"Même proche du pouvoir, Europe 1 était impertinente !"

La rédaction - - Médias traditionnels - Financement des medias - 63 commentaires


Pour clore cette "année Vincent Bolloré", ce milliardaire et actionnaire de médias qu'il tire énergiquement vers la droite de la droite, pour réfléchir à la manière dont il teinte la conversation nationale, dont il porte atteinte à la liberté de la presse et des journalistes, à la pluralité des opinions, Daniel Schneidermann reçoit l'économiste des médias Julia Cagé, l'ancien journaliste-phare d'Europe 1 Pierre-Louis Basse, et le journaliste et délégué syndical SNJ à Europe 1, Olivier Samain.

"Ainsi meurt une radio", ainsi se retrouve-t-elle "dans l'orbite de l'extrême droite" : dans un premier temps, Daniel rappelle la crise à Europe 1, à propos de laquelle nous avons écrit plusieurs articles. La montée de Vincent Bolloré, propriétaire de Canal +, au capital d'Europe 1, a amorcé une métamorphose éditoriale de la radio et l'arrivée dans ses murs de journalistes de CNews comme Dimitri Pavlenko, acolyte d'Éric Zemmour, Laurence Ferrari, ainsi que le renforcement du temps d'antenne de Sonia Mabrouk, déjà à cheval sur les deux médias. Le service politique est désormais dirigé par Louis de Raguenel, ex-Valeurs actuelles

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