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FORTUNALAND
Très bonne émission sur un sujet peu traité.
Propos et analyses pertinentes de tous les invités.
Présentation très pointue de Clara Barge. Assurance et professionnalisme pleinement dans l'esprit ASI, très bonne diction, pas de superflu, grande efficacité au service de l'émission : bra-vo et longue vie ici ! -
C
Excellente émission, super invités, bienvenue à notre nouvelle présentatrice !
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LeCouzin
Très intéressant, je suis resté du début à la fin.
Et " du coup ", je me suis tapé un " du coup " à quasi chaque minute d'écoute.
Que pouvons-nous faire contre les " du coup " à chaque prise de parole ?
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Romaine du Nord
Au fond on est à peu près tous d'accord qu'il y a des biais énormes dans le traitement de l'information (que l'on soit rural, péri urbain ou autre) mais c'est parce que les journalistes sont tous à la merci de leur boss urbain.
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komp
En tant que sujet parlé, je commence par saluer la qualité des échanges que j'ai entendu dans cette émission. Ça tient évidemment de la qualité des intervenants et aussi du fait qu'ils sont tous globalement d'accord et ne s'invectivent donc pas pour un oui ou un non... Mon côté casse-pieds aurait été comblé si un "magnéto" de l'émission de 2023 sur la "mise en scène de la colère agricole" avait été analysée avec la même grille de lecture que celle utilisée pour l'Amour est dans le Pré. Si j'avais eu cet outil qu'est l'urban gaze, ça m'aurait évité de m'époumoner toute seule sur le forum de la dite émission .... Ce regard surplombant qui distribue les bons et mauvais points sur la base d'un horizon à atteindre défini par les besoins des consommacteurs urbains de la campagne (paysage, environnement, discours et produits) et les "entrepreneurs de cause" (tout nouveau concept pour moi aussi, mais qui dit mieux que tant d'autres termes (lobby, militantisme...) ce rapport malaisant qu'entretiennent les bonnes idées et le buisness de ces dernières.
Bref : bravo !
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Raminagrobis
Regard intéressant mais... sans surprise. Les médias " Bolloreistes" en bons rouleaux compresseurs nous assènent de leurs prêt à penser mortifères