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YG
Le journaliste de Mediapart sauve l'honneur, les autres ne voient pas le problème. Les citoyens l'ont bien repéré eux et faut pas s'étonner que certains journaux aient désormais une audience confidentielle.
Quant à l'excuse Mélenchon pour exonérer Macron, il faudra me dire dans quel "grand" média Mélenchon est reçu avec bienveillance et flagornerie. Il est mal reçu partout, mais il continue à y aller. Mediapart c'est particulier, il y a une inimitié personnelle entre Plénel et lui, mais les autres cadres de LFI s'y rendent sans soucis.
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Limonchell:o)
Vous avez oubliez sur la photo, la maman de Duhamel,BFM,Madame ST Cricq, de son tonton Alain.:-)
Le dêjeuner,ce sont des coutumes de commerciaux.
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Asinaute sans pseudo a50cd
Bah contrairement à beaucoup de forumeurs d'@si, j'ai trouvé cette émission très bonne. C'était un beau coup d'avoir un des participants au dîner, même si un sans doute un peu différent de la majorité. Les arguments étaient développés, intéressants, les questions posées clairement par les participants malgré les précautions oratoires. J'attends juste que Paul Aveline devienne plus incisif dans son rôle d'animateur, mais j'ai bon espoir, avec un modèle comme Daniel Schneidermann et une collègue du niveau de Nassira El-Moadem, ça devrait le faire N
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tribeul
Olivier Pérou : " Je suis de gauche"
J'ai levé un sourcil.
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C
Zut alors ! Daniel part et pouf on oublie la parité de genre sur les plateaux ?
Merci pour cette émission, j'ai quand même appris des choses. -
François G.
J’avoue avoir décroché à mi-chemin n’en pouvant plus d’entendre les deux compères raconter horreur sur horreur sans aucune contradiction (sinon le journaliste de Mediapart qui m’a semblé presque trop respectueux face a l’absence totale de déontologie des deux autres…). Le passage qui m’a tué: la redif du plateau TV montrant un portait géant du président en face de Benjamin Duhamel répétant ses éléments de langage « off ». Sommes-nous bien à Arrêt sur Images ? La séquence est saisissante dans ce qu’elle révèle de ce dispositif hypocrite du off élyséen 😭
Bon, il faut que je regarde la suite !
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Curatorm-052401 Curatorm
J'ai beaucoup aimé cette émission : les arguments étaient déroulés calmement et on faisait bien la différence entre "off-source" et "off-de cour" pratiqué par le président et ses courtisans. Le problème est alors moins celui du journaliste professionnel qui expose ses sources même en les protégeant et annonce la couleur que celui des éditorialistes qui prétendent avoir des avis objectifs argumentés sur une solide réflexion documentée alors qu'ils ne font que reprendre des éléments de langage.
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Traroth
"Le journaliste, comprenant qu'il a là un élément plus important par son existence même que par son contenu, décide de révéler à ses lecteurs que la fuite est orchestrée, et que les deux camps ne s'interdisent aucun coup bas." : Je trouve cette manière de renvoyer les deux camps dos à dos à cause des agissements d'un seul assez troublante. Ce qu'on révèle, c'est que le camp de Mayer-Rossignol ne s'interdit aucun coup bas !
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poisson
Quelqu'un parmi les happy few va-t-il écrire un livre "un président ne devrait pas faire ça".
C'est ce que je pense, car ça fait un peu association loi 1901 avant l'élection du bureau, quand il y en a un qui veut tout faire péter, c'est à dire se faire élire président, trésorier, secrétaire, qu'importe, et qui vous invite secrètement, avec un petit noyau d'ahuris, pour le café, en soirée, on l'a pas calculé..., tout le monde a mal dormi, il a pas trouvé de déca dans le placard du local.
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Rosalie
triste de voir les efforts des participants pour essayer de justifier l'injustifiable : le président de la république essaie d'influer sur la mobilisation sans l'assumer publiquement et ils acceptent d'être le relai
les comparaisons répétées 10 fois au cours du débat avec d'autres politiques ? rien à voir
le président de la république peut s'inviter où il veut, quand il veut, ses ministres aussi et ils ne s'en privent pas Mélenchon, pour prendre cet exemple répété, a créé sa chaine Youtube pour contourner les médias mainstream où il lui était très difficile de s'exprimer
je crois que beaucoup de journalistes étrangers seraient attérés de l'état de la presse mainstream en France
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Ulyss
Je trouve come beaucoup d'autres ici, que l'émission est bien fade par rapport au sujet. On tourne un peu en rond autour du off alors que le fond de l'affaire c'est surtout la connivence politiques / journalistes très peu évoquée.
Quid des dîners du siècle, des nouveaux chiens de gardes médiatiques (fonction parfois héréditaire), des mariages entre politiques / journalistes ? Cette affaire vient une fois de plus écorner une confiance déjà faible envers nos institutions et médias. Traiter uniquement du off c'est voir par le bout de la lorgnette et cette cuisine interne n'a que peut d'intérêt en tant que spectateur.
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cécile clozel
"éléments de langage" est un élément de langage utilisé par les journalistes pour manifester une pseudo distance critique à l'égard du discours du pouvoir, qu'ils se gardent bien par la même occasion d'analyser et d'interroger.
À quoi joue macron avec ces "éléments de langage", de quelle stratégie sont-ils l'écran (au double sens de masque et de surface de projection), voilà ce sur quoi on n'en saura pas plus.
qué pitié !!!
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Vincent
Intéressante émission. Cependant, à deux reprises, j'aurais adoré entendre une relance.
1- Quand les journalistes défendent le off en disant que leurs sources s'ouvrent plus autour d"un repas, pas un instant ils ne semblent imaginer que peut être ils ne sont pas les seuls à profiter du format repas (en soutirant habilement des infos que la source n'aurait pas donnée dans un autre contexte), mais que peut-être la source en profite, de son côté, pour les séduire, les convaincre du bien fondé de leur approche, etc.
Bref, ça leur semble être une situation lors de laquelle ils n'ont rien à perdre et tout à gagner. Notamment pas leur indépendance. Je n'en suis pas si sûr.
2- Quand les journalistes parlent de situations où le off a été brûlé, les deux exemples portent sur la motion minoritaire dans le petit parti qu'est devenu le PS, et sur Sandrine Rousseau (qui semble déclencher des réactions épidermiques chez nombre d'éditorialistes). Les victimes du non respect du off sont donc une toute petite mouvance, et une femme politique déjà écartée de la présidentielle et que nombre de relais médiatiques voulaient "se faire".
Ce m'aurait intéressé de savoir ce que pensaient les invités du risque de ne brûler le off (quand il contient une mine d'or) seulement quand les victimes sont faibles ou detestées, jamais quand elles sont puissantes et mainstream.
Enfin, merci pour le fou rire au moment où le repas élyséen est justifié par le peu d'occasions qu'à Macron de s'exprimer.
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KH3RIS
Si "le lecteur n'est pas bête" et qu'il "comprend très bien" qu'il s'agit d'Emmanuel Macron qui parle, quel est l'intérêt de ce périphrases?
Tout ça au fond c'est un jeu de dupes assez inutile et hypocrite. Ca doit cesser !
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Dacoda
Assez mal à l'aise avec cette émission...
Trois invités journalistes, ce n'était pas forcément une bonne idée. Il aurait fallut un tiers en dehors du système, avec une connaissance des politique type chercheurs ou autre. Voir invité des médias autonomes
Dans la menée de l'interview, peut-être un peu plus de punch notamment dans la remise en question du positionnement journalistique, l'éthique, le contexte, d'où l'on parle, je veux dire sur ces points c'est très pauvre et on feint de traiter le sujet en oubliant les vrais questions de fond.
Bref, je reste sur ma faim et me désole un peu plus encore que deux invités sur trois trouvent ce diner, sommes toute assez "normal"!!! Et on dira après que c'est un scandale que la population soit soupçonneuse des journaliste ou sur la défensive et que le complotisme oulalalala vraiment c'est pas bien.!
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Zaouzy
J’ai failli craquer quand j’ai entendu que notre pauvre président n’avait pas de moyens de communication, était très limité dans sa capacité à débattre et donc devait utiliser le off. N’y avait il pas une chose qui existait, et est beaucoup plus commune dans les autres pays, la conférence de presse ? Je me souviens d’avoir lu des articles du Canard Enchaîné ou autre expliquant qu’à son arrivée à l’ Élysée notre cher président avait voulu exiler les journalistes hors de l’Elysee, en changeant leur lieu de travail, une salle en dehors, qui ne permettait pas d’observer les allées et venues. J’avais lu des articles aussi comparant la France aux autres pays qui faisait part de l’étonnement d’étrangers devant le manque de questions gênantes posées au président et du peu d’occasions de les poser.
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Fsgrt
Je crois que c'est la première fois que je suis littéralement atterré par une émission d'ASI. J'ai regardé jusqu'au bout dans l'espoir qu'une once de lucidité puisse sauver ce naufrage de la profession journalistique, mais non, rien n'est venu. La politique ne serait donc qu'un théâtre, et les éditorialistes ne seraient plus que des critiques dramatiques ? Mais qu'est-ce que tout cela peut bien apporter de bon à la vie de la cité ? Au secours.
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touga
Pas de journaliste femme sur le plateau, mauvais point pour @si
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tristannicus
Si je résume la position des invités : la confiance que les journalistes politiques établissent avec leurs sources (sources de quoi ? je n'ai toujours pas compris) a plus de valeur que la confiance entre un média et ses lecteur·trices.
La position des journalistes présents, en particulier celui de l'Express, est d'un cynisme ahurissant.
Sans compter que nous, lecteur·trices et spectateur·trices des médias, on se fait traiter d'imbéciles parce qu'on n'a toujours pas compris que "l'entourage du président", c'est le président.
Signé : l'entourage d'un lecteur d'Arrêt sur images