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TOKYO
on oublie pas que dans le cas de figure de cet acteur indien le film cligne de l'oeil à 1milliard de téléspectateurs hindous stratégie commerciale via la mondialisation
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TOKYO
bonjour j'observe que le debit de parole est vertigineusement rapide. la rapidite n'est pas gage de competence augmentée. un debit plus lent gagnerait à un échange plus respectueux et nourris.
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joro
Vraiment sans aucun intérêt! 1h30 sur une série médiocre qui fait rire médiocrement! Pourquoi Schnerderman perdez-vous ainsi votre temps et notre argent (du moins la part de notre abonnement ayant contribué àfinancer cette émission)?
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brigitte
Super émission. Juste un bémol: pourquoi poser ce genre de question "pourquoi Astier n'a pas fait un Arthur noir?" et chercher des raisons biscornues?? Alors que la seule réponse me semble être: parce qu'il voulait jouer Arthur!!!
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Nicolas
Concernant la série Kaamelott et le genre des chevalier·e·s, le seul (de mémoire) épisode pilote qui n’a pas été retourné pour être dans la série : le chevalier femme.
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RC
Dommage que l'émission ne soit pas plus centrée sur la chronologie de la légende arthurienne. Kaamelott (série et film) semble être la seule œuvre qui respecte un peu l'époque dans laquelle est sensé vivre Arthur : la fin de l'Empire Romain, donc avant le moyen âge. J'ai l'impression que les autres œuvres (Monty Python, Disney, films des 50' ou des 90' etc...) font toutes référence à la période médiévale. Dans Kaamelott, on a le mur d'Adrien, la Bretagne qui s'émancipe de Rome, des peuples (Pictes, Burgondes, Calédoniens etc...) qui sont bien raccords avec l'époque. Pour résumer : je trouve que Kaamelott est l’œuvre la plus sérieuse du point de vue historique !
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Ostivan
Ca serait bien que les "deux éminents médiévistes" passe un peu moins de temps a interrompre les autres et/ou parler en même temps qu'eux.
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Emmanuel
Bonjour, je suis étonné que Daniel n'ai pas relancé Justine Breton lorsqu'elle a parlé des menaces qu'elle a reçu suite à son article.
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kinkalou
Voilà, enfin en fait, voilà quoi !
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Tatanka
Le Woke se met donc à sévir sur ASI.
Je doute que qui que se soit, sauf peut être un égaré, se soit plaint de mes propos outranciers et provocateurs mais clairement de l'ordre de la satire. On devrait me connaitre depuis le temps...
Mais pendant ce temps Marcel Ravin Chef étoilé d'un restaurant à Monaco et invité à participer à un dîner en présence du président de la République à la préfecture du Rhône, le 26 septembre est refoulé à l'entrée. Trop de bougnoulitude?
On apprécie beaucoup aux Antilles.
Pendant ce temps, Eric Ciotti, lui qui mouille son calbute à l'idée d'un "referendum sur l'immigration" en 2022 - on se demande bien quelle pourrait être la question - fait son crocodile en adressant "son soutien à son ami et citoyen des Alpes Maritime".
On apprécie aussi beaucoup aux Antilles...
Et vous avez peur du Zemm ?
Vraiment?
Je crois que je commence à me faire trop vieux pour ces conneries...
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biscotte77
Ce serait bien que Daniel arrête de couper la parole à ses interlocuteurs...
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Vinchan
Petite demande en tant qu'abonné de très longue date. La vie fait que j'ai moins de temps pour regarder des émissions de 1h30.
Serait-il possible d'ajouter à Post pop un résumé écrit des propos, comme c'est déjà fait dans l'émission principale ?
Merci !
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JeNeSauraisVoir
Dans la mesure où les œuvres de fiction contribuent à forger ou à consolider l’imaginaire collectif qui n’est pas anodin en matière de métabolisation du passé et de fabrication de l’avenir, il me semble légitime de s’interroger sur la construction (via la fiction) de l’inférence entre un archétype et l’apparence physique telle que catégorisée dans notre société.
Ce n’est pas simplement une question de possibilité d’identification du spectateur. La collectivité est en droit d’attendre de la part des créateurs (du moins de ceux d’entre eux qui seraient un peu sensible à la justice sociale) de chercher à s’écarter des traitements qui auraient pour effet de continuer voire d’aggraver les travers de ladite société.
Faire ce choix ou ne pas le faire en tortillant du fondement ou non n’est pas anodin !
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NobbydeNobbes
Cette émission m'a redonné envie de voir une émission récurrente de déconstruction des représentations historiques dans les médias, la pop culture et le discours politique sur @si.
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Tristan Le Gall
Sinon, pour compléter l'émission, je pense à deux oeuvres qui n'ont pas été évoquées mais auraient pu l'être vu leur importance culturelle et le thème de cet émission:
- Les Brumes d'Avalon et ses suites, de Marion Zimmer Bradley, sans doute la plus connue des "versions féministes" du mythe arthurien
- La Tour sombre de Stephen King, qui n'est pas directement une adaptation du mythe mais y fait fortement référence : le personnage principal, Roland(*) Deschain, est un descendant d'Arthur. Ses pistolets, qu'il a hérité de ses ancêtres, ont été forgés à partir d'Excalibur. De plus, dans l'adaptation au cinéma de cette oeuvre, ce personnage est joué par Idris Elba (un acteur noir).
(*) Le choix du prénom, Roland, fait en quelque sorte la synthèse entre la Matière de France et la Matière de Bretagne
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Cobalt 60
Rien sur Excalibur, le film culte s'il en est de John Boorman, rien sur Prince Valiant, la BD et le film, rien sur Camelot 3000, la BD de Marvel.
Sinon, ce que je retire de l'émission c'est : le créateur est libre de faire ce qu'il veut. Donc, tout le reste est un faux problème, ça méritait de prendre une heure trente pour le dire et le répéter en boucle. Que de bavardages inutiles !
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Carnéade le Fataliste
A part ça personne n'a été amusé par le moment de vérité à 1:22 quand Justine Breton n'est pas loin de révéler le pot aux roses son "A qui profite le crime ?" et que Daniel bondit pour presque la traiter de complotiste ("vous voulez dire que ces débats sont orchestrés ?").
Faudrait être un peu sérieux, il y a toute une industrie de la presse "culturelle" clickbait (surtout anglophone mais ça arrive en France via l'irruption de médias comme Kombini dans la critique culturelle) qui pousse à fond les sujets "culture war" et vit en grande partie de l'exploitation des mécanismes de viralité de la colère sur les réseaux sociaux (si une bataille parvient à être générée, celà offre l'occasion de toute une série d'articles commentant des commentaires, dont encore plus de critiques des fandoms concernés entrainant encore plus de réactions à commenter, plutôt que juste la critique de départ).
Et des industries (du cinéma, des jeux vidéo, producteurs de contenus tv, etc) qui ont évidemment appris à exploiter la publicité que ce genre de polémiques leur offre (ou la guerre permanente contre les "trolls" pour excuser leurs productions les plus ratées, tout échec commercial ou au niveau des retours critiques populaires étant systématiquement mise sur le compte de la mauvaise influence de "bigots" - quand c'est pas de trolls russes parfois ;).
Ce qui arrive à chaque fois c'est que les annonces de changements en direction de plus d'inclusivité de "franchises" existantes sont accompagnés dans les médias putaclic qui les évoquent par une attitude provocatrice "préventive" vis à vis du public appréciant ces oeuvres qui pourrait peut être y réagir négativement. Non seulement accorder une attention démesurée à des changements souvent mineurs (titrer dessus comme s'il s'agissait d'une première mondiale qu'on voie une minorité dans un contenu culturel, etc...) mais toujours trouver le moyen de glisser du "évidemment ce changement ne va pas plaire aux fans toxiques de l’œuvre (que l'on sait appréciée de vils hommes blancs donc de racistes/sexistes/homophobes), mais tant mieux" dans ces articles. Pour un exemple évoqué dans l'émission voir la presse jeux vidéo tendance Kotaku à l'annonce du nouveau personnage secondaire de God of War, ou encore voir la presse de cinéma de bas étage (Screenrant, Bleedingcool, etc...) à chaque Disney "offrant <<<pour la première fois>>> un rôle important à [insérer catégorie oppressée]".
Le champ de bataille ayant ainsi été désigné d'avance, l'autre camp faisant son beurre sur ces histoires, les youtubeurs droitiers type The Quartering, rentre en action, exploitant à la fois les réactions négatives des fans à leur caricature et la nostalgie des œuvres précédentes de la série (celles décrites comme "d'avant que les SJW prennent le pouvoir" par ce genre d'influenceurs).
Souvent c'est accompagné de contresens extrêmes frisant la réécriture de l'histoire sur l'esprit de ces œuvres précédentes (genre faire mine d'ignorer par exemple que les histoires de super-héros ont toujours véhiculé des messages politiques et plutôt progressistes) qui feraient bondir leurs fans si la presse clickbait "progressiste" n'avait pas elle même suggéré que les contenus qu'ils appréciaient jusque là (et eux mêmes) sont soudainement devenus réactionnaires (dans la nouvelle "méta" dominée par des questions de représentation).
Mais comme les fans se sentent déjà attaqués, ça passe et chacune de ces escarmouches en convertit d'avantage à soutenir plutôt le camp qui les flatte comme vrais fans que celui qui les insulte.
Ensuite vient la deuxième couche, des réactions, si rares soient elles, sur les réseaux sociaux, faisant écho aux propos des influenceurs de "l'alt-right" culturelle, sont exploitées par la presse clickbait "progressiste" pour confirmer que sa prophétie auto-réalisatrice sur le méchant fandom s'est bien réalisée, occasion de nouveaux articles.
Typiquement, c'est là que pour faire monter encore la sauce, quelque producteur, réalisateur ou acteur de la franchise concernée, suivant un plan presse bien élaboré (si sa répétitivité commence à se voir), intervient, et trouve généralement le moyen de jeter encore plus d'huile sur le feu (ou au minimum celui d'être accusé de "mépriser ses fans" par l'autre camp), faisant enfler encore plus la polémique, et donc le nombre de mentions de l'oeuvre promue.
Dans l'idéal (pour la communauté des vendeurs de clics des deux camps) cela débouche sur son "harcèlement" (enfin ou un certain nombre de tweets agressifs pouvant être décrits comme en relevant, on va quand même pas trop en demander avant de charger coco de titrer là dessus, les clics attendent), ou encore mieux celui de quelques victimes collatérales genre autres participants innocents au projet ; stade ultime de la réalisation de la prophétie auto-réalisatrice pour l'équipe clickbait "progressiste", et occasion de faire sombrer son public dans le complotisme pour l'équipe clickbait "réac", qui accusera évidemment ce genre d'épisode d'être une pure invention ou volontairement organisé par les "SJW" eux mêmes pour diaboliser encore plus leurs adversaires.
Une phase essentielle pour les quelques vrais propagandistes à motivation politique, le moment où ils peuvent convertir le fan à l'origine simplement en colère contre la manière dont il ou ses contenus favoris étaient traités à une vision matrixienne où l'actualité n'est plus que le produit d'une cabale progressiste (et les "red piller" sur d'autres trucs, si c'est vrai pour les histoires de harcèlements pourquoi pas aussi pour l'élection de Biden etc.. ?).
Ou, à défaut que ça aille aussi loin, on se rabat sur des histoires de "review bombing", car il n'est jamais bien difficile de convaincre des gens n'ayant pas le même avis qu'il est illégitime que d'autres aient donné le leur.
Forcement, si le public n'a pas la même opinion que les "critiques pro" (pour lesquels se prennent les tacherons de la presse culturelle clickbait, aveuglés par les sites comme Metacritic ou Rotten Tomatoes traitant leurs avis rarement éloignés de l'intérêt des producteurs des oeuvres qu'ils commentent comme ceux de vrais journalistes), c'est qu'une opération organisée par les bigots a faussé les retours du public. Ou au contraire, si finalement le public aime bien en fait la nouvelle oeuvre "malgré" ses cotés progressistes, c'est décrit comme un complot de Hollywood pour fausser les reviews par la droite culturelle. Occasion de nouveaux contenus clickbaits des deux camps, tournant cette fois autour de la triche "évidente" pratiquée par l'autre (puissantes analyses statistiques à l'appui sur l'évolution des scores sur les plate-formes de notation, la quantité de reviews modérées, etc.. souvent citées à partir de sources à la scientificité aussi établie que les threads twitter de nerds anonymes).
Enfin, parler du sujet et faire comme si tout ce système, ce modus operandi qui est toujours le même, n'existait pas, faut vraiment qu'un critique des médias ne s'intéresse pas au sujet, soit d'une naïveté extrême, ou que lui même soit sur le marché du clic (désolé Daniel :p).
Il y a de manière évidente une alliance objective entre trois camps "à qui profitent le crime", pour exploiter ensemble et en suivant des recettes bien éprouvées les mécanismes de viralité de la colère (producteurs de contenus culturels voulant un maximum de mentions, et clickbaiteurs des deux camps - dont je doute que plus qu'une toute petite minorité aient de vraies motivations politiques ; enfin même si c'était le cas ça ne changerait pas grand chose, vu qu'on pourrait alors parler d'alliance objective entre 5 camps, 3 participant pour le pognon et deux "sincèrement" pour cliver l'opinion et radicaliser dans leur sens).
La lassitude dont tout le monde témoigne elle vient avant tout de l'infinie répétition de succession de séries d'épisodes similaires, et de la conscience grandissante que la "guerre culturelle" (enfin les débats autour d'oeuvres de pop culture vendus comme en relevant, qui ont très peu à voir avec la vraie guerre culturelle, celle qui peut exister sur des sujets comme l'avortement ou la trans-identité aux USA, des machins du monde réel) n'est jamais que ça.
Après ça n’empêche pas les publics concernés de se sentir toujours plus proches, qui des points de vue à la Kotaku, qui des points de vue à la The Quartering, qui d'être plutôt pro "wokes" qui d'être plutôt "anti", mais même sur les espaces les plus directement façonnés par ces pseudos batailles culturelles (voir ceux de reddit par exemple, qui en compte des deux camps), on croise de moins en moins de dupes qui ne réalisent pas que ce "conflit" est devenu avant tout une industrie, s'il a jamais été autre chose. Et qui si grande puisse rester leur passion à défendre leurs points de vue sur les oeuvres particulières qui les touchent ou communautés dont ils se sentent membres, n'expriment pas la même profonde lassitude sur l'ensemble de ces conflits qu'on peut sentir chez tous ceux qui évoquent le sujet ici.
C'est la grande bonne nouvelle, quelque part, d'ailleurs. J'ai l'impression de le "pic" d'engagement pour ces histoires, qui a été atteint vers 2018 ou 19, est maintenant dépassé pour la plupart, et si l'intérêt du public faiblit, l'industrie du clic devrait logiquement finir par passer à autre chose, qu'on peut espérer plus inoffensif (les listes des 10 pires moments où quelqu'un perd son pantalon en public ? les compilations des plus belles photos de châtons ? oups déjà passé de mode, merci Buzzfeed, mais trouveront surement un truc du style :). Et ça incitera peut-être même Hollywood, les producteurs de jeux vidéo, etc... à un jour finalement vraiment se renouveler aussi, au lieu de poursuivre ou rebooter sans fin les mêmes franchises, avec ou sans "diversité faisant débat" (et à une vraie diversité de s'installer tranquillement dans de nouvelles oeuvres où elle ne choquera personne - ok je rêve un peu :).
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Nicogé
Excellente émission! En tant que fan de Kaamelott, ayant regarder la série mille fois et étant allé voir le film deux fois au cinéma, je considère qu'il n'y a aucune raison de faire semblant que tout est parfait. Blague sexistes, propos homophobes, place démesurée et vision sarkozystes de la verticalité et du rôle du chef, petit prof aigri se croyant seul sachant au milieu des idiots à "élever", vision à la jules Ferry dont découle peut-être l'insistance pénible sur les aspects "postifs" de la colonisation, non pas pour dénoncer l'invention du roman historique à sa gloire par Jules César, mais au contraire pour confirmer ses mensonges sur les celtes, bons "sauvages" sauvés par les colons... A moins que ce dernier problème ne viennent que d'un mauvais copier-coller de la même scène des Monty Pythons (quasiment mot pour mot), comme il a repompé quasi-intégralement la scène du "vous montez la garde" de son dernier film, alors que M. Astier (que j'adore par ailleurs), explique à longueur d'interview que les Monty Python, ce n'est pas trop son truc car trop absurde. On pourrait continuer par des problèmes formels comme l'affreuse musique de la saison 6 et sa volonté maladive de tout contrôler, ou encore les horribles costumes "burgondes" du film, eux-mêmes débiles mais excellents musiciens...
On peut être "fan" et garder un esprit critique, et c'est exactement ce qui ressort de votre émission.
En tout cas, merci!