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romanoskof
Bonjour !
J'adore vos émissions, bel exercice d'équilibrisme entre érudition et culture populaire, et je me régale à chaque fois. Sur ce coup j'ai quand même un doute: Est-ce que votre chroniqueur masculin pourrait un chouia plus laisser parle la chroniqueuse ? Des fois ça fait un peu mansplaining, même si je sais que vous combattez farouchement cette tendance. J'ai beaucoup apprécié l'éclairage apporté par Rafik, mais j'aurais bien aimé entendre un peu plus Clémence aussi.Encore merci pour tout ça, keep it up.
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calbuth59
J'aime bien ce nouveau format de Post Pop autour d'une oeuvre. D'habitude, je trouve que les œuvres évoquées sont vite expédiées, je reste sur ma faim. Là, je reste toujours sur ma faim, mais quand même un peu plus rassasié :)
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Carnéade le Fataliste
Sans vouloir minimiser l'impact de Tim Burton au niveau de l'importation du concept des gentils monstres au fond transformés par l'esprit de noël au cinéma (ou l'évolution de Disney vers l'humanisation d'anciens méchants et autres freaks*), je trouve un peu étrange l'absence de mention de How the Grinch Stole Christmas du Dr.Seuss comme inspiration originelle de ce genre, grand succès du livre pour enfants datant tout de même d'un peu avant (1957).
Si son adaptation la plus connue, The Grinch, sera réalisée un peu plus tard que Le Noël de Monsieur Jack et peut être dans l'espoir d'en reproduire les recettes par les concurrents d'Universal, et ne sortira qu'en 2000, le personnage avait déjà été présenté x fois sous forme de téléfilms, shows télévisés théatraux ou courts métrages d'animation, avec une adaptation de la nouvelle initiale en 1966 par la MGM, et un préquel en 1977, Halloween Is Grinch Night associant donc déjà à Halloween un monstre destiné à être touché par l'esprit de Noël).
* quoique niveau freaks, c'est plutôt bien plus vieux, qu'incarne par exemple un personnage comme Dumbo sinon un freak rejeté par la société jusqu'à ce qu'il révèle que ce qui le rend étrange fait sa force ?