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htintin
Bon, je vais être honnète, je n'ai rien compris à la problématique, je ne sais même pas trop de quoi ça parlait, et pourtant j'ai tout suivi et je suis allé jusqu'au bout, ce qui fut un poil difficile, mais l'emission devenant plus interessante sur la fin j'ai reussi. Mais si demain quelqu'un me demande quel était le thême ? ... ô_O ?
Ah si, on peux comprendre la phrase de Sarko autrement, a savoir : "ce ne sont pas les plus intelligents qui gagnent les élections" ... (guuulp mais non sire Sarko 1er je ne parlais pas de vous ....) -
dominique lambert
alors là..bravo...réussir à faire dire l'inverse des propos de sarcozy..il fallait oser....et ce site l' a fait..... La phrase est pourtant simple: "x n'est peut être pas intelligent". Vous voulez que l'on vous adresse un exemplaire de la dernière édition du "Robert"??? -
boy meet girl
Ce député est très bien, je vais vite lire son blog.
L émission aurait pu être encore plus passionnante, les histoires de Sarko sont toujours un peu pareils mais bon
Le choix des invités etaient trés bien mais le sujet un peu déjà vu
Bonne continuation -
Fandasi pour clavier
J'ai bien aimé cette émission. Les deux invités professionnels de l'hémicycle sont des gens intelligents et visiblement interessés par leur travail.
L'antiparlementarisme primaire en a pris pour son grade et c'est tant mieux , car il est dangereux pour la démocratie , et fait le jeu de Sarkozy.
La journaliste de Libé était là pour expliquer le rôle d'un organe de presse dans ses rapports avec les nouveaux médias et c'était très clair.
Merci à Justine pour son indépendance de ton , ses questions pertinantes et non supervisées par le chef , et merci au chef pour l'ensemble de son oeuvre .
Emission votée d'utilité publique . -
Nohcilop
Rugy (c'est bien son nom?), me fait douter de mon proverbe toujours vérifié : tous pourri !
Rien que pour ça votre émission était intéressante.
A + -
Frenchie
Faudrait un test auditif obligatoire pour nos chers rigolos de l'assemblée Nationale. A moins que lorsqu'il ont les dents du fond qui baignent, leurs esgourdes ne fonctionnent plus... -
djinneo
Constatons le paradoxe suivant: c'est au moment où les parlementaires et d'autres "citoyens d'élites" européens proposent de multiplier les caméras dans les rues et dans lieux publics, de multiplier les mesures de contrôle de toutes les télé-communications d'ordre privées sur un territoire donné, d'élargir la compétence de surveillance et de sanction non plus à l'Etat mais à des organismes privés, de compléter des fiches de renseignements intimes sur chaque individu; c'est à ce moment là que les parlementaires français souhaitent préserver leur "marge de manoeuvre" en se préservant des regards indiscrets de leurs électeurs par une certaine "opacité".
Que ce soit dans les institutions ou dans les entreprises privées, monsieur tout le monde a pour obligation d'être à la limite de l'obséquiosité. Non pas pour avoir de l'avancement ou une carte de séjour, mais pour être reconduit dans son poste, ou ne pas être reconduit au poste. Le "citoyen d'élite" euphémise que son statut exige un respect à l'égard de la fonction et du statut qu'il incarne. Mais tandis qu'il se fait cirer les pompes, il casse du sucre sur le dos de celui qui est en dessous de lui.
Quand ce n'est pas notre président, en particulier, qui parle de ses concitoyens et des dirigeants d'autres pays avec des propos peu amènes.
Tandis que la méritocratie faisait son entrée dans la République, du moins le vocable, étaient promus à nous diriger les inconsistants Darcos, Lefevbre et toute cette litanie de "citoyens d'élite", qui n'ont d'élite que le statut et les avantages.
Tout cela n'est en définitive que quelques anecdotes. Un ministre de l'Education qui ne sait pas faire un règle de 3, un président qui parle de ses homologues comme on le fait de ses compagnons de régiment, un fiston qui brigue des responsabilité politiques sans aucune autre forme de légitimité, on coupe des crédits tout en augmentant son salaire...
Or, si c'est pour aller péter dans la soie et aller troller sur les collègues, monsieur tout le monde est tout aussi qualifié.
Et il vient de là le climat ou le risque "révolutionnaire". Comme Dati, arborer des fringues ou des bijoux de marque on sait tous le faire. Il y a même un certain point commun avec les nantis et les très pauvres, c'est qu'arrivé à un moment donné, on ne compte même plus... Comme Villepin, on est tous des poètes capables de dire que "la france attend de se faire baiser". Tous ? Non, seuls les rappeurs programmés à Bourges en seront interdits. Comme Sarkozy, on est tous capable de dire qu'après une bonne bouffe il nous est agréable d'éclater la rondelle de notre régulière lors d'une réunion officielle...
A y regarder de près, chacune de ses petites anecdotes, ne sont, comme le dit Eva Joly, que des "épiphénomènes". Néanmoins, elles traduisent toutes soit un "plaisir de mortel" que s'octroie un élu ou un coopté dans l'exercice de ses fonctions, soit un privilège de nantis. Et c'est là que ces anecdotes ne sont plus anecdotiques: puisqu'avides de pouvoir, et puisque ces "relâchements" traduisent justement toute la jouissance de l'exercice du pouvoir, ces anecdotes se multiplient pour devenir une addiction.
Et dans toute addiction, il y a la période rose, et la période noire. Chaque feuille de sondage résonne comme un clocher pour Sénèque: toutes blessent, la dernière tue.
Superficielle et ambitieuse (c'est d'ailleurs souvent synonyme), c'est bien Carlita qui portera le coup de grâce. -
René SOULÉ-PÉRÉ
L'absentéisme, je suis un peu concerné, je suis enseignant. À cette critique qui alimente, comme l'a dit ce député de Nantes, l'anti-parlementarisme, l'anti-... je propose de répondre : ce serait vraiment le comble de la stupidité d'imaginer que les journalistes des journaux télés de 20 h. ne travaillent que le temps pendant lequel ils apparaissent à l'écran ou qu'un(e) artiste le temps où il/elle présente son œuvre... -
Volto Tombo
Tres bonne emission. Exactement ce qu'on attend @si. Le depute invite m'a impressionne: inteligent, honete, courageux. A ce demander comment il a reussit a ce faire elire.
Vous avez etiez bien aimable avec Segolene Royale, de ne pas evoquer ces excuses. Elle surfe sur une mauvaise interpretation flagrante des propos de Nicolat Sarkosy sans meme ce renseigner au pres des participants au dinner Sarkosien. D'ailleur la press etrangere fait preuve de la meme mauvaise fois car tout le monde comprend bien que Sarkosy taclait les socialistes francais et pas Zapatero.
La petite phrase de Sarkosy n'a pas de quoi foueter un chat et ne merite pas une emission mais la sur reaction qui a suivit sa divulagation, le meritait bien. -
Alfonso Merino
L'emission m'a parue très interressante quant au decryptage des moyens de comunication, en l'ocurrence le blog, procédé émergeant et que l'on a tort de négliger, car il s'agit d'un vecteur de comunication très interressant, la preuve en est que presque tout les politiques en ont un. C'est un premier pas interessant de la part d'@si de nous en faire découvrir les coulisses avec celui du député vert, personnellement je suis resté sur ma faim. Je suggère de faire un dossier sur les blogs politiques ou une suite, notemment sur les blogs institutionnels avec leur absence de fond tel que ceux de Dati, Besson, etc. voir même ceux de journalistes tels que celui d'Apatie ou de Juan (sarkofrance), que je lis tout les jours. Quant a développer des tartes a la crème comme le chômage ou la réaction de Ségolène Royale, il y a d'autres émission qui se consacre à ça (cf. riposte, mots croisé, c dans l'air, on refait le monde, etc.) ça me parait anecdotique et sans objet avec l'émission qui est plutôt attaché aux coulisses et à l'analyse des moyens de comunication et moins à l'opinion. D'autre part je tiens a féliciter le comportement exemplaire du député vert, c'est rare, et très cohérent, il a gagné beaucoup de point avec cette émission. -
Hubert PICHARD
A aucun moment, sauf erreur, il n'est question du cumul des mandats ni du rôle étrange- relai naturel des lobbies- des attachés parlementaires; dommage -
CC 6500
il est trés bien ce député.
mais qu il est atterrant de lire tant d asinautes si peu intéressés par la Politique... -
jean raoux
Moi je trouve que vous faites de la sodomie de diptères, j'en ai rien à faire de tout ça! d'ahbitude je vous trouve mieux inspiré...
jc(lyon) -
marie Terrien
¨Pourquoi le terme "pédagogie " revient-il sans arrêt depuis quelque temps dans toutes les bouches?
Serions-nous aussi crétins que nous ne puissions pas comprendre par nous-mêmes?
Cette façon de reprendre jusqu'à l'écoeurement des mots - ou des formules- m'agace auplus haut point.Rien de plus à dire pour aujourd'hui si ce n' est, qu'étant nantaise, je connais François de Rugy , qu'il est charmant, sincère, peut-être un peu naïf,en fait pas encore un politicien et c' est agréable.
Marie -
toni
Une fois de plus @si fait mouche en ce qui concerne la spécificité de l'émission (décryptage des images) Bravo ! Il est clair qu'un certain nombre d'@sinautes, toujours prompts à discutailler sur le fond des problèmes sont , eux, mécontents. On peut donc leur conseiller d'aller sur d'autres sites ou blog ! En plus ça allègera celui-ci de commentaires assez fastidieux...
Donc sur l'analyse "de la petite phrase" ce qu'il faut retenir c'est que, tirée de son contexte, une information n'a que peu de véracité. Or, s'il y a eu moulte polémiques à ce sujet c'est que ceux qui ont récupéré la phrase et monté en épingle les propos soi disant anti européens (ou anti espagnols de Sarkozy) ont joué justement sur cette ambiguité. Oui Sarko a parlé de manque d'intelligence, non il n'a pas dit que Zapatero était un benêt, dépourvu d'intelligence. Il y a ambiguité d'une déclaration dès lors qu'on replace celle-ci dans/hors de son contexte. Selon le contexte une info. peut avoir une signification opposée !
De mon point de vue la morale de cette histoire est qu'aujourd'hui nombre de journaleux, avides de scoop, de coups médiatiques, en sont réduits (les fourbes) à jouer sur la décontextualisation d'une information, pour créer du senstionnel, dans le seul but de vendre encore plus ! Voilà donc à quoi nous devons faire attention, nous, citoyens de base aujourd'hui : à la décontextualisation des informations comme forme nouvelle de désinformation, une forme plus subtile que le bon gros mensonge médiatique (et ceci pour se protéger des procéduriers et des procès éventuels dont se délectent les avocats). C'est bon à savoir, c'est en tout cas cette leçon que je retiens de cette émission. En ce sens, comme je le disais elle a fait mouche (même si DS s'est parfois embarqué sur des pistes hors sujet : l'opacité des parlementaires par exemple. Il devrait résolument axer l'émission sur le décryptage de l'image, sans s'égarer sur le fond des questionnements). -
IndexOne
ZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz..............
Emission très inintéressante basée sur des p'tites phrases de politique politicienne, agrémentée de débats inutiles mais très précis et pointilleux... N'y aurait-il pas des sujets plus pertinents ?
En réalité, ras-le-bol des décryptages de langage de Sarko et ses vassaux : décrypter les réelles réactions et faits politiques ! Par exemple, parlez de l'attitude française et "occidentale" à Durban II, histoire de rigoler un peu ! -
Elihah
Depuis hier soir, je ne sais pas quoi penser de cette émission, ou plutôt disons qu'elle ne m'a rien donné à penser, à vrai dire.
... un impression de tournage en rond, en gros ...
Ce que j'en retiens, c'est d'aller faire un saut sur le blog de Mr Rugy. -
michael
j'ai bien aimé cette émission
ce serait bien qu'il y ait une émission sur le fonctionnement de l'assemblée ( par exemple : comment la gauche a réussi à
faire rejeter la loi HADOPI ? est il nécessaire que les 576 députés participent à chaque séance? etc) -
Loran
j'ai pour ma part pris beaucoup de plaisir à écouter cette émission, qui rentre dans les détails. -
Anthropia
Ce matin, Finkelkraut dans Réplique asticote Daniel Schneidermann et Guy Birnbaum avec une mauvaise foi et un parti pris étonnant.
D'abord il prétend que Ligne Jaune est la nouvelle émission Arrêt sur images, comme si l'émission princeps s'était transformée en chronique sur le buzz ; par ailleurs, il cite Debray dans l'émission Dans le Texte, mais sans la citer, façon de pouvoir ensuite tranquillement déblatérer sur ce journaliste qui se croit permis de critiquer et qui en passant sur internet devient un médiocre et sur cet éditeur qui livre les secrets d'alcôve des hommes politiques;
On devrait être content qu'il cite le site, en fait c'est pour mieux l'assassiner;
http://anthropia.blogg.org