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Franck M.
Réponse d'@SI :
Bonjour,
Nous avons normalement un accord avec Dailymotion France : un hébergement gratuit et aucune publicité chez nous. Le problème, c'est que cet accord ne concerne que la France. Dans les autres pays, il y a donc de la publicité avant (voire pendant) les vidéos.
Vous pouvez y échapper en téléchargeant les vidéos qui sont téléchargeables.
Une dernière précision, importante : nous ne touchons rien sur ces publicités. Ce sont celles de Dailymotion.
Bien cordialement,
Mireille Campourcy
Ouf ;-) !! -
Franck M.
Alors que je suis à l'hotel dans la charmante ville de Parme, il me prend la délicieuse envie de regarder la dernière émission de "dans le texte".... et là, horreur, stupéfaction, désarroi................
Voilà que toutes les vidéos dailymotion sont introduites d'une publicité pour ford ou pour une pizza !!! Et j'ai les imprime écran M. Schneidermann, les preuves sont avec moi :) !!! Que se passe-t-il donc ? @SI veut-il faire exploser le chiffre d'affaire 2012 avec cette compromission dailymotion ? -
GIGI
ce directeur de journal dit qu'en France, le syndicat du livre et le système de distribution générent trop de coûts;
j'aurais aimé qu'une question soit posée: que propose-t-il d'autre ?
les hommes et les femmes du moment sont très bien mais après "le moment" il peut leur manquer
quelque chose;
contrairement à Daniel Schneidermann je ne crois pas que l'on peut tout dire; et c'est ce qui pose problème où
commencer et où s'arrêter ... chouette un ASI la dessus;
Eric Fottorino était dans une situation délicate car il avait 2 responsabilités : directeur du monde et je ne sais plus;
déjà une responsabilité c'est dur mais 2 ... et elles peuvent être incompatibles c'est casse gueule;
en + en se tapant des types comme Sarkosy et Minc;
il ne devrait quand même pas avoir un respect aussi grand pour la fonction: quand un président de la république
n'a pas de respect pour la fonction qu'il a, je ne vois pas pourquoi on devrait le respecter; au contraire, pour défendre
cette fonction de présidence de la république, il eût fallu recadrer le président + tôt, + et systèmatiquement;
l'histoire de l'aide du FSI pour que Lagardère puisse investir dans "le Monde" est quand même instructive:
ce FSI a sans doute été un instrument de fric pour les copains alors que son objectif est un fonds pour tous les
français, en particulier les TPE et PME !
oui, la réalité est complexe, c'est pour cela qu'il y a 10 candidats à la présidentielle, mr Fottorino ! -
zazufi
et à la question "à quoi servent les candidatures inutiles"? à rien, tiens pardi! si à quelque chose de bien jouissif: le plaisir d'entendre pendant le journal de France Inter le 7/9 les propos de LO avec Nathalie Artaud ; ce qui change de la tête à toto ou de fottorino -
zazufi
c'est "amusant" ces gens, formidables, qui travaillent 14h/15h par jour du Lundi au Samedi et les week-end interrompus (il aurait du dire les dimanches interrompus alors...enfin) et les vacances interrompues, qui trouvent encore le temps d'écrire... plus le temps de transport, de manger, de dormir, de se laver, de se choisir des (chouettes) vêtements, de lire, d'aller faire ses courses, le ménage, les RV chez le dentiste ou l'ophtalmo, le repassage, euh ah ben non lui il fait pas ça ; parce que d'autres gens avec leur boulot et tout le tsointsoin, ben écrire ça rentre pas bien dans les cases et des fois en rentrant du turbin, il y a la fatigue qui se penche sur la ligne, emporte les mots... -
Irfan
Assez long cet entretien, avec énormément de passages moins intéressants pour le public. Quand vous rencontrez un ancien collègue pour parler de beaucoup de choses, Capitaine, tutoyez le et n'invitez pas de caméraman...
Plusieurs points qu'il évoque auraient pourtant été intéressants :
- sur la presse populaire de qualité, sur les "élites", etc., vous l'avez beaucoup laissé dire. Je pense qu'il y avait des exemples, et des exemples qu'il connait très bien (Le Diplo, Courrier International par exemple, intéressants ne serait-ce que pour parler de l'ensemble de la "marque" du Monde, du groupe), qui auraient pu lui être opposés.
- il aurait pu être bon à ce moment, ou lors de la discussion à propos de Mediapart, de mentionner les articulations entre les différents médias, leurs points de rencontre et de friction ; le poids pesé par les autres grands éditorialistes ou patrons dans les crises du Monde...
- le passage sur XXI et 6 mois : là, il y avait moyen de développer beaucoup, autour de ces réussites qui restent encore des tirages faibles, mais qui survivent au-delà de ce qu'on avait craint dans un premier temps, avec des enquêtes, du contenu très diversifié, et sans aucune publicité donc loin des pressions qui ont fait céder en permanence Fottorino (qui semble un homme qui a sans doute su se dévouer entièrement au Monde comme il le revendique, mais qui fait peu de cas du rôle civique de la presse, et de son journal en particulier, en France).
- le rôle des "berbères" : là, il me semble à côté. Déjà, dire "Imazighen" eut été plus poli et juste ; ensuite dire que les Berbères n'ont fait qu'être écrasé depuis des siècles et se libèrent maintenant, c'est stupide, un manque flagrant d'historicité ou de connaissance sociologique, en particulier des évolutions depuis les années 1990 (et de réflexion, avant, sur la question coloniale et postcoloniale).
- les critiques "non entendues" sur sa gestion, vous auriez pu les lui faire entendre. L'interaction web/papier a souvent été décriée sur bien des points ; quant à l'ouverture du capital... là il ment ou vit avec un casque anti-bruit.
De manière générale j'ai un souci avec votre prise en main de "Dans le texte" à la place de Judith Bernard : Judith fait une analyse littéraire et invite des auteurs en général extérieurs au monde des médias ; vous ne faites que parler des médias parisiens, et de temps en temps parlez un peu du livre. C'est assez agaçant, impression de perdre du temps et qu'une telle émission, si vous vouliez parler avec Fottorino, pourrait être structurée autrement et trouver un autre prétexte. -
Solisiter
Rien que pour le passage sur les élites, je suis contente d'avoir quitter la France !
Etre la meilleur, en France ça veut juste dire être la meilleur dans le système et rien d'autre. -
Gérard Blanchard
A Daniel Schneidermann,
Au cours de la discussion Eric Fottorino vous apprend qu'il a eu des conversation avec des avocats
dénonçant l'évasion fiscale en Suisse d'hommes politiques français.
et vous demandiez pourquoi n'avoir pas fait d'enquête et de publication dessus.
Mais vous, Daniel Schneidermann, êtes au courant de choses qui se disent sur Internet concernant les circonsatnces de la Mort de Richard DESCOING, directeur de Sciences Po, dont les moeurs connues ne sont pas "catholiques".
Pourquoi vous-mêmes ne dites rien ?
Gérard -
galanga
J'ai bien apprécié cette émission. Je suis en désaccord concernant le jugement très négatif envers M. Fottorino dans les quelques messages précédents, et je plussoie au message de felix d.
Bien sûr, dans les propos de M. Fottorino apparait une description du journalisme et de la relation avec les pouvoirs politiques que l'on peut largement regretter.
Mais c'est une description sincère. Et apparait dans ses propos, certes souvent en creux, une humanité personnelle face à un système social qui, non content de contraindre la liberté de la presse, l'empêche par moments d'être libre et d'être lui-même.
M. Fottorino n'a pas LA solution, mais il a la sincérite du diagnostic et de la recherche sincère d'une solution.
Par ailleurs, il y a dans cet entretien bien mené par Daniel Schneidermann des petites phrases, qui sans doute passent facilement inaperçues, mais qui sont de très intéressantes pistes de réflexion ; en vrac, de ce que je me souviens :
- contre le "journalisme de PV".
- Donner un minimum d'épaisseur et de contexte à l'information qu'on donne.
- l'importance d'une "doctrine" économique qui pose problème, et la nécessité, pour le pluralisme, d'être contradictoire dans la définition de cette doctrine.
- l'oeuf et la poule entre d'une part l'audience qui donne de l'indépendance et de la confiance des lecteurs qui est basée sur des preuves tangibles d'indépendance de la part du média.
- la définition des élites, qui n'est pas si loin de celle de... Mélenchon : "c'est ceux qui sont les meilleurs dans leur domaine" ; même si je n'ai pas bien compris, du fait cette fois d'interruptions trop nombreuses de DS, si c'est "soit économique soit intellectuel" ou bien "à la fois économique et intellectuel".
- le problème de la "confiance des lecteurs", très bien mise en exergue par DS, et qui pour moi est à relier de ce que disait M. Fottorino au début (11:40 env) : " la marque d'un journal, c'est son image de marque. si à un moment donné on peut tirer un fil, vous êtes relié à ça, quelque soit l'honnêteté de votre rédaction, [...] il y aura toujours cette suspicion."
Sur ce dernier point, crucial, cela correspond aussi au problème qui me semble tout autant crucial dans la presse et les médias, c'est celui de l'introduction de l'avis personnel du rédacteur (le/la journaliste) dans le texte d'un article de faits et de fond, quand c'est fait intimement (au sens culinaire de "mélangé soigneusement"), non clairement exprimée (sans guillemets, sans périphrase de précaution, sans que soit clair "d'où on parle", etc.).
L'avis personnel peut aller d'une idéologie enfermant l'univers des possibles, dont certes le journaliste n'aurait pas forcément conscience (mais il doit travailler sur lui), à une haine personnelle contre tel ou tel protagoniste.
Mais la conséquence est exactement la même qu'avec les liens avec le pouvoir : à partir du moment où un lecteur comprends qu'il lui a été présenté des opinions personnelles non étayées comme des faits constatés ou analysés logiquement, le doute sur TOUT le journal/média s'installe, et c'en est fini de sa confiance. La suspicion est désormais là, et à chaque petite preuve supplémentaire d'injection d'avis personnel dans un article de "reportage", de "faits", la colère du lecteur augmente, de se voir ainsi être pris pour une andouille inapte à analyser d'elle même, un bête oisillon auquel on donnerait la becquée prédigérée, conclusions comprises.
Personne ne payera jamais longtemps si c'est pour se sentir floué, manipulé. Pas maso.
Ce que veulent les lecteurs/trices, c'est d'abord être respectés en tant qu'adultes responsables et conscients. -
seka
A la question de DS: " que faire pour une presse rentable?", j'ai envie de dire que compte tenu du lieu où la question est posée, c'est un peu une évidence non? Je paye pour accéder à @si parce que on ne m'y sert pas qu'une soupasse fadasse. Je ne suis pas d'accord sur tout, et tant mieux! mais au moins j'y apprends des choses. Acheter un canard pour y lire un truc à peine plus fourni qu'une dépèche AFP ou bien de l'ergotage digne d'un dîner en ville avec la petite leçon de morale qui va bien (qu'elle soit de gauche ou de droite), où l'essentiel, le dessous des cartes, le décryptage est absent où bien tellement planqué sous une couche de prétendue neutralité que l'ennui me submerge, et bien pfff. Pas envie.
A force de vouloir ratisser large, large avec une logique de parts de marché comme si l'on vendait du yoghurt, pas étonnant que la presse se meurt! Que la presse développe l'esprit critique du lecteur voilà une idée. A contrario, je me demande où est le loup dans ce que je lis et c'est bien entendu confirmé par les propos de M. Fottorino qui garde les dessous des cartes pour son job d'après son éviction du Monde.... CQFD de ce qu'il ne faut pas faire!
Et quelle est cette étrange idée selon laquelle il faudrait écrire ce que le lecteur a envie de lire ou et éviter de divulguer des informations essentielles (genre: comment l'ex patron du monde et un membre du conseil de surveillance du journal coachent le futur président...)??? De qui se moque-t-on? Comment un journaliste depuis plus de 30 ans peut-il encore ce poser ce genre de question? Relater les faits me semble être une des premières missions du journaliste....je dois me tromper.... -
benoit mathieu
A écouter et visionner l'interwier de Daniel Schneiderman avec Fottorino, et notamment concernant le passage sur le fait qu'il fait des révélations tardives sur les rencontres avec Sarkozy, je me suis dit : "tiens, Schneiderman va surement faire un bon papier, au moins un bon "vite dit" sur l'initiative de Anne Lauvergeon" qui revient quasiment à chaud sur des jeux d'influence, des pressions et autres.
Et finalement : déception!! Quasiment rien!!! Un "vite dit" peu clair, et basta ...
Est-ce parce que ce n'est pas une journaliste et qu'elle n'est pas légitime?
Est-ce parce que, comme beaucoup de journalistes l'ont dit, elle a des perspectives politiques?
Je trouve en tout cas que le parallèle entre les ouvrages de Lauvergeon et Fottorino est intéressant. -
laojia35
L'emission est assez pénible et désagréable. On sent la condescendance et la frustration de Daniel Schneidermann. Et la dernière pique "moi j'aurai été votre éditeur, j'aurai appelé ça une erreur de casting", dite avec onctuosité et sourire malveillant me semble tout simplement être une marque de grossièreté. Surtout on apprend quand même pas grand chose de neuf. Ah bon, Sarko (demain Hollande ?) tient les éditorialistes dans sa main ? Ah bon, les financeurs peuvent demander des contreparties ? J'aurais mieux fait de rester devant NCIS ... -
AZERT Y
PB video ! -
Max Médio
A l'attention de Daniel Schneidermann
L’affaire UBS rebondit en France
évasion fiscale • UBS France a servi de couverture à une véritable industrie de la gestion de fortune offshore, accuse Antoine Peillon. Le prélude à une nouvelle tempête politico-judiciaire?
http://www.laliberte.ch/info/l-affaire-ubs-rebondit-en-france
Les hommes du président Sarkozy piégés par leurs comptes suisses
France
—
Le président est cerné par les juges qui remontent peu à peu le fil des «affaires». Les confidences de trois hommes menacent une présidence qui ne tient plus qu’à un fil: la réélection et donc l’immunité de Nicolas Sarkozy.
http://www.lematin.ch/monde/hommes-president-sarkozy-pieges-comptes-suisses/story/10041253
La presse française selon Google :
Valerie de Senneville et Caroline Lechantre
Evasion fiscale: UBS France visé par plusieurs enquêtes
Les ennuis semblent décidément s'accumuler pour UBS. La filiale française de la banque de Zurich a reçu la semaine dernière une lettre de mise en demeure de l'Autorité de contrôle prudentiel (ACP), rapporte « Le Nouvel observateur » en date du 22 mars. Cette lettre est l'aboutissement des investigations menées depuis deux ans sur les actes et les procédures de contrôle de la banque. Plus précisément, les enquêteurs ont dans leur ligne de mire le démarchage de clients en France par des commerciaux de la banque venus de Suisse.
Le travail de ses inspecteurs avait d'ores et déjà conduit l'ACP à transmettre le dossier au Parquet. Celui-ci a ouvert dès mars 2011 une enquête préliminaire. Selon une source judiciaire, l'ACP vient en outre d'envoyer au Parquet son rapport définitif sur le contrôle interne de la gestion privée d'UBS en France. Il apporterait des éléments embarrassants pour l'établissement. Le risque pénal n'est pas nul. Deux délits peuvent être visés : le démarchage financier sans agrément et/ou la complicité de fraude fiscale et blanchiment.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0201963353915-evasion-fiscale-ubs-france-vise-par-plusieurs-enquetes-304524.php
Comment la banque suisse UBS trompe le fisc en France !
Des témoignages et documents font état de pratiques mystérieuses chez UBS. Pour tromper le fisc ?
Les activités d’UBS commencent à intriguer la police, les autorités bancaires, mais aussi les prud’hommes. Les juges du travail ont en effet été saisis par d’anciens salariés de la banque. Ceux-ci estiment avoir été licenciés pour s’être montrés trop curieux sur les liens entre la maison-mère suisse et sa filiale française.
Silence sur toute la ligne : ni UBS, ni ces anciens salariés n’ont souhaité nous répondre. Eco89 a néanmoins pu recueillir des témoignages et des documents étonnants, s’ajoutant à ceux publiés en 2010 par Marianne et par Charlie Hebdo. Les témoins interrogés, anciens ou actuels salariés d’UBS, ont souhaité rester anonymes.
Selon eux, UBS aurait mis en place entre 2002 et 2007 un système de double comptabilité pour dissimuler des comptes suisses non-déclarés. Et des pratiques inspirées de James Bond pour échapper aux douaniers et aux inspecteurs du fisc. Des conseillers financiers suisses auraient en effet eux-mêmes démarché des « prospects » (des clients potentiels) et fait des affaires sur le territoire français. Or, la législation l’interdit formellement : toutes les opérations auraient dû passer par des conseillers français. Et être déclarées au fisc.
Des consignes pour ne pas se faire prendre
http://www.bsavenir.fr/2012/03/26/comment-la-banque-suisse-ubs-trompe-le-fisc-en-france/ -
poisson
Je m'apprête à écouter l'émission. A priori je trouve qu'appeler son livre "Mon tour du Monde", c'est comme si @si avait mis Éric Fottorinolaringologiste dans le titre de l'émission. -
Myfall
Intéressant le passage sur l'idée de Fottorino selon laquelle le monde est "le journal des élites". Notamment au sens économique. ça explique sans doute pourquoi les pages du monde (comme de beaucoup de journaux) sont farcies de pub pour des biens dont je me demande qui peut se les payer. Genre une voiture à 30 000€.
Une étude a démontré que les journalistes sous-estiment énormément la part que composent les ouvriers dans leur lectorat. Avec un rapport de 1 à 10. Le système médiatique développe une vision élitiste de la société, comme le système éducatif d'ailleurs. Visiblement, Fottorino ne fait pas exception! -
Romano C.
Sarkozy n'a pas compris que si Clinton et Blair « se bourrent » en donnant des conférences, c'est parce qu'ils ont remporté toutes les élections auxquelles ils ont participé. Ils ont une image de gagnant. Sarkozy va perdre la prochaine élection et sa « valeur marchande » va en prendre un coup. Les organisateurs de colloques ne vont pas se bousculer pour le faire venir. Il pourra toujours se consoler en se disant qu'il s'est bien bourré à l'Élysée en augmentant fortement son salaire...
On voit Colombani d'une autre façon après avoir regardé l'émission. Un super conseiller de Sarkozy candidat... Et ce type dirigeait le « fleuron » de la presse française? Je ne parle pas de Minc... Il faudrait faire une BD sur lui... à la fois comique et sérieuse (bien documentée). Un sujet en or. -
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grandizer
une critique de la presse d'information politique et économique papier en France, trop chère, d’où tout ce qui en découle, que voulais qu'il fasse ce Fottorino, à part être d'accord avec tout le monde qui peut le renfloué, il avait pas le choix, et je pense que la même chose arrivera à la presse informatique,
pauvre Fottorino, mais pourquoi à t'il accepter ce poste, il n'a pas compris qu'ont l'as pris à cette époque pour un "mou", et là, il essaie de se dédouaner, désoler faut qu'il accepte son rôle, et puis remettre en cause le pouvoir et les médias, ben, ça fais un bouquin de plus, sans faire avancer le schmilblick, il aurait dû faire péter la cocotte quand il le pouvait, mais la question est, le pouvait t'il ?, -
Germain RITAL
L'art est la distance que le temps donne à la souffrance
Sans être pour l'heure en mesure de le vérifier je ne pense pas me tromper en disant que cette remarque se trouve dans l'un des Carnets de Camus. Il est, comme çà, des pensées qui se gravent en vous... En l'occurrence pour marquer la différence, non seulement entre journaliste et romancier, mais entre écrivain et publicateur littéraire, notamment "autobiographe". Cela dit sans connaître rien des publications littéraires d'Éric Fottorino, et sans éprouver la nécessité de m'en préoccuper. À titre de document cependant son Mon tour du Monde n'apparaît pas sans intérêt. Émission instructive donc: par ce qu'elle nous apprend sur l'état de la presse actuellement, et, surtout, en ce qu'elle permet de "redimensionner" (comme on le dirait depuis l'italien) l'importance de ses "maîtres-servants"...