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abracadabra
Tiens on parle de DS ici + l'article de Pierre Marcelle à nouveau passé à la trappe :
http://www.bakchich.info/medias/2014/04/25/chez-liberation-la-censure-de-marcelle-continue-63287 -
M.Pat
Bonne émission, mais Libé semble mal barré... Les 2 journalistes ont l'air sympa (Olivier Bertrand fait de beaux articles sur le vin) mais ils sont peu clairs et bien fatigués (ce qui peut se comprendre). Le problème c'est que j'ai l'impression que le journal qu'ils aimeraient faire ressemble beaucoup à Médiapart même si j'ai bien entendu que la taille de leurs rédaction n'est pas tout à fait comparable...
Belle prestation de Rosselin, il ne voudrait pas postuler à la tête de libé ? Ca serait difficile de faire pire que Demorand et Bourmeau. -
Cultive ton jardin
Excellente, l'intervention d'Anne Sophie sur les 12 sortes de pommes de terre. Et aussi, son aveu qu'elle ne serait pas allée au bout de l'article si ça n'avait pas été pour préparer une émission. Aveu que son interlocuteur avait d'ailleurs anticipé (quel aveu, celui-là!).
Le concept de "faire léger et convivial pour accrocher le lecteur et l'amener à mieux digérer le sérieux"... ne vaut que s'il y a vraiment du sérieux au bout. Et plus de sérieux que de léger. Faut suggérer aux journalistes de Libé de lire les papiers... d'Anne Sophie, précisément. Qui maîtrise assez bien le dosage. -
charlie.lapared
Je rêve ou c'est pour rire ?
(trouvé sur twitter) :
Pierre Deruelle ?@PierreDeruelle 2 min
Ça sent le Mouchard... RT @Vogelsong: Joffrin pressenti à Libé. C'est dingue ce que la presse française est imaginative. -
poisson
Qui décide que sous l'onglet "politique" on trouve la liste suivante?
MUNICIPALES
PARIS 2014
MARSEILLE 2014
DÉSINTOX
MUNICIPALESDÉSINTOX
EUROPÉENNES
FRONT NATIONAL
TRANSPARENCE
Qu'est-ce que vient faire le FN dans cette énumération?
Il y a un nid de fachos à Libé? -
tchd
Pas tenu dix minutes. Émission soporifique à l'image du journal. -
red2
Si libé disparaît je ne dirais qu'une chose bon débarras... Ces journalistes n'ont qu'a faire un bon journal et désolé mais depuis 2005 et l’éditorial vengeur de July insultant tranquillement 55% du corps électoral, c'est la misère! Ce torchon pour bobo parisiens friqués est d'un vide sidéral et d'un consensuel social liberalisme anti classes populaires à vomir... Sincère condoléance aux futurs chômeurs, mais je viendrais pas vous pleurer! Le nouvel obs prochain sur la liste? -
Bertille
Je suis effarée par l'intervention des deux journalistes de Libé en leur qualité de syndicalistes autant que de journalistes. Le terme de "projet" envahit le débat sans qu'à aucun moment la moindre proposition concrètes et sensé nous mette en appétit sur cette fameuse "presse" du 21ème siècle,
Comme la notion de "politique" 21ème siècle!! En tous les cas question transparence, et information venant des principaux concernés on ne peut pas dire que nous en ayons appris plus et qu'ils considèrent leurs lecteurs fidèles ou potentiels comme des acteurs de ce changement. On passe allègrement sur une démocratie 21ème siècle où nous citoyens soyons autre chose que des consommateurs d'info ou d'investigation le derrière sur notre chaise en attendant que "ça vienne".
Je suis reconnaissante aux journalistes d'arrêt sur image autant qu'à ceux de mediapart de nous proposer une autre vision du journalisme et de la pratiquer en stimulant le fait d'agir pour chacun d'entre nous. Depuis longtemps le me suis libérée de Libé et en écoutant cette émission je ne le regrette pas!! -
danielr
Curieux spectacle que laisse voir ce débat pour un membre de la génération "Y" élevé au biberon d'internet comme moi : un groupe de personnes d'âge mûr dissertent sur l'avenir de la presse à travers le cas particulier d'un journal en fin de vie et commentent ses derniers soubresauts.
Au risque de me faire taxer de jeunisme, je pense que la mort d'un journal reste encore la meilleur façon d'insuffler un vent de renouveau dans le milieu de la presse (certes, pas pour ses employés actuels). Un journal est une entreprise comme une autre, au sens que ce qu'il gagne en taille et en moyens au cours des années, il le perds en souplesse et en capacité à se réinventer. Et lorsque ce qu'il propose n'est plus du tout en phase avec ses lecteurs (ce qui au vu des autres commentaires est une évidence), il deviens obsolète. Sa disparition laisse alors un vide destiné à être comblé, car si ses lecteurs fidèles ont aujourd'hui disparus, l'idéal auquel ils adhèrent et ce qu'ils attendent d'un journal existe toujours.
Partout, le vide est comblé par l'éclosion de médias alternatifs, souvent adossés à des plateformes de financement participatives pour se lancer : la revue dessinée en France, de Correspondent aux Pays Bas sont des exemples parmi d'autres qui prouvent qu'une autre presse est possible.
Tous ces médias ont des points communs:
- Pas d'actionnaires, pas de subventions publiques, pas de revenus publicitaires, mais des abonnés.
- Une fréquence de publication qui autorise un traitement de fond et permet d'échapper au diktat de l'info en continu.
Certains sont toujours des médias papier (la revue dessinée) mais ça n'est plus une obligation à l'âge d'internet et permet de faire des économies conséquentes sur le coût de la diffusion.
On peut le voir comme un renouveau du journalisme, ou un effet de mode, je le vois comme un retour aux fondamentaux:
- articles de fond, vérification des sources, bref du vrai travail de journalisme d'investigation.
Ces médias doivent aussi assumer pleinement leur rôle de 4ème pouvoir et publier des choses que d'autres personnes ne voudraient pas voir publiées. Et pas à la Mediapart dont les plus gros scoops sont des fait divers qui ne concernent qu'une poignée de personnes (certes de pouvoir) mais jamais des institutions.
Quand les vrais infos, de celles qui changent le monde et la vision qu'on en a (Snowden, traité transatlantique, ...), sont laissés à des personnes que la profession ne considère même pas comme des journalistes (alors qu'ils ont fait plus pour informer le public que tout ce qui se balade avec une carte de presse combiné), on est en droit de souhaiter du changement.
Bien à vous. -
Yvain LAURENT-GALLOIS
D'accord entre-autre avec le post de Thomas 13:09 le 16/02/2014
Avis à tous les pros clivage "droite-gauche" :
c'est une question de (manque de) précision : en fait, et c'est ce qu'explique un peu le journaliste via skype : c'est bien plus que PS=~UMP et UMP=~PS, ce qui alors n'implique pas forcément de considérer que droite=gauche... mais la confusion est là ;
sans compter que feu Les Verts ayant abandonné le crédo de ni-droite ni-gauche (depuis fort longtemps), personne d'autre ne l'a repris à part le FN ces derniers temps (que ça soit parmi les partis politiques ou dans la société civile), ce qui en fait encore de nos jours un tabou, petit par-rapport à d'autres tabous, mais il existe.
Et d'autant que dès lors que l'on accepte l'idée que UMP=PS, alors il faut accepter que d'autres partis sont "possibles" :
or comme ils sont tous traités d'extrêmes (le "centre" étant ringardisé), ou de "petits partis" tout autant ringardisés car considérés comme ne représentant rien,
alors on ne veut pas les reconnaitre comme admissibles/éligibles/légitimes aux commandes de l'État.
Donc on préfère ne pas admettre que UMP=PS, et puis comme ça on ne risque pas de se faire traiter d'électeur FN refoulé ou autres bêtises de ce genre.
Tant que ça sera ainsi, pas grand chose n'avancera.
Le "on", ce sont (de façon non-exhaustive) les médias de façon très large, et toute personne qui se veut "normal".
Stefan de Vries, autant sur le début il est intéressant dans ces interventions, autant à la fin de l'émission il est "out" :
"problème du rapport à l'argent" ?
par cette question il voulait sûrement simplement souligner que les gens de Libération ne font pas du lèche-cul à leur(s) actionnaire(s), alors que c'est la coutume, notamment pour toute personne qui n'a pas ce soit-disant "problème de rapport à l'argent".
L'idée en creux est "oh toi, tu as de l'argent... t'es mon ami alors, vient qu'on discute".
Mais c'est bien qu'il ait pu ainsi mal s'exprimer à plusieurs reprise (sur l'argent et d'autres sujets), puisque ces pseudo-arguments se retrouvent un peu partout sans qu'il y ait des gens avertis pour répondre à ces foutaises en montrant qu'elles le sont de façon flagrante.
Sur "l'État fait de l'évasion fiscale", je pensais qu'il allait expliquer en 2-3 détails que c'est de "l'optimisation fiscale" (c'est-à-dire ~~proche de l'évasion), mais même pas, il s'enfonce...
Il est vrai par-contre que l'État "optimise" sa dette colossale (immédiatement il me manque des références, mais voir soit ASI soit des docs de France Télévision, je ne sais plus).
Daniel s'enflamme un peu (comme d'habitude ces derniers temps) quand il dit "il y a un projet secret à Libération !" :
pourquoi insinuer comme ça qu'il y aurait du "secret" ? c'est du même ressort que les journalistes qui commentent à longueur de temps des catastrophes en disant à chaque "c'est extrooordinaire !, c'est la 1ère fois que ça se produit !".
Bonne émission quand même ; à noter que de mémoire, toutes les interventions de Jacques Rosselin sont pertinentes. -
Cultive ton jardin
2ème acte, 13ème minute: Daniel s'étonne que renoncer au papier brutalement oblige à virer 200 personnes, parce que les journalistes pourraient continuer à écrire. Bizarre, il oublie qu'il n'y a pas, pour un journal papier QUE des journalistes. Loin de moi l'idée qu'il faudrait garder un journal papier juste pour donner du boulot à toutes les petites mains qui matérialisent ce journal. Sauf que ces petites mains ont FAIT le journal pendant 40 ans, autant que les seuls journalistes. Du coup, leur devenir ne peut pas être indifférent à un journal comme Libé qui, bien qu'il s'en soit furieusement éloigné, a quand même une histoire.
Et ça relance pour moi le sujet de revenu universel: chaque fois qu'une innovation technique prive de leur boulot des centaines de personnes, ou même seulement une personne, il faut maintenir à cette personne un vrai revenu d'existence, qui lui permette aussi (parce que le boulot c'est pas seulement un salaire) de réinvestir ailleurs son énergie et ses compétences. -
Nutsola
C'etait l'heure du Stefan de Vries Bashing ? Il était évident qu'il avait du mal à s'exprimer et cela a été rendu difficile par les nombreuses interruptions ( plus une impression de condescendance de type , il est étranger donc il ne comprend pas la subtilité des medias francais ? ) ... Un moment donné il donnait un avis sur les gauches en europe ca pourrait etre creusé dans d'autres émissions ... -
Ptilou
Encore un petit peu de temps monsieur le bourreau...
Prêt de 2M€, j'ai l'impression de voir rejouer Heuliez!
50 cartes de presse à des salariés autres que journalistes, bien.
Comme toujours, je pense que les talents iront voir ailleurs, et heureusement! -
ReOpen911
Bravo à Libé qui a eu le courage de parler du 11-Septembre :
http://www.reopen911.info/News/?p=324 -
Thomas
Merci pour l'émission !
Un peu étrange que, sauf erreur de ma part, D. Schneidermann n'ai jamais mentionné qu'il était une plume de Libé. D'abord parce que cela se fait, pour la bonne information des téléspectateurs. En l'occurence, rien dans l'émission n'a pu être vraiment de l'ordre de la complaisance, donc on pourrait penser que ma remarque tombe à plat.
Mais l'étrangeté va au delà : en fait, cher D.S., vous parlez de Libé comme un observateur exterieur, on sent que vous n'avez presque aucun lien concret avec cette rédaction, à par la chronique que vous leur envoyez. C'est une sorte de position un peu aristocratique et surplombante (les chroniqueurs stars ne se mélangeant pas aux grouillots de la rédaction) qui m'étonne un peu. Puisque vous êtes une signature de Libé, puisqu'il y a certainement des lecteurs occasionnels qui achètent leur numéro de temps en temps en partie pour vos chroniques, ne serait-il pas un peu décent qu'en la circonstance, vous soyiez un peu moins clinique, et un peu plus engagé dans votre rapport à ce journal. Ou alors que vous soyiez transparent et que vous nous disiez qu'il n'est pas grand chose de concret pour vous (par rapport à un lecteur lambda) en dehors d'une source de rémunération hebdomadaire, ce qui serait en soit intéressant.
Je sais bien que vous avez proposé des choses (que lecteurs et journalistes reprennent le contrôle) : dont acte. Mais est-ce juste le résultat d'un benchmarking froid du "Libé Allemand", où est-ce vraiment quelque chose auquel vous croyiez ? J'ai trouvé que J. Rosselin avait un rapport beaucoup plus clair à ce journal, et manifestait une vraie envie de le voir exister, sans être d'ailleurs complaisant. Mais vous, derrière votre position d'arbitre neutre pour le coup bien commode, on avait l'impression que cela ne vous faisait, au fond, ni chaud ni froid que l'aventure Libé continue ou s'arrête.
Bien cordialement
Thomas -
Strumfenberg ( Aloys von )
Pour la première fois depuis quinze ans, j'ai acheté Libé pour me faire une opinion. Horrible. Encéphalogramme plat. Perdu $2'60. -
A. Decheuze
Libération est un journal de gauche, doit le rester sans honte, être un phare avec ses propres analyses, sa propre conviction, sa propre déontologie journalistique, contrairement à la presse de droite du type Figaro ou valeurs actuelles asservi bêtement au sarkozysme..........
j'ajoute que la représentante des journalistes sur le plateau est détestable à écouter ! -
joelle lanteri
j'ai trouvé ces journalistes chiants pas clairs vaseux compliquéspeut e^tre à l'image de leur marasme il manque une ligne éditoriale claire
ou alors qu'ils renoncent à la ligne et fasse ce qui les touchent -
yaniz
Passant d'un journal d'information engagé à un autre format, Libération a subi le double effet kiss cool. Premier baiser, celui des actionnaires que la plus value y compris sur le siège social interesse plus que l'information. Deuxième baiser, celui de l'outil internet, beaucoup plus profitable et souple que le format papier, très adapté à faire surfer sur le flot des infos (tant qu'il aura des "lecteurs"). Dans une émission "télé", un journaliste a tiré le signal d'alarme à propos de la mort programmée des journaux papiers. Il craignait que cette disparition s'accompagne de l'abandon du journalisme. L'émission a tourné autour de la question entre professionnels. -
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