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walaziz
Paul Ardenne qui nous parle des Yes men vers la fin de l'émission. :)
Amusant car eux aussi ont pu coincer d'autres politiciens français comme Balkany par exemple.
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Asinaute sans pseudo 8bf9c
Art ou politique, réussie ou nulle... Merci Piotr Plavenski pour avoir amené et élevé le débat sur l'art actuel (puisque le mot conteporain en défrise quelques un.es). Ca change des sempiternels décomptes des millions de la dernière vente aux enchères.
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sigir
Je trouve étonnant, et même faux, de parler de "performatif" en indiquant son sens en français, alors que dans le contexte de cette émission il s'agit d'un anglicisme (sauf si en anglais le sens est similaire, mais il aurait fallu le dire). Je pense qu'à chaque fois que ce mot et ces déclinaisons ont été prononcés, c'était dans le sens anglais.
Je n'ai pas reécouté l'émission pour vérifier, mais je ne me souvient pas que "performatif " a été utilisé. -
Kloé
1. Merci pour cette émission qui éclaire tout à fait une activité absconse dans la palette des activités artistiques. On comprend vraiment mieux le lien entre art et performance y compris lorsque l’esthétisme de la performance n’est pas recherchée (l‘esthétisme au sens restreint de la recherche du beau);
2. Pour aller dans le sens d‘une recherche d’antériorité (dadaïsme) ou plus exactement, ne faut-il pas compter Serguei Paradjanov au nombre des performeurs, lui dont les films offrent un écrin, font comme des réceptacles, se comportent comme des supportS de archives (la vidéo du performeur contemporain) à la conservation d’une succession revendiquée de tableaux artistiques sublimes (: là pour le coup ultra esthétiques, d‘une beauté inouïe) et raconte la culture et les traditions séculaires des peuples du Caucase (politiquement des micronations / l’Hypernation)...
3. Apparemment la performance est très tôt persécutée par le politique : là encore Paradjanov... mais qui d’autres, il faut vérifier notamment dans le cinéma italien...les assassinats ne sont-ils pas la forme finale de la persécution ?
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Lorie
Je ne sais pas si Pavlenski est un artiste,ce que je sais c'est que c'est un anarchiste. Dans l'émission et les commentaires on n'a parlé que d'art mais pas d'acte. je ne pense pas que PP soit un moraliste,il a agi politiquement pour barrer la route à un homme d'état il a très bien réussi,le malheur c'est qu'il donne des voix à Agnès Buzin.
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Caroline Guth
Il y a, me semble t'il, un point qui devrait être opposé dans cette histoire à la "condamnation morale" de l'oeuvre Pornopolitique de Pavlenski que fait Monsieur Ardenne (comme beaucoup): c'est que B. Griveaux en se positionnant lui-même sur le plan privé comme "mari rêvé" (dans sa com de campagne) et mettant cela en avant comme exemple de son intégrité et de sa probité pour se vendre sur le plan politique, s'est lui-même exposé à la critique et au contre-argumentaire sur le sujet en question. .On ne peut pas placer sa vie privée dans le champ du politique et du débat publique, en faire une "res publica", et ensuite dire lorsqu'un adversaire vous renvoie dans les cordes "C'est immoral, , c'est pas de jeu".
Pavlenski le souligne à plusieurs reprises, le terrain de la vie privée est choisi PAR Griveaux, comme argumentaire de campagne. On n’a pas attendu la fameuse sextape, pour rentrer dans son intimité, porte très complaisamment ouverte. Ce n'est donc pas de revengeporn qu'il s'agit ici -qui consiste à divulguer les images pornos pour humilier ou faire pression sur la personne- mais bien d'un contre-argument politique. Et l'hypocrisie que pointe par contre-coup Palenski, est au-delà de la personne de Griveaux : toute cette mode de communication des hommes politiques autour de leur vie privée, matrimoniale, parentale, filiale, photos de vacances avec maillot et conjoint (et chienchien si on vise les mamies), n'est que mise en scène sordide et cynique. "Je suis une personne bien/ cool/normale (rayer les mentions inutiles si il y a) dans le privé, donc je le suis aussi en politique, donc votez pour moi!". Cette prétendue intimité n'est et ne peut-être que mise en scène, puisque sa pénétration est d'avance consentie et balisée. Donc d'aucune "garantie" sur les qualités humaines réelles du prétendant. Partant, on (=presse et politiques ensemble) prend les citoyens-électeurs pour des quiches molles à longueurs d'interview-verité et de couvertures de Match. Quand on place le débat sur la couleur du maillot ou des chausetttes, l'argument donc le contre-argument sera nécéssairement sous la ceinture..Voilà plus largement l'hypocrise que met en scène et dénonce l'oeuvre Pornopolitique.
Pour la notion d'oeuvre artistique, cette excellente émission anime et ranime le débat dans toute sa complexité et ses contradictions passionnantes.
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Asinaute sans pseudo 75cda
J'ignorait tout de ce domaine artistique et après avoir regardé votre émission que j'ai trouvée surper intéressant, je me sens moins bête qu'avant. et ce Monsieur que l'on présentait comme un hurluberlu, un cinglé et je ne sais quoi encore de pas sympa, me semble plus proche, plus authentique même si je n'approuve pas sa dernière oeuvre artistique dont Griveaux, pour qui je n'ai
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tosh
Ce débat me rappelle ce passage mémorable de la très politiquement correcte et moralisatrice série "the west wing" discutant du bien fondé des subventions publiques accordées à ces performances dont le côté artistique est pour le moins subjectif. une des performances fictives citées dans la scène ressemble fortement à ce que fait Sarah Trouche (une femme nue qui s'enduit de chocolat et chante).
sorry english only.... pas trouvé de version sous titrée.
Pour moi le débat est tranché et je rejoins ce qui a été dit dans moultes commentaires, c'est l'artiste qui détermine ce qui constitue une oeuvre ce qui ne veut pas dire que cette oeuvre soit de bon goût , utile , legale ou morale......
Dans ce cas precis si je fais abstraction de la personne de Griveaux qui est un politique relativement médiocre (comme le sont une bonne partie des politiques "professionnels") et dont certains diront qu'il récolte ce qu'il a semé je trouve cette oeuvre plutôt nulle et sans grande créativité..... faut il pointer l'hypocrisie et la déconnection des politiques ? oui mais pas n'importe quel prix.
Pour le reste je rejoins en partie korkos c'est quand même mieux quand une oeuvre n'a pas besoin d'explication de texte pour être appréciée et l'art contemporain reste un domaine largement manipulé par la spéculation et il faudra laisser l'arbitrage de la qualité de ces oeuvres au temps.
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grrrz
d'accord avec Ardenne; c'est bien l'artiste seul qui décide que son geste est un geste artistique et si ce qu'il fait c'est de l'art et personne d'autre. Évidemment ça ne préjuge pas de la qualité de ce geste ou de cet œuvre; ni de si elle sera seulement vue ou reconnue.
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Fran?ois Chevret
« Vous allez sans doute mal le prendre mais cela me fait penser à de l'imagerie publicitaire ! »
C'est tout le paradoxe du travail de Sarah Trouche. Car bien évidemment que ce n'est pas un hasard si dans toutes ses performances, elle apparaît nue. La publicité depuis ses début n'a pas trouvé meilleur moyen pour attirer l'attention du spectateur que le corps de la femme, et si possible nu.
La nudité féminine, la couleur, l'image composée… comment ne pas voir que c'est beaucoup plus la finalité esthétique et graphique qui est recherchée que la dénonciation ou la prise de risque. La mer d'Aral, le Paris Dakar ou la place Tian'anmen… on a du mal à situer la critique dans tout ça.
Il aurait sans doute été plus judicieux d'avoir sur le plateau de l'émission une artiste comme ORLAN, qui aborde depuis des années les question de corps, de représentation physique de la femme, de beauté et de double virtuel..
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Willow
Chapeau Leïla Veron pour la démonstration finale !
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Germain RITAL
L'obscène et l'obsolète
Autant la pavlenskienne "performance"évoquée atteste d'un côté de la congruence de la définition par Jarry du pouvoir par sa "crudité": obscénité-cruauté, et de l'autre côté de son orwellienne mensongère "médiaticité", autant le "débat" sur l'oeuvre d'art proposé dans l'émission témoigne d'une incapacité ne fût-ce que de soupçonner quelle était la question qu'il aurait dû affronter: celle du caractère académiquement obsolète de l'esthétique à laquelle cet '@sien plateau s'est en l'occurrence confié.Obsolescence en effet de l'esthétique de l'"art", de l'"oeuvre", et de l'"oeuvre d'art". C'est à l'opposé à une pensée d'une tout autre portée: celle du "désoeuvrement", qui se dit mieux en italien inoperosità*, qu'il conviendrait de s'ouvrir. Car, faut-il apercevoir, le non-art (appelé désormais notamment "art conceptuel") obscènement illustré, sinon inauguré, par la fameuse "Fontaine" de Marcel Duchamp, n'est que l'ubuesque mercantile manifestation de l'impossibilité de faire oeuvre en la modernité. En tous domaines, sans exception: tant économique, politique, scientifique, philosophique qu'artistique. La question étant d'abord en chacun de ces domaines de ne pas s'y commettre en l'arnaque ou de s'y... gogo-soumettre.
*Terme proposé par Giorgio Agamben qui au demeurant le traduit lui-même en français par "désoeuvrement". Faute de mieux sans doute. Après Kojève (pour revenir à la Russie!), Raymond Queneau en aura mieux que tout autre en France de sa génération, celle de la Libération (Sartre, Merleau-Ponty, Beauvoir...), illustré la ligne (fermée) d'inspiration.
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Chrémès
J'aime bien le vendredi soir car je vais voir le sujet de l'émission avec un roulement de tambour dans la tête jusqu'au coup de cymbale quand le titre apparaît. Las : encore cette foutue affaire... (Pour les ceusses que ça peut intéreser, écouter ou réécouter ceci : https://www.franceinter.fr/emissions/le-billet-de-francois-morel/le-billet-de-francois-morel-21-fevrier-2020 .) Et en plus, y'en a qui apportent du crédit à cet ex-Russe qui se fait passer pour un artiste... Quand le sujet me donne envie de regarder, je vais voir, ce n'est qu'ensuite que je m'amuse à lire les commentaires. Et quand le sujet me paraît peu attirant, je vais directement aux commentaires pour être sûr de ne pas manquer quelque chose de plus intéressant que ce que le titre sous-entend. Cette fois, je n'ai pas été convaincu. Je ne regarderai pas cette émission (c'est rare), surtout après avoir lu le commentaire de Alain Korkos, qui confirme ce que je ressens et auquel j'ai mis un « J'approuve ».
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Claude B.
Madame Ackermann a raison : si la publication de la vidéo sexuelle de Griveaux n'est pas la meilleure performance de Pavlenski, c'est bel et bien un acte politique authentique car ce n'est pas la liaison adultère de griveaux en elle même qui est en cause, mais son mensonge en tant qu'homme politique.
En effet, en sollicitant d'être photographié par Paris Match en compagnie de sa femme enceinte, il affirme, en exposant cette image, qu'il adhère à des valeurs : celles de la fidélité dans le couple et de la famille. Cette exposition publique a valeur de proclamation, d'engagement moral et comporte donc implicitement la condamnation de l'infidélité. " Regardez, voici qui je suis et comment je vis ". Et cette image vaut pour aujourd'hui, pour demain et pour l'éternité.
Il est donc parfaitement légitime que Piotr Pavlenski ait voulu coincer l'hypocrite. L'ayant fait courageusement, sans masque, c'est en cela que son acte est politique.
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Pseudo 44e74
La traductrice l'a assez bien dit, le "vol" puis la diffusion d'une video de nature éminemment privée, n'est pas une "performance" de PV de la même nature que ses précédentes.
La raison en est simple : il n'y a aucune performance artistique dans cette manœuvre là dont le scénariste et l'acteur principal sont Griveaux, son public initial la jeune femme. Je ne vois pas comment on peut qualifier d'oeuvre d'art un événement filmé sur lequel "l'artiste" n'a aucunement mis sa patte.
Quant à la mise en ligne de la video, c'est à dire la révélation au grand public d'un fait conçu pour demeurer privé, il s'agit évidemment là d'une action politique puisqu'elle avait clairement pour objectif de détruire la réputation de Griveaux, le mettre face à ses contradictions. Du reste, à l'origine, la video a été envoyée à la presse pour diffusion : je cherche encore l'inspiration et la touche artistiques dans ce scenario là.
Le respect strict de la frontière entre le public et le privé est le signe des démocraties. Sa violation est le propre des régimes autoritaires.
L'art a bon dos, comme d'habitude, ce petit bouclier bien commode qui, ici, a vocation à transcender un acte autoritaire et abject en un truc désincarné d'inspiration quasi divine qui serait au dessus de tout soupçon.
Perso, je tiens bien plus au respect de la frontière public /privé pour tout le monde qu'à mettre X ou Y face à ses contradictions. Piotr prétend être contre tout Etat autoritaire. Lui-même ne se comporte il pas comme un Etat autoritaire en imposant, sans la moindre légitimité, ce genre de sanctions ? Qui est il pour nous imposer son point de vue ?
Plus largement, en regardant les "performances" de PV, je vois surtout du narcissisme, un énorme narcissisme qui ne laisse place à quasiment rien d'autre. Se clouer les couilles au sol avec l'image en gros plan : on ne peut faire plus égo-centré.
La petite dame invitée, fort sympathique par ailleurs, c'est la même chose. Non ce n'est pas Disney Land, c'est une femme nue peinte en rouge qui joue avec des lanternes, qu'on regarde et qui est là pour qu'on la regarde. L'art a nécessairement une dimension narcissique mais ne doit pas se réduire à cela.
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freT
Je compte faire une performance, tout nu, non filmée dans mon jardin pour exprimer mon soutien aux mouvements écologistes et contre le bilan carbone de Me Trouche : se déplacer au kazakhstan, en Chine ou au Maroc pour s'y faire filmer quelques minutes me désopile....
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Simon Delvaux
Émission très intéressante qui me donne envie de poursuivre (brièvement, sinon je vais perdre tout le monde) l'analyse de Laelia Veron sur le performatif en linguistique et en art, en faisant un excursus par l'Égypte antique où l'écrit, de même que l'art sont performatifs.
Ainsi, par exemple, une scène d'un pharaon faisant offrande au dieu fonctionne de manière effective et autonome tant dans sa représentation que dans le texte qui l'accompagne (qui généralement décrit au moins l'action) texte qui, pour rappel, est figuratif.
Ajoutons qu'il n'est pas rare de voir sur les murs des temples ce qu'il y avait dans les temples. Il y avait donc des représentations perfomative décrites par un texte perfomatif (à moins que ce ne soit l'inverse ou les deux à la fois) d'un contexte, effectif, dans lequel ils (représentation et texte) se trouvaient. Comme par exemple une barque divine reposant sur son socle et entourée d'offrande représentée dans la salle où était conservée entourée d'offrandes et sur son socle la barque divine.
Cette remarque fonctionne également avec l'exemple du pharaon faisant offrande. Si dans la réalité il ne faisait pas de manière effectives les offrandes, ces dernières étaient faites par des délégataires (les prêtres) à sa place.
Bref, les anciens Égyptiens sont donc peut-être les premier performeurs d'un art total. A moins plutôt que ce soit leur art performait leur vie…
Et donc aujourd'hui, artistes performeurs ou performés ? -
Franck G.
Ah ! Si Griveaux se l'était peinte en bleu ( bleu touareg ou bleu kazakh j'hésite encore), cela aurait eu plus de gueule ...
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jayleb
J'ai une question.
En allant sur le site créé par Pavlenski "pornopolitique.com" sur lequel se trouvait la vidéo (désormais plus accessible, du moins depuis mon ordi), je comprenais que d'autres images ou vidéos allaient s'ajouter. Le site serait sa toile. C'est très approximatif mais j'y ai vu un onglet "archives", un "à propos", un article / interview récent de la cicciolina... quasi tous les articles écrits en russe non traduits... On voit aussi quelques échanges de conversations en copies d'écran gif qui défilaient et montraient en live une correspondance entre 2 contacts : Griveaux et la femme (encore je ne sais pas si ce sont eux, je ne vois jamais leur face) comme si nous vivions cette conversation. Il n'y avait pas que la vidéo...et il ne l''a pas lâché isolée sur le net sauvagement. Il l'a mise en scène sur un site qu'il crée, manipule, met en forme. Ce qui a été écrit en français est-il écrit de la main de Pavlenski? Je crois qu'il était crédité comme auteur de ce site.
Alors que DS parle d'"érotisme" quand il voit le corps de S.Trouche - ce qu'elle ne valide pas, Pavlenski parle de "pornographie". Voire de site "porno". Pas le même champ, pas les mêmes codes, pas la même toile et il y colle des datas non protégées qu'il a volé dit-il.
Ma question c'est pourquoi n'évoquez-vous pas ce site pornopolitique.com?
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Carlet
Que dit le critique d'art sur la position de Leïla Veron concernant l'art dans un groupe social ou tout le monde serait artiste ?
"Là on sent la casuiste" ?
J'ai cherché la définition de casuistique les polémiques entre jansénites et jésuites mais je ne comprends pas le lien avec la position de Léïla Veron dont je ne perçois par ailleur pas l'objectif ni l'intérêt sauf à imaginer une explication psychanalytique à son désir d'être artiste elle même...