-
Compunet
La corrida interdite en Catalogne.....
à quand en France ????
toutes les bonnes nouvelles sont bienvenues cet été......
entre les Roms : http://www.amnesty.fr/index.php/amnesty/s_informer/communiques_de_presse/france_le_chef_de_l_etat_est_instamment_prie_de_ne_pas_stigmatiser_les_roms_et_les_gens_du_voyage,
et les chiffres du chômage bidonnés par l'équipe de l'atrabilaire élyséen : "8600 chômeurs en moins , le pays est directionnellement (direction elle ment) en décru" (sic !!) dixit Lagarde, alors que sur l'année le nombre de chômeurs est en progression constante !!
....elles sont pas nombreuses les bonnes nouvelles en ce moment !! -
Elorias
Je suis végétarien. Je ne mange ni viande ni poisson ... mais je ne suis pas activiste pur et dur contre la souffrance animale.
Pourquoi ? Car la souffrance humaine et animale fait partie de ce monde. L'être humain est sensé être un prédateur au même titre que l'ours et le loup. Il est un maillon de la chaine alimentaire. Or la prédation est une forme de respect de la proie.
Le lobbyiste a raison lorsqu'il dit que la mise en scène de la mort est toujours dérangeante ... que ce soit dans un abattoir ou dans une chasse.
Cependant, avec l'industrie de la bidoche actuelle nous touchons du doigt l'hypocrisie de notre société. Nous avons une industrie extrêmement polluante que ce soit dans les déchets produits que dans les gaz à effet de serre émis, un business qui prétend qu'il faut toujours manger de la viande, alors qu'on peut s'en sortir avec 100g par semaine.
Et nous avons des individus qui mangent de la viande à tire l'arigot pour n'importe quelle non-occasion alors que manger de la viande doit découler d'un acte de prédation. Nous sommes une société de "mous du genoux" comme on dit, qui attend la caille qui tombe toute cuite dans le bec. Il n'y a aucune forme de prédation dans le fait d'aller acheter sa cuisse de canard au supermarché du coin.
Cette hypocrisie, cette schizophrénie a engendrée l'industrie à laquelle nous faisons face aujourd'hui.
Je suis autant ému par la nature que Thierry Costes, et la prédation fait partie de la nature ... mais notre monde de bidoche est à l'image du reste de la société, que ce soit la surpêche, les transports ou la surconsommation : une machine affolée qui va droit dans le mur.
J'ai donc décidé de sortir d'une partie du système et de devenir végétarien. -
djinneo
J'ai peur du loup et Dieu me tripote.
Ca tombe bien, dans la Genèse, c'est écrit que "l'Homme est créé à l'image de Dieu afin qu'il règne sur la Terre".
Mais ras le cul de ces bonnes soeurs mal baisées qui m'obligent à m'agenouiller sur une règle en fer.
Et ras le cul aussi de ces curés qui me remplissent le fion et la gorge de leur foutre de pédéraste.
C'est pour ça que je suis devenu athée.
C'est comme ça aussi, que, puisque "créature de Dieu" ne me déplaisait pas complètement, j'ai gardé cet axiome: "l'humain règne sur la Terre". -
PH3
Bonsoir ,
J’ai trouvé l’émission excellente. J’ai enfin compris ce qui signifie Ligne Jaune. Il ne s’agit pas seulement de la façon de traiter un sujet, il s’agit aussi du sujet lui même
Et ce qui fait vraiment ligne jaune ici, c’est l’outrance du sujet, tels que le définissent les défenseurs :
- Des animaux martyrs,
- Du vivant profané par le péché de l’Homme
- Du trouble ainsi apporté au cosmos galactique
- Que sais je ?
(j’y tiens : le délire des prêcheurs en mission du XIXème siècle reste la meilleure approche du délire des prêcheurs actuels des droits de l’animal)
J’ajoute que GB a très bien mené l’émission et je l’en remercie.
Je ne suis pas d’accord avec les premiers intervenants sur le forum, qui tenaient le sujet pour sympathique, mais secondaire. Quoique ; je suis extrêmement heureux qu’ils aient été si nombreux à manifester une incompréhension de ce type car leur dédain prouve qu’il y a encore des gens sains d’esprit.
La ligne jaune se trouve ici dans la nature du sujet et pas dans les outrances qui ont accompagné son traitement.
Que comprends t’on, si on s’en tient aux informations traitées dans l'émission?
Simplement : On abat, en France, des animaux de façon contraire aux règlements, et on les fait souffrir, et tout ceci est le fait d’un abattage industriel.
Oui, industriel bien sur. Je pense cependant que quelques de mes contemporains tuent encore le cochon à l’ancienne, avec ce long hurlement de la bête qui n’en finit pas (Ah.. ces écolos, que ne feraient ils pour avoir de la saucisse bio ?), et que d’autres tuent toujours eux-mêmes le mouton de façon rituelle, afin en particulier de correctement traiter la tête, mais aussi parce qu’ils ne font pas confiance à la capacité rituellique des abattoirs officiels ou que ces services coutent trop cher.
Bref : une plate affaire de loi et de règlement : pourchassons les mauvaises pratiques, sanctionnons les, canalisons les particularités, et tout ira bien.
Pas de quoi pondre une ligne jaune.
Mais non, il ne s’agit pas de ça…
La bête, être vivant, souffre. Qu’ajouter ?
En fait, le forum, lu avant et après mon visionnage de l’émission, est plus intéressant que l’émission elle-même .
Or, donc, les premiers intervenants du forum, bons sectateurs du site, ont manifesté pour le sujet un bâillement poli, puis, les vrais sectateurs du sujet leur ont succédé et ont pris la discussion en mains.
Et je vous le dis, à vous mes frères libres d’esprit : ce n’est pas parce qu’un sujet est débile qu’il faut l’abandonner aux imbéciles.
Je note que quelques uns ont tout de même osé contrarier la bonne pensée, mais ils n’ont pas été bien nombreux.
Alors allons y : fraiche et joyeuse.
En premier lieu on a beaucoup vagi sur l’innocence écolo, ces agneaux pascaux qu’on égorge pour enlever le Péché du Monde. J’en veux à GB d’avoir zappé intellectuellement que le salopard Pym Fortuyn, patron de l’extrême droite néerlandaise, n’a pas été trucidé par un homophobe parce qu’il était homosexuel, ni par un gauchiste parce qu’il était fasciste, ni même par un démocrate parce que sa liste pouvait faire craindre pour la démocratie. Non… Pym a été tué par un défenseur des droits des animaux.
Et GB a insisté, et il a fallu l’oreillette et la Régie pour qu’il arrive à faire un tête à queue (pour ceux qui ne visualisent pas : reprendre l’émission)
Bah… nul n’est parfait
Mais revenons au sujet : après un bâillement et une révérence polie envers les excités qui défendent des cause ridicules mais a priori sans danger, le peuple s’en est allé et a laissé le champ à ceux qui voulaient promouvoir leur messianisme .
J’ai adoré, de Muscade, le point Godwin : "Hitler aimait les animaux donc tous ceux qui font pareil sont misanthropes et potentiellement dangereux."
C’est curieux : je connais cette image mais pas sous cet angle. Elle a été utilisée par la nouvelle vague hyper hard à la fin des années 70 (des gens qui dégueulaient sur les baba cools puant le patchouli) . On y voit Hitler jouant avec sa chienne Blondie, avec comme commentaire : « Hitler aussi aimait les animaux », et pour inférence : « Vous aimez les animaux parce qu’ils sont gentils, Hitler aimait les animaux, donc Hitler est gentil », ce qui est quand même d’un autre tonneau mais nécessite d’avoir le sens de l’humour et les tripes biens accrochés.
J’ai adoré tous les commentaires sur le spécisme, surtout ceux de Romain Desbois : « Le spécisme est à l'espèce ce que le racisme est à la race. »
J’ignorais le terme de spéciste avant de vous lire, et je me reconnais donc comme un spéciste convaincu, qui ne croit qu’en l’humanité comme mesure de toute chose.
La comparaison avec le racisme n’est pas admissible, et j’espère que les associations ad hoc s’en chargeront légalement, mais ça vaut un petit développement :
- Si je regarde un noir avec mon œil de blanc, tel un officier britannique des « Carnets du major Thomson » de Daninos, qui tapote un coolie du bout de son stick pour vérifier qu’il est bien humain, je suis raciste.
- Si je le regarde comme ayant des attributs spécifiques de noir, comme Hugues Panassié, surnommé le Pape (décédé) du Jazz, pour qui seul le noir savait faire de la bonne musique parce qu’il restait essentiellement un sauvage, je suis aussi raciste.
- Si je le regarde comme un être humain ayant les mêmes capacités que moi, voire, pour certains, des capacités supérieures, alors j’ai franchi, avec légèreté, la barrière de la couleur de peau.
Dans mes phantasmes les antispécistes croient que les animaux parlent comme dans les films de Disney. Celui-ci, qui était un génie du Marketing, a d’ailleurs su faire remarquablement évoluer sa souris. Au début de sa carrière de celluloïd, Mickey était une souris, teigneuse et brutale, et dépourvue de parole (même aux débuts du parlant je crois). C’est aujourd’hui un aimable bourgeois qui parle mieux que moi.
En lisant le forum, j’en suis à croire que les antispécistes qui s’inspirent de ce genre de délire niais sont somme toute les moins dangereux.
Pour en revenir à l’émission, j’ai encore plus adoré les expériences animalières de chacun.
Quand Fabrice Nicolino nous affirme que, derrière le steack, il voit la vache, je lui trouve la tête de Saint Dominique en prière avant d’aller bruler des albigeois (et je trouve le point Godwin que je viens d’inventer beaucoup plus classe que des histoires de nazis sans queue ni tête).
Le pire est que je comprends sa démarche : même moi j’y arrive aisément : regardes la viande, imagines le muscle, le sang qui l’irrigue, et tu verras la bête.
Comme dit Nicolino : le faire correctement et automatiquement est le résultat d’une vie, mais après tout il suffit de le vouloir.
A coté de cette construction longue, dogmatique, et disons, forcenée, l’expérience de GB avec sa carpe aux yeux bleus est un traumatisme simple, et on comprend qu’il n’ait pas envie de manger du poisson.
Djinneo nous a dit : « Ca me fait penser que G Birembaum n'arrivait pas à voir le canard derrière son magret dans son assiette. Mais je pense que s'il le tuait, le préparait, et le cuisinait lui-même, il ferait plus aisément le rapprochement »
Et bien, je vous propose l’expérience.
Il faut d’abord attraper le canard, ce qui n’a rien de facile, et il faut faire attention à ne rien lui casser, non par souci de son confort, mais, comme on va le saigner, il faut éviter les meurtrissures et sangs pris. Ceux-ci retiennent le liquide rouge qui, à la cuisson laissera des traces et un goût déplaisants.
On lie les pattes de l’animal, on maintient les ailes, et la cuisinière lui enfonce une fine lame bien aiguisée dans la jugulaire pour qu’il se vide. On recueille par ailleurs le sang dans une assiette ou on le laisse cailler.
Sans doute connaissez vous le sketch de Robert Lamoureux : le canard est une bête increvable et il a tout son temps pour se vider.
Mes parents procédaient effectivement ainsi.
Une fois (j’avais douze ans), le malheureux volatile me regarda avec un air d’incompréhension, pas particulièrement douloureux, mais étonné, languissant, et ce pendant des minutes. Il était vidé de son sang et ma mère l’avait laissé de coté pour qu’il termine son agonie.
N’y tenant plus je décidai d’abréger et lui assenai deux coups de tisonnier sur le col, que je brisais, mais cela n’a pas suffi : le canard était toujours vivant.
Il finit son existence quelques minutes plus tard, sans que son œil demande comment ou pourquoi, exprimant simplement un étonnement d’être là.
Pour en revenir à la nourriture : une première recette consiste à laisser le sang qu’on a recueilli de la saignée se figer puis à le cuire à la poêle à feu très chaud, come un steack. C’est ce que nous fîmes ce jour , et j’avais beau voir la bête, et j’ai beau toujours voir la bête, je trouve cette recette de sanquette excellente.
En vieillissant, mes parents ont du arrêter d’élever des volailles, et se sont contentés de se fournir sur les marchés pour faire les foies gras et les confits que nous consommions.
On rappelle que le foie du canard est gras parce qu’on a forcé l’animal à engloutir une dose extraordinaire de maïs.
Quand on va acheter des canards, on peut évaluer la quantité de leur foie en tâtant dessous les côtes (essayez de vous tâter le foie juste en dessous du diaphragme) . Si le contact est dur, c’est que le foie est petit : il ne dépasse pas de la cage thoracique ; le gavage n’a produit que de la graisse. Si en revanche le contact est tendre, c’est que le foie est de bonne taille.
Une fois le canard acheté (mort) il vous faut le plumer avec soin (vue la taille d’une plume de canard, imaginez qu’on vous arrache des poils épais comme de la paille) . Pour achever cette opération, le canard est mis sur le feu vif de la gazinière, qui élimine les dernières traces de plumes.
Ensuite, vous ouvrez la bête et en éliminez les abats inutilisables (viscères, poumons).
Avec les abats utilisables : tête et cou, manchons et ailerons (le bout des ailes : imaginez qu’on vous coupe les avants bras), le gésier, le cœur (imaginez le poignard en obsidienne du prêtre aztèque qui ouvre la poitrine de sa victime pour en arracher le cœur), ma mère faisait un excellent ragout aux olives.
Reste le travail noble, et les meilleures recettes.
Tout d’abord : le foie (imaginez cet officier japonais en train d’arracher et de manger le foie de l’aviateur américain qu’il a capturé). Cuire le foie est assez simple : on le prélève, on enlève quelques nervures et la vésicule biliaire et on le moule, si possible entier, dans des conserves de la taille adaptée. On assaisonne, et on cuit un certain temps selon une certaine façon (là, débrouillez vous…)
Puis on travaille les quarts arrières (cuisses) et avants (magrets et débuts d’ailes) qu’on va confire (pour l’imagerie cannibale je vous renvoie aux dessins du XVIème siècle sur les mœurs anthropophages des indiens du Brésil).
On découpe ces pièces, on reprend toute la graisse qu’on a pu récupérer des opérations précédentes, et on racle scrupuleusement toutes les traces de viande qu’on avait laissée sur les os. On récupère ces débris de chair et on jette la carcasse.
Toutes les chairs, graisses et peaux sont assaisonnées et mises à bouillir lentement dans une marmite. Il s’agit que la graisse fonde et cuise les chairs de façon à avoir à la fin une viande qu’on pourrait détacher fibre à fibre sans avoir recours à un couteau.
Ajoutons que cette opération dure plusieurs heures et dégage une odeur nauséabonde.
On met le résultat dans des conserves qu’on stérilise. Avec le résidu de viande et une partie de la peau, on fait des fritons (délicieux)
Voilà, j’espère que vous avez aimé mes recettes.
J’espère aussi que vous aves bien vu les deux procédés imbéciles que j’ai utilisés.
Le premier consiste à mettre en regard le dépeçage d’une bête morte et celui d’un être vivant.
Et le second, surtout, consiste à utiliser des données anthropocentriques pour les appliquer à des bêtes ; en clair : faire du Disney, à part que je me suis placé sur le registre du guignol sanglant et pas sur celui de la fable doucereuse, ou encore le registre constipé des faux intellectuels.
Moyennant quoi, bien sur, je certifie l’exactitude de tous les éléments que j’ai utilisés : chaque point est exact, et la somme est débile.
J’espère que GB continuera de manger du canard, même si je n’ai pas davantage oublié l’œil noir et surpris du mien que lui les yeux bleus de ses carpes.
Pour en revenir au forum :
Johnny5 a écrit : « On arrive dans un monde où l'habitant des pays riches a plus de considération pour un boeuf qui va à l'abattoir que pour les millions d'enfants africains qui meurent du sida »
Je suis tout à fait d’accord avec lui à un bémol près : cette façon de penser n’est pas si nouvelle. Elle va de pair avec l’écologie fondamentaliste qui s’est posée en critique radicale de la société de consommation. Il y a ceux qui mettent la souffrance animale et la faim dans le monde sur le même plan, ceux qui se fichent du Honduras alors que le vivant souffre tellement. De même il y avait au début des années 80 des militants anti vivisection qui n’hésitaient pas à dire dans des congrès qu’on pourrait faire ça sur des travailleurs immigrés plutôt que sur des lapins (lu dans le Canard Enchainé de l’époque, je n’ai pas la référence précise, pensez en ce que vous voudrez)
Enfin, un vrai merci a Romain Desbois, qui a écrit : « C'est étrange comme les humains les plus respectables trouvent des raisons pour justifier leurs propres turpitudes. Certains trouverons qu'il ya bien d'autres choses plus importantes, qu'ils ont d'autres chats à nourrir, qu'on ferait mieux de s'occuper des pauvres petits n'enfants qui meurent et que la protection animale ça casse pas trois pattes à un connard. »
Eh bien Monsieur, du fond de mon âme, de mon être, de mon cœur, Merci, et surtout, et très sincèrement : serviteur, oui, tant que je vivrai : serviteur.
Au fait, professeur Birembaum, vous êtes sur de ne pas préférer un petit sujet sur le Honduras, histoire de comprendre pourquoi ce putch anti chaviste n’intéresse pas les medias.
Le titre pourrait être : « la ligne jaune qui ne sera franchie par personne » -
toni
ça fait plaisir de traiter ce genre de sujet de "société", plutôt que toujours des sujets politiques, intéressant surtout le showbize parisien.
Encore ! -
Michel Colot
Sujet difficile... Plein d'hypocrisies. Plein de tabous. Plein de souffrances aussi. S'ils n'étaient pas destinés à l'abattoir,la plupart de ces animaux n'existeraient pas... Faut-il pour autant les faire souffrir. Non bien entendu. Le moins possible. Pourtant la mort, c'est sale... Bref j'ai tendance à tourner en rond...Alors, je me réfère à ma propre expérience. Lorsque nouveau campagnard, je dois tuer mes poulets. Je le fais avec difficulté mais je le fais. Je me glisse dans ma peau de chicken serial killer. C'est pas joli. Et il y a du sang. Et la bête gigote bien après qu'on lui a coupé la tête. Et je ne suis pas sûr que l'estourbir avant lui enlève quelque souffrance que ce soit...
Je suis un être humain... un prédateur... c'est triste mais c'est comme ça... Mais quand quand je le tue cet animal, j'essaie de considérer ça comme un sacrifice. Je sacrifie une partie de mon élevage pour me nourrir.
A part ça bonne émission. Ca faisait longtemps. Ca fait du bien de sortir du parisianisme... Continuez -
Marie-Anne Salomon
« Il serait, certes, grandement à désirer que quelque moraliste bienfaisant prit les animaux sous sa protection, et revendiquât leurs droits à la protection des lois et à la sympathie des hommes vertueux ».
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Jeremy Bentham, dans son livre intitulé "Déontologie ou science de la morale", publié en... 1834. Entendons bien ici que le moraliste du 19ème siècle peut correspondre à notre "éthicien" d'aujourd'hui.
Merci pour cette émission qui a le simple (mais essentiel) mérite d'exister. -
Anthropia
Très bonne émsission.
Souvenir d'une manière non choquante de tuer un animal, c'était dans Urga, un film émouvant en Kirgizie ou dans ces régions de plaines larges et de yourtes, où on fermait les yeux à l'animal avant de l'égorger, respect de la dignité de l'animal, je n'ai pas été choquée par cette mort-là, parce que le compagnonnage entre l'homme et l'animal était évident.
http://anthropia.blogg.org -
nickh
Tres bonne émission, continuez .... -
i-jeanm
Bon, j’ai parlé de l’affaire à mon père qui confirme que les services vétérinaires sont sur l’affaire d’après la presse vétérinaire.
Il m’a aussi rappelé que les services vétérinaires sont de moins en moins nombreux et que ce genre de chose va pouvoir se développer par manque de contrôles possibles. Il faut peut-être remercier un certain lobbyiste pour ça.
Pour ce qui est du spasme je ne sais pas, mais pour la saignée, elle est bien consciente et elle souffre, peu de temps pour nous, mais l’appréciation de la durée du temps est relative. -
Elihah
"Pour conclure, on peut classer les défenseurs des annimaux en trois catégories :
1) les sensibles qui n'ont pas vraiment réfléchit à la question et qui trouvent juste que faire souffrir les animaux c'est pas très cool.
2) les anti-spécistes, qui trouvent que la distinction Homme annimal et surtout la dommination qui en découle est innaceptable : des mêmes droits pour une même essence.
3) les moralistes autoritaires qui trouvent que certains individus ont un comportement barbare indigne d'un être humain, et qu'il faut donc légiférer pour imposer un ordre morale adéquat. "
Mouais, et une 4eme case: les gensses qui pensent que les animaux ne sont ni des objets ni des personnes et qu'il faut trouver un statut adéquat.
Et une 5ème pour les gensses qui pensent qu'un animal ne constitue pas d'abord un réservoir à calories, mais bien d'abord un être vivant.
Qu'on le mange ou pas.
Bon, je ne me sens pas particulièrement moraliste, ni tout à fait antispéciste, je suis veggie version qui ne s'alimente pas de gallinacés, palmipèdes ou mammifères et qui a de plus en plus de mal avec la poiscaille et autres coquillages et crustacés.Mais qui consomme les sous-produits animaux (produits laitiers, oeufs non fécondés).
Mon autre pbme est le cuir des chaussures et la cuisson avec la farine de vache dans les usines diverses.Entre autres.
Je fais partie d'un système qui certes me laisse le choix de me nourrir à ma guise, notamment parce que je vis dans un pays riche, mais qui utilise les animaux pour d'autres choses que la nourriture. -
Sidney FLOSS
Je n'ai malheureusement pu voir que des bout de l'emmission, mais j'ai été assez déçut. Par contre, effectivement, le forum est intéressant. Néanmoins, il y a des choses que je ne comprend pas.
La première est purement technique : les animaux attachés se débattent ou ont des spasmes ? car quand je coupe la tête d'un poulet et qu'il se met à courir, je ne pense pas qu'il se débatte.
Ensuite, le débat était trop centré sur les abattoires : quid des combats, corrida et autres?
Enfin la question des droits, qui elle est vraiment intéressante, mériterait non pas un débat, mais une vrai emmission, construite pour exposer les point de vue et tout. Du coup, je me permet quelque reflexions.
La première concèrne le statut de l'annimal : oui ou non ai-je le droit de tuer les petits chats quand pas de chance, j'en trouve six le matin dans mon fauteuil? Si une seule personne fait la comparaison avec les bébés, je lui répond que c'est elle qui a un problème pour faire cette comparaison. Oui, je suis un spéciste, de la pire espèce : l'Homme est différents des autres annimaux non pas dans l'absolu, mais juste parce que je suis un Homme. La différence fondammentale n'est pas entre les Hommes et les annimaux mais bien entre nous et eux. Or, de nombreuse personne sont bien pour le rapprochement entre l'Homme et les annimaux (voir la mise en égalité), quoiqu'il en disent : c'est la logique même de la comparaison avec les nouveaux nés, ou de la fondation des droits sur le statut non plus d'être humain mais d'être sensible. Ce que prouvent les réactions épidermique des gens qui sont près à frapper à "coup de pelle" un individu qui frappe un chamoix. Cela prouve tout simplement que dans leur esprit, la souffrance humaine et animal n'ont pas de réelle différence, parce que l'Homme et l'annimal n'ont pas de réelle différence.
Ensuite, l'idée intéressante, qui consiste à considérer les droits des annimaux non pas du point de vu de l'annimal, mais de l'Homme, de sa Dignité, est tout simplement incroyable. Il s'agit ni plus ni moins que d'instaurer par la contrainte une nouvelle forme de dictature morale. En gros, certains types de comportements, qui ne nuisent à personne (et j'insiste sur le personne : les annimaux ne sont pas encore des personnes) seraient interdit parcequ'ils ne correspondraient pas à l'idée que certains se font d'un comportement digne d'un être humain... XIVème siècle, nous revoilà! on revient à la distinction entre l'Homme civilisé et le barbare. C'est le contraire même de l'idée de tolérance, c'est exactement ce qui était reprocher aux homosexuels (qui n'étaient pas considéré comme des VRAIS mecs). On peut trouver la corrida stupide (comment ne pas trouver la corrida stupide?), mais ce n'est pas une raison pour empêcher ceux qui aiment ça d'y aller. Pour l'instant, eux n'ont jamais contraint personne à aller voir leur spectacle. Idem pour les combat etc.
Car les défenseurs des annimaux , quoiqu'ils en disent, agissent bien pour la plupart dans l'optique d'instaurer un outillage répréssif pour contraindre les individus à faire ce que eux estiment juste (éviter le point godwin...). Je suis désolé, mais l'Homme n'a pas d'affinités particulières avec le chien ; certains Hommes en ont une, probablement beaucoup, voir une grosse majorité, mais pas L'Homme. J'ai donc du mal à voir en quoi ça leur donne le droit de dire : "de la vache tu mangera / du chien tu t'abstiendra". Si je veux manger du chien, du cheval, ou de la brebis, c'est mon problème : est-ce que je force les végétaliens à boire du lait ? Il s'agit donc bien d'imposer une image de l'Homme non pas comme un être libre qui peut faire ces choix, mais comme un être qui doit adopter certaines valeurs et conceptions déterminées sur le bien et le juste, même si cela ne concerne que lui ("un bon humain aime les chien" _même les caniches),
La question de savoir en quoi le fait qu'un annimal souffre lui donne des droits n'est donc en aucun cas stupide : la seul réponse possible, qui consiste à dire qu'il est inhumain de faire souffrir un être qui souffre, correspond à une conception particulière de l'être humain qui n'est pas partagé par tout le monde. C'est une chose que de sensibiliser les gens afin qu'une part de plus en plus grande de la population adopte un comportement moral que l'on juge préférable. C'en est une autre que d'imposer ce comportement moral par la loi. C'est toute la différence entre libéralisme et autoritarisme.
L'idée même de droit des annimaux est donc dangeureuse, et il faut fermement lutter contre. Moi aussi je trouve que s'amuser à tortuer son chien avec des cigarettes, ce n'est pas très cool et je vois donc l'idée de la reconnaissance d'une forme de droit des animaux basés sur la non souffrance, mais il faut aussi admettre que toute avancé dans cette voix ouvre un boulevard aux extrémistes qui quand on leur parle de tuer les petits chats réponde "et tu trouverais ça normal qu'on tue des bébés?". A terme, toute protection de la condition amène, comme aux USA, à la question du foie gras (interdit à certains endroit) et de l'alimentation. Car c'est le même principe qui interdit de torturer son chat et qui condamne toute forme de souffrance animale. De proche en proche, sur plusieurs génération, à force de compromis, l'idée même de manger de la viande sera perçut comme criminel. C'est comme cela qu'avance les idées (d'abord la torture, puis la maltraitance, puis les mauvais soin ; souffrance excessives, trop forte, forte, assez forte quand même, souffrance tout court...). Il faut donc, dès maintenant s'opposer à toute forme de droit des annimaux.
Pour conclure, on peut classer les défenseurs des annimaux en trois catégories :
1) les sensibles qui n'ont pas vraiment réfléchit à la question et qui trouvent juste que faire souffrir les animaux c'est pas très cool.
2) les anti-spécistes, qui trouvent que la distinction Homme annimal et surtout la dommination qui en découle est innaceptable : des mêmes droits pour une même essence.
3) les moralistes autoritaires qui trouvent que certains individus ont un comportement barbare indigne d'un être humain, et qu'il faut donc légiférer pour imposer un ordre morale adéquat.
Mais promis, le jour ou les canards viendront m'expliquer que faire du foie gras c'est pas cool, j'y réfléchirai sérieusement (et j'arrete le jour ou ils ont des fusils). -
Pacontente
super émission !
C'est vrai qu'il y a plus grave que la cruauté envers les animaux mais à force de toujours reléguer la question, on finit par ne jamais la traiter. C'est pratique pour qui ne souhaite surtout pas réfléchir à ses modes de consommation, mais pour la préservation des ressources d'eau potable, la Morale ou encore la biodiversité, c'est pas top. -
Fan de canard
Un plaisir de lire ce forum, qui me fait regretter de ne pas avoir encore pu voir l'émission pour des raisons techniques (suis un abonné forcé de France Telecom, ceci explique cela) mais je ne désespère pas.
Avec une mention spéciale pour plusieurs intervenants, dont Romain Desbois et Tom-, pour la justesse de propos et aussi d'écriture.
Et jeanphi aussi.
C'est d'autre, ce sentiment qu'il manque quelqu'un dans ce forum :-) -
Peerline
Dire que tout était si calme avant le 20ème siècle... -
Cyril Francioli
Bonne émission (même si j ne suis pas encore au bout).
Très drôle de voir le lobbyiste répéter 4, 5, peut-être 6 fois que L214 et affilié s'arrêtent sur des caricatures, et 5 min plus tard le voir caricaturer les militants pour la protection des animaux en terroriste.
Sinon guy, franchement vous êtes un peu risible quand vous vous étonnez du statut de "personne animale" qu'évoque la juriste (min.38) alors que les entreprises bénéficient du statut de "personne morale". (à ce sujet documentaire à voir : the corporationcorporation part1, corporation part2 et suviantes) -
No one
Cette émission était très bien menée, comme souvent dans la Ligne J@une.
Cela dit, il est vrai que les intervenants sont assez caricaturaux.
Et il ne faut pas trop se forcer quand même pour trouver le personnage de Mr Costes louche.
De savoir que c'est à ce genre de personnes que le gouvernement demande conseil
me fait penser qu'on est un peu dans la merde quant à la réflexion sur les lois à venir.
Sans même évoquer la question de la souffrance animale, cet individu ne défend rien d'autre que
l'argent de ses employeurs, comment pourrait-il prétendre dans ce cas à un quelconque intérêt général ?
En bref, la position que je trouve finalement la plus saine sur ce plateau, c'est celle
qui se dessine derrière les différentes questions et réactions de... Guy Birenbaum ! -
HECTOR ESP.
Belle émission mais je dois dire que je préfère le forum, où à l'exception de quelques uns, je trouve des arguments bien plus mesurés et plus riches. En vrac quelques considérations d'un amateur de viande rouge...et de légumes, poissons divers et autres!
La vidéo: Je suis d'accord en ce qu'une vidéo d'une procédure d'abattage 100% légale serait presque tout aussi choquante (et je dis "presque" car je suppose que les animaux suspendus ne se débattraient pas, par exemple) que celle présentée mais cela n'enlève en aucun cas de la valeur au document et au travail de l'"infiltré" en question. Des procédures de contrôle par l'Administration (d'ailleurs pas citées ou expliquées, fréquence, nature, etc.) devraient viser à limiter ou proscrire ce genre de comportement...je suis naïf n'est-ce pas? Peut-être, mais la raison, mise en avant par ses détracteurs, pour commettre ce genre d'irrégularités est l'augmentation de la productivité (x minutes par animal pour que ce soit considéré comme "légal"). Il ne faut presque pas entrer dans l'abattoir pour vérifier alors! Il suffit de compter le nombre d'animaux sacrifiés (et donc "expédiés") ou le poids total de viande produite par unité de temps pour avoir une idée de la plausibilité de l'application des règles au processus de production. Plus difficile de "mettre en scène le jour j de la visite" si on impose un audit (est-ce possible, je ne le sais pas) sur ce genre de paramètres dans la durée...bref, perso pas envie d'acheter Charal, mais toujours envie de manger de la viande de temps en temps...
Végétariens=plus sains: Je pense que cette affirmation est quand-même discutable ou au moins incomplète. Sociologiquement les végétariens se situent dans les couches hautes ou moyennes hautes en termes de revenus et qualité de vie, ce qui leur permet justement de faire ce CHOIX dont parlait quelqu'un. Dans mon entourage je connais des végétariens en pleine santé, sportifs, pleins d'énergie, qui ne montrent en apparence aucune carence nutritionnelle majeure. Mais j'en connais aussi (2 exemples assez clairs) qui mettent plus longtemps à se remettre d'un rhume, son souvent plus pâles que la moyenne et frôlent souvent les limites acceptables de la maigreur extrême. Ce pour dire qu'il n'y pas de règle, ni dans un sens ni dans l'autre.
Mangeurs de viande=moins sains, candidats au cancer: Encore ici je me demande vraiment comment affirmer catégoriquement ce genre de choses. Je suppose bien que les mangeurs de viande qui peuvent se permettre un bon filet bio à 50 euros/kilo, dépourvue d’une partie de sa graisse la plus nocive, cuit convenablement dans des conditions d'hygiène suffisantes et qui combine ça avec des légumes et autres variés (et bien bio aussi) souffre d'un impact moindre sur sa santé (même à long terme) que l'acheteur de viande traitée et emballée au super marché, d'origine douteuse, potentiellement "dopée", souvent contenant des conservateurs et antioxydants divers (tiens Charal en est un exemple!) Encore une fois le facteur sociologique et économique joue un aspect à mon sens bien plus important que la pure composante physiologique dans ce genre d'analyses. Ma conclusion reste que manger varié et en essayant de viser la qualité des produits (dans la mesure de information disponible, hélas!) reste prioritaire...plutôt que d'éviter les viandes rouges.
Les animaux et leurs "droits": Là ça ne passe pas. Parler de "droits" associés aux animaux est un non-sens philosophique et moral. Je n'étendrai pas mon argument qui reprend celui de mon admiré Fernando Savater dans son bouquin "El contenido de la felicidad" sur l'impossibilité d'accorder des droits (du point de vue purement "juridique") à des êtres incapables d'en assumer les conséquences, à savoir les DEVOIRS qui fatalement les accompagnent. Non les animaux ne peuvent avoir des droits…mais ils ont de la « chance », les Humains avons des DEVOIRS, dont celui de traiter dans une certaine dignité notre environnement et donc les animaux et les plantes. Dans ce sens, le "respect des animaux", viser un traitement "humain" dans la mesure du possible, éviter les souffrances inutiles sont des obligations de tout être Humain dans le sens que seuls les humains sommes capables de nous projeter sur des être extérieurs à nous mêmes (tout d'abord les autres Humains) et d’en appréhender la souffrance. Donc j’estime qu’un comportement HUMAIN est incompatible avec la conscience d’être en train de faire souffrir d’autres êtres vivants inutilement (je souligne que manger de la viande est UTILE !), d’où la différence (je regrette l’amalgame mais difficile de l’éviter avec notre cher «lobbyiste ») entre chasser et abattre industriellement des animaux pour la consommation alimentaire. Dans ce sens les travaux et actions des SPA sont indispensables pour réveiller les consciences sur quels peuvent être les moyens de MIEUX FAIRE et quels sont les dérapages à éviter, comme dans le cas de la vidéo.
Manger de la viande « industrielle »= pêché capital de notre perverse société de consommation. Sur cet aspect je crains ne pas être objectif en tant qu’ingénieur industriel. Tout ça a commencé comment au fait ? Ben ça a commencé il y a très longtemps avec un « projet d’être Humain » qui, tout comme les autres animaux de son entourage, chassait pour manger, au tout début en n’utilisant que ses mains, après le feu…puis plus tard il s’est dit « tiens avec des outils/armes » c’est plus simple et moins risqué, puis encore plus tard il a commencé à « chasser avant la naissance », c'est-à-dire à élever des animaux pour en consommer des produits (œufs, lait, etc.) puis leur chair…puis, puis, puis il appliqué son savoir et son évolution intellectuelle pour passer d’une vie dédiée à l’élevage à une vie où l’élevage se transforme en UN service de plus aux autres membres de la société. L’élevage et abattage industriels ne sont que le stade ultime de cette évolution humaine et donc non, ce n’est pas un crime horrible ou une activité en soi condamnable (et donc je rejette les regarde allant du condescendant au méprisant des radicaux-végétariens-anti-viande, je les trouve inacceptables) comme veulent le faire croire certains. Je défends donc l’industriel, tout en rappelant que je suis pour une régulation à la hauteur de notre compréhension de la souffrance infligée quand on tue un être vivant. Aux juristes de décider où et comment la trouver.
Bref, j’ai plein d’autres arguments à développer mais je ne me produis pas souvent ici et je sens déjà que je disserte dans tous les sens !!!...mais le sujet et la qualités des interventions me motivent plus que d’habitude ! -
Olivier Ffrench
Une émission intéressante à plus d'un titre. C'était très bien d'avoir invité M. Coste qui est très dynamique et expressif, même si son argumentation à parfois pu être retournée assez facilement notamment par l'avocate de L214... quand elle avait le temps de s'exprimer.
Un point qui n'a pas été évoqué et aurait pu l'être : depuis la diffusion de cette vidéo sur Youtube, Charal à multiplié les droits de réponse à l'association et à tenté de la faire retirer. Elle a pourtant pas mal tourné : 21000 visionnages sur Youtube et probablement beaucoup plus sur tous les sites qui l'ont reprise. Et L214 en a diffusé plusieurs.
Plus Charal a réagi, plus cela s'est retourné contre eux.
Aujourd'hui quand on tape Charal sur Google, le site de L214 ressort dans le top 10. Quand on le fait dans Youtube, ces vidéos ressortent désormais avant les pubs.
L'émission montre une des pubs Charal, ce qui souligne le décalage très important entre leur com et la réalité. C'est ce que Charal voulait probablement éviter.
Autre détail : sur les vidéos, on voit que Charal utilise beaucoup de vaches de réforme. Pour un annonceur qui communique sur "le boeuf" et sur des produits qui "donnent envie de manger de la viande", c'est un autre aspect gênant. -
gabegie
Hors sujet.
EP de MP se demandait la gauche? En effet vu les intervenant il est légitime de se poser la question.
Pour recrader le débat, je vous propose de relire hugo vis à vis du socialisme: il ramène celà à 2 questions mais fort de l'époque on se doit d'y rajouter la terre. A vous.