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coca
Émission excellente !
Merci de nous dévoiler plus le fonctionnement de la finance ! -
JREM
Lordon chez Taddeï... incroyable ! -
JREM
Pas lol -
Marie P.
Ce que Lordon ne dit pas
Adaptant imparfaitement le dicton populaire je dirais « citation n’est pas raison ». Ainsi si Anne-Sophie Jacques cite Frédéric Lordon « et sur les ruines enfin tout rebâtir » il semble qu’elle se serve de cette citation pour lui faire dire exactement l’inverse de ce qu’il soutient depuis le début de la crise, ou, tout du moins, laisse-t-elle flotter un flou désagréable à ce sujet. En effet FL ne parle jamais de laisser s’écrouler le système bancaire, c’est même l’exact contraire. Cela pour la raison qu’il développe dans l’émission avec Nicolas Cori (et dont DS donne le lien) à savoirles banques sont dépositaires d’un bien public vital pour la société qui est la sécurité des encaisses monétaires du public. Si le secteur bancaire s’écroule, toutes vos petites économies partent en fumée ce qui veut dire que dans les deux jours qui suivent vous voulez allez faire vos courses, tirer de l’argent au distributeur à billets : c’est pas possible ou faire des chèques : c’est pas possible. Ya l’argent que vous aviez dans la poche : point.
Ce que Lordon dit bien
Ce qu’il dit en revanche, et en cela, il rejoint Pascal Canfin : lorsqu’il s’agit de sauver les banques il s’agit en fait (pour résumer) de les nationaliser à la faveur de situations extrêmes comme le fût l’automne 2008 (1 :14 :58) ou comme le serait « un scénario du cataclysme » (1 :18 :36) - dont nous vivons peut-être le début.
Qu'en dirait Pascal Canfin?
Il serait très intéressant de savoir ce que Pascal Canfin pense (et argumente) sur les modalités de « la reconstruction sur les ruines» : est-il seulement question pour lui, comme il semble le suggérer, d’un simple « retour » au capitalisme fordien d’après-guerre? En ce cas son objectif ne serait ni démocratique ni écologique (un comble, on en conviendra aisément). Premièrement, non démocratique, car toujours basé sur le rapport salarial et la « pression actionnariale » dans les collectivités productives (entreprises) ainsi que sur un système, certes, nationalisé, mais non pas socialisé du crédit. Deux éléments que Frédéric Lordon propose de transformer radicalement sur des bases politiques tout autre (« Et si on fermait la bourse ? », Frédéric Lordon, Là-bas si j’y suis 01-03-10). Et deuxièmement l’objectif d’un « retour » au capitalisme d’après-guerre ne serait pas écologique car « à l’évidence et à l’encontre de ce qu’était le fordisme il faut poser la question des contenus de la croissance et de leurs effets environnementaux » (Frédéric Lordon, Là-bas si j’y suis 16-09-11). -
Hervé Ferrière
Bonsoir à tous,
Cette émission me laisse un goût de... déjà entendu, déjà vu (à la télé ! Beurk, quelle horreur !) mais surtout d'inachevé, de manque !
J'en REveux encore mais avec d'autres points de vue...
Ce député est certes fort sympathique mais il nous ressert en permanence le fameux discours sur Roosevelt, le new deal etc. pour nous expliquer, finalement, que :
Ce sont des Chefs éclairés (par leur seul génie) qui trouvent THE solution grâce à leur analyse froide et rationnelle de la situation.
Merci les Chefs, (eurodéputés, "lobbyistes", financiers convertis à l'économie solidaire, capitalistes repentis... comme s'il était possible de raisonner un boeuf shooté à la coke, voire de moraliser un criminel ou un proxénète notoire et revendiqué ) !
Continuez à oeuvrer pour nous et d'ailleurs, si l'on vous nommait à vie, ce serait sans doute une garantie de stabilité mondiale et définitive...
Chouette !
Mais est-ce bien comme cela que les choses se sont passées dans les années 1930 pour M. Roosevelt ?
Est-il possible de nous reprendre les vieux oripeaux d'une vieille tradition "réformiste" (ménageant finalement le système financier parce que ce dernier serait nécessaire à toute forme de vie dans l'univers) pour en habiller de neuf l'économie actuelle ?
Est-ce là toute THE solution ?
Autrement dit, peut-on indéfiniment ignorer dans quelle HISTOIRE cette "décision" de Roosevelt himself a été prise, selon quelles modalités et avec quels réels effets ?
Voyons quelques petites hypothèses (de travail)...
Nous répéter en boucle ce modèle Roosevelt semble passer sous silence...
Que le Chef en question avait subi les pressions de sa propre population au sens large. Il agit pour le bien de tous certes, mais il a fait des choix pour savoir ce qu'il devrait sauver finalement... Et finalement, sa politique a-t-elle eu les résultats escomptés ou ne tient-on compte que d'un discours écrit après coup ?
Voyons voir....
Roosevelt a agit
a°) sous la pression de la "populace bigarrée" qui menaçait de voter contre lui, voire pour des partis subversifs encore autorisés dans les années 1930 (les "socialos" et "cocos" ne sont pas encore passés à la machine à laver de la Guerre et du charmant sénateur Mac-Carthy... forcément !), voire (pis encore) de promptement changer la couleur des dominants du pays (dans un pays WASP, c'est THE danger : perdre la main mise sur toute la population qui n'a pas encore le droit de participer à la vie sociale... Qu'on se le dise : les émeutes d'Afro-Américains ne sont pas des inventions des années 1960 !),
b°) mais aussi sous la pression de ses amis "riches" qui en avaient un peu assez de voir leurs propres amis banquiers passer par la fenêtre... Le suicide, ce n'est pas bon pour le moral.
c°) en prenant en considération des données géopolitiques mondiales un peu particulières quand même... Car, d'après ce que l'on sait, Roosevelt ne dirigeait pas des USA seuls au monde dans les années 1930, mais il avait face à lui :
- une Italie un peu facho sur les bords,
- une Allemagne en ruine mais devenant ouvertement agressive ou franchement rouge (qui se souvient des manifs de centaines de milliers de militants cocos dans les rues de Berlin au début des années 30 ?),
- une URSS particulièrement préoccupante (avec un Chef un peu incertain... qui connaît réellement Staline au début des années 30 aux USA ?),
- une France qui risque de tomber dans les mains des Rouges (Le Front Popu, ce sera jamais que de quelques années... et le gouvernement de Blum agira sous la pression de la "rue" pour décider les principales réformes dont on lui attribue tout le mérite) ou des Bruns (les amis de Brice, de Claude et autres cagoulards),
- une Angleterre pas au mieux de sa forme,
- un Japon un brin menaçant...
Bref, Mister Roosevelt prend des décisions dans une époque un peu - j'espère - différente de la nôtre ou alors, faut-il prévoir que nous entrerons en guerre d'ici quelques années nous aussi ?
Et puisque nous sommes soumis à des pressions urgentes, nous aussi, devrions-nous opter pour SA solution qui a fini... par on ne sait pas trop quoi d'ailleurs!
Parce que qui de la guerre ou du New Deal a réellement sorti les USA de l'ornière ?
Ca, franchement, je l'ignore !!!!
et Chi lo sa ?
Euh, et puis, en y réfléchissant à deux fois, c'est ça l'alternative qu'on nous propose : une réforme (ouh la la méchante pour les riches) du système (dont on ne connaît pas les effets ou dont on voit la suite aujourd'hui) ou... la guerre ?
On peut reposer la question autrement ou non ?
Serait-il possible d'entendre dans une prochaine émission économique des historiens qui viennent expliquer comment les politiques économiques ont été choisies par le passé (comme celle de Mr Roosevelt ou autres... je suis ouvert à la discussion) ?
A-t-on jamais en effet entendu l'avis d'un historien (et un historien de l'économie aussi) sur les choix de Roosevelt et non un économiste pur et dur (ou un député qui s'y réfère comme à la pierre philosophale, l'élixir de jouvence et la panacée) ?
Ce serait une bonne émission pour nos neurones gavés de solutions miracles dont finalement on ne connaît pas trop les réels effets...
Une info en passant, un livre qui m'avait bien perturbé à l'époque et qui était passé quasi inaperçu :
"En quoi consiste l'Amérique ?" d'Emmanuel Didier, Ed. La Découverte, 2009.
(RQ : je n'ai aucune action dans l'ouvrage en question... Je suis contre la spéculation... sauf intellectuelle, cela va de soi !)
D'avance merci,
Hervé -
Olo
Bonne émission. Cantin est clair et j'ai trouvé interessante la présentation de finance watch.
Le trader flouté a l'air complètement perdu en revanche. Manque de sommeil ? Erreur de casting ?
Pour la prochaine émission sur le sujet, je trouve que ce serait sympa d'avoir qq'un en face pour le débat ! -
Andreas TOTH
No comment ! -
Friday
@ Anne-sophie. Prononcer un terme avec un accent anglais ou même essayer et même se tromper n'est en rien une faute, ni quelquechose de condamnable. -
LPR
C'etait pas Alessio Rastani l'invite mystere de l'emission, par hasard ? -
Joan38
Le Crédit coopératif est une Banque populaire comme les autres, c'est-à-dire une des maisons-mères du groupe Bpce (Banques populaires-Caisses d'épargne) . Le groupe Bpce est lui-même maison-mère de Natixis (une de ses filiales, une banque de financement et d'investissement). En résumé : quand un individu est sociétaire (syn. : actionnaire, associé, copropriétaire, porteur) du Crédit coopératif, cet individu est également copropriétaire indirectement du groupe Bpce et de Natixis.
D'autre part, actuellement, le système monétaire mondial repose sur la confiance de chacun de se faire rembourser dans l'avenir et de voir la monnaie fiduciaire acceptée par tout le monde (commerces, individus, administrations, etc). La monnaie n'a aucune valeur réelle. Les prêts que consentent les banques aux Etats sont remboursés par l'impôt qui lui-même est payé grâce à l'activité de production, de vente de biens et de services des contribuables : c'est le serpent qui se mord la queue, c'est un système monétaire basé sur la confiance.
Si les banques s'écroulent, c'est l'activité économique de nos sociétés capitalistes qui s'écroule. On en revient à une société du troc. Du troc, car la monnaie n'a plus de valeur ou de moins en moins de valeur. Les objets gardant leur valeur réelle.
Je pense donc que les banques ont une utilité. L'activité bancaire est régulée (contrairement à ce qui est dit dans cette émission). En revanche il faut certainement renforcer cette régulation et renforcer les contrôle et l'application des sanctions aux mauvaises pratiques des acteurs financiers. Peut-être faudrait-il revenir à l'étalon-or ? (bien que l'étalon-or consisterait à donner une vrai valeur aux dettes des états, notamment vis-à-vis de la Chine grande créancière mondiale). -
Revolution
Ce Canfin m'a l'air un peu trop policé. Il trouve que la finance est "noble"? Je n'ai pas compris le lien qu'il entretenait avec "Finance Watch" mais si j'étais les banques, je dormirais sur mes deux oreilles.
Il y a une chance sur deux pour que Finance Watch soit une émanation de banques ou de hedge funds... D'où sortent leurs deux millions d'euros? Enfin bon, je fais confiance à l'équipe d'Arrêt sur image pour avoir vérifié qu'ils n'étaient pas manifestement malhonnêtes mais en même temps il faut être vigilant avec ce type d'organisation quand elle présente un visage trop complaisant avec ceux qu'elles sont censées combattre. La manière dont il ajoutait "Finance Watch va dénoncer les banques MAIS AUSSI DIRE QUAND ELLES ONT RAISON" laissait un peu rêveur... Il y a clairement assez de boulot à faire contre les banques pour ne pas prendre des gants. Que croit-il, que les lobbys bancaires travaillent pour les banques "MAIS QU'ILS DISENT AUSSI QUAND ELLES ONT TORT!"?
Et le trader m'avait l'air un peu à la rue. 30000€ par an? sans rire? Je ne sais pas ce que fait une personne gagnant cette somme mais sa rémunération exclut que ce soit un trader. On peut imaginer des cas de figure où la rémunération SANS BONUS pourrait être aussi basse pour un débutant mais le trader qui gagne 30000€ sur une année, une chose est sûre: c'est sa dernière année!
Par contre sur Mario Draghi, il faut bien reconnaître que Canfin était parfait. Il s'agit d'un scandale sans nom qui montre à quel point nos élites ont regardé passer cette crise comme des vaches regardent passer les trains. Pathétique. -
EM
Quel coup de théâtre à la dernière minute : payez, braves gens, sinon vous allez en baver... Le discours depuis 2008 n'a pas changé d'un iota.
Merci pour cette émission très intéressante. Mais le trader n'est pas le cœur du système... -
EM
Olivier Godechot, Les traders. Essai de sociologie des marchés financiers, Paris, La Découverte, 2005. -
LPR
Pas trop vu dans les medias francais ( et les medias US un peu frilleux pour en parler ) : D'immenses protestations devant Wall Street depuis une semaine plus de 80 arrestations
>< Ici sur la Beeb ><
>< Le site du mouvement ( Occupy Wall Street ) >< -
KungFuPanda / GauthierR / don juan act 5 sc 2
Encore une fois une des meilleurs emissions economiques que j'ai pu voire. Je suis economiste, j'ai travaillé au coeur de la city a londres. Je peux vous confirmer que la cocaine et les escort girls sont en quantité effrayante. Presque tout les traders sont cocainomane.
De plus tout les traders et le top management dans le mondre viennent des grand MBA . La majorité des gens qui sortent de ces MBA viennent de familles riches.
En gros nous sommes pas du tout dans le liberalisme mais dans un systeme de cooptation qui permet de court cercuiter la democratie et la vrai meritocratie.
Le pire c'est qu'ils croient vraiment etre des genies qui meritent leur salaires. Alors que c'est les riches qui restent entre riche et se votent des salaire completement arbitraire. -
Frix
La relecture de Lordon selon Canfin, en fin d'émission était particulièrement désagréable et fausse.
J'ai senti mes cheveux se hérisser quand Canfin a sorti "qui a fait le taux d'imposition à 90%, Staline ?". Bonjour la caricature habituelle, alors quand on remet en cause le système, on est forcément stalinien, chapeau l'outrance ! Dommage car le reste de l'émission était plutôt instructif, notamment sur l'incapacité presque viscérale à remettre en cause la globalité du système quand on travaille au sein de ce système.
Au delà de la caricature outrancière de Canfin, son raisonnement montre, à mon sens, l'impossibilité de remettre en cause et d'abolir le système pour quelqu'un qui est dedans. En voyant Canfin et en écoutant ses arguments, j'en viens à la conclusion que croire que la matrice va exploser de l'intérieur suite à l'infiltration de quelques éléments dissidents est illusoire. Ca peut aider, surtout pour informer, pour faire sortir des éléments et les rendre visibles à ceux qui ne sont pas partie prenante mais le système, à mon sens, s'il tombe un jour, tombera du fait d'actions extérieures, de mobilisations et de révoltes du peuple (ok on en est loin mais l'espoir fait vivre...)
Pas de réflexion sur la rémunération notamment, et c'est surprenant, pour un écologiste qui ne fait pas le lien entre maximisation des profits inscrite dans la logique capitaliste et destruction environnementale. Quelle illusion que ce capitalisme régulé, comme si tout le monde allait se mettre bien gentiment autour d'une table, le capitalisme bisounours !
La porosité public/privé dans la finance, les rémunérations indécentes, l'opacité, le manque de compétence des politiques qui ne voient aussi que par l'argent, sans compter la corruption (cf le bouquin de Péan), l'abrutissement des masses par la télévision, la transformation du citoyen en consommateur et j'en passe, comme peut-on voir tout ça, ce système entier où tout s'imbrique et se tient, et penser que mettre 2 ou 3 pansements va suffire ?
Ce n'est pas Todd qui disait que discuter avec les partisans du système n'avait aucun intérêt ? -
Régine Boussac
Merci Monjo, je commençais à penser que j'étais victime d'hallucinations, j'espère que ce mystère sera levé! -
Régine Boussac
Quelle surprise en plein milieu de l'émission de voie apparaitre des pub en anglais pour jonhson!!?plaisanterie ou piratage? -
JCEnglebert
Bonjour
Excellente émission, comme d'hab. Trois remarques :
1) Pascal Canfin entreprend un salutaire travail de compréhension des mécanismes financiers, sans remettre fondamentalement la logique du système en cause. C'est son droit, mais je pense que s'il fait son travail honnêtement, il va se rendre compte des limites du raisonnement : oui le capitalisme a pour objectif de maximiser le profit et non de « s'arrêter à temps ». Donc, non, FinanceWatch (et le travail de Canfin) ne suffiront pas. Par ailleurs, il serait bon (pour lui et pour les auditeurs d'opérer un lien avec la partie du travail de Frédéric Lordon consacrée à l'enrolement (cf. l'émission de Judith Bernard sur le bouquin « Capitalisme, désir et servitude - Marx et Spinoza » de Lordon) ;
2) D'une manière générale, il n'y a pas eu de réflexion (sauf très à la marge) sur la notion d'enrichissement et de hauteur des revenus. La seule réflexion était de dire « les traders nous font supporter des risques pour augmenter leurs rémunérations » mais il n'y a pas de réflexion ni par rapport au fait que « l'utilité sociale » d'un métier ne peut pas justifier de telles rémunérations ni par rapport au fait que désirer de telles rémunérations relève de la maladie mentale ;
3) Enfin, je regrette un peu que les propos et propositions de Lordon aient été déforméées. Premièrement parce qu'il prend le risque de défendre le renflouement des banques, expliquant très clairement que si on n'avait pas renfloué, alors ça aurait été la crise cardiaque du système, c'est à dire que chacun aurait disposé pour seule richesse de ce qu'il avait en poche. Deuxièmement, parce que ce qu'il défend (si j'ai bien compris), c'est une nationalisation du système bancaire pour qu'il puisse continuer à assumer sa fonction de pourvoyeur de crédit (si on ne nationalise pas, chaque banque individuellement aura peur d'être isolée dans la prise de risque, arrêtera de prêter et l'économie s'arrête). Cettte nationalisation serait simultanée avec un défaut de paiement sur l'ensemble des dettes souveraines, ce qui autonomiserait la décision politique par rapport aux marchés financiers. Troisièmement, il ne faut pas oublier ses travaux sur l'inutilité de la Bourse (http://www.monde-diplomatique.fr/2010/02/LORDON/18789) et sur le fait que la société se porterait mieux si on la fermait.
Amicalement,
Jean-Claude Englebert -
delphine b.
a quand une emission avec Lordon et Canfin?
et je trouve que l'idee d'informer et d'eduquer les journalistes avec finance watch ne peut etre que benefique.
il me semble que l'information du citoyen et son engagement est notre unique chance. si tout s'ecroule,sans que les citoyens aient bien compris les problemes,on peut s'attendre au pire, peurs,besoins de protections,haines avec reglement de comptes etc...