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Crash Bandicoot
Merci à Vous pour cette émission.
Je crois que la question de l'objet s'illustre, aussi, dans L'aventure c'est l'aventure de Claude LELOUCH sorti en 1972 et dans Jean-Philippe de Laurent TUEL sorti en 2006. -
RetBB78
C'est un peu embêtant d'entendre parler de Johnny sous cet angle moralisateur ( surtout votre post-popeuse), et sans vraiment connaitre sa valeur ajoutée. Johnny n'était pas un créateur, seulement un interprète d'exception. Il faut l'envisager sous l'angle de l'émotion, si ce mot évoque quelque chose à votre post-popeuse. Un très beau jeune homme, inspirant toutes les filles nées dans les années 50 et leurs mères. L'image de rebelle vient sans doute de ce qu'il a démarré en pleine adolescence, sans bagage scolaire, et issu d'un milieu non-petit-bourgeois. Toute une génération, aussi bien populaire que bourgeoise, analphabètes et bac+10, a appris le twist avec lui, et l'a suivi au long de sa carrière d'interprète, les meilleurs auteurs-compositeurs français ayant écrit pour lui. Il faut aussi se demander pourquoi de grands cinéastes ont fait appel à lui comme co-acteur principal dans leurs films. Franchement, cette émission post-pop n'est pas au niveau d’arrêt-sur-image, il y manque au moins un intervenant connaissant le sujet, et de plus avec un grain de sensibilité.
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towanda
jauni était un pur produit marketing, exilé fiscal, qui plus est... et l'hommage national qui lui a été rendu par la macronie, ses ancêtres et ses enfants, un véritable scandale!
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Pince-mi sophiste de passage
Pardonnez moi mais je fais une fixette sur les titres.
Si Djoni est une icône, ça veut dire que c'est pour de semblant ?
Parce que même au fin fond de la plus profond des profondes Russie, un icône, c'est une image, sainte de préférence.
Et je vois mal Djoni en saint d'une quelconque religion.
Ou j'ai raté un épisode.
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toni
Ha ! Encore une émission d' "experts". J'écoute pas mais j'aime pas. Moi j'aime bien (faut dire qu'il m'est arrivé de pas mal l'écouter).
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Olivier Deleauvive B.
J'aimerais proposer que soit réalisé un numéro de post-pop spécial Jacques Dutronc en tant qu'acteur. Dutronc s'est fort bien débrouillé tout au long de sa carrière, à mon sens (Violette et François drame de 1977, ou Le bon et les méchants drame historique de 1976, pour ne citer que ces deux là). Rafik au top, continuez comme cela! Sinon, pour la forme, il pourrait être souhaitable que les gens désignent désormais Johnny en tant que Jean-Philippe Smet à présent que l'étoile est éteinte. Las, on a pas fini d'en bouffer, du Johnny!
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Asinaute sans pseudo c8b7f
Très curieuse cette émission. J'avais bien apprécié les précédentes, mais là...
Les intervenants semblaient assez "détachés" du sujet tout en nous gratifiant de tous les clichés france-soir.
Une icône ? allons une création commerciale.
Johnny la machine a capter la répartition des cotisations forfaitaires de la Sacem
Ce concert au ridicule accompli où étaient conviés tous les grands commités d'entreprises afin de bien alimenter la demande.
Quid, des amateurs endettés par la "fabuleuse" tournée de Las Vegas ?
Point positif de l'émission se faire succéder une des meilleures chansons de Johnny avec une de Bruce Springsteen rien que là on sent la daube, de même avec Eric Burdon. Parallèle aussi hilarant avec Clint Eastwood.
Donc une part de dérision voulue ( je pense et j'espère) dans une recherche explicative de la ferveur populaire.
Mais y a t-il cette ferveur populaire ? Je connais quelques véritables amateurs de Johnny et je respecte leur goût, mais c'est loin d'être une majorité. Maintenant à force de se le faire inséminer à tour de radios périphériques il se créait une nostalgie, quelque chose de Tennessee ;=))
Je crains que vous ne confondiez populaire et public
Rappelez vous Lady Di...D'ailleurs vous avez des nouvelles de leur fils caché Manu ?
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petit - saconnex
Delphine Chédaleux devrait parfois s'intéresser aux biographies des personnes qu'elle critique . Alain Finkielkraut n'est pas d'extrême droite et n'est pas un grand bourgeois .Il est fils de tailleur juif polonais rescapé de l'extermination . Son discours ( un peu scrogneugneu) est celui de la méritocratie républicaine qui vénère les grands auteurs et méprise la culture populaire .
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lycaste
Nul!
Je n'ai pas pu m'intéresser à cette émission. La seule chose que j'ai trouvé intéressante c'est le fait que des sociologues devraient s'intéresser au phénomène Johnny (à moins que ce ne soit déjà fait, les invités discourant sur un sujet que visiblement ils ne connaissent pas).
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Nausicaa
Cette émission est de plus en plus indigente. Si c'est pour entendre les opinions de gens qui n'y connaissent rien, je peux inviter 3 potes chez moi : c'est gratuit. Là, y'a un abonnement à payer, on s'attendrait à une qualité minimale de contenu.
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malsand
Nooon pas vous ! Tout ce foin pour ce chanteur, tous les journaux people dont fait partie la presse main stream, on déjà fait leurs choux gras sur ce non évènement. Je suis déçu que vous vous y mettiez aussi, parce que tout ce foin nous pête les rouleaux.
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VERONIQUE UGOLIN
ASI sur Johnny, je n'hésite pas une seconde ! Mais quelle déception !
On est complètement passé à côté du chanteur et de ce qu'il incarne, une vie, pour ne s'intéresser, entre autres, qu'à des saynètes ridicules sur scène et des films non incarnés.
Les a-priori ne font pas une argumentation; ils la biaisent.
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morton.claude-234415 morton.claude
aujourd'hui est bien le premier jour de la semaine et je me fais écrire que je ne peux pas offrir plus d'une fois par semaine un article ,ou une émission, Quand donc commence la semaine en France?
j'avoue ne pas comprendre cette remarque. -,en plus ce jour portant la date du 2 décembre ,-je croyais qu'une semaine commençait par ce jour communément appelé "Lundi" !
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Jean-Baptiste
"L'homme du train", "Vengeance", avez-vous vraiment parlé de la filmographie de Johnny dans cette émission? Et pourtant, je ne suis pas un grand fan ni un fin connaisseur. Très déçu, alors que j'aime bien vous regarder d'habitude...
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didou23
Déçu comme beaucoup. Une émission sur un chanteur où on ne parle pas de musique, de voix... c'est étonnant. Pourtant les deux intervenants peuvent être excellents dans le domaine du cinéma et surtout quand ils connaissent leur sujet. Ici rien.... L'intervention de Daniel S. est symptomathique : "vous allez apprendre que ce n'est pas Jonny qui a fait les portes du pénitencier" !!! Daniel soyons sérieux : qui un peu connaisseur de Johny ne sait pas que la chanson est de The Animals... merci pour l'info. Pour terminer je reprends quelques commentaires : les fans de Johnny s'en foutent pas mal qu'il soit de gauche ou de droite, d'ailleurs c'est ça le problème de cette émission : un faux sujet. Allez Post pop après ce patinage dans la semoule, concoctez nous une bonne prochaine émission.
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Maud
L'émission aurait gagné à avoir sur le plateau plus de diversités de points de vue. Essayer d'avoir à tous prix une analyse politique droite gauche est un peu court. Hallyday émerge dans les années soixante (et ses fans vont vieillir avec lui) où il y a eu une soif d'US A :, musique, cinéma, espace de liberté, par un français, qui fait rêver et qui représente le début d'une conquête culturelle. Fallait-il une minute de silence à l'assemblée où pour le coup droite et gauche était debout de peur de perdre des électeurs. Etait-ce un vrai produit marketing ou un vrai chanteur. Le principe du star systeme, "l'idole des jeunes" valait pour le coup d'être analysé.
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aurelie.gerlach-213615 aurelie.gerlach
Je suis surprise par cette émission, d'autant plus que je trouve généralement le contenu ASI très intéressant. Là, il y a un raté malheureusement. Traiter du phénomène Johnny aurait pourtant pu être absolument passionnant. Quelques remarques, en vrac :
- Pourquoi ne pas avoir donné la parole à des fans de Johnny ? Dès le début de l'émission, on convient qu'aucune étude sérieuse n'a été mené pour cerner son public mais j'ai l'impression qu'on se contente de le déplorer mollement sans pour autant essayer de creuser davantage. Je ne remets pas en cause l'apport des deux invités mais tout de même... ils avouent ne pas aimer particulièrement le chanteur. Leur parole me semble donc bien insuffisante pour comprendre le phénomène.
- Deux ans après sa mort, le succès de Johnny ne se dément pas. Il a sorti plusieurs albums (et celui de son sosie vocal cartonne), le tout dans un contexte de contestation sociale (gilets jaunes, veille de grève). Il y a aussi le feuilleton "héritage" qui passionne, un projet de musée etc.
Si l'on part de l'hypothèse que GJ/manifestants et fans de Johnny se recouvrent en partie, c'est très intéressant à explorer. Comment un très riche exilé fiscal peut-il être considéré comme un allié par une partie de la population qui s'attache pourtant à dénoncer les inégalités ? Le sujet est abordé très en surface... D'ailleurs, au moment où une invitée aborde la question GJ, elle se fait assez sèchement rabrouer par DS pour qui, apparemment, ce n'est pas pertinent.
- Je suis aussi très étonnée de la manière dont le positionnement politique Johnniesque est traité par dessus la jambe avec une grille de lecture inopérante : droite ou gauche ? Une large partie de la population se considère comme peu politisée au sens classique du terme et ne voit pas le monde de cette manière binaire. Pourtant, sorti de cette grille de lecture, DS semble considérer que nulle politique ne peut exister. On se contente de montrer un extrait de spectacle mettant en scène une fausse baston en concluant : "c'est pas politique ça, c'est 'rebel without a cause'". Pourtant TOUT est politique ! Comme le fait remarquer le second invité, Johnny transporte avec lui tout un système de valeurs...
- Quels valeurs ? On ne le saura pas trop. On se contente de s'étonner de cette imagerie nord américaine. "Comme c'est pittoresque ces routes et ces motels, vraiment, qu'est-ce que les gens peuvent bien y trouver ?"... Oubliant par là que pour une grande partie de la population, la route, la station service, le F1, l'Autogrill, les grands champs à perte de vue, c'est le quotidien... et qu'il est donc beaucoup plus facile de s'identifier à l'imagerie véhiculée par les clips de Johnny que lorsque l'on ne se déplace qu'en trottinette entre le 9ème et le 11ème.
- Qu'a-t-on voulu dire avec la seconde partie de l'émission et tous ces extraits de séries, films, concerts ? En résumé : "Johnny à importé la culture américaine en France il faut le reconnaître, mais regardez comme c'était ridicule". C'est super léger du point de vue de l'analyse. Et encore une fois, remarquons que TOUS les extraites datent d'avant les années 2000. Cela n'aurait pas forcément été un problème si un angle clair avait été posé dès le départ, sauf que là, ce n'est pas le cas. Je ne suis pas sûre d'avoir compris de quoi on parlait exactement. De Johnny et de son public ? De Johnny comme figure politique ? Médiatique ? De Johnny dans la pop culture ? Sur quelle temporalité ?
Je fais ces remarques en toute sympathie, vraiment. Elles sont le reflet de mes attentes par rapport à ASI qui sait si bien proposer de la qualité et prendre de la distance sur des questions que peu de médias analysent en profondeur. Et je sais qu'on ne peut pas être au top tout le temps. Bon courage et bonne journée -
IT
Y a quand même un poil de toutologie dans ces post-pop, non ?
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RZaslawsky
Johnny et le cinema sans extraits de Détective de Jean Luc Godard ni de L’Homme du Train de Patrice Leconte ou de l’Aventure c’est l’aventure de Claude Lelouch avec Jacques Brel c’est un peu court !