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pums974
La vidéo n'est plus disponible au téléchargement.
C'est normal ? -
Lafargue
Après 2 ans à cracher dans la soupe Usul à enfin décidé de chier dedans :
Featurin' Sergee Dassaut -
Guillaume
Dans la chronique d'Usul de cette semaine, une jolie parodie d'un des invités de l'émission d'@si...
http://www.jeuxvideo.com/chroniques-video/00000345/3615-usul-l-independance-00112470.htm -
Pascal Dupont
J'ai toujours adoré les prestations de Sébastien Bohler, par contre, je les analysais avec le même prisme que les interventions de Didier Porte, le forme emporte sur le fond, c'est fait pour rigoler.
C'est rigolo, c'est décalé, mais bon, ça ne vient pas nous apprendre la vie ...
Car perso, je suis un neuroscience-sceptique et le coup des arguments d'autorités avec des études inconnues, "d'illustres" chercheurs neuroscientifiques inconnus où seule la conclusion est donnée et jamais la méthode, le panel, les sujets, les conditions réelles, etc. Bref, ça rend de toute façon impossible toute analyse critique de ces resultats. Donc bon, je ne suis pas un pigeon qu'on gave de pain...
Néanmoins, j'ai remarqué que depuis deux émissions, les "chroniques" de Sébastien Bohler étaient sujettes à débat (grâce aux invités). Avant, il faisait son petit show, le petit rictus en coin, ça me plaisait bien, ça plaisait à tous et ça n'allait pas plus loin. De toute façon, personne n'avait jamais entendu parler des chercheurs cités (fussent-ils des effrayants cognitifs dogmatiques que nous l'ignorions jusqu' à l'os) et personne n'avait non plus entendu parler de ces recherches (fussent-elles lourdement critiquées, refutées, qu'à nouveau nous l'ignorions).
Bref, tout allait bien pour lui et il gardait son petit rictus si agréable.
Depuis quelques émissions, le pauvre Sebastien Bohler est tombé de bien haut ! D'horribles pourfendeurs des neurosciences et autres cognitiveries, s'en sont pris à son petit royaume jusque-là, inviolés. Avec Lordon, Sebastien Bohler s'est bouffé la chemise. Lordon l'universitaire, il est bougrement calé sur des tas de sujets et il n'a pas laissé passer la "petite" chronique de neuroscience. Faut dire, pour un économiste, il tâte de la sociologie et la sociologie, elle n'aime pas la neuroscience et la biologisation des rapports humains. Logique.
Là, Sebastien Bohler s'est fait à nouveau surprendre, sous le rédacteur de Canard PC, se cachait un doctorant en sociologie. (Pour sa défense, c'est que ça sautait pas forcément aux yeux.) Le résultat a été le même, Sebastien s'est fait envoyer bouler sa chronique.
Sauf que là, Bohler s'est vexé ! Il a lâché son petit rictus et il boudait. Puis, il s'est perdu dans des "mais enfin ...tout le monde sait ça", "c'est quand même une évidence" ... Qui malheureusement pour lui, ne sont PAS des arguments scientifiques.
En voyant ces deux "affrontements",j'ai compris quelque chose... C'est que le brave chroniqueur Sebastien Bohler, qui nous amusait tous, lorsque sans prétention, il ridiculisait les lofteurs ou la dernière émission de TV absurde, hors propos du sujet de l'émission, a voulu insidieusement, intervenir dans les débats pour y établir "SES" vérités. C'est que mine de rien, on donnait la parole, d'émissions en émissions, à un neuroscientifique, sans contradicteur.
Il a franchi une ligne jaune, je pense, en voulant démontrer que Image violente dans les jeux vidéos produisait de la violence réelle ! Pas parcequ'il a forcément tort, il a peut-être en partie raison, mais en partie seulement et cette nuance là, le bon sociologue de Canard PC est venu lui rappeler, comme Lordon dans une émission précédente, lorsque Bohler venait nous expliquer que l'anxiété des citoyens étaient purement biologique.
bref, sociologues 2 - Bolher 0
Il serait bon de demander plus de rigueur dans les chroniques de ce monsieur, surtout lorsqu'il vient plomber les débats d'arguments d'autorités définitifs (que personne ne saurait être en mesure de contredire. )
Il serait amusant aussi, dans une prochaine emission, de le voir s'autoanalyser le comportement cognitif, si j'ose dire, car sa réaction était dingue... Quelle partie du cerveau a été touché ? La partie qui gère l'égo ? Celle qui détermine les blasphèmes ? La foi ? La partie qui gère l'humiliation ? La partie molle ? La partie ventrue ? -
Rhendel
Deux liens, rapidement, qui font suite à l'émission :
-un article d'Ivan le Fou, de Canard PC, dans lequel il reprend un peu son argumentaire concernant la presse vidéo-ludique : http://cpc.x86.fr/forums/threads/74092-Non-la-presse-de-jeu-vid%C3%A9o-n-est-pas-morte
-un récent et percutant post d'Usul sur sa page Facebook, prompt à faire vibrer la corde sensible de l'@sinaute : http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=483741651676721&id=153938251323731
Au final, l'émission est intéressante où elle expose bien le déclin d'une vieille école de la presse, rongée par ses contradictions et ses compromissions. Mais le tableau n'est pas si noir : au contraire, notamment dans le domaine du jeu vidéo, les espaces propices à une lecture complexe et distanciée se mutliplient : Canard PC est une passerelle depuis 10 ans, mais les travaux d'Usul, de Merlanfrit.fr ou même du philosophe Mathieu Triclot prouvent qu'une nouvelle façon de vivre la passion est possible. Et ce qui est vrai dans ce domaine l'est aussi ailleurs : n'est-ce pas notamment ce qui nous fait nous abonner à @si ? -
dddemontreuil
Bon... Emission dont le thème est super interessant mais pas super bien préparée, c'est dommage. Y a pas des gamer dans la rédac d@si ? Le JV ça fait pas sérieux comme ça mais comme il a été dit, ça brasse plus de blé que l'industrie du cinéma. Le paradoxe de ce milieu, c'est qu'il est tout jeune et tout récent et assez petit mais que le buzinness autour est juste énorme. merci en tout cas de proposer des sujets qui sortent des sentiers battus. -
lanaclem
Malgré des tensions évidentes entre certains des intervenants, le débat a été courtois. Très rafraichissant! -
Theoven
Je frissonne quand j'entends ces gens parler du "travail de journaliste" qu'ils font.
Voilà bien des années que je n'ai plus d'illusions sur la décadence de ce métier, mais je me surprend tout de même à m'étonner que la commission de la carte professionnelle continue à délivrer cette habilitation professionnelle à des marchands de tapis (quand on sait à quel point il est difficile pour beaucoup de "vrais" journalistes isolés d'y accéder).
Comme il a été dit en fin de débat, la fait que ces "professionnels" soient de bonne foi ne change rien à la réalité des conflits d'intérêts dans lesquels ils se vautrent complaisamment. Il a également été souligné qu'une partie seulement de ces geeks possèdent la carte. C'est donc que l'on peut faire ce travail tout à fait correctement sans être "officiellement" journaliste.
Ma proposition est donc la suivante : retirons la carte à tous ces critiques de jeux vidéo, de cinéma, de voitures, etc. qui ne font en aucune manière un travail compatible avec une quelconque éthique. Ils ont toute leur place, mais dans la catégorie "commerciaux". Outre le fait que ce serait plus clair pour tout le monde, cela permettrait (je l'espère) que l'on arrête cette descente aux enfers d'une profession dont la cote de confiance est au plus mal. -
rmara
Le cirque politico médiatique dont vous parlez se décline exactement sur le même mode spectaculaire marchand que les "sujets de société" auxquels je faisais allusion, et ne présente en effet guère plus d'intérêt. N'y voyez donc aucun mépris pour le petit neveu ou pour la tata Jacqueline, ce n'étaient pas eux qui étaient visés, mais bien ce modus operandi de la société spectaculaire marchande à laquelle l'émission de cette semaine me semble faire bien trop de concession ... Le nombre ne sanctifie pas plus qu'il ne disqualifie, pas plus qu'il ne fallait y voir une saillie contre les médias dit populaires (qui n'ont d'ailleurs rien de populaire au sens premier du terme), là n'était pas le propos ... -
rmara
Une série d'émissions sur les séries télé, une émission sur les magazines de jeux vidéos
Bientôt une émission sur la mode, bientôt une émission sur les émissions de variétés ...
Bientôt une émission sur les émissions de cuisine sur la 6 ...
Tout cela devient bien creux et vain ... -
rmara
C'est une blague cette émission ? Tout cela n'a strictement aucun intérêt !
Qu'est ce qui vous prend à ASI ? Vous avez voulu faire plaisir au petit dernier qui a 11 ans et est fan de la Wii ?
Et après vous allez nous faire quoi là ?
Faire plaisir à tante Jacqueline avec une émission pour savoir si les conseils cosmétiques de Marie-Claire c'est aussi du vrai journalisme, ou si les éditorialistes reçoivent des pots de crèmes gratuits et si ça les influences dans leurs conseils ?
Ou alors vous avez décidé de nous prendre pour des cons à la veille de al fête de la consommation,histoire de rester dans l'ambiance générale ?
Déjà que ce genre de remplissage est insupportable au journal de 20 heures, que ça prend du temps sur l'information politique, et sur la vraie critique de l'info, sur la découverte culturelle, mais là ! Votre émission de la semaine sur le sujet ?!
C'est ridicule, de l'excipient, vous vous trompez de public, on n'est pas au 20h de tf1 ou France 2 là !
indigent ! -
Tiste
Julien Chièze (JC) est un "benêt". Cette expression, ou plutôt le mot "benêt", je l'emprunte au dernier Edito de Canard PC (3 décembre 2012), dont un représentant était présent sur le plateau d'@si. Pourquoi cette affirmation ? Toujours pour reprendre Canard PC, on peut le voir comme un "candide", ou plutôt un "couillon [...] qui [veut] continuer à bosser dans un milieu qu'[il aime]".
Je ne doute pas que JC soit un passionné des jeux vidéo, ou encore qu'il mène son activité dans le domaine en toute bonne foi. Mais il a montré dans l'émission a quel point le jeu vidéo est encore immature en matière de journalisme, et en quoi le journalisme (n'ayons pas peur des mots, et surtout pas celui là) a tout à fait sa place dans ce nouveau média. Je m'explique.
Être un passionné, il n'y a aucun mal à ça. Internet en regorge, et révèle ce qu'il y a de pire, et surtout de meilleur parmi eux (en fonction de la manière dont on considère le verre à moitié vide ou à moitié plein). Le problème, lorsque l'on fait du journalisme, ou même tout autre métier qui se veut un minimum objectif et rigoureux, est que l'enthousiasme ne doit pas empiéter sur la qualité du travail. Un scientifique qui mène des recherches ne va certainement pas prendre pour argent comptant n'importe quelle affirmation ou observation sous prétexte quelle lui plaît. Son travail consiste à porter un regard critique et rigoureux des faits. Il ne doit pas orienter ses résultats en fonction de ce qu'il veut trouver, et biaiser, volontairement ou (et surtout) involontairement, les conclusions.
C'est dans la catégorie des "erreurs/omissions involontaires" qu'il faut chercher le problème de l'indépendance du chercheur, et par extension du journaliste. Le risque, dans le cas du chercheur, est de ne pas aller au-delà du résultat qui l'intéresse, sans prendre de recul, et donc de remarquer les éléments contradictoires. Il y a également un risque lorsque, dans le cadre de son travail, il entretient des relations régulières (même cordiales) avec une entreprise privé avec laquelle il y a clairement un conflit d'intérêt. Dans le cas du journaliste (au sens large), le problème est similaire. Si ce dernier ne cherche qu'à assouvir sa passion, sans regard critique, sans recul, il risque de se perdre, et de perdre la confiance de ses lecteurs. Comment croire un journaliste qui, par passion, est prêt à fermer les yeux, à accepter (sans sans rendre compte) n'importe quel jeu d'influence.
Dans le cas de JC, sa participation a des événements pour des éditeurs influents, ou la pratique de tests de jeux vidéo par ses rédacteurs dans les conditions des éditeurs, sont évidemment des éléments plus que critiquables. La proximité et l'interdépendance (par les recettes publicitaires) qu'il y a entre lui/ses collaborateurs et les différents acteurs importants du milieu du jeu vidéo crée automatiquement des liens, parfois flous, qui mènent clairement à des jeux d'influence.
Prenons maintenant l'exemple, plus proche, du métier (reconnu comme très sérieux) du journaliste d'investigation. Prenons en un qui, en plus, est passionné par son métier et qui aime par dessus tout sortir des "scoops".
Premier point : pourra t-il être pris au sérieux si on considère que ce "journaliste" agit essentiellement par passion, mais ne suis aucun code éthique. Qu'est-ce qui empêchera cette personne de préférer sortir un scoop alors qu'il n'aura pas fait correctement son travail d'investigation, son travail de journaliste (vérifier la qualités de ses sources, de ses informations, qu'il aura recoupé tous les éléments en sa possession...).
Second point : Comment pourra on avoir confiance en lui s'il montre une proximité certaine (et peut être malsaine) avec le milieu qu'il étudie ? Comment croire, par exemple, un journaliste d'investigation qui prend régulièrement sont déjeuné en compagnie de tel ministre ou telle personnalité. Bien sûr, il pourra arguer, en toute bonne foi, que cela n'affecte pas sont travail, qu'il rencontre ces personnes dans des occasions toutes autres que son travail. Mais le lecteur pourra t-il avoir seulement confiance en lui ? Dans une telle situation, et un tel milieu journalistique, il est évident que non. Alors, pourquoi devrait-il en être autrement dans le milieu du jeux vidéo ?
J'avoue avoir été particulièrement déçu par l'émission d'@si au premier abord. J'aurais aimé en apprendre plus sur le métier de journaliste dans le milieu du jeu vidéo, et les difficultés rencontrés dues la dépendance et la proximité des médias avec les éditeurs. Il est clair que cette pression est grande. Cela est relativement palpable dans l'émission, et je trouve dommage que certains intervenants n'ai pas osé (je suppose) en parler plus ouvertement. On sent bien que Poischich (Gaël), de Gamekult, hésite à donner des noms, des exemples. Au final, la parole est accaparée par JC, et le sujet n'est abordée qu'en surface.
Mais finalement, l'émission a été très révélatrice du problème principal de la presse spécialisée, ou même de la presse en général. Les conflits d'intérêts sont souvent présents, et nécessitent la présence d'une éthique établie au sein de la profession. C'est certainement cet élément là qui crée la distinction entre le "simple" blogeur et le journaliste aguerrit. Dans ce sens, la réponse à la question posée dans la deuxième partie de l'émission prend forme. Le journaliste doit agir avec précaution dans son métier, prendre du recul et être conscient des multiples influences indirectes auxquelles il fait face, que ce soit celle des éditeurs, ou même celle de ses lecteurs (pour ce dernier aspect, là encore, je vous renvoie à l'edito de canard PC du 3 décembre).
Dans ce mélange complexe, la passion ne doit pas aveugler le journaliste. Elle peut être son moteur, mais pas son oeillère. Le journaliste ne doit pas être prêt à sacrifier son éthique pour l'assouvir. JC, par l'exemple qu'il a montré sur le plateau d'@si montre à quoi cela peut mener. Effectivement, ce n'est pas un journaliste. Il a bien raison de le souligner. Mais la conclusion que l'on peut tirer de cette émission est que le journalisme a sa place, quel que soit le média auquel il s'intéresse. Mais, pour se considérer comme journaliste, ce dernier doit d'abord se définir comme tel, et se comporter comme tel. Devant les défis qu'il devra relever pour exercer sont métier, il lui faudra se construire, et bâtir sa relation de confiance avec son public. Médiapart l'a montré dans un autre registre. Peut être les jeux vidéo un jour... -
YoannG
Autant je trouve assez fantastique de voir les jeux vidéo dans une émission d'asi, autant je trouve l'angle choisi extrêmement pauvre (même si répondant à un sujet d'actu).
J'aurai trouvé plus opportun de parler plus généralement du traitement médiatique des jeux vidéo, qui fait passer encore et toujours ses usagers pour des mangeurs d'enfants au QI négatif, type confessions intimes.
Et de constater que jamais une chaîne de grande écoute n'a accordé de sujet montrant à quel point s'est diversifié le paysage des jeux, ni ô combien certains de ceux-ci sont devenus des oeuvres d'art (et de science d'ailleurs, quand on constate que les meilleures universités ont maintenant un pôle game design).
Etant moi-même concepteur (junior), je suis navré de constater que ce 9ème art (j'ai perdu le compte) n'a pas la place qu'il mérite. Et que lorsqu'on en parle, c'est pour en faire des analyses que j'aurai la politesse de qualifier de superficielles.
D'ailleurs sur ce sujet, Usul aurait pu amener des angles vraiment intéressants, lui qui essaye de décortiquer ce monde en essayant de nous donner des perspectives plus globales et fouillées.
Bref, je vous invite à créer au plus vite un nouveau type d'émission dans la lignée de d@ans le texte, @ux sources ou @u prochain épisode. -
red2
Avec les multiples crises mondialisées que nous avons sur le dos et la presse généraliste qui nous assène que la vindicte néolibérale, vous n’avez pas trouvé de sujet plus intéressant sur ASI ? Sur le 12 dernières émissions (asi + dans le texte + le machin sur les séries TV), j’ai écouté uniquement celle avec Emmanuel Todd; je veux bien qu’il faut varié les sujets et que la culture il en faut, mais quand même… Vivement le retour de Maja et ces interviews de Rabhi, Chouard ou Lepage qui elles faisaient avancer le schmilblick!
Sinon sur les jeux vidéo, qu'ils arrêtent déjà de ne faire de la merde 3D genre "je vais vous en mettre plein la vu" et réfléchissent un peu plus au scenario et à l'intérêt ludique de leurs machins ce serai déjà pas mal... (La richesse de jeux tels final fantasy 7, baldur's gates ou civilisation se passait très bien de 3D derniere génération de même que des jeux de plates formes très réussi tels sonic ou donkey kong sur 16-bit...) -
|F
J'aurai été curieux d'entendre les explications des uns et des autres sur les NDA.
Signez ce genre de contrat est il compatible avec un travail de journalisme ?
Ou encore d'expliquer pourquoi, même en l'absence de ce type de contrats pourquoi Ils se les appliquent à partir du moment ou des confrères y sont soumis..
Pour avoir participé au rédactionnel en ligne il y a quelque années je pense qu' Ivan Gaudé résume bien la problème lorsqu'il dit que le pire dans l'histoire c'est que les acteurs sont réellement convaincu qu'il n'y a pas de problème et ne se rendent réellement pas compte du mélange des genres; et c'est assez désespérant je dois dire..
Enfin, cher Daniel Schneidermann, le manque de préparation de l'émission se voit , et face à un argumentaire bien rodé, vous glissez bien souvent. une heure et demi pour se rendre compte qu'une grande partie de cette presse (en ligne) appartiens à des régies de pub ... On aurait peut être pue commencer par cela... Quant à la séparation par une ligne Maginot entre les rédactions et les régies, c'est un argument que j'entends depuis 20 ans, (vous probablement plus). On sait très bien ce que cela vaut le seul vrai pouvoir d'un journaliste face à sa direction en cas de "divergence sur la ligne éditoriale" est celui de pouvoir partir écrire ailleurs. -
JulienC
Bonsoir,
Voici ma réponse à tout cela : http://www.gameblog.fr/blogs/JulienC/p_78747_retour-sur-images
Bonne soirée à tous.
Julien Chièze -
TinTouneT
Bonjours,
Je suis passionné de jeux vidéo depuis toujours et j'ai fait des choix dans mon cursus de formations professionnelles et également personnelles qui pourraient aujourd'hui me permettre de prétendre à un poste de développeur dans un studio de développement. Malheureusement, trouver un poste de développeur de jeux, même en ayant les compétence requises est particulièrement difficile si on a pas d'expérience significative. Aujourd'hui je travaille dans une société d'imagerie numérique. Cela a représenté une certaine somme de travail et d'engagement personnel (apprentissage de la programmation, de la gestion de projet, de la langue japonaise etc ...).Je suis souvent indigné par le fait que la plupart des journalistes de jeux vidéo donne réellement l’impression par leurs immaturité de ne pas être capable de produire le quart des investiments personnel que j'ai du réaliser, et malgré tous réussir à vivre de leurs passions. -
Pinkipou
Petite question en passant à l'équipe d'@SI : avez-vous constaté un léger frémissement du nombre de nouveaux abonnés depuis la diffusion de l'émission, notamment à partir de dimanche et de son libre accès pendant 24H ?
Je vous demande ça pour vérifier si les quelques messages vus dans le forum CPC indiquant la découverte du site suivi d'un abonnement sont anecdotiques ou si le sujet traité a réellement eut un impact sensible auprès d'un nouveau public. -
glucide
C'est curieux qu'à aucun moment, nul n'ait évoqué en toute transparence l'équation de base:
1- sélectionner un sujet va concerner/intéresser plus d'un million de personnes (ex: console machin-truc, tel blockbuster passé ou à venir...)
2- pondre - en toute "indépendance" et liberté créative - un contenu quelconque sur ce sujet (outboxing, humour potache fait en 5min, parodie, rumeur qu'on a pas la possibilté de vérifier mais annoncé en toute transparence comme telle..).
3- encaisser les recettes publicitaires (avec combo multiplicateur x2,x3, ...x10 en cas de buzz ou polémique)
Chez gameblog, c'est totalement assumé. On est là pour faire du traffic, point (et engranger les recettes). On est totalement dans l'esprit du temps (journaux gratuits, mainstream, grande distribution) et on se pose peu de questions tant que le fric rentre (aprés tout, ceux qui trouvent à y redire n'ont qu'à pas aller sur le site, non?).
Chez Gamekult ou JV ça revient aussi à ça (choix d'un sujet "intéressant" en étape 1, traitement plus ou moins approfondi en étape 2), mais de façon totalement euphémisée ou avec une exigence qui dépasse le degré zéro qu'on peut trouver chez Gameblog.
Dans le débat, cette ambivalence structurelle est bien identifiée par M. CanardPC. -
Fan de canard
Tiens, Usul fait des apparitions dans le dernier joueur du grenier, que je ne loupe jamais:
http://www.joueurdugrenier.fr/hors-serie-dessins-animes-pour-garcons/