ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • clemence 3 mai 2025 à 20:13

    Super émission que je ne vois que maintenant. 

    Je rappelle qu'à l'époque l'âge légal du mariage pour les filles en France était de 15 ans (avec autorisation des parents, la fameuse émancipation ?) ; ce n'est que très récemment qu'il a été remonté à 18. 

  • théodosie 16 janvier 2025 à 15:27

    Merci pour cette émission équilibrée. Bravo a Geneviève Sellier qui prend le temps d'expliquer à Daniel (en cours de laborieuse déconstruction, on sent que Rafik avance plus vite)  que l'on peut comparer la prédation des hommes de Mazan et la prédation des auteurs cités, a minima sur leur système de défense. Du coup je me suis inscrite au site de G. Sellier qui décrypte les biais sexistes, racistes, homophobes au sein les films actuels. www.genre-ecran.net

  • Cultive ton jardin 6 janvier 2025 à 14:46

    C'est moi qui ai mauvais esprit? J'ai une vague impression que Rafik Djoumi fait preuve d'une indignation nettement plus franche quand il parle de la (mauvaise) qualité cinématographique des films concernés?

  • john z'guéner 5 janvier 2025 à 10:03

    Le culte de "l'auteur" permet à de gros dégueulasses d'intellectualiser leur goût pour de très jeunes femmes manipulables et de mettre en scène du porno primé à Cannes, et dans leur perversion ils portent à l'écran leurs obsessions en les inversant, comme pour anticiper les accusations à venir. Ils mettent en scène leurs arguments de défense:  ils sont "victimes" de l'appétit sexuel de ces jeunes femmes ("je n'ai fait que satisfaire son désir", "c'est elle qui a initié notre relation", "elle m'a manipulé"), elles sont ambiguës voire manipulatrices ("elle ment", "elle ne disait pas ça à l'époque", "elle était d'accord"), elles couchent avec tout le monde ("je suis pas le seul, les autres aussi"). 


    Le débat aurait pu être élargi au statut  de"l'artiste", sans se limiter aux "auteurs" de cinéma. Le cas Depardieu est emblématique (le silence qui a perduré tant d'année alors que tout le milieu était parfaitement au courant de son comportement et de ses obsessions), et la défense du bonhomme a été la même: ces femmes mentent, elles voulaient avoir des relations avec ce "grand" du cinéma, elles étaient envieuses ou voulaient servir leur carrière...etc. Toujours le même discours. 

    Après lui, d'autres noms ont été révélés, toujours des hommes en situation de pouvoir qui étrangement se font "manipuler" et sauter dessus par des femmes vénales et manipulatrices... 

    La liste est longue...

  • Davesnes 5 janvier 2025 à 02:22

    Pour expliquer le silence pendant tant d'années après que Godrèche, Le Besco et d'autres se soient trouvées sous l'emprise de réalisateurs pervers, Raffic a évoqué l'ambiance post révolution sexuelle, la crainte de passer pour un réac qui a fait se fermer les bouches ou avaler la soupe servie par les granzauteurs.  Pourtant, cette révolution sexuelle, quand bien même elle a été nécessaire, a connu son lot d'excès, qui ont débouché sur des scandales. Comme l'affaire du Coral. À l'époque, on pouvait théoriser avec Gabriel Matzneff sur la sexualité des enfants qu'il fallait satisfaire. À croire que dans les années 90 on avait déjà oublié.

  • B11 5 janvier 2025 à 01:37

    Décidément, la politique des auteurs à la française se révèle une stratégie très efficace pour rendre difficile de séparer l'homme de l'artiste. Genevieve Sellier est impeccable, et même héroïque : elle applique sa grille de lecture féministe dans un champ - le cinema d'auteur français - acquis à la cause masculiniste par ses instances de légitimation économique et culturelle. Les Cahiers du Cinema ont été un boys club dès ses origines et le sont encore. La question qu'il faut poser est pourquoi le cinema et ses champs de production, de création, et de réception critique reste dominés par l'idéologiie masculiniste. L'exemple de Breillat mentionné dans l'émission offre un interessant contre-exemple : un féminisme de façade qui recours aux techniques de la domination masculine et aux pratiques de la culture du viol. Il ne suffit pas d'avoir davantage de femmes cinéastes pour libérer nos imaginaires et nos représentations. C'est aux structures de la domination masculine qui façonnent nos imaginaires qu'il faut s'attaquer. Ceux dont il est question dans cette émission (Jacquot, Doillon, Breillat) s'inscrivaient dans l'héritage de la nouvelle vague. Il est plus que temps de questionner cet héritage et il est plus que temps que nos créateurs articulent formes filmiques et méthodes et politiques de création émancipatrices. Il faut qu'elles marchent ensemble. Au lieu qu'une serve de camouflage à des conditions de productions toxiques et réactionnaires. Une politique des auteurs qui n'émancipent pas les spectateurs  n'est qu'un cache-misère. 

  • Deva 4 janvier 2025 à 11:48

    bonjour ,

    émission intéressante 

    sur l'emprise des "auteur réalisateur " sur le actrice et leurs mode de "création artistique crade".

    petite suggestion pour la prochaine émission 

    pourrais t on parlé avec vos chroniqueur 

    de la colonisation au cinéma sujet d'actualité 

    je pense au film de john Ford le mel Gibson 

    apocalipos la bataille d'alger et d'autre donc vous avez les référence 

    au regarde cinématographique occidentale donc nous avons ete

     nourris

    merci et bonne année à tous 

  • robin 4 janvier 2025 à 11:24

    de nombreux couples se forment sur leur lieu de travail, par paresse sans doute, ceux qui cèdent à cette tentation ne doivent pas s'étonner du retour de bâton

    ma référence serait plutôt "lolita", Dolorès, douleur, comme Brassens nous ne devrions "pas être chaud pour tâter de la paille du cachot"

    les jeunes filles devront toujours détecter le grand méchant loup du bon chasseur

    Baudelaire aurait-il du vraiment publier le divin marquis?

    le procès d'Emma Bovary a bien montré la difficulté de séparer la fiction expression de l'art et le comportements des brutes incapable de maitriser leur cerveau reptilien dans la réalité

  • poisson 4 janvier 2025 à 00:47

    C'est curieux que Bertrand Blier ne soit pas plus pointé. Le film "beau-père" est une autre caricature de ces situations d'inversion perverse, passivité de l'homme mur et très jeune fille entreprenante à l'excès. Les parents de la jeune comédienne avait tenté de faire interdire l'affiche car leur autorisation n'avait pas été donnée, et la justice avait dit non. 

    Pour ce que disent les films, ce qu'ils nous disent, c'est encore celui de Brisseau qui sort un peu du néant total des autres exemples. C'est subjectif ok, peut-être que Bruno Cremer donne à mes yeux de la profondeur au personnage, malgré le passage bucolique effectivement très risible. Disons que quand j'ai vu "noce blanche", je craignais que ce ne soit pire, et j'avais un petit a priori favorable après avoir vu un film de Brisseau où la banlieue prend cher, mais est décrite comme jamais, dans ses débuts de cités.

    Brisseau est celui qui s'est fait condamné, tant mieux. On ne le sauve pas lui, mais ses films peut-être. Je les vois moins pire que ceux de Doillon ou Jacquot. Qui nous entraine dans leur vision libidineuse, sans avoir rien à dire d'autre.

    Tous ces cinéastes qui tentent de sauver la face ou restent même de respectables interlocuteurs, et tous les animateurs, toutes les célébrités, on vit vraiment une époque formidable! 

    Ces films, qui en plus d'être réalisés dans un contexte toxique pour les actrices, sont en eux-mêmes toxiques, et on n'a pas de raison de s'infliger de les regarder. Ils prônent les comportements pervers qui obsèdent leurs auteurs, non? Ils sont enfermants, pas éclairants? Ou c'est moi? 

    On n'est loin du cas Hitchcock quand même.

  • Limonchell:o) 3 janvier 2025 à 09:03

    Merci pour cette émission, c'est vraiment des déviant-e-s.


    Ce sont des familles 'tuyaupoëles"


    Un-e enfant,c'est un-e enfant point barre.

  • Chimiste Approximatif 2 janvier 2025 à 19:48

    Le sketch des inconnus dont il est fait référence dans l'émission :

    https://www.youtube.com/watch?v=jlPir7UMns4

  • Tonka 2 janvier 2025 à 14:42

    Très belle émission. 

    Une mention spéciale au très érudit Rafic Djoumi qui, courtois, accepte de se faire constamment interrompre  par Geneviève Sellier, tout aussi intéressante. 

  • gomine 2 janvier 2025 à 14:24

    un article intéressant sur Mediapart qui parle de la réception critique du dernier livre de Geneviève Sellier : https://www.mediapart.fr/journal/culture-et-idees/311224/metoo-cinema-une-charge-contre-le-culte-de-l-auteur-braque-la-critique

  • Ch_Met 2 janvier 2025 à 13:25

    Bonjour, 

    Même problème ici,  mais ça marche si on télécharge avant. 

    J’y retourne, trop hâte de découvrir cette émission.

  • Sarsoura 2 janvier 2025 à 13:21

    Même problème chez moi.


    J’en profite : Obsessions, c’est fini ?

  • UneSorcièrecommelesAutres♫ 2 janvier 2025 à 13:02

    Aucun souci pour moi, je ne télécharge que des fichiers audio.


    Regarder des gens parler ne m'intéresse pas.

  • john z'guéner 2 janvier 2025 à 12:04

    même problème "vidéo privée"...

  • Carnéade le Fataliste 2 janvier 2025 à 12:02

    En essayant de regarder l'émission : "La personne qui a publié cette vidéo l'a rendue privée"  ???


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.