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beyondtheeyes
Chronique de Bernard Maris « L'autre économie » lundi 26 avril 2010 sur France Inter
« Économie et croissance s'accomodent très bien de l'absence de démocratie »
http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10980-26.04.2010-ITEMA_20225243-0.mp3 ( fichier MP3 ) -
Winston Smith : misanthrope
Sous le poids de ses déficits, la Grèce vient de solliciter l’activation du mécanisme d’aide du Fonds monétaire international et de l’Union européenne.
En échange, des conditions drastiques devraient lui être imposées : le gouvernement grec a déjà augmenté les taxes sur la consommation, repoussé de deux ans l’âge de la retraite, baissé les salaires des fonctionnaires, arrêté de remplacer ceux qui partent à la retraite,... mais un plan de rigueur encore bien plus important s’annonce qui empêchera ainsi, en période de récession, toute possibilité de relance publique de l’économie nationale. Ceci d’autant plus que le taux d’intérêt des prêts octroyés sera de 5%, c’est-à-dire bien plus que le taux de croissance potentiel de la Grèce. Ce qui ne peut qu’engendrer un creusement de ses déficits et de sa dette.
La crise grecque est la première grande démonstration, face à la crise économique, de l’échec de l’Union européenne et de la zone euro. Elle découle de l’incapacité pour les pays européens d’accéder à des prêts de la Banque centrale européenne, les condamnant à emprunter à des taux exorbitants sur les marchés financiers. Elle provient de l’absence de politique européenne de coopération, budgétaire, fiscale et sociale, qui permette à l’Union de se porter garante de la dette d’un État membre, d’enclencher un vrai plan de relance publique (à commencer dans les pays les plus vulnérables), d’harmoniser les conditions sociales et fiscales et de faire converger progressivement les modèles économiques nationaux. C’est pourtant la seule solution pour sortir de l’impasse de la zone euro et pour réduire les déséquilibres entre des pays comme l’Allemagne, avec une faible demande intérieure et d’énorme excédents d’exportations, et les fameux /pigs/ (ou cochons, c’est-à-dire la Grèce et les soi-disants mauvais élèves de la zone euro), qui absorbent ces excédents grâce à une forte consommation interne.
Demain, l’Espagne, puis le Portugal, la Grèce, l’Irlande voire la France, devraient se retrouver dans la même situation que la Grèce. Mais les perdants ne sont pas que les Grecs aujourd’hui ou les Irlandais demain : c’est l’ensemble des citoyens européens, qui paient au prix fort la crise économique. C’est aussi l’Union européenne, qui fait entrer dans la danse le FMI et acte ainsi la soumission de son économie à une institution largement contrôlée par les Etats-Unis et l’industrie financière. Les gagnants sont, eux, du côté de cette industrie financière : responsable de la crise économique, puis sauvée par les contribuables sans réelles conditions, c’est elle qui à présent impose ses règles aux gouvernements européens et en profite en spéculant sur leur faillite.
Nous devons changer le modèle européen aujourd’hui en échec, et construire une Europe solidaire, sociale et écologique.
Attac France,
Le 23 avril 2010
http://www.france.attac.org/spip.php?article11178 -
beyondtheeyes
Finalement, le débat sur la régulation financière va avoir lieu. A quelques heures d'intervalle, le Fonds monétaire international (FMI) et Barack Obama ont pris position sur le sujet. Au fur et à mesure que la crise financière se dissipait, les banquiers de la planète avaient bien cru, pourtant, couper court à toute réforme. Mais la persistance du chômage et de graves difficultés économiques dans la plupart des pays, l'énervement grandissant des opinions publiques face aux comportements des banquiers, qui ont repris sans vergogne leurs pratiques passées, la révélation de nouveaux scandales financiers, le dernier en date étant celui de Goldman Sachs, ont eu raison des arguments et des manœuvres du monde financier.
« Crise financière: Obama et le FMI lancent le débat sur la régulation bancaire », par Martine Orange, Mediapart, 23 avril 2010 ( accès payant ) http://www.mediapart.fr/journal/international/220410/crise-financiere-obama-et-le-fmi-lancent-le-debat-sur-la-regulation-ban
Extrait :
Le nom du Glass Steagall Act n'a pas été prononcé, mais tous y ont pensé. Le gouvernement américain souhaite une législation stricte sur les activités des banques. Les opérations les plus spéculatives, celles faites sur les fonds propres, en un mot tout ce qui a fait la fortune des banques ces dernières années, seraient logées dans des entités séparées, qui devraient travailler avec des niveaux de fonds propres élevés et pourraient être abandonnées à la faillite, si nécessaire.
De même, Barack Obama se prononce pour une réforme radicale des marchés des produits dérivés, trop obscurs, complexes, «incompréhensibles même pour ceux qui travaillent dans les banques». A l'avenir, ceux-ci devraient être encadrés par les autorités de régulation.
Ce que propose Barack Obama n'est pas dénué d'arrière-pensée pour protéger l'industrie financière américaine et éviter d'autres mesures, comme le renforcement global des fonds propres proposé dans Bâle III notamment, qui pourraient lui être plus préjudiciables. Mais néanmoins, des questions essentielles sur la remise en ordre du système financier international sont posées. -
beyondtheeyes
« La « régulation financière », entre contresens et mauvais vouloir », par Frédéric Lordon, Les blogs du Diplo, mercredi 21 avril 2010 http://blog.mondediplo.net/2010-04-21-La-regulation-financiere-entre-contresens-et -
beyondtheeyes
Et pendant ce temps là en Grêce ( Bernard Maris jeudi 22 avril 2010 sur France Inter dans sa chronique « L'autre économie » ) : http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10980-22.04.2010-ITEMA_20224766-0.mp3 ( fichier MP3 ) -
Tewolf
Les véritables terroristes, ce ne sont plus les adeptes de Ben Laden,
mais bien les financiers de Goldman Sachs.
Pourtant ceux-là, on sait où ils se trouvent,
qu'attends-on pour leur envoyer des drones et des bombardiers ? -
beyondtheeyes
C’est au nom de l’activité, de l’emploi, et de la croisance que les banques demandent qu’on leur fiche la paix et qu’elles continuent à spéculer comme bon leur semble. Elles ont complètement oublié qu’elles ont tué, liquidé l’emploi, l’activité et la croissance, plongé l’économie dans une crise épouvantable.
http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10980-19.04.2010-ITEMA_20224309-0.mp3 ( fichier MP3 )
L'autre économie, par Bernard Maris sur France Inter lundi 19 avril 2010 http://sites.radiofrance.fr/franceinter/chro/lautreeconomie/ -
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Le géant de Wall street est accusé de fraude sur le marché des subprimes. Ses clients auraient perdu 1 milliard de dollars, au profit d'un de ses alliés, le fonds Paulson.
« Goldman Sachs accusé de fraude fait plonger Wall Street » par Martine Orange, Mediapart, vendredi 16 avril 2010 ( accès payant ) http://www.mediapart.fr/journal/economie/160410/goldman-sachs-accuse-de-fraude-fait-plonger-wall-street
Extraits :
Ce vendredi, la Securities and Exchange commission (SEC) vient d'annoncer qu'elle poursuivait Goldman Sachs pour fraude. Le gendarme de la Bourse américaine accuse la banque et l'un de ses vice-présidents, Fabrice Tourre, d'avoir trompé les investisseurs, en dissimulant des faits capitaux liés à la structuration de CDO (collateralized debt obligations, titres garantis par des créances) adossés au marché immobilier des subprimes, au moment où celui-ci commençait à s'effondrer.
(...)
Goldman Sachs , après l'annonce de la poursuite de la SEC, s'est défendu, assurant que toutes les allégations du gendarme boursier étaient fausses et qu'il se défendrait. Le marché, lui, doute. L'action Goldman Sachs a perdu 10% en quelques heures à Wall street, entraînant tous les marchés actions à sa suite. Car l'attaque contre le géant financier est lourde de sous-entendus: Goldman Sachs risque de perdre sa capacité d'influence sur le gouvernement américain au moment où Barack Obama, conseillé par l'ancien président de la FED, Paul Volcker, veut une nouvelle réglementation bancaire et imposer une stricte séparation entre les banques de dépôt et les banques d'investissement. -
beyondtheeyes
Jour après jour, la situation de la Grèce devient plus périlleuse. Après l'Etat, ce sont les banques du pays qui sont sous le feu des attaques. Celles-ci éprouvent les plus grandes difficultés à se refinancer. Pour beaucoup, un recours au FMI est inévitable. La stratégie imaginée fin mars par l'Allemagne et la France a échoué. Et c'est l'euro qui est en danger.
« L'euro au risque de la faillite grecque - La Grèce de mal en pis » par Martine Orange, Mediapart, 9 avril 2010 ( accès payant ) http://www.mediapart.fr/journal/international/090410/la-grece-seffondre-et-avec-elle-la-zone-euro-est-menacee -
beyondtheeyes
Dans son dernier livre "Comment j’ai liquidé le siècle", Flore Vasseur, raconte de l’intérieur le monde des puissants à travers une histoire liée à la folie des banques, aux traders et à la montée de la Chine.
Pour Flore Vasseur, il y a aujourd’hui "un basculement de la puissance mondiale vers la Chine et il y a un certain nombre de partisans de l’empire américain qui refusent ce basculement."
Résumé :
Une septuagénaire redoutable, à la tête du "Bilderberg" - un gouvernement mondial secret qui a organisé la domination de l’Amérique sur la planète - charge un as de la finance, génie des mathématiques, de détruire de l’intérieur le système économique afin de provoquer l’effondrement d’un monde acculé à la faillite.
http://www.france-info.com/chroniques-culture-et-medias-2010-03-12-flore-vasseur-et-la-liquidation-du-siecle-416481-81-336.html -
Winston Smith : misanthrope
La grève générale du mardi 15 mars, vous en avez entendu parler ?
Pour sortir un peu du franco-centrisme de nos médias (et, souvent, de nos luttes).
"Loin, très loin, de la Grèce et de ses grèves : le journalisme en panne d’Europe"
http://www.acrimed.org/article3338.html -
beyondtheeyes
Fouiller quelques secondes sur Internet vous révélera ce qu’est l’agence « Fitch ratings ». Le 19 mars dernier Le Monde révélait que, du côté de l’Elysée, on estimait que si la France ne faisait pas une vraie réforme des retraites elle perdrait son « AAA + » (AAA : arnaque des actionnaires anonymes) et devrait donc emprunter plus cher aux banques et sa dette s’accroîtrait d’autant (catastrophe !).
Incroyable, n’est-ce pas, tout dépend d’une agence de notation, l’un de ces repaires de charlatans qui ont si bien noté les banques jusqu’à ce qu’elles s’écroulent sous les subprimes en 2008.
Ce n’est plus Trichet qui dirige la BCE, ni Barroso, ce sont ces agences « privées » de type agence « Fitch ratings » l’une des deux plus grandes agences de notation au monde : il suffit que les économistes incompétents de Fitch ratings décident que tel pays est devenu « moins solvable » et ledit pays, comme l’Argentine, par le passé, devient moins « crédible » et ses capacités à emprunter comme un vulgaire ménage de banlieue sont immédiatement dégradées.
Ce qui est arrivé à la Grèce suite à un tour de bonneteau scandaleux : la banque Goldman Sachs qui avait aidé la droite Grecque à maquiller les comptes de l’état, a ensuite révélé, quand la gauche a gagné les élections, la manœuvre aux agences de notation qui ont enlevé le fameux « AAA » à Athènes. Du coup la Grèce emprunte à 6 % au lieu de 1 %. Et le chef de la BCE Trichet qui prête à 1 % refuse de prêter à la Grèce.
Ainsi les banquiers qui s’étaient gorgé des aides des Etats lors de la crise des subprimes, se sont retournés contre les plus faibles parmi ceux-ci, comme les Grecs, les Islandais, les Portugais, les Espagnols, en ne leur prêtant qu’à des taux quasi usuraires et en les obligeant à imposer la rigueur aux salaires, aux retraites et la protection sociale. Il y a de quoi révolter le peuple grec. Mais aussi peu à peu tous les peuples d’Europe qui sont touchés, comme une rangée de dominos par la manœuvre des agences de notation accouplées aux banques.
En fait face à une telle hypocrisie, clairement une escroquerie de masse, il n’y a qu’un choix : soit céder au mécanisme et saigner le bon peuple, soit dénoncer l’opération, arrêter les spéculateurs et les traduire en justice.
Visiblement ce n’est pas ce que Sarkozy et Fillon s’apprêtent à faire puisqu’ils trouvent argument dans la menace de perdre le « AAA » pour « contre réformer » les retraites, c’est-à-dire en diminuer le niveau drastiquement, en allongeant la durée de cotisations, et en retardant l’âge légal de départ. En fait l’agence de notation dirige ainsi le monde, elle fait la loi, la règle, le chantage qui s’impose aux pouvoirs publics, aux élus, à la république, aux salariés : elle fixe une note assassine et hop, la droite propose la retraite à 63 ans au lieu de 60, puis la note devient « BBB» (BBB : Bosse et baisse tes besoins), hop, il faut passer l’age de la retraite de 63 à 65 voire 67 ans.
Cela est arrivé hier au Portugal : passé au AA + A- il a coulé subitement, et sa Bourse s’est effondrée, la rigueur est devenue plus inévitable pour le peuple. La Bourse à Paris pendant une heure le même jour a tremblé : la France était dans le collimateur derrière le Portugal. Ce que chacun sait puisque depuis deux mois, derrière les PIIGS (Portugal, Islande, Italie, Grèce, Spain), les agences de notation visent la Grande-Bretagne et la France.
Selon l’AFP « le Portugal a fait vaciller Paris : à 12 h 25, le 23 mars, le CAC 40 a dévissé de 0,62 % à 3.927 points par ce que l’agence de notation Fitch a abaissé d’un cran la note du Portugal. Annoncée à 11h, la décision de Fitch Ratings d’abaisser la note de la dette à long terme du Portugal à « AA- » contre « AA » précédemment a fait basculer dans le rouge la Bourse de Paris. Parmi les valeurs financières, BNP Paribas cède 0,38 % à 57,42 euros et Crédit agricole recule de 0,78 % à 12,65 euros. » Saint-Gobain et Alsthom accusent les plus fortes baisses sur le CAC 40 (-2,30 % à 35,53 euros et -2,05 % à 47,11 euros). STMicrolectronics (+2,93 % à 7,10 euros) et EADS (+ 2,86 % à 15,11 euros) parviennent à afficher une hausse appréciable. ». Bientôt l’agence Fitche produira des licenciés sur commande…
Alors cherchez à Fitche ratings sur Google et qu’est ce que vous trouvez ? Que c’est Fimalac qui la détient. Et qui est Fimalac ? L’agence financière de Marc Ladreyt de Lacharriére. Les dernières lettres se ressemblent : Malac = Marc Ladreyt de Lacharriére. Un patriote ce mec… Cet homme est un des plus riches de France, il pèse 1,6 milliard à lui tout seul. Il est membre des CA de Renault, Casino, L’Oréal, et du CA de la… Banque de France. Il dirige La Revue des Deux Mondes, revue intellectuelle française. Mécène du musée du Louvre, il a été élu à l’Académie des beaux-arts en 2006 au fauteuil de Gérald Van der Kemp (section des membres libres). La même année, il crée la Fondation Culture & Diversité, avec pour premiers partenaires, le Théâtre du Rond-Point, l’association La Source, l’École du Louvre , les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, les Amis de Magnum Photos, les écoles supérieures d’art et les classes préparatoires publiques d’Ile-de-France. La mission de la Fondation est de mettre la culture, les arts et les pratiques artistiques au service de la cohésion sociale et de l’égalité des chances pour les jeunes de l’éducation prioritaire. En 2007, il devient président du conseil d’administration de l’Agence internationale des musées de France (France Muséums), organisme chargé notamment de réaliser le musée du Louvre à Abou Dabi ! (!!!)
En 2007, il fait son entrée dans le classement des milliardaires français avec une fortune nette de 1,6 milliard d’euros. « Un ancien séguiniste conseillé par Alain Minc » dit Philippe Cohen dans Marianne. La boucle est bouclée, il est donné comme proche de François Fillon, (celui qui considérait déjà que « la France était en faillite » en début 2008), et il a touché 2,4 millions € en 2008 comme dirigeant de Fimalac.
C’est Ladreyt de Lacharriére qui dirige FITCH RATINGS, présente dans plus de cinquante pays couvrant tous les segments de la notation financière qui note la France, dont ses mais Fillon et Sarkozy tirent prétexte pour attaquer nos retraites. Il dirige aussi ALGORITHMICS est l’un des leaders dans le domaine de la gestion du risque financier. Fimalac en quelques chiffres (clôture comptable au 30 septembre de chaque année) c’est un CA de 559, 1 M d’euros en 2008/2009 – Résultat opérationnel courant 2008/2009 : 137,1 M€ . Voilà ce qu’ils tirent, eux de la spéculation. Ce Marc Ladreyt de Lacharriére ne produit rien. C’est un Madoff. Il fait la pluie et le beau temps, il plante et il récolte, il vend et fixe les prix. Vous payez.
Du moins si vous vous laissez faire…
[www.filoche.net] -
ceci n'est pas un pseudo
UN SCANDALE ! ! !
A SAVOIR AVANT LA « TONTE » DE 2010
Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l'administration européenne
> Et pourquoi ?
> A LIRE CI-DESSOUS
> En guise de réflexion !
>
> Scandaleux, tout simplement.
Envoyez ceci aux Européens que vous connaissez !!!
La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l'UE a été approuvée !!!!
Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9.000 Euros par mois.
Oui, vous avez bien lu !!!
Afin d'aider l'intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de l'UE (Pologne, Malte, pays de l'Est...), les fonctionnaires des anciens pays membres (Belgique, France, Allemagne..) recevront de l'Europe un pont d'or pour partir à la retraite.
POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?
Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.
La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l'Olympe" !!!
REAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens.
Bonne journée à tous quand même.
C'EST UNE VRAIE MAFIA CES HAUTS FONCTIONNAIRES DE l'UNION EUROPEENNE....
> A DIFFUSER LARGEMENT S.V.P
>
>
> Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs...
> Même les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire ! Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515 € / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).
> Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000 € de retraite / mois.
> C'est simple, plus personne ne leur demande des comptes et ils ont bien décidé d'en profiter. C'est comme si, pour leur retraite, on leur avait fait un chèque en blanc.
> En plus, beaucoup d'autres technocrates profitent d'un tel privilège :
> 1. Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de retraite par mois.
> 2. Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.
> 3. Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois.
> Consultez la liste :
> http://www.kdo-mailing.com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286
>
> Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du dernier salaire. Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.
> Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012), 42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5 ans... De qui se moque-t-on ?
> A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.
>
>
> Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...
> Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement, c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.
> Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !
>
> Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../ ", profitent du système et ne paient pas de cotisations.
> Et, que dire de tous ces technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ?
>
> A l'heure où l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement 15 ans de carrière et sans même cotiser... C'est une pure provocation !
> Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des états membres de l'Union Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
>
> Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds sur terre.
>
> Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.
>
> http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-en-or-des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867
>
> Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept pays de l'Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!! -
beyondtheeyes
"Vive les peuples grecs et islandais ! A bas les spéculateurs !" [www.filoche.net] -
beyondtheeyes
[www.agoravox.fr]
Chapô : Depuis le succès de son livre No Logo, publié en 2000, Naomi klein est devenue une sorte d’icône de la lutte contre un « système mondialisé de prédation économique ». Elle décrit la mise en place méthodique et le fonctionnement brutal de ce système dans « La Stratégie du choc » (The Shock doctrine) paru en 2007.
Un documentaire basé sur le best-seller de Naomi klein a depuis vu le jour sous la direction de Michael Winterbottom et Mat Whitecross. La Stratégie du choc sort au cinéma ce mercredi 3 mars. -
beyondtheeyes
"Salon de l’agriculture : la grande distribution, cette autre ennemie du peuple !" [www.plumedepresse.net] -
ceci n'est pas un pseudo
Ceux qui vous foutent dans la m.... ne sont pas nécessairement les méchants, ceux qui prétendent vous en sortir ne sont pas nécessairement les gentils
...sauf qu'aujourd'hui, ceux qui nous y ont mis font partie également des méchants, mais on ne le savait pas encore ^^
(sorry, c'est en anglais)
toutenbateau -
Winston Smith : misanthrope
comment empêcher les hedge fonds et les fonds d'investissement de détruire les emplois : http://www.france.attac.org/spip.php?article8351 -
Jelomar
Une leçon d'économie de Frédéric LORDON (qui reprend ses derniers articles du Diplo):
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1898
A (re)écouter sans modération. -
Djac Baweur
Et si on fermait la Bourse ?