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htintin
Bien
Quelques dessous dévoilés, l'histoire des pool de voyages officiel on comprends un peu mieux pourquoi on voit toujours les mêmes infos, elle est peut-être plus "maleable" pour les directions qu'un sujet complet d'un seul journaliste.
Interessant de voir comment les rapports entre le chef de l'état et les journalistes ont évolué, chacun en tirera ses conclusions, mais bien peu prennent du recul sur leur gestion stricte lors des déplacements.
merci. -
Jelomar
Deux liens décrivant deux déplacements de Sarkozy (moyens déployés, police, repas gastronomiques, police, cochon de payant, police ...):
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=53229
http://emmausneuillyplais.unblog.fr/2009/03/09/mascarade-presidentielle/ -
LPR
mutations de prefet, de chef de police
juste le lien
( un peu tard pour approfondir ici ) -
karida lesage
Cette émission donne envie de lire le livre du journaliste. Car pour mieux critiquer une personne, mieux vaut la connaitre, comprendre son fonctionnement. Cela nous aide à analyser les paroles et anticiper les actes.
Oui sarkozy est un autocrate, et cela nous le savons tous depuis qu'il a intégré le gouvernement de Chirac. Ce qui est dommage, c'est que plus de la moitié des Français est votée pour lui. Cela veut il signifier que la majorité d'entre nous souhaite une dictarure?
Ou seulement, que nous sommes "lobotomisés" par la télé et ne réuissont plus à faire une critique?
(bon pour être sincére, les adversaires de Sarkozy à l'élection présidentiel, l'ont aidé à devenir président par leur médiocrité) -
Bauzil
J’ai reçu sur ma messagerie le texte suivant :
" Que peut-il? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être. Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire.
Dieu sait pourtant que le président se démène.
Il fait rage, il touche à tout, il court après les projets, ne pouvant créer, il décrète.
Il cherche à donner le change sur sa nullité, c'est le mouvement perpétuel
mais, hélas ! Cette roue tourne à vide.
L'homme qui,
après sa prise du pouvoir, a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille,
toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort.
Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse.
Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit, et qu'ensuite on mesure le succès
et qu'on le trouve énorme, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise.
On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds,
lui rit au nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue.
Triste spectacle que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé ".
Vous pensez peut-être que pareils propos impertinents, audacieux, téméraires sont l’œuvre d’un inconscient promis à la sanction du bras ferme de la Justice.
Non, ce ne sont que les propos de Victor Hugo à l’encontre de Napoléon le petit c'est-à-dire Louis Napoléon Bonaparte devenu après un coup d’état Napoléon III.
Et pourtant, combien ce texte paraît d’actualité ! -
LPR
[quote=RB]Je vous met au défi de me citer des exemples vérifiés d’intervention du président de la République susceptibles de déstabiliser la liberté de la presse ou l’équilibre démocratique
copy / paste d'une depeche de l'AP :
""J'écoute, mais je tiens pas compte", a lancé mardi Nicolas Sarkozy en dénonçant les "conservatismes" qui s'opposent à ses réformes [...]" -
Tocqueville
Je me dois de souligner l’honnêteté intellectuelle de Patrice Machuret qui se refuse à tomber dans la caricature (ce qui a dû décevoir Daniel Schneidermann). Ainsi, reconnaît-il le franc-parler de Nicolas Sarkozy et le fait qu’il n’entretienne pas de haine envers le service public. Surtout, Patrice Machuret souligne qu’il a constaté plus de censure antisarkozyste que prosarkozyste à la rédaction de France 3.
Cependant, il ne peut s’empêcher de soutenir que le président de la République est un autocrate. Affirmer que le président est un hyper-consul-monarque-empereur-dictateur est désormais un lieu commun. L’opposition et une partie de la presse ne cessent de peindre Nicolas Sarkozy en fossoyeur de la démocratie. Ces accusations qui relèvent pour beaucoup du fantasme me rappellent celles adressées continûment à Charles de Gaulle (Le coup d’Etat permanent signé François Mitterrand). Ce que tout le monde semble oublier – à l’heure où l’on parle de « rafles » et de « déportations » à propos des immigrés illégaux, de « racisme antichti » à propos d’une banderole provocatrice lors d’un match de football ou de « génocide » à propos des bombardements israéliens à Gaza ou de l’esclavage – c’est que les mots ont un sens. En travestissant lourdement la signification de certains mots, on banalise les terribles réalités qu’ils désignent. Allez dire aux Zimbabwéens, aux Nord-Coréens ou aux Cubains que notre président est un autocrate ! Ce que je défend c’est qu’il y a une infinité de critiques du président tout à fait recevables (incompétence, vulgarité, excès, impulsivité, populisme, démagogie, narcissisme, mensonge, imprudence…), mais l’accuser d’être un autocrate est infondé.
Je vous met au défi de me citer des exemples vérifiés d’intervention du président de la République susceptibles de déstabiliser la liberté de la presse ou l’équilibre démocratique. Il va sans dire que la paranoïa absolue de certains journalistes qui s’imaginent probablement dans un James Bond ne constitue pas une preuve suffisante. Par ailleurs, le contrôle de la communication présidentielle (notamment l’interdiction pour les conseillers de s’exprimer) est tout à fait normal sous la Ve République comme dans la totalité des démocraties contemporaines.
Revenons sur l’épisode Sarkozy/Carolis, érigé en symbole de l’autocratie présidentielle. Le président de la République a affirmé sur France 3 que la télévision publique ressemblait encore trop à la télévision privée. Le président de France télévisions lui a objecté qu’il n’avait pas le droit de soutenir cette opinion (que vous partagez probablement tous). Cela ne me choque pas que Nicolas Sarkozy lui ait rappelé qu’il représente l’autorité de l’Etat. Remodeler le cahier des charges de la télévision publique pour qu’elle opère un vrai virage culturel relève des prérogatives du pouvoir politique. L’interview de Patrick de Carolis sur RTL (le lendemain de celle de Nicolas Sarkozy) dans laquelle il affirma explicitement que l’opinion de Sarkozy était « stupide » est bien la preuve que la télévision publique n’est pas inféodée au pouvoir politique.
Les procès d’intention permanents à l’encontre de Nicolas Sarkozy ont été notamment exacerbés par le pompeux « Appel pour une vigilance républicaine » signé par Royal, Villepin et Bayrou dans Marianne. A-t-on le droit à un semblant de raison face à un tel emballement républicano-stupide ? Nicolas Sarkozy a-t-il une seule fois enfreint la Constitution ? Les rédactions de TF1, France 3, Le Figaro, Libération, BFMTV, Rue89 ou @si sont-elles soumises au bon vouloir du président ? Le pouvoir législatif a-t-il déjà été aussi indépendant et puissant depuis la IVe République ? Nicolas Sarkozy est-il un autocrate ? La réponse à ces questions est claire : non.
Les médias ne sont pas les victimes du pouvoir politique. Les médias constituent un nouveau pouvoir, sans véritables contre-pouvoirs. Dans le même temps, jamais le pouvoir politique n’a été aussi contraint (Union européenne, mondialisation, démocratie d’opinion). Il est temps de regarder la réalité telle qu’elle est et de cesser de s’agiter éternellement dans le vide. -
Camille Payet
"Sarkozy ? Un autocrate, mais il ne nous déteste pas"
Il est curieux, ce titre. Le "mais il ne nous déteste pas" enlève toute sa force à "un autocrate". C'est volontaire ? -
Alain Gérard
Je lis deux fois "falcone".
Vous allez faire de la peine à la maison Dassault : même pas fichus d'orthographier le nom du jet présidentiel ! -
jacqueline beaulieu
Courageux mais pas téméraire, Machuret. Une prudence de Sioux. On peut comprendre qu'il n'ait pas envie de perdre son boulot,C'était prévisible mais pourquoi le faire venir pour qu'il enfile des banalités connues urbi et orbi. Une vidéo inutile. -
Citizen Jane
Je remarque depuis quelques émissions que la verve est absente. La verve de DS, pourtant excellent journaliste, et même l'esprit critique de Dan Israel, pourtant remarquable. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas que l'invité puisse citer Sarkozy sans que personne ne réagisse :
"de toute façon, je représente l'Etat. Ce sera comme ça."
"L'Etat, c'est moi." ça ne vous rappelle rien ? La phrase fétiche de Louis XIV, presque mot pour mot dans la bouche d'un soi-disant démocrate !
Et vous avez l'audace de titrer : "Sarkozy ? Un autocrate, mais il ne nous déteste pas" !
Mais on s'en fout qu'il déteste certains médias ! ça ne fait tiquer personne, le terme "autocrate ?!"
Définition: Souverain dont le pouvoir est indépendant et absolu.
Et quelques mots de Clémenceau : "L'autocrate ancien n'avait qu'à dire : « Je veux ». Il fallait obéir sans demander ses raisons."
Et ça ne provoque pas de débat sur le pouvoir dictatorial de Sarkozy ? Le titre, pourtant, nous laissait présager de ce type d'émission. Je ne pensais pas l'écrire un jour: je regrette presque de m'être réabonnée. -
Lorie
Peut-etre qu'on s'en débarassera avant.J'ai lu sur le"Canard Enchainé"qu'il avait comparé son couple à celui de LouisXVI et Marie-Antoinette!Enfin,c'est dans"Le journal de Carla B." -
Kern
Bien que le sujet soit toujours le même, ce que je regrette, j'apprécie qu'ASI s'interroge sur la difficulté pour un journaliste d'actualité de rester à la bonne distance de son sujet d'observation, et cherche à concilier les diverses contraintes qui sont les siennes. Réflexion saine et intelligente. -
Fan de canard
Merci Justine pour avoir à nouveau évoqué le passage de Chatel et sa manif, je me suis rendu compte ainsi que j'avais compris le passage vidéo de travers. J'avais focalisé mon attention sur le bla-bla de Ferrari qui n'a pas repris sa respiration durant tout le passage, sans faire gaffe aux images.
Je remarque aussi que vous avez bien travaillé votre regard en direction des autres attablés, bien qu'il soit encore cyclique :-)
Plus sérieusement maintenant, émission que j'ai trouvé intéressante dans son ensemble.
Pour faire court, je dirais que malgré son langage politiquement correct à de nombreux points de vue, Patrice Machuret m'a l'air d'être lucide sur Sarkozy.
Mais ça se voit vraiment qu'il n'a pas la liberté de s'exprimer franchement sur certains sujets, bien qu'on sa chaine ait dû lui donner suffisamment de mou pour lui permettre de dire ouvertement que Sarkozy est un autocrate est souhaite contrôler la presse (faut dire que le plus gros du boulot est fait).
Je lui aurais bien demandé en insistant jusqu'à réponse pourquoi il ne risquait pas de parler de la sorte sur sa chaine de prédilection, cela dit...
France 3, pour être plus précis, est peut-être l'une des chaines les moins soumises au vendeur de centrales nucléaires, mais ne fait pas spécialement montre de fronde envers le pouvoir non plus.
Cependant, certain(e)s des journalistes qui y travaillent résistent encore à la brosse à reluire envers Carla boy, dont notamment Audrey Pulvar (vivement qu'@si l'invite), et ne déforment pas l'actualité comme TF1 et France 2.
Ça fait peu pour justifier une redevance, malheureusement.
Qu'ils l'augmentent à fond, ça me fera de plus grandes économies ! -
mollows
"Pourquoi encore une émission sur Sarkozy ?" demandent pas mal de réactions.
Si la part d'antenne qu'il occupe depuis son élection, ou depuis 2002 (dans des proportions moindre évidemment mais tout de même), ne suffisait pas à le justifier dans une émission traitant des médias, l'un des angles d'attaque principaux de l'émission : "doit-on toujours traité de l'actualité de NS ?", qui est l'objet de développements dans le bouquin, de débat de rédaction (au moins à France 3 et Libé pour les exemples donnés ici) permettait de renouveler le genre.
On ne découvre surement pas la question avec cette émission, mais c'était pas mal de privilégier ce thème par ici. Et ce serait chouette de le voir creusé encore. -
Jeremy Collin
Changez la musique du générique,
Depuis le début de France5, je ne la supporte pas, elle est immonde, elle me fait peur!!!!!!!!!!!!!!!!! Cela donne vraiment un coté austère, un coté grave à l'émission, qui ne colle pas du tout à l'émission que vous faites.
Je sais que cela n'a aucun rapport avec le sujet du forum mais étant un nouvel abonné, je voulais le dire!!!!
voila , longue vie a ce site.
P.S: Suis je le seul à détester cette musique? -
Fandasi pour clavier
C'est quoi l'embrouille avec Justine ?
DS :" Merci Justine , et à la semaine prochaine....peut-être...! "
Justine (rire interloqué) :" Heu heu heu"
Moi je l'aime bien , Justine , elle porte le sourire interieur et la jubilation sur son visage. -
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Renard
Merci Gavroche de cette excellente nouvelle ! l'air sarkosyste conserve aux vues de ses supporters, les images d'archives semblant dater d'aujourd'hui ? ! ils n'ont pas pris une ride !
Seule carla semble consolée ? ! cécilia également ? ! Le grand homme a disparu, il laisse un grand vide, le Peuple habitué à suivre son étoile est perdu, sa lumière n'éclaire plus le chemin de la droite la plus bête du Monde.
le nain sur son testament légua le pouvoir à son fils, le Peuple ulcéré, humilié, fatigué, trompé se rassembla dans de nombreuses villes de France pour manifester sa désapprobation, après des nuits d'émeute, le dernier mot lui fut rendu au Peuple, des élections eurent lieues, la démocratie retrouva tous ses droits, la paix civile revint dans le Pays, la prospérité également, l'usage démocratique malgré cet intermède reprit tout son sens. Le cauchemar venait de se terminer ................