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LG
Les acrobaties de N. Vallaud-Belkacem pour sauver le bilan des gouvernements auxquels elle a participé sont assez pathétiques...
D'ailleurs, je n'aimerais pas être à la place d'Emmanuelle Walter. Comment gérer cette invitée ? Soit on la laisse nous prendre pour des abrutis, en tentant d'effacer le souvenir des méfaits de son parti, afin de pouvoir se présenter comme l'avenir de la gauche... soit on la contredit, en la plaçant face aux faits, mais au risque d'un échange plus conflictuel et de perdant de vue le sujet de l'émission.
Vous oscillez entre ces deux options, avec une certaine agilité, mais le pari me semble perdu d'avance.
En conclusion, je trouve que l'invitation d'une ancienne hiérarque du PS et ancienne ministre de Hollande (et porte-parole du gouvernement) pour parler du présent et de l'avenir de notre société, est une idée vraiment farfelue.
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Mezian
Vallaud-Belkacem sur la radicalité ! Ce n'est pas pour ça que je paie un abonnement tous les mois.
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Winston Zweig
Y'a pas de sous métiers mais en fait si, y'a des sous métiers quand des femmes blanches font faire des métiers à des femmes non blanches dont elles ont décidés de se débarrasser... Faut savoir
La lutte des classes ça commencerait pas par dire que nettoyer des logements et des bureaux et garder et éduquer des enfants c'est très important et valorisant ! A quand une revalorisation des salaires ? le monde de demain commence c'est demain...
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freT
Extraordinaire cette manière d'interpeler l'ancienne ministre de l'Education par son prénom, Najat.
Sans lien direct, c'est une façon de faire qu'on a entendu par le passé avec Saddam Hussein ou Kim Jong-Un.
Je n'ai jamais entendu un journaliste invoquer Donald, Charles ou Vladimir.
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sophieb
(Ça faisait longtemps que je n'étais pas venue écouter une émission ici. J'ai beaucoup apprécié cet échange où la parole n'a pas été coupé par Emmanuelle Walter (merci) ni entre les intervenantes , où chacune laisse l'autre dérouler sa pensée mais où les questions sont néanmoins réellement posées)
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Ervé
Avant d'envisager 2021, si on fêtait 2020...
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lalalilala
NVB et Ouasak...C'est le retour en force des manoeuvres socialistes des années 2000? A Bagnolet tous ces braves gens si radicaux, ont rejoint Tony Di Martino, vieille baderne du PS. Mais après Oussak vient donner des leçons de radicalité ? Et avec NVB en plus ? Foutage du gueule.
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Nausicaa
Je suis très gênée par la tentative de retour de NVB dans l'espace médiatique. Elle restera toujours pour moi une opportuniste, une très mauvaise ministre du MEN, qui m'a coûtée des centaines d'euros par mois et qui fait l'inverse de ce qu'elle dit.
Rien de pire que les politiques prétendument de gauche qui font une politique de droite lorsqu'ils sont au pouvoir. C'est une cynique, on ne peut pas faire confiance à ce qu'elle dit.
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skotanax-120637 skotanax
Je viens de terminer l'émission. Je suis satisfait de la manière dont Emmanuelle Walter a conduit son entretien avec NVB. Elle lui en a mis juste ce qu'il fallait dans les dents, tout en douceur et avec le sourire ☺ Merci Emmanuelle !
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Lorie
Je viens de voir l'émission et avant de lire les commentaires, je tiens à dire bravo à Mme F.Ouassac!
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Dacoda
Je ne regarderai pas. NVB c'est zéro crédit politique, d'un gouvernement qui a été le pire du pire. Je rejoins de nombreux commentaires sur la politique éducative mis en place et autres. Je lui préconise un retour à l'anonymat complet pendant au moins une bonne vingtaine d'année encore. Qu'elle ne s'inquiète pas, nous n'avons pas besoin d'elle, on a déjà notre lot de ses anciens camarades de ministère à se délaisser.
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JeNeSauraisVoir
Faisons le pari que la ci-devant camarade Najat est sur le point de développer une certaine sensibilité à la radicalité et essayons de l’y encourager. Peut-être parviendrons-nous à obtenir d’elle et de ses semblables de faire avec nous le chemin vers cette gauche véritable, originelle, radicale ?
Emmanuelle Walter dit au sujet du livre de Najat Vallaud-Belkacem que l’essence de la gauche [serait de] « faire que l’aide aux plus vulnérables soit central ». Je suppose que c’est une restitution fidèle des thèses du livre cité. Mais c’est justement ici que réside le malentendu avec ces camarades qui font l’immense effort de se sentir concernés par le sort des plus vulnérables. Ils ne comprennent pas que le traitement apostériori de la misère avérée tient du paternalisme condescendant radicalement (oui c’est le mot) éloigné de l’objectif d’égalisation des fortunes pour lequel nos ainés sont entrés dans la carrière dont ils n’en sont que rarement sortis vivants !
Par ailleurs, les partis politiques ne parviennent plus à être la chambre d’échos de la radicalité du moment pour au moins une raison : les officines politiques ont pris l’habitude d’imposer une hiérarchie des luttes de façon à déboucher sur des solutions qu’ils savaient déjà mettre en œuvre. La chose a naturellement fini par montrer ses limites. La radicalité du moment résulte de ce que nous n’acceptons plus de taire nos revendications catégorielles au profit d’une hiérarchie des luttes imposée d’en haut. Nous allons même jusqu’à refuser (comme l’a montré la crise des Gilets Jaunes) que nos luttes aient pour (unique) résultat d’engendrer des représentants qui ne tarderont pas à s’accrocher aux strapontins qui leur sont offerts aux côtés des dominants en raison même de leur désignation par nous pour défendre notre cause.
Il semble alors que le remède à cette nouvelle radicalité soit la convergence des luttes qu’illustre la position de Fatima Ouassak. Mais cette idée de convergence n’est pas nouvelle. Par exemple on n’en a déjà parlé à l’occasion de « Nuit debout ». La convergence à quelque chose d’intégrateur (comme dise les informaticiens) qui ne manquera pas de produire, entre autres, ses préposés aux strapontins, sans doute le seul résultat que nous puissions escompter avec certitude ? A tout prendre, je préfère « l’articulation des luttes ». Le champ des possibles me semble ainsi rester plus ouvert ! Et pour ce qui est de produire du résultat autre que la conquête de strapontins, nous devrions essayer de faire un peu plus le lien avec l’histoire. Il a fallu 5 ans à nos ainés (de 1789 à 1793) pour parvenir à l’abolition effective des privilèges féodaux.
Ils ne sont toutefois pas parvenus à « égaliser les fortunes » comme ils l’espéraient. Les « bons » ouvrages d’histoire disent que cette égalisation visait principalement la réforme agraire. C’est la bourgeoisie girondine attachée à la conservation des propriétés qui l’a emporté sur les sans culottes. C’est tout naturellement que le pouvoir ainsi récupéré par la bourgeoisie s’est traduit par d’autres privilèges qu’il est assez facile de reconnaitre aujourd’hui : les privilèges actionnariaux ! Il me semble que ces privilèges constituent le point d’articulation ultime (la cause pour ainsi dire) des différents symptômes que nous essayons de juguler par nos radicalités multiples.
Je suis donc prêt à sortir ma fourche pour aller tancer qui de droit aux cotés des camarades Najat, Fatima, Emmanuelle, Mathilde, Daniel et bien d’autres pendant que les états généraux du 21ème siècle (nous finirons bien par les obtenir) débattront de l’abolition des privilèges actionnariaux ! C’est tout ce que je nous souhaite pour 2021 !
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TMTK
1- NVB parle du "care" (mot valise aux interprétations néolibérales possibles, au même titre que revenu universel, etc...) Quelles différences introduit elle avec le splendide et galvanisant discours de Véran? Pourquoi n'est elle pas interrogée dessus? La confrontation aurait surement donné des similitudes réthoriques troublantes, vu son utilisation de la langue de bois bon ton.
2- faire la critique du traitement médiatique de la solidarité dans les quartiers, c'est bien, en évoquer la vision raciale et sociale (grâce à Fatima Ouassak) c'est important, mais ne pas rappeler le désengagement total des gouvernements depuis plus de 30 ans (cf les actions de ces collectifs ou la pérennité des restos du coeur et le nombre de pauvres grandissants ayant recours à leur service) ne permet pas, à mon sens, une analyse pertinente de la structure socio-politique du problème et donc d'une réflexion sur la refondation de la gauche
3- D'ailleurs NVB n'arrive même pas à prononcer le mot "classe"... Une belle illustration de la trahison dont parle Fatima Ouassak.
4- je me pose des questions sur la pertinence sociologique de son utilisation de l'expression "classe ouvrière" pour parler de la classe des travailleurs précaires... Les prolétaires en somme... Je me trompe?
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romain gary
Arret sur image que j'aime!
à partir d'une heure :
Woo! C'est rafraichissant ce discours que l'on n'entend pas dans les médias ni nul part, et qui est une évidence :
Hollande et son gouvernement soi disant "de gauche" a trahi les classes populaires.
La loi travail passée en force avec l'anti démocratique 49/3 et etc...
(J'en était absolument persuadé avant même qu'il ne soit élu, alors perso, je me sens surtout trahi par ceux qui ont continué à croire en cette fausseté de coquille vide qui se nommait le PS)
Najat est pourrie mais n'est pas une pourrie :
En regardant l'émission entière, il faut tout de même percevoir et donc reconnaitre la sincérité d'une personne et de son discours.
Parce que sinon, vraiment, on ne voit absolument que de la langue de bois partout, et franchement c'est vraiment trop déprimant, et je pense que heureusement, c'est éronné !
Par contre, être à ce point incapable de voir les évidences du bilan du quinquennat PS;
et avoir ce mélange complètement ahurissant entre discours progressiste (qu'encore une fois je perçoit comme absolument sincère), et déni concernant ce bilan;
montre que c'est une personne sur qui l'on ne peut pas compter.
Aux moments décisifs (comme la loi travail) elle défendra systématiquement, et avec un fort déni, un gouvernement qui afficherai une pseudo couleur de gauche.
En ce sens, elle a trop fréquenté le milieu du système politique vérolé pour avoir la capacité d'en ressortir psychiquement indemne.
Allez, j'ai dit qu'elle est pourrie, j'y suis allé un peu fort : Elle est très abimée par trop de concessions que c'en sont des dénis.
La politique nouvelle; "politique" au sens de vivre ensemble; va se créer en dehors des systèmes politiques
Ce cnnr me donne envie d'aller creuser ce projet!
Depuis mon visionnage du film "la sociale", le CNR me parait un modèle hautement inspirant :
Cet équilibre des forces et des pouvoirs a permis à la France d'avoir construit une société ou il a fait bon vivre, pour la classe moyenne
(sans être parfait bien entendu, parce que ça n'a pas été si bon vivre que ça pour absolument tout le monde, notamment les immigrés post coloniaux et leurs enfants, et les classes les plus basses)
Cependant; et toujours dans cette idée peut être un peu idyllique d'un bon rapport de forces et de pouvoirs équilibrées; on peu tout de même continuer d'aller voter :
Pour élire un.e président.e :
ça ne sert rigoureusement à rien.
le système de vote présidentiel, ne permet en lui même rien de démocratique.
On peu voter blanc si on y tient.
Par contre, il peut être important de voter aux législatives, pour élire des sièges le plus possible à l'oposé de l'étiquette politique du / de la président.e
Il faut cesser de penser à "notre" président comme à un roi.
Et il faut contrebalancer au maximum son pouvoir qui est effectivement celui d'un roi.
Les législatives et d’élire un gouvernement de cohabitation (Tel celui de Chirac - Jospin) permet non pas de progresser, mais au moins de limiter les marges de manœuvre de destructions des gouvernements uni-étiquette.
Il est important de ralentir la destruction, le temps de construire une vraie politique des associations et des ong.
Aux législatives dernière, en Sarthe, il y avais le choix entre LREM et LR et j'ai voté blanc.
Dans ma nouvelle optique de constat toujours plus profond que le système politique officiel ne pourra pas redevenir démocratique avant très longtemps,
le vote ne doit à mon avis servir qu'à freiner les destructions des gouvernements trop uni-étiquette (quasi 100% LREM par exemple en ce moment)
Bonne année 2021!
De la lucidité sans cynisme :) -
bugz
@arretsurimages Imaginez une emission avec avec Marine Le Pen et Finkielkraut comme invité, et Zemour comme présentateur.
Emmanuelle Walter niveau zero de la partialité, qui est devenu radical? la gauche? ou votre journal?
Valez-vous vraiment mieux que BFM ou LeFigaro? Je perds la foi là, je suis pas sur de l'intérêt de cette émission autre qu'une vitrine politique?
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bensamos
Mon dieu, NVB (j'ai la flemme d"écrire son nom en entier, qu'a-t-elle fait pendant qu'elle était ministre de l'Education Nationale ? étant instit, je peste tous les jours de l'absence du moindre éclairage du fonctionnement de ce ministère, de la formation des maitres et maitresses, confiée à des perroquets sans convictions, des girouettes, placés là, par des inspecteurs, pour porter leurs valises remplies de vent, de modes pédagogiques, de défiance et de mépris. NVB a-t-elle stoppé l'avancée du management débile, des évaluations continues qui minent le moral des plus faibles, l'empilement des "savoirs", le nombre d'élèves par classe, ce que Sarkozy a fait, elle l'a accompagné, elle a contribué à la lente destruction de l'école pour tous, et ce ne sont pas les 90 euros qu'elle nous filé juste avant les élections qui changeront cette triste réalité. Appel à journaliste : qui pourrait faire un travail de fond sur l'école primaire, quand j'allume la radio je n'entends que la voix du ministre, ses annonces. Même pour le covid 19 il n y a rien, seul la voix de l'état fait foi, c'est insensé et mensongé du coup !
bon j’arrête je suis agacé
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Asinaute sans pseudo f0152
Le care est une ruse du néolibéralisme.
Caroline Ibos, Aurélie Damamme, Pascale Molinier, Patricia Paperman
2019
Sous de bonnes intentions affichées, le discours du care ferait-il le jeu du néolibéralisme : dérégulation et intermédiation du travail de care, renforcement des contrôles sur les personnes, dépolitisation ? En insistant sur l’importance du « soin à la personne », le care légitimerait-il le développement d’un « grand marché du soin d’autrui » soumis aux logiques néolibérales dérégulées et à l’émiettement des prestations, depuis les soins indispensables aux soins de bien-être (relaxation, cosmétiques, etc.) ? Quant à la promotion de l’éthique du care, n’aurait-elle finalement servi qu’à augmenter les exigences envers les travailleuses en les soumettant à des injonctions morales afin d’augmenter la performance, tout en cadrant « le travail émotionnel » dans des chartes de qualité, des trousses de bientraitance ou autres guides de bonnes pratiques pour standardiser et contrôler le facteur humain ? Le care ne serait-il alors qu’un miroir aux alouettes, la face morale du capitalisme, anticipant et légitimant un tournant moral dans l’action publique néolibérale ?
La première ruse serait d’associer le travail domestique au travail du care. Selon les sociologues François-Xavier Devetter et Sandrine Rousseau, « les pistes souvent évoquées pour “revaloriser les pourvoyeuses de care” s’appuient sur la dimension morale et émotionnelle du travail du care. Sauf à considérer que s’occuper des biens des plus riches puisse répondre à ces caractéristiques, le travail des femmes de ménage ne peut bénéficier de cette revalorisation… -
golgoth78
tiens ! plus de masques?? ah ah ! Et oui Asi ! Très difficile en effet de critiquer les dérives "hygiénistes" des forces de l'ordre tout en continuant à porter des masques sur des plateaux ...Faudrait pas qu'on traite asi de collabo_facho_racistes...Ce ne serait pas malin...hein....Mais quelle hypocrisie...