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toto
Bonjour,
Je pense que le mail envoyé le vendredi soir devrait avoir, comme sujet, le sujet de l'émission.
«Ce que les médias "oublient" sur la crise grecque» (sujet du mail ) et les agressions sexuelles, c'est quand même bien différent...
Mon petit avis -
GIGI
la plupart des agressions sexuelles classées affaires sans suite;
quand un élu ou un proche d'élu est agresseur, c'est la chappe de plomb !
c'est quand même grave;
au moins cela fait découvrir cette assoce qui défend les femmes violentées: il y a urgence;
merci à elle;
pour ce qui concerne le PS, étant au PS, nous avons eu à voter pour choisir le candidat aux sénatoriales
dans notre département; celui-ci étant en procés pour harcèlement moral d'une de ses anciennes employée
qui s'est défenestrée hors de son lieu de travail; la plupart des militants du département ont voté pour lui;
c'est dire que la chappe de plomb est là; ceci étant, le procès est en cours; -
Fisso
Belle émission. Trés bon choix de sujet. Invités remarquables. Réalisation aux petits oignons. Décor splendide. Musique inoubliable. Make-up et coiffure au top.
Merci, merci de continuer.
Ah! et aussi : Gilles Klein assure trop aux vite dit ! -
Serge ULESKI
Ce que nous apprend l’affaire DSK…
- Que l’on est bel et bien son pire ennemi
- Qu’un présumé coupable est surtout un présumé innocent, et plus encore lorsqu'il s'agit d’un Strauss-kahn qui, soit dit en passant, l’est beaucoup moins (présumé innocent) qu’une victime qui serait, par voie de conséquence, présumée coupable... coupable de mensonge car, derrière cette victime, un travail impartial a bien été accompli, à savoir : la collecte de tous les éléments d'enquête qui ont permis à la police de New York de saisir un procureur qui a accepté de présenter DSK devant un juge, lequel juge a, sans hésité manifestement, retenu contre DSK les charges présentées par ce même procureur.
Or, derrière l’innocence de DSK aucun travail impartial ou non, ne nous a été présenté.
- Le devoir de respect de la présomption d'innocence ne saurait en aucun cas concerner ceux qui souhaitent dénoncer la complaisance avec laquelle l'entourage de DSK a cherché, et cherche encore, à nous dire que... ce qui est, n'est pas, ou bien... qu'il n'y a pas eu mort d'homme.
- Un ami silencieux en vaut largement deux (quand leur soutien public vous plombe).
- Il existe bien en France des hommes et des femmes d’influence et de pouvoir qui placent l'indifférence et le mensonge par omission au-dessus de la vérité.
- Plus on est proche de DSK, moins on le connaît ; ou bien plutôt : moins on souhaite tout savoir sur lui. -
Jenny
Bravo pour "L'urgence des médias n'est pas notre urgence". Et, dommage, Marylin Baldeck semblait avoir envie de continuer à dire des choses (réponse à la question "on a tout dit ?").
Je ne comprends pas que le journaliste n'ait pas pensé une seule seconde à flouter la jeune femme qui témoignait. Il y a vraiment quelque chose de très important qui lui a échappé sur ce sujet.
Et il y a des journalistes qui n'avaient jamais entendu parlé de l'affaire Mahéas ? Et des journalistes qui n'avaient jamais entendu parler de l'affaire T. Banon et les autres ? Je ne comprends pas.
Et pourquoi le PS n'a jamais répondu pour Mahéas ? Et comment tout le parti s'est accroché avec force à DSK pour 2012 connaissant parfaitement sa pathologie. Sans doute pensaient-ils que l'omerta serait encore la plus forte ?
Peu importe-t-il que des femmes soient harcelées ou humiliées ou violentées, pourvu que le PS reprenne le pouvoir ?
Comment comprendre l'attitude de Martine Aubry (qui gardait bien au chaud la place pour DSK) ? Comment comprendre l'attitude de Ségolène Royal ?
Et il faudrait encore voter pour le PS au second tour ? -
jede
Il est indéniable que Laure s'exprimait avec plus d'assurance, prenait plus de place que d'habitude. Peut-être que le sujet l'intéresse plus que d'autres. Justement...j'ai lu " Vie de Meuf. Le sexisme ordinaire illustré. Osez le féminisme" Dans les remerciements, il est mentionné "dans les personnes qui n'ont pas compté leur temps pour lire et relire les épreuves " une certaine Laure Daussy...
Ce serait la même personne...que je ne serais pas vraiment surpris... -
Tout bon g33k sait que 1km fait 1024 mètres ^^
Laure Daussy a été très présente durant l'émission et c'était très agréable car c'est une femme très séduisante (j'avoue allez ^^ j'ai un faible pour elle ;) ), je trouve ça bien que la journaliste ait pu aller au-delà de "présenter un sujet", probablement que le sujet lui tenait à coeur. J'ai trouvé DS légèrement en retrait, ce qui n'est pas plus mal, ça permet un équilibrage de paroles dans le tandem (DS et sa rédac, journalistes).
Pour le sujet, je n'ai pas trop d'avis (ouais, je sais, je suis un mec ^^) si ce n'est que ce soit dans le milieu politique ou dans n'importe quelle couche sociale, le harcèlement, le viol de femmes (ou d'hommes... et oui ça existe :( ) est intolérable.
Bref... bonne émission (je suis allé jusqu'au bout) et c'est vrai, c'est plaisant un discours posé et aucun étripage... ça fait du bien.
Note à DS : c'est possible d'avoir Laure toutes les semaines sur le plateau ? ;) -
groumpf
Pourquoi on ne peut pas voir l'émission sur iPad ?
Alors que d'autres vidéo dailymotion fonctionnent sur le site. -
Jacques Legrand
Le ton calme, mais très lourd sur le fond, est exactement ce qui convient au traitement de ces affaires.
Madame Marylin Baldeck est très intelligente dans ses attitudes, réactions, raisonnements.
L'anecdote sur TF1 et le sujet devenu tout d'un coup urgent pour le ouiquène est très finement racontée et commentée.
C'est typiquement ce que j'attends d'Arrêt sur images.
Félicitations à tous les intervenants de cette émission. -
Oblivion
Monsieur Abdel Joudi : « Nous avons couvert cette affaire ».
Couvrir.
Ce verbe à double sens résume involontairement bien l'attitude des médias envers les affaires de violences sexuelles.
Quant au PS, l'extrait du reportage de Complément d'enquête est à pleurer. -
Compte supprimé à la demande de l'utilisateur
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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emilie bouyer
Moi, je me demande tout bêtement pourquoi le sénat et son président conservent le sénateur....Et pourquoi,après sa condamnation le maire peut encore rester maire ... -
AZERT Y
« Paradigme »...à la marge, toujours tributaire des communicants, des médias et des scandales.
« Mode » serait plus proche de la vérité.
Vive les associations d'intérêt public comme l'AVFT. -
philippe 93
Acte 2 bloqué : "contenu privé ". Pouruoi ? -
Bruanne
Je n'ai pas vu le deuxième acte car il n'était pas disponible en ligne au moment où j'ai voulu regarder l'émission. Je comrends en lisant le forum que j'ai raté un moment-clé, j'essaierai de venir le voir à un autre moment.
Mais, même s'il me manque un morceau, je souhaite revenir sur deux commentaires qui ont déjà été faits plus haut car je les partage entièrement :
- Marilyn Baldeck est très impressionnante par son calme et sa mesure, qui inspirent pour moi un très grand respect. ça change du ton habituel de nombreux invités, on sent que c'est motivé par un très grand professionnalisme et beaucoup de sincérité.
- J'ai été moi aussi absolument outrée par l'étonnement de Daniel et Laure sur le fait que l'association n'interpelle pas plus la presse. Aucun ne semble trouver naturelle la position de l'association, pourtant claire et très juste : "on met notre actualité en ligne, après ...c'est le job des journalistes !"
Je n'ai pas encore bien compris si l'idée suggérée par Daniel de recruter quelqu'un pour la communication était sérieuse ou si c'était un clin d'oeil.
On sent une sorte de consensus entre les trois journalistes présents. Et ce consensus est terrible pour qui, cmome moi, est à l'extérieur de ce monde :
" mais, enfin, il aurait fallu nous appeler, ça pouvait nous intéresser ça ....". Et le journaliste de France 3 qui en rajoute une couche "même les politiques ne nous alertent pas" ... Et DS qui se demande si un sujet sur l'affaire parisienne aurait été repris par l'édition nationale ... Et les petits sourires entendus sur "ça s'appelle manquer de nez" parce qu'une télé n'a pas relayé à un moment où elle aurait pu buzzer ...
Toute cette petite cuisine, qui semble normale aux journalistes présents, est désespérante.
C'est affligeant ! Affligeant pour ce que cela nous laisse entrevoir de la réalité du métier de journaliste.
Parce que les trois qu'on a là sur le plateau, c'est même pas des pourris. Au contraire, ils réfléchissent, ils cherchent, ils remettent en cause, ils analysent.
Quelqu'un qui analyse de l'intérieur, sur le principe ça paraît intéressant comme position. Et là, d'un coup, on se rend compte que peut-être ça ne peut pas marcher. Un ( trois) journalistes qui parlent des journalistes, ça peut bien voir la paille chez le collègue, mais passer complètement à côté de la poutre.
C'est la première fois que j'ai ce sentiment de façon aussi claire en regardant @si.
Même les journalistes d'@si ou sur @si, ça les étonne quand ils sont face à quelqu'un qui leur dit " Bein, c'est pas votre job de chercher à savoir ce qui se passe et de choisir de quoi vous allez parler ou pas ? faut qu'on vous guide pas à pas ? ".
Comme si un journalisme sans attaché de presse et sans complicité avec les politiques, ne pouvait même plus être pensé par les journalistes eux-mêmes.
Comme s'ils reprochaient aux victimes de ne pas avoir l'intelligence de les manipuler ( je force le trait mais il y a de ça !).
Comme si une association pouvait avoir pour but "en soi" d'être médiatisée.
L'étape d'après, ça sera quoi : suggérer à l'association d'acheter des espaces publicitaires dans un journal ou sur un site ?
Soit j'ai mal compris la position de Daniel et de Laure, soit vraiment on touche là à une limite essentielle, intrinsèque et indépassable du projet d'@si.
Tant qu'il s'agit d'analyser comment les média abordent un sujet, l'équipe du site a tous les outils et s'en sert bien : c'est intéressant, c'est renseigné et la béotienne comme moi y apprend beaucoup.
Mais quand @si essaie d'analyser pourquoi les média n'ont pas relayé une information ...on dirait qu'ils ne savent pas (se) poser les bonnes questions.
Il y a pourtant des tas de gens qui font chaque jour des tas de choses sans chercher à faire de la com', même pas déguisée en information. -
croquemots
Très bonne émission. Ancrée dans l'actualité, un éclairage sur le fonctionnement démédias.
Il aurait été intéressant d'avoir un représentant de lajustice, pour savoir quels sont les moyens attribués à ce type d'affaire.
Peu après la 42e minute, on peut admirer la maîtrise de « Madame Aubry ». Du grand art ! -
franck
Pas de cris, pas de rancune, pas d'agressivité.... AAAAAAAAAAAAAAAAH :D
Émission calme et posée avec une Marylin Baldeck que je découvre et qui m'a fort impressionné.
Quelle force face aux médias ! Elle ne perd pas de vue le but de son association, ne se laisse pas emporter par le tourbillon médiatique et n'est pas dupe de sa longévité.
Sa réaction face à TF1 (épisode de l'appel du week-end) m'a semblé des plus saines et je n'ai pas bien compris l'insistance de DS sur ce qu'il semble considérer comme "une occasion manquée".
Abdel Joudi m'a semblé un peu effacé mais plutôt sincère.
Belle émission, le sujet de base semblait un peu redondant et finalement j'y ai découvert tout un tas de choses passionnantes.
Merci. -
jean-philippe vaz
J'ai été particulièrement frappé par les questions de DS et de Laure sur le fait que l'association n'ai pas "relancé" les journalistes...J'ai vraiment eu la sensation d'une corporation (les journalistes) qui ne peuvent envisager la vie en dehors de leur propre perception...
La désagréable impression que pour eux, une réalité (quelle qu'elle soit) n'existe que si elle est médiatisée...Il leur parait étrange qu'une association "n'utilise" pas les médias et ne sont pas loin d'en faire le reproche...
C'est peut-être là, à mon sens, qu'@si touche à ses limites, car des journalistes jugeant le travail d'autres journalistes, cela reste bien dans le cadre général de lémédia...
D'où pour moi la nette impression de survol, qui donne à croire à un décryptage qui est en fait un énième en-a-t-on-bien-parlé-avons-nous-bien-fait-tous-notre-travail qui aboutit in fine a l'absolution totale du système médiatique...
Une émission qui à mon avis, n'a eu pour seul intérêt que celui de faire connaitre cette association pour ceux (dont je fais partie) qui ne regardent plus les journaux tv... -
Joan38
Au sujet de l'introduction de la Parisienne Libérée et du mot "faveur" qui désigne d'après elle, "la relation sexuelle" dans le Code pénal et le Code du travail ; ce qui serait un "vocabulaire d'un autre temps", j'en conviens.
Article 222-33 du Code pénal :
« Le fait de harceler autrui dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende. »
Article L1153-1 du Code du travail :
« Les agissements de harcèlement de toute personne dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d'un tiers sont interdits. »
A mon avis, le mot faveur correspond plutôt au sens d'un accord, d'un consentement, d'un don ou encore d'une indulgence forcé(e)s de nature sexuelle après une répétition abusive de demandes (un harcèlement). -
Jay Lafrite
Démarrer l'émission par un "présumé coupable", ça me fait tiquer quand même...