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  • antenne 4 mars 2010 à 01:42
    "Buzz" sur Peillon et ses "regrets" concernant Chabot : décryptage d'une désinformation (03/03/2010)

  • vergogne 3 mars 2010 à 23:31
    Vue avec un bon mois de retard. Émission bien pénible à écouter sans péter les plombs, tellement de mauvaise foi dont il faudrait reprendre chaque mot, mais bien révélatrice du manque de recul de ces journalistes quant à leur pouvoir d'ouvrir la parole à quelques uns ou fermer le clapet à d'autres.

    Ce soir, flash d'info, à moins de deux semaines des élections régionales (France qqe chose, Inter ou Info) " La campagne peine à décoller .. campagne fade .. inaudible " ... mais dites, les mecs, c'est qui qui actionne le bouton du volume?

    Ça me fait aussi penser à Denis Olivennes commentant le livre de Florence Aubenas " un milieu [précaires en province] qu'on ne connaît pas, et qui ne nous connaît pas ". Eh oui, c'est bien le problème!

    Au fait, c'est quoi la mission d'un journaliste?

  • beyondtheeyes 11 février 2010 à 20:34
    Lu sur ACRIMED : « La Faute de M. Peillon », fable (1) : Haro sur le tricheur

  • guy birenbaum 2 février 2010 à 07:27
    Je me suis déjà longuement expliqué là dessus (fouillez), je ne serai jamais un animateur impartial. Pour ça il y a la télévision ;-)

  • Fabien Scatton 1 février 2010 à 12:22
    Je me trompe peut-être mais Guy Birenbaum était-il complètement impartial dans cette histoire ? Cela expliquerait qu'il n'y ait qu'un pro-peillon et 3 anti-peillon...

  • le mot n'est pas la chose 31 janvier 2010 à 17:28
    émission passionnante et très révélatrice. Encore !
    serge halimi :
    Parlant des journalistes de son pays, un syndicaliste américain a observé : "il y a 20 ans, ils déjeunaient avec nous dans des cafés. aujourd'hui, ils dînent avec des industriels."
    En ne rencontrant que des "décideurs", en se dévoyant dans une société de cour et d'argent, en se transformant en machine à propagande de la pensée de marché, le journalisme s'est enfermé dans une classe et dans une caste. Il a perdu des lecteurs et son crédit. Cette situation est le propre d'un système : les codes de déontologie n'y changeront pas grand chose. Mais face à ce que Paul Nizan appelait "les concepts dociles que rangent les caissiers soigneux de la pensée bourgeoise" , la lucidité est une forme de résistance. (Les Nouveaux Chiens de garde - Raisons d'agir)

  • antenne 30 janvier 2010 à 03:05
    2 semaines après on commence à y voir un peu plus clair sur les effets du "coup d'éclat" de Peillon

    "La question de l'indépendance des médias enfin placée au cœur du débat public"

  • jack94 28 janvier 2010 à 23:43
    Sympa comme tout cette Pascale Claque, une ancienne d'@si non ?
    http://www.arretsurimages.net/vite-dit.php#6982

  • achab 28 janvier 2010 à 22:04
    Le papier de Merlino est en fait un point de vue paru dans le Monde.(Le bon lien)

  • achab 28 janvier 2010 à 17:58
    Jacques Merlino ex-rédacteur en chef de France 2 maintenant à la retraite soutient Francois Peillon dans sa démarche dans un billet
    Il faut sauver le soldat Peillon
    Je cite juste un passage
    Qui peut croire, sur ce dernier exemple, que la décision d’organiser cette émission émane de la seule direction de l’information de France 2 ? N’est-il pas clair comme de l’eau de roche qu’il s’agit d’une commande de l’Elysée sur le thème : « Il faut sauver le soldat Besson ! » ?

    « Prouvez-le ! », me dira-t-on, et je ne le pourrai. Mais je prendrai la liberté que m’offre la retraite pour dire qu’en trente deux années de journalisme à France 2, période pendant laquelle j’ai été, reporter, grand reporter, chef de service, présentateur, producteur, rédacteur en chef, bref dans chacune de ces fonctions, j’ai été le témoin direct d’un contrôle du politique sur notre travail. A tel point que je peux affirmer que ce contrôle est totalement intériorisé par les journalistes, qu’ils vivent avec en essayant de le masquer par de l’humour et que tous ceux qui tentent de s’en affranchir vont directement à la case placard ! Qui peut nier que chaque changement politique se traduit dans le service public par un bouleversement total de l’organigramme et du choix des présentateurs ? Les faits sont là, ils sont têtus et il est regrettable qu’aucun travail sérieux de sociologue, ou de politologue, n’ait été fait sur cette question.


    Peillon était par ailleurs l'invité de Pascale Clark ce matin dans l'émission Comme on nous parle. L'animatrice n'avait manifestement pas vraiment envie d'entendre les explications de Peillon. Patricke Duhamel directeur général de France 2 a passé un coup de fil apparemment imprévu pour répondre à Peillon
    à la fin de l'émission en contestant violemment le comptage effectué par Peillon dont @si s'est fait l'écho. A écouter ici.

  • Gérard Blanchard 27 janvier 2010 à 12:02
    Excellente émission, bien maitrisée par Guy Birenbaum.
    Les intevenants sont de qualité.
    Je ne pense pas que V. Peillon ait gagné à se décommander au dernier moment
    dans l'émission d'A. Chabot. Je parie, comme Guillaume, qu'il va baisser dans les sondages
    car il a pêché contre les médias ! bien cordialement. GB

  • DM 26 janvier 2010 à 18:21
    Aucune!

    L'abstention est un moyen d'expression, même si c'est ainsi préparé.

    Ce n'est pas un mensonge par omission, puisqu'il a immédiatement expliqué le pourquoi.
    Ce n'est pas non plus une contre-vérité
    Ce n'est pas une action impliquant le contraire de la vérité
    Monsieur Peillon avait-il l'intention de tromper?

    Me parler de mensonge me fait sursauter, quand on met en parallèle tous les (vrais) mensonges largement diffusés par nos hommes politiques, sans distinction. Sont-ils tous aussi énergiquement mis en exergue par les journalistes présents pour la curée?

    Monsieur Carreyrou parle plutôt de malhonnêteté? C'est bien pire! Quelle est son attitude vis-à-vis de l'impolitesse de certains ..........

    Je n'avais pas particulièrement d'atome crochu pour Monsieur Peillon, mais pour le coup il devient sympathique.

    Dans le débat, mais ce n'était pas le sujet, on aurait pu rebondir facilement lorsqu'on a dit, à juste titre, que Madame Chabot n'avait pas modifié sa façon de faire, car c'est bien ce qu'on peut lui reprocher. Les exemples sont nombreux ........

    Et, au fait, a-t-on des nouvelles sur la cote de popularité de Monsieur Peillon avant et après ce coup d'éclat?

  • Annie Huet Annie 26 janvier 2010 à 17:58
    Ah mais quelle horreur ces journaleux prétentieux, sûrs d'eux ; en l'occurrence cette émission quelque peu insupportable par ces débats haineux a quand même eu le mérite de les montrer tels qu'ils sont. Messieurs regardez vous donc dans une glace et posez vous les bonnes questions. Je ne suis pas pro-Peillon et je ne sais pas moi-même s'il a eu raison, de son point de vue, de boycotter sa majesté Arlette mais enfin, on s'en fout. C'est du menu frotin face aux énormes problèmes posés par ce débat et la société toute entière. Vous vous offusquez, ben nous aussi. Vous êtes minables, corporatistes, enfermés dans vos tours d'ivoire bling-bling où seul l'audimat vous fait frémir. Sortez un peu de vos studios et de vos petits problèmes de lèse-majestés ! Vous verrez dehors on respire, mal, mais on respire. Du coup, je me dis que Peillon a eu raison de ne pas vouloir affronter ce débat truqué. Les dés étaient pipés. Ça c'est sûr.

  • Servando 26 janvier 2010 à 16:50
    Je n'avais pas vu l'émission. Grand moment ! Merci Mr Peillon.
    Le Gavi ! et dire qu'il a monté libé, fallait peut être un 4ème comme à la belote ou alors il avait le pognon.
    Pour le reste beau plateau et beau débat malgré la gavinullité.

  • antony 26 janvier 2010 à 00:36
    Chabot, c' est plutôt hitler que le front populaire, je n' ai aucune envie de me farcir son émission mais j' ai une question :
    a t' elle demandé à le pen de s' excuser comme elle l' a fait pour Besancenot ?

  • jack94 25 janvier 2010 à 19:43
    Quand le Grand Journal de Canal + présente l'interview de Sarkozy sur TF1 en dédiant l'émission à ce sujet, une heure avant qu'elle ait lieu. En face de l'interview, Canal programme le téléfilm britanique Insoupçonnable... Quel mauvais coup !!!

  • jiji1 25 janvier 2010 à 17:58
    Groucho Marx, sort du corps de Philippe Gavi! Trop drôle l'animal. Je vous préviens, si vous ne le réinvitez pas, je me désabonne! Non, Guy ne me tapez ps, c'était pour rire.

  • MICKAEL SAYADA 25 janvier 2010 à 15:46
    pour résumer cette émission
    philippe gavi fait la défense du système ,ce qui a provoquer on va dire de la tension sur le plateau et l'ire des asinautes .
    BRP lui fait du poile a grater anti conformiste
    cette émission n'apporte pas de reponse clair au problème
    perso j'ai été décut par le choix de mr peillion
    le problème c'est que bon il y avait trois contre mr peillon et un pour .
    sa commence a resembler a droit de reponse .

  • jean marie vauchez 25 janvier 2010 à 09:57
    A lire ici


    J'imagine que je ne suis pas le premier a vous le faire passer.

    Cette réponse est intéressante car elle met aussi en lumière le mensonge en lui même.
    Maintenir qu'on va venir durant plusieurs entretiens, jusqu'au bout... cela porte un nom: de la manipulation.

    Alors tous les moyens sont ils bons pour donner un coup de pied dans la fourmilière?
    Faut il rester en deçà d'une ligne jaune? ou dit autrement, quelle éthique respecter?

    Car au fonds c'est bien d'éthique dont il est question.

  • david souchon 24 janvier 2010 à 20:05
    Je n'ai pas lu tous les messages de ce forum mais je ne peux m'empêcher de réagir malgré le risque de redire des propos déjà énoncés :
    comme nombre d'entre vous je suis écoeuré après le visionnage de cette émission , comment peut on être journaliste et être incapable à ce point d'avoir un regard critique sur sa profession ? Cette démonstration du corporatisme est à la limite de la caricature...
    Dommage que le déséquilibre au sein des invités ai rendu cette émission presque insupportable, il aurait été intéressant d'avoir la réaction d'un journaliste étranger sur le plateau face à cette "meute" de vieux brisquards du journalisme politique à la française.


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