-
Korama
Intéressant de revoir cette émission aujourd'hui, à la lumière du "cas Grec".
Devrait être accessible à tous le monde ! -
Gérard Colin
Mme Guigou, n'est-ce pas diaboliser le peuple français qui a voté à 54,9% NON au projet de constitution, que d'avoir
voté :
- 1) le changement de la constitution française (
http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo9000.asp )
- 2) le Traité de Lisbonne ( http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo0083.asp )
Et pire le 14 juin 2005 au parlement européen, .. notamment contre " (...) et exprime solennellement son respect pour
le choix démocratique de la France et des Pays-Bas d'avoir voté "non" à 54,9 % et 61,6 % respectivement ; "
(
http://www.observatoiredeleurope.com/47-eurodeputes-francais-rejettent-le-resultat-du-referendum_a480.html )
Si le PS n'a pas diabolisé le peuple français qui a voté NON ( non pas à l'Europe, et pas par rejet quelconque ..,
mais en ayant substantiellement analysé ce traité même simplifié qu'on nous a dit .. ), c'est qu'on ne parle pas
la même langue .. ?
C'est bien un déni de démocratie !
Rappel :
- Traité modificatif ou traité de Lisbonne, Traité dit simplifié ..
-
Déni de démocratie et laïcité en danger : le Traité de Lisbonne ratifié par l’Assemblée et le Sénat .. -
Rosalie
Super émission ! Trois mois plus tard, elle n'a pas pris une ride.
Aujourd'hui, université d'été du PS. La question reste : quelle remise en cause du traité de Lisbonne, du statut de la BCE, de la politique économique catastrophique imposée par le FMI à la Grèce et aux anciens pays de l'est qui (aur)ont des conséquences sociales (et économiques) dramatiques mais qui plaisent bien "aux marchés" ?
J'ai beaucoup aimé l'idée de JFK selon laquelle au nom de la concurrence libre et non faussée, il faudrait interdire le dumping fiscal et le dumping social. Formidable ! Qui s'y colle ? -
Secundus
MAIS LAISSEZ PARLER VOS INVITES !!!
24 minutes, Madame Guigou ne peut pas finir un seul de ses argumentaires... pénible!!!! Elle est "attaquée"... soit... elle a quand même le droit répondre? Elle a le droit de ne pas être interrompue à tout bout de champ? de terminer?
chaque participant a des choses tres interessantes à dire et j'aimerais pouvoir les entendre s'exprimer à égalité.... merci -
VICTIME DE LA CENSURE D'@SI !!!
Dans la série tout le monde s'en fout et les marchés aussi, ...
Ce matin, l'agence de notation-crédit Moody's a dégradé de deux crans sa note sur la dette souveraine du Portugal, la ramenant à 'A1' contre 'Aa2' précédemment. Elle souligne que cette décision vient clore l'annonce, le 5 mai dernier, d'une mise sous revue des notes du pays en vue d'une possible dégradation.
Une crise de l'Euro, où ça?? Le CAC a fini à + 1,92% comme tous les marchés... Après s'être goinfré sur une crise scénarisée qui arrange tant de monde, ce genre de nouvelles n'intéresse vraiment plus personne et plus aucun financier. Ce sont des clapotis de marchés! -
Yves BOURGUIGNON
Débat confus, pas très équilibré.
Des animateurs dont on ne sait plus s'ils sont là pour animer ou pour livrer leurs propres opinions.
Un sentiment d'inachevé, de problèmes mal posés et de positions peu documentées.
Sur la mondialisation qui irait plus vite que l'Europe, on en parle comme si l'Europe se faisait imposer cette mondialisation alors qu'elle en est l'acteur. En fait elle y pousse tant qu'elle peut et la Commission européenne fait ce qu'il faut dans les négociations commerciales, quitte à sacrifier les intérêts européens, aveuglée qu'elle est par ses préjugés idéologiques. Elle le fait sans avoir la légitimité démocratique et dans une habile répartition des rôles entre les lieux de pouvoir européens qui permet d'imposer aux peuples cette politique absurde sans risque de sanction électorale.
Ce n'est pas l'Europe qui subit la mondialisation, ce sont les peuples européens qui subissent les effets d'un système où les élites mondialisées imposent leurs choix en contournant les aspirations des peuples. -
STaBiLoBoSS
Excellente émission ! Quasi HS moitié du temps mais tellement bonne !
J'espère que Dupont Aignant va percer, car il est le seul a voir clair dans l'hypocrisie générale
Le Topo sur la gouvernance était au poil, très lourd en sens, il l'a très bien compris et est même sorti de sa réserve habituelle assez prudente sur ce terrain.
Il est grand temps d'ailleurs d'arriver sur ce terrain.
Remarque à propos de Guigou, d'une suffisante langue de bois comme à l'accoutumée....
Qu'elle joie de la voir déguerpir... Ouf! Une vraie plaie. -
__Vinz__
Belle émission. Effectivement Mme Guigou, même si elle est une bonne invitée (de par sa connaissance des dossiers), est assez saoûlante de par ses interruptions constantes (NDA la supporte bien de ce côté-là). Le plateau est effectivement plus calme lorsqu'elle part.
Merci sinon à @si de
+ faire de vraies émissions sur l'économie, c'est vraiment passionant
+ d'inviter des gens que l'on voit rarement sur les médias traditionnels
+ creuser des sujets trop peu étudiés -
Fan de canard
Quel boxon ! -
pow wow
Faites l'amour, pas la guerre. -
Sophie
Chers @sinautes,
Je poste en bout de forum afin d'attirer l'attention de tous sur la teneur des messages de monsieur Guyot puisque je suppose que beaucoup ne les lisent plus.
Jetez un oeil, je vous prie, à la liste de ses derniers envois. Vous constaterez qu'aucun ne concerne les thèmes des divers forums où ils sont postés. Tous en revanche ont quelques points communs : ce sont tous des messages qui visent le même @sinaute, ce sont tous des messages fielleux, insidieux, visant à blesser et à éreinter par des attaques incessantes, personnelles, méprisantes et dégradantes.
Chacun peut constater qu'il ne s'agit plus du tout d'une anicroche un peu enflammée entre deux contradicteurs mais de fiel agressif et malveillant n'ayant plus aucune mesure avec le débat. Pour exemple, en arriver à souhaiter la mort de son interlocuteur sur un forum me paraît franchement malsain.
Non content d'être parvenu à dégoûter de se réabonnerce contributeur intéressant, courtois et attentif à ses interlocuteurs, monsieur Guyot s'est manifestement donné comme objectif de le chasser de tous les forums en le poursuivant de sa hargne venimeuse.
Si nous souhaitons tous pouvoir nous exprimer en confiance sur le principe que les forums sont des espaces de dialogue et d'échange qui supposent donc une bienveillance mutuelle et une volonté de se comprendre sans procès d'intention ni désignation d'ennemi, je crois qu'il faut que nous ne laissions se dérouler sous nos yeux cet acharnement. Je vous invite en conséquence à user du bouton d'alerte et à l'indiquer dans un post. -
Cyrille
Bonjour,
Je voulais faire une remarque sur ce qu'il me semble être une erreur d'Anne-Sophie. Vers la fin de l'émission lorsque le sujet porte sur des universités européennes, Anne-Sophie parle d'une démarche avec la Lorraine et la Sarre. Je pense qu'elle parle du projet UGR (Université Grande Région) que je connais bien pour y travailler. Il s'agit d'un projet européen dont le partenariat réunit les universités de Lorraine, de la Sarre, du Luxembourg et de Liège. Il ne s'agit cependant pas d'un projet de fusion, mais de mutualisation. -
Rigopoulo
Bonjour,
Juste une question : pourquoi les journalistes, et Daniel également, doivent-ils interrompre leurs invités ? Ne peut-il y avoir un bâton de parole ? C'est très fatigant à écouter, cela frustre invités et internautes. Daniel, ne pouvez-vous briefer vos invités avant l'émission sur les questions qui seront posées et le temps qui leur sera donné ? On suppose que les internautes ou auditeurs vont se lasser si le débat ne rebondit pas immédiatement ?
Anne -
DanetteOchoc
Je viens de terminer le visionnage de l'émission.
Décidément il se dit des choses sur les plateaux d'@si que l'on n'entendrait pas dans d'autres media.
La chronique d'Anne-Sophie sur le mot "gouvernance" est à cet égard absolument passionnante : elle est révélatrice de la lame de fond qui traverse nos démocraties malades, qui abandonnent leur pouvoir au profit du secteur privé ou d'autres entités comme les organisations internationales (puisque telle est la nature juridique de l'Union européenne), bien que ce transfert de pouvoir n'ait dans un cas pas les mêmes motivations et finalités que dans l'autre.
La chronique fait naître un malaise terrible dans mon esprit de juriste passionnée de multilatéralisme. Ma thèse porte précisément sur les traités interétatiques qui transfèrent des responsabilités à des organisations internationales. Le sujet comprend des implications juridiques complexes qu'il est inutile de développer ici mais son choix n'est pas innocent : je suis persuadée depuis mon plus jeune âge que la coordination des activités étatiques, et au-delà la coopération, est le meilleur moyen de régler en commun des thématiques qui dépassent le cadre national (environnement, finance, commerce mondial, trafic de stupéfiants, protection des civils et militaires en temps de guerre, etc.).
J'en suis encore plus convaincue lorsque je réfléchis à la sécurité collective, dont la centralisation au sein d'un même organe (conseil de sécurité des nations unies) est la condition de la paix mondiale : l'idée même d'alliance militaire régionale me rebute, parce qu'elle suppose l'opposition de forces ou de blocs, et porte donc en elle le germe de conflits potentiels.
Problème : ces transferts de compétence se doublent d'une méfiance étatique à l'égard des institutions attributaires de cs mêmes compétences, phénomène qui entrave souvent leur action. Problème encore plus grave à mon sens soulevé par Fred B. il y a bientôt un an à l'occasion des élections régionales sur les fora d'@si, le déficit démocratique qui accompagne ces transferts de compétences : le fil entre l'épicentre décisionnel et les populations est distendu puis peu à peu coupé, et l'Europe en est l'exemple le plus frappant.
J'ai longtemps défendu l'Europe, celle du discours Schumman d'abord, puis celle du commerce et des frontières intérieures disparues, avant de me rendre compte des ravages économique qu'elle provoque et de la normalisation accélérée qu'elle induit, dans tous les secteurs des activités humaines - le tout sans que les citoyens européens aient le droit véritable d'en rediscuter les conditions - je ne referai pas ici la revue de jurisprudence déjà faite sur d'autres fils, qui endormirait tout le monde. En ce sens la technique du traité interétatique comprend une dimension politique forte relativement anti démocratique, et je dois dire que l'admettre m'arrache les doigts à mesure que je tape sur le clavier.
Les aspirations de NDA, relativement au protectionnisme, par exemple, me rendent l'esprit chagrin :j'ai déjà posté ici en ce qui concerne la marge de manœuvre juridique, quasi nulle, laissée à l'Europe par la ratification des conventions multilatérales de l'OMC, mais sans rien dire des règles des traité de Rome sur le même sujet : c'est que la marge est ici encore réduite à néant, et je ne vois pas en quoi sortir de la zone euro, ce qui est parfaitement possible, résoudrait la question de la protection de nos industries, services et agricultures européennes.
Il faudrait pour cela, 3 hypothèses, alternatives ou cumulatives, au choix :
- que l'UE sorte de l'OMC comme je l'ai dit plus haut - ce qui permettrait de se défaire des règles relatives aux obstacles tarifaires et non tarifaires au commerce, et revenir à un protectionnisme de l'Europe contre le reste du monde
- renégocier un traité européen dont les termes seraient radicalement nouveaux et ne reposeraient pas sur une "libre circulation des marchandises, personnes, capitaux et services", ce qui reviendrait en fait à redessiner les frontières étatiques au sein même du marché commun
- que la France sorte non seulement de la zone euro mais encore de l'Union, comme le préconise J.-M. le Pen.
A ces phénomènes de blocages institutionnels et juridiques, qui dessinent en fait un monde voué à la privatisation de toutes les activités économiques (dont bien évidemment aucun domaine n'est voué à être exclu, comme la santé, l'éducation, et bientôt pourquoi pas la sécurité publique et l'activité militaire) s'ajoute une dérégulation extrême qui prive là encore les pouvoirs publics de toute puissance véritable. L'équilibre des forces jouant chaque jour davantage au profit des premiers au détriment des seconds, et rien n'étant fait pour freiner le phénomène, la course n'est pas prête de s'arrêter.
C'est ainsi que le monde de la gouvernance devient global, faisant disparaître avec lui l'intérêt général, le bien public, le pouvoir politique légitime et rediscuté à chaque élection. L'émergence d'autres activités à caractère transnational, comme le net par exemple, contribuent à rendre caduque la notion même de Nation, voire d'Etat, tout simplement.
Pour résumer, la gouvernance livre les hommes à l'activité privée, transnationale, sans ancrage, sans contrôle, ôtant à ces derniers tout pouvoir de résistance, par une savante dissolution de l'intérêt collectif au profit de l'individuel.
A quand la révolution ? -
Varlin
Cet emballement d%u2019aujourd%u2019hui est d%u2019autant plus étonnant que lors de la création de l%u2019euro, qui n%u2019est pas si ancienne %u2013 à peine dix ans, puisqu'il a été mis en circulation le 1er janvier 2002- tous ces vices de fabrication avait été tus, presque personne n%u2019en avait parlé.
J'ai rien compris. C'est de l'Égyptien ancien ? -
sharp
Débat de pauvre qualité. J’ai été effaré par les arguments de DPA, le peuple Allemand est resté docile et discipliné comme du temps du troisième Reich, qui est en train de se réaliser avec l’union européenne. Racisme ? Pas du tout, comme Le Pen dirait les africains sont bien chez eux, DPA ne voit pas de mal chez les Allemands tant qu’ils font leurs affaires chez eux. Comme dans les années 30, chacun gère la crise chez soi et tout va bien se passer. Guigou n'écoute personne et ressort un peu toujours les mêmes arguments depuis les débats sur le traité de Maastricht. Plus personne n’écoute JFK aussi brillant qu’il soit par instants.
Je voudrais revenir au sujet du débat sur le traitement médiatique. Et plus particulièrement à une question posée par Daniel Schneidermann. Il a demandé deux fois à Mme Guigou, si la presse n’avait pas caricaturé les anti-euros en beauf. Les reportages à la clef montraient Philippe De Villiers refusant la monnaie en euros dans un café et plusieurs reportages du 13 heures de Jean Pierre Pernault. C’est très fort de prêter à TF1 la volonté à travers ces reportages de promouvoir l’euro en caricaturant les partisans du Franc. Serait-ce en fait du billard à trois bandes ? Jean Pierre Pernault est-il un intellectuel de gauche, qui ringardise la droite par ses reportages et ses commentaires poujadistes ?
Je pense que la question traduit plus un malaise de Daniel Schneidermann et de l’équipe d’@si de se retrouver de ce coté là de la barrière. -
Dzonkha
Bonjour,
J'ai simplement regardé l'intervention de Lucie qui m'a mise très mal à l'aise. Il me semble que cette marée noire est quand même une catastrophe écologique terrible. Et je la vois sourire, presque rire, ravie de mettre à jour le manque de rigueur professionnelle des journalistes dans le traitement de cette information. Je n'ai rien contre "Lucie" et je pense même que son sourire "déplacé" (vu les circonstances du sujet dont elle parle) est peut être dû à une gêne, je n'en sais rien en fait.
Je voudrais simplement attirer votre attention sur le fait de ne pas oublier, derrière la critique du traitement de l'information, l'Information elle-même. Parfois on a l'impression que vous, l'équipe d'@si, êtes simplement très "contents de vous", de pouvoir montrer à quel point "lémédia" sont nuls... N'oubliez pas de rester connectés à la Réalité elle-même, on n'est pas dans le jeu des 7 erreurs où c'est le meilleur qui gagne. -
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