidéo  asynchrone (chez moi en tout cas)

Davesnes 5 mai 2023 à 18:25

Ce petit film d’Alice Guy de 1912, « fumeur d’opium », ne serait-ce pas le premier ou l’un des premiers du genre dont il est question dans cette émission ?
À cette époque, Paris était la capitale mondiale de l’opium.
Dans les années qui suivirent, ce fut le temps de la prohibition. C’est peut-être pour ça qu’on ne trouve guère de films traitant de la drogue dans les années 20 ou 30 (du moins je n'en ai pas trouvé). Par contre, dans la chanson, les titres ayant pour sujet l’opium, la morphine ou la coco ne manquent pas : « La coco » (Fréhel, 1931), « Cocaïne, je n'aime que toi ! » (Nitta-Jo, 1932), « Le tango stupéfiant » (Marie Dubas, 1936), « Les visionnaires » (Georgel, 1921), « La coco, la gueuse » (Emma Liébel, 1907), « J'ai le cafard » (Damia, 1930), « L'idole blanche » (La Palma, 1932), « Monsieur Bébert (Il vend de la coco) » (Georgius, 1937), « Opium (Fumée de rêve) » (Marcel's (1931, reprise en 1987 par Dutronc et Bambou)
Dans ces titres, réunis dans une compilation, tout comme dans les films présentés par Clémence Gueidan et Rafik Djoumi, la défonce est traitée tantôt d'une façon mélodramatique, à l'instar des clips ridicules de prévention contre la drogue actuels, tantôt de façon fantaisiste (Marie Dubas, Georgius). De la même manière qu'on regarde aujourd'hui Reefer Madness en se gondolant, on peut prendre les chansons diabolisant la défonse de manière mélodramatiques au second degré.

TOKYO 5 mai 2023 à 17:16

il y   avait aussi les films de Duras et l'opium 

Jean-Michel 303 4 mai 2023 à 19:41

37:35 petit quak audio ? Que ce soit ici ou parfois dans proxy, il serait bon de faire une prise audio secondaire (sur un enregistreur portable ou autre) afin d'avoir une solution de secours en cas de problème.

webshinra 4 mai 2023 à 15:29

Et même pas on nous parle d'enter the void, qui fait d'un trip un voyage après la mort et dispose de séquence psychédéliques d'un réalisme étonnant… m'a-on-dit.

Climax de Noe également est d'une violence visuelle telle qu'en sortant du cinéma on se demande si on est sobre.

Bref, une bonne émission sur cette exercice étrange de porté un phénomène psychique en image animé.

beren57 3 mai 2023 à 19:24

pour les films francais abordant le theme, on a le peril jeune. la haine. on pourrait plus ou moins voir les apprentis comme un peu dans le meme genre que les harold et kumar americains, aussi.

Eradan 3 mai 2023 à 18:44

Un lien de téléchargement s'il vous plaît?