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matjö
Est-ce quelqu'un sait où on peut visionner le film d'arte sur le JT de France 2 dont il est fait mention ici?
Merci -
Bluesprint
Suite sur http://www.marianne2.fr/Les-Infiltres-infiltres-!_a93439.html -
Fandasi pour clavier
Il doit bien y en avoir sur les Champs-Elysées , des caméras à peine cachées : on peut sûrement y voir des deux côtés.. -
valérie dorchies-chaptinel
Je suis un peu déçue par votre émission au titre aguicheur et qui se limite à l'exemple de l'émission sur les maisons de retraite, au lieu de discuter sur la nécessité et la légitimité de la caméra cachée.
Urbidan traite vraiment le sujet dans son commentaire.
Comme c'est la première fois que je commente, je ne veux pas rester sur cette note négative : continuez d'exister, vous nous permettez de garder le cerveau en activité. -
tonio28
J'ai montré votre « émission » "Les caméras cachées, c'est un peu l'arme nucléaire" à plusieurs familles dont des conjoints, parents ou amis sont dans des maisons de retraites en France, la plupart dans des conditions désastreuses.
Je l'ai aussi montré à des aides-soignants(tes) qui travaillent depuis longtemps en milieu gériatrique.
Nous sommes tous consternés.
Il faut que vous sachiez qu’en France, les prisons, les centres de rétentions, et .... les maisons de retraite sont la honte de l'Europe.
Ces lieux s'apparentent à un Enfer, et on ne peut pas faire un reportage dans un Enfer à visage découvert.
Croyez-vous que vous pourrez faire un reportage de vérité à visage découvert à Guantanamo . . .; chez Wall-Mart, dans les entreprises textiles du quart-monde , en y entrant avec votre carte magique de journaliste ?
A moins que vous ne soyez fous, vous allez bien me répondre que non, bien sur.
Le portrait des maisons de retraite en France diffusé mercredi soir par France2 est admirable.
Nous n'avons jamais approché les dures réalités avec autant de vérité.
Alors de grâce, si vous faites une émission sur ce sujet, invitez des gens qui veulent vraiment mettre les cartes sur la table et qui ont qq ; choses à dire, votre émission était minable.
Quand à discuter de l’emballage, la discussion sur faut’il ou n’ faut’il pas de caméra cachée, c’est grotesque dans le contexte de la gravité des problèmes de société abordés. -
Claire
Caméras cachées, oui mais pour les autres, les méchants, pas pour moi!
Concernant la première des infiltrés hier soir, j'ai zappé en milieu d'émission mais je n'ai pas pu en voir plus de 5 minutes. C'était affreux, terriblement réaliste.
Une équipe venait de voir une vieille dame avec toute une jambe presque nécrosée. Une personne a laissé échapper un "hé ben elle va pas faire long feu la..." avant de se raviser et de ne pas finir sa phrase.
C'est terriblement réaliste en effet... le personnel soignant a peut-être des bonnes idées mais au bout d'un moment il ne traite plus trop les personnes comme telles, mais comme des "cas". J'en connais plusieurs: ils font de grands discours, mais savent bien qu'en pratique ils font autrement, plus par manque de temps que méchanceté d'ailleurs, aussi parce qu'on leur rajoute toujours plus de tâches administratives et toujours plus de protocoles opératoires.
Finalement ce genre d'émission ou de concept me révulse: je me dis et si c'était moi qu'on filmait? Et si on pouvait croire que je fais quelque chose de mauvais hors contexte ou suivant les commentaires? -
Xiberotarra
Les services de l'Etat ont identifié la maison de retraite qui a fait l'objet d'un reportage sur le thème de la maltraitance des personnes âgées hier soir dans le cadre de l'émission "Les infiltrés" (France 2), a annoncé la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard dans un communiqué repris par lefigaro.fr.
Comme pour l'émission de France 3 citée dans cette émission, la maison de retraite a été reconnue. Quoi qu'ils puissent argumenter, les journalistes qui utilisent le procédé de la caméra cachée jouent donc le rôle de flics, une fois de plus. Ignoble -
Jean Minnaert
- Il y a des caméras cachées pour dévoiler des atteintes aux droits humains au même titre qu’une journaliste se fait passer pour un travailleur turc.... c’est donc tout à fait respectable
- Il y a des caméras cachées dont l’utilisation tourne au voyeurisme et vole les mots échangés entre personnes qui se connaissent ou non... cela n’apporte rien... sinon que telle personne a dit ceci ou cela hors caméra ce qui n’est pour autant pas forcément sa pensée profonde...
- Il y a aussi sur cette liste de discussion beaucoup de gens qui parlent de caméras cachées en cachant leur propre nom...
Jean -
marcel verplaetse
Il a fallu attendre la 56 ièm minute pour avoir "la parole"
du vrai problème de fond .
Que fait notre société , notre "civilisation" de nos ainés ???
Parqués dans des maisons de retraites , abandonnés de leurs
proches , loin de la vision idylique de TF1 (Pernaut le "non" journaliste) !!
D'autres civilisation , dites de pays "emergeants" traitent leurs anciens
avec amour et dignité .
Les anciens sont notre histoire , notre mémoire et notre avenir aussi .
Il faut penser à l'avenir car le phénomène ira crescendo .
Pourquoi ne pas salarier un membre de la famille pour s'occuper d'un
ainé puisque on dit que dans notre mode de vie on a jamais le temps ??
Une vraie question qui réclame une vrai solution d'avenir . -
Guillaume
La question de la légitimité des caméras cachées est arrivée en Suisse devant la plus haute instance judiciaire.
(article sur www.letemps.ch - http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=241978)
Les pièges de la caméra cachée
TRIBUNAL FEDERAL. Les juges confirment la culpabilité de journalistes de l'émission «Kassensturz» de la TV alémanique.
Denis Masmejan
Vendredi 17 octobre 2008
L'usage de caméras cachées ne devrait pas se généraliser sur les chaînes suisses de télévision. Le Tribunal fédéral a estimé cette pratique contraire au Code pénal, sauf circonstances très particulières.
C'était la première fois que le plus haut tribunal du pays se prononçait sur la question. Dans une décision écrite rendue publique jeudi, les juges fédéraux ont confirmé la culpabilité de quatre journalistes de la TV alémanique SF DRS, dont le rédacteur en chef Ueli Haldimann. L'enregistrement à son insu d'un conseiller en assurances pour les besoins de l'émission Kassensturz, l'équivalent d'A bon entendeur en Suisse alémanique, par des journalistes qui avaient dissimulé leur qualité, enfreint les dispositions du Code pénal qui interdisent d'enregistrer une conversation sans l'accord des participants, ont conclu les juges.
Le Tribunal fédéral n'a donné raison aux journalistes que sur un point, pour des raisons de procédure uniquement. L'inculpation pour usage abusif d'un appareil de prise de vues ne leur ayant pas été signifiée avec assez de clarté durant la procédure, les journalistes ne peuvent être condamnés que pour l'enregistrement illégal de la conversation qu'ils ont eue avec le vendeur d'assurances, non pour les images qu'ils ont réalisées simultanément.
Dans ses considérants, le Tribunal fédéral examine en détail si la liberté des médias devait profiter en l'occurrence aux journalistes et pouvait du même coup effacer l'illégalité de leur comportement. La réponse est négative, mais elle ne vaut, soulignent les juges, que pour le cas particulier. Le Tribunal fédéral n'exclut donc pas complètement que des journalistes puissent être en droit de recourir au procédé de la caméra cachée si la sauvegarde «d'intérêts prépondérants» l'exigeait.
Mais il faudrait pour cela, juge le Tribunal fédéral, que l'utilisation de moyens d'enregistrement dissimulés soit le seul et unique moyen de révéler une information d'une portée considérable.
Pour les juges de Mon-Repos, ces conditions n'étaient pas réunies dans le cas qui leur était soumis. Sans doute, la dénonciation d'abus de toutes sortes fait-elle indiscutablement partie du travail des médias. Mais il existait d'autres moyens de documenter les manquements que l'équipe de Kassensturz estimait devoir mettre en évidence chez certains conseillers en assurances.
Les journalistes avaient confronté les propos de l'assureur enregistrés clandestinement aux critiques d'un expert pour démontrer la piètre qualité des conseils offerts par certains professionnels. Aux yeux du Tribunal fédéral, le magazine aurait pu par exemple interroger l'ombudsman des assurances privées ou divers experts de la branche.
A supposer qu'un test ait paru nécessaire pour documenter leur émission, les journalistes auraient pu y procéder sans enregistrer et sans prendre des notes non plus pour ne pas éveiller la méfiance de leur interlocuteur, considère le Tribunal fédéral, qui se garde pourtant de cautionner une telle démarche. Les juges sont donc restés insensibles à la nécessité pour un média audiovisuel d'étayer ses enquêtes par du matériel exploitable à l'antenne, en particulier dans des émissions de consommation.
L'impossibilité d'obtenir les mêmes informations autrement est également le critère à l'aide duquel opère la déontologie des journalistes. Celle-ci exige en particulier que les éléments obtenus ne puissent l'être d'une autre manière et que leur diffusion réponde à un intérêt public prépondérant. Tout le problème demeure de déterminer les critères d'équivalence, car la force d'impact d'une information obtenue par une caméra cachée - comme d'ailleurs, dans la presse écrite, par un journaliste qui dissimule sa qualité - est rarement la même.
Arrêt 6B_225/2008 du 7 octobre 2008.
Les microcaméras des «Infiltrés»
Luc Debraine
Miniaturisation des outils numériques aidant, le recours à la caméra cachée tente de plus en plus les télévisions européennes. France 2 proposera dès la semaine prochaine un nouveau magazine de société au nom explicite: Les Infiltrés. Equipés de microcaméras, des journalistes ont enquêté sur des sujets «chauds» comme la maltraitance en maison de retraite, le travail illégal ou les dérives sectaires. Sans toutefois, précise France 2, «s'attaquer personnellement à des individus, ni porter atteinte à leur intimité». Depuis l'annonce du lancement de l'émission, le malaise est palpable dans les médias français. Des journalistes comme Jean-Michel Apathie (RTL et Canal+) rappellent que la charte professionnelle de France 2 stipule qu'«un journaliste digne de ce nom [...] s'interdit d'évoquer un titre ou une qualité imaginaires, d'user de moyens déloyaux pour obtenir des informations ou surprendre la bonne foi de quiconque». Le chroniqueur des médias Daniel Schneidermann pose pour sa part la question: «L'impératif d'information est-il supérieur à l'impératif de loyauté?».
«Ce jugement est strict et sévère»
Luc Debraine
Réactions à la Télévision suisse romande après l'annonce du jugement du Tribunal fédéral
Le Temps: Comment réagissez-vous au jugement du TF?
Blaise Rostan, adjoint à la direction de la TSR pour les affaires juridiques: «A première vue, ce jugement m'apparaît comme strict et sévère. Les critères de lecture du Tribunal fédéral sur les motifs de justification de la caméra cachée sont très restrictifs. C'est d'autant plus préoccupant que le recours au procédé de la caméra cachée est chez nous exceptionnel. Comme le précise la charte d'éthique de la TSR, l'utilisation de cette méthode n'est autorisée que s'il existe un intérêt public prépondérant. Elle doit au préalable obtenir l'accord d'un producteur responsable ou d'un chef de département. Mais voilà: le journalisme d'investigation nécessite parfois des méthodes qui sont à la limite de la loi. Il arrive que la caméra cachée soit le seul moyen pour obtenir des preuves ou vérifier des rumeurs. Cette jurisprudence va restreindre encore plus la marge de manœuvre des journalistes. Nous allons devoir en discuter à l'interne pour bien en mesurer les conséquences.»
- Le recours à la caméra cachée est-il parfois contesté à la TSR, à l'interne comme à l'externe?
B.R.: Nous avons eu une contestation en rapport avec un reportage de la télévision suédoise sur la scientologie. Après le témoignage de deux témoins, qu'elle avait filmé normalement, l'équipe de reportage avait utilisé une caméra cachée pour interroger les dirigeants de l'Eglise. Notre médiateur avait reçu une réclamation. Mais ce n'était pas allé plus loin.
- Le procédé de la caméra cachée semble tenter de plus en plus les télévisions européennes. Qu'en pensez-vous?
Gilles Pache, directeur des programmes d'information et des magazines à la TSR: «Je pense qu'il vaut mieux ne pas chercher à piéger les gens. Ce type de procédé ne cadre pas et n'a jamais cadré avec nos codes de déontologie. Nous n'y recourons que dans des situations exceptionnelles, lorsque nous ne pouvons pas procéder autrement. De plus, banaliser l'usage de la caméra cachée reviendrait selon moi à instaurer un climat de méfiance généralisée. Il n'est dans l'intérêt de personne d'y recourir trop souvent. Cela dit, il est toujours préférable de pouvoir fixer soi-même les règles que de se les voir imposer par un législateur.» -
Anthony34
Je n'ai pas encore regardé l'émission, mais je signale simplement que @si et DS sont largement cités à ce sujet dans un article d'aujourd'hui sur lemonde.fr :
Caméra cachée : la fin justifie-t-elle les moyens ?
Ca fait plaisir :) -
Luc PERRIN
Pourquoi ne pas dire dans les présentations que Jean-Baptiste Rivoire est déjà venu à ASI?
C'était d'ailleurs dans un même genre de débat où le journaliste était face à des gens du sérail ( la presse féminine) qui défendaient leur milieu...Dans les deux cas, ses interventions sont intéressantes et prennent de la hauteur...mais c'est l'invité remplaçant?
Du fait des invités, quand le débat s'élargit au-delà des maisons de retraite, Rivoire se retrouve effectivement un peu seul.
Daniel,soit vous enlevez la chronique d'Alain, soit vous le laissez affiner sa pensée, parce que là ( comme parfois pour d'autres chroniques en début d'émission) on en reste au descriptif et à la comparaison d'images:
"regardez cette image....regardez cette photo...incroyable,non? ah oui, ça ressemble !...là, il y a des différences..."
Mais pourquoi vous ne demandez pas à Alain pourquoi le photographe fait ce choix et pas un autre? Vous faites un arrêt sur image et zappez aussitôt...dommage ! -
béji
Comme chaque aéronef, chaque individu avait, cette année là, été muni d'une "boite noire" comportant contrôle des pressions et températures, du rythme cardiaque et ... caméra (cachée).
Ce dispositif avait été relié à EDVIGE.
De cette manière, plus aucun criminel, pédophile, sadique ... et j'en passe n'avait plus pu agir sans être immédiatement arrêté.
Arrêté, pour quoi faire? Avait on alors fait remarquer.
Il avait suffi d'incorporer un "autoTAZER " au dispositif et notre surveillant, un certain RG, avait pu, désormais, nous empêcher instantanément de mal agir.
Ainsi, tout homme était devenu bon. -
akfak
Hey, vous devriez inviter Michel Onfray, ça devient urgent... -
akfak
, décidément. Pierre Bourdieu avait totalement raison.. peut être même trop, trop raison. C'est bien la tragédie de l'intellectuel. -
Corndog
Merci pour ce sujet, qui je l'avoue m'a agréablement surpris. Je n'étais pas enthousiaste à l'idée de voir des soignants se faire étriper devant des journaliste. Au final, mission accomplie pour arrêt sur image, car le débat est resté, la plupart du temps, sur le problème essentiel qui est comment traiter dans un média des actions qui sont supposées être dans la sphère privée. Sans vouloir défendre ni blâmer les aides soignantes, car ça n'a pas d'intérêt, une caméra cachée ne peut en réalité que témoigner de l'état de la relation privée entre des personnes. Imaginons que les même scènes fassent parties d'une fiction. La scène seule n'aurait aucune sorte d'intérêt, car détaché de l'émotion (puisque l'on sait que la personne n'est pas mal traitée), et elle ne serait intéressante que si un contexte antérieur était expliqué: Une action particulier de la vieille dame, ou l'identification de la vieille dame à un groupe antagoniste aux soignants, voir la violence systématique d'une des aides soignante qui entraine les autres,. Bref la fiction nous aurait donné un indice sur la transformation des personnages en monstre. Or là la caméra cachée juge et juge aveuglement puisque les personnes qui vivent les évènements connaissent le contexte de la scène, pire les protagonistes peuvent estimer que toutes les personnes qui assistent à l'action ont les éléments pour juger les actes. Or la caméra cachée va extraire cette réalité connues de peu pour la mettre en sans perspective devant nos cerveaux prompte à s'auto-amnistier puisqu'il y a pire que nous.
La remarque d'Annie de Vivie (qui regrette que les journalistes ne s'intéressent pas aux établissement qui marchent) peut paraitre naïve, elle est en faite essentielle En effet imaginons que le même groupe de soignant soit montré tantôt abusif avec des personnes, tantôt plaisant avec d'autres, on pourrait se dire que les personnes ont un problème avec certains, et nos cerveaux d'humains feraient leurs boulot en nous faisant poser la question "qu'est ce qui peut les amener à détester certains". Ou bien a l'opposé on nous montre un comportement assez systématique qui prouverait alors de l'aspect arbitraire de ces comportements. Ces deux exemples pour faire une analogie maladroite entre la question des cameras cachées et le domaine que je connais mieux des statistiques: Pour connaitre l'état d'un système, on ne test pas 1 élément du système 1 ou 2 fois, mais on établie un échantillonnage des objets, du temps, des lieux ... Une fois établie on évalue en testant au hasard (le contraire de la dénonciation). Enfin on donne les résultats de l'ensemble de l'échantillon (et non le pire). Conclusion, les cameras cachées ne peuvent pas prétendre témoigner de la vérité, mais elle peuvent être tiliser comme des illustrations de l'opinion résultante de l'investigation du journaliste. -
Manuel Brun
Bonsoir à tous,
Je voulais juste apporter un témoignage sur une maison de retraite. Mon arrière grand-père se trouve très bien dans l'une d'elle. Depuis qu'il est devenu aveugle, il ne pouvait plus rester chez lui, ayant perdu tous ses repères. Il est très bien dans cette maison, où des animations sont organisées régulièrement. Les repas sont bons, l'encadrement est suffisant et compétent. Alors bien sur, il existe des mauvaises maisons mais c'est comme dans toute profession. Les moutons noirs existent mais ils ne sont pas la majorité.
Concernant les caméras cachées, elles sont indispensable pour rendre compte de certaines pratiques. -
akfak
Une chips qui croque sous la dent, pour alimenter( miam miam) le débat...
Voici les liens :
http://www.liberation.fr/medias/0101123935-des-cameras-cachees-oui-mais-partout
Attention celui-ci fait mal aux dents, (tonitruent?), penser à la prévention : bien se les brosser :
http://blogs.rtl.fr/aphatie/
Que pensez-vous, mon cher Daniel Schneidermann, de la riposte de Jean-Michel Aphatie, je suis impatient de recevoir votre réponse... au delà, évidemment du "oeil pour oeil dent pour dent " ...LOL
Merci. -
Nohcilop
J'aime bien Justine qui était privée de plateau cette semaine, qui est quand même venu pendant le générique taper la discute avec Alain : les cheveux en broussaille, se rongeant tranquillou les ongles. Son petit numéro.
Je reste perplexe devant la chronique de Gilles Klein, où seul les lèvres bougent : tout le reste est immobile : un modèle écologique de non gaspi d'énergie. A notre au même moment le bide complet de la pseudo vanne de DS sur les journeaux de la planète Mars.
Oui laissons parler Korkos : un groupe sur Fess'Bouc? -
Anthropia
Le fonctionnement des structures est souvent problématique : mes retours de stage vont dans le sens de ce que dit le journaliste, les jeunes auxiliaires de vie sociale rentrent indignées de ce qu'elles ont vu, dans pas moins de 50% (et c'est mesuré) des structures de région parisienne par exemple, je considère que ces maisons maltraitent à un moment ou à un autre.
Et qu'Apathie trouve qu'une maison de retraite n'est pas Beyrouth est tout simplement insensé. Les simples images de cette femme treuillée et moquée sont violentes, attentatoires à la vie de cette personne, et dans ce genre de maisons on voit couramment les personnes âgées aller de plus en plus mal dès leur intégration.
http://anthropia.blogg.org