Hitchcock et ses héroïnes, forcément coupables

La rédaction - - Fictions - 13 commentaires


Son nom est devenu un adjectif. "Une héroïne hitchcockienne", dit-on. Ou alors : "Une blonde hitchcockienne" (alors qu'on ne parle jamais d'un héros hitchcockien, ou d'un brun hitchcockien).

Mais outre leur blondeur (avec des exceptions) quelles sont les caractéristiques communes, d'Ingrid Bergman à Joan Fontaine, de Kim Novak à Tippi Hedren, des rôles féminins dans les films d'Alfred Hitchcock ? Et quelles obsessions ces rôles trahissent-ils chez le réalisateur ? Avec Rafik Djoumi et Geneviève Sellier, de Psychose à Rebecca, des Oiseaux à Vertigo, nous partons en exploration de quelques constantes, dont la première semble être : quelles que soient les fautes qu'elle a commises, l'héroïne hitchcockienne doit être "punie". Et, souvent, payer cher.

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