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bernard forge
Mais ou est donc passée Océane Rosemarie? -
GIGI
alors ça a été dit la pornographie est le reflet de la société et a toujours existé
comme la prostitution;
vouloir l'interdire est une illusion, la contrôler est possible avec le contrôle parental;
mr Macron baratine marketing: il ne fera RIEN de concret sauf capter le vote des cathos et cie:
c'est son unique but;
d'ailleurs cela m'a fait doucement rigoler:
le site porno leolu regardé 45 millions de fois et qui a fait gagné 35000 $ en peu de mois
ressemble furieusement à l'exemple ( non porno ) donné par mr Macron d'un
jeune millionnaire !
M'ENFIN la base du porno et de la prostitution c'est la marchandisation d'un
besoin de SEXE; le fric a une importance et ce n'est pas dans une société qui prône comme valeur
1ère le fric et la finance qu'on va empêcher ça ! eh LE MARCHE DU SEXE ...
pour Mme Fatima Benomar:
certainement, les femmes font + les frais dans la prostitution et la pornographie
mais bon je ne voudrais pas que les enfants et les hommes fassent aussi
les frais comme nous; -
Hérisson Vert
19:40
ça y'est ça m'énerve
Approximation et amalgame : torrent = téléchargement illégal !?
N'importe quoi. Torrent est l'extension des fichiers qui contiennent les méta données des fichiers échangés à l'aide du protocole BitTorrent.
Selon le contenu de ses fichiers, les contrats de distribution et les droits d'auteurs le concernant et les juridictions dont dépendent les utilisateurs, le téléchargement pourrait être illégal ou non.
Mais au final cela dépend de chaque utilisateur.
Dans la foulée "Un site de téléchargement illégal" -> C'est le site qui est illégal ou le téléchargement ? On ne sait pas trop, de toute façon c'est à côté de la plaque. Le site n'est pas illégal, il est bien hébergé quelque part. est-ce qu'il est illégal en France ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
Ce qui peut être illégal c'est de mettre à disposition des contenus qui seraient illégaux. La responsabilité revenant à ceux qui les téléverseraient sur des sites qui sont souvent des plateformes. Ou à ceux qui créeraient un torrent.
Mais au final cela dépend de chaque utilisateur.
Ouai, c'est flou ces domaines. On voit bien qu'il y a des enjeux moraux et des histoires de propriétés et surtout d'accaparement et de profits.
Ce qui devrait être illégal c'est de faire du fric sur le dos des créateurs. On supprime tous les intermédiaires et on crée des services publics de distribution quand c'est nécessaire.
Oui je sais, je ne parle pas ni de porno, ni de pornificassion... -
Makno
Une question me turlupine a propos du titre...
Peut on "pornifier" du porno ?
Ca serait pas un peu comme : liquefier un liquide, democratiser une democratie, monter en haut, descendre en bas, etc.... pleonasme, au mieux...
On est sense pornifier forcement quelque chose qui n'est pas du porno ?
Je n'ai peut etre pas saisi le sens du mot pornification ? -
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Diogene
Je vois - enfin- l'émission et je me demande si Daniel sait de quoi il cause. Et s'il sait ce que c'est qu'Internet. Pour un type qui bosse sur le net.
- Daniel demande ce que le type du tag parfait met comme protection contre l'accès au porno. Le gars lui montre sa page. Daniel réplique qu'on peut quand même y accéder. Cher Daniel... quand mon ordinateur se connecte à votre site vous savez si je suis mineur, majeur, un homme, une femme? Vous savez qui tape sur le clavier et qui visionne l'écran? (Et pas juste que le login Diogène s'est connecté). Il y a bien le système de vérification par carte bleue, mais outre la sécurité sur votre compte bancaire, il suffit qu'un gamin vous pique la sienne (ou génère un faux numéro) et hop, affaire réglée. Le contrôle se fait en amont Daniel. Une fois que ma machine se connecte à votre machine, c'est - justement - un dialogue de machine. Donc sans âge ni sexe.
- Daniel souhaite que la production porno paye des taxes cinéma. -Outre le fait qu'on sort du sujet-, le type du tag parfait explique que les producteurs français paie déjà une taxe pour financer le cinéma: "oui, mais pas youporn". Ben youporn il est aux US, hein Daniel comme te l'explique le gars de Next Impact. Alors déjà que pour faire payer ses impôts à google c'est galère... Oui, Daniel, ce serait bien si les trains arrivaient à l'heure, si les toutes les entreprises payaient leurs impôts et si les journalistes étaient intelligents honnêtes et efficaces, mais hélas...
- Bonne réflexion de "tag Parfait" à 20min. Qui dit site de téléchargement illégal dit... à peu près n'importe quoi. Mafia, piratage de compte bancaire, etc. Et financement par des pubs pornos borderline, oui... Daniel ne semble pas bien comprendre là où F. Benomar avait mis les pieds. En monde réel, ça équivaut à faire ses emplettes chez un vendeur à la sauvette ou chez un revendeur d'objets volés. Et si elle vient d'apprendre que c'est illicite, bonne nouvelle. Ca fait juste plus de 20ans que c'est le cas... Vu la suite (dont l'interviention de la collaboratrice d'ASI au sujet des vidéos de youtube), je comprends le regard atterré de Aulnois: oui, youtube diffuse des tas de vidéos sans respect du droit d'auteur, mais la publicité lui rapporte plus que les amendes, donc...
- hum, ah, vieux débat sur le contrôle et la censure des sites. Oui c'est possible, la Chine y arrive bien. Mais pour y arriver, le niveau de censure requise permet que le gouvernement en place peut se permettre de censurer n'importe quoi. Par exemple le site d'un certain DS.
J'ai tenu jusqu'au bout...
Bref.
Sujet raté, mal préparé par ses journalistes, mal animé. -
bearr
Pour ce type de sujet merci de choisir mieux vos intervenants "féministes" car Fatima Benomar et les Effronté.e.s en sont vraiment loin, ou alors invitez caroline fourest et consort histoire d'assumer pleinement ce genre de personnes aux idéologies et logiques douteuses et qui s'accaparent des appellations. ces gens là polluent le débat et n'ont aucune légitimité. -
L.B
Le travail pornographique de Mathieu Trachman, une lecture indispensable pour quiconque veut comprendre mieux l'univers de la pornographie. Une étude sociologique amorale sur ce monde à part qui n'a pas fini d'animer les passions. -
Guillaume Chantraine
Humblement, je me permettrais de faire une critique un peu radicale de cette émission qui est un peu passé à coté de ce qui me semble être centrale dans ce sujet.
Quand certains affirment que la pornographie serait "le reflet de notre société", ils font un contresens, ou sont trop peu précis. Il est visiblement difficile de débattre de la pornographie précisément parce qu'elle n'est pas le reflet de la société, mais au contraire, le reflet d'aspirations beaucoup plus primitives, plus pulsionnelles, soit le contraire de ce que ce veut une construction sociétale.
Pour faire une analogie avec des concepts freudiens, si la société était le "surmoi", le porno serait une partie de son "ça".
Une société est plutôt faite autour de ce qu'il est permis ou non d'exprimer publiquement, et la raison principale de cette morale publique est assez simple : les pulsions qui animent l'être humain et sa satisfaction sont rarement altruistes et généreuses, tournés vers l'épanouissement de l'autre, etc., mais essentiellement égoïstes et potentiellement destructrices pour autrui, si exercées sans restriction.
Ce qui est le reflet de notre société, c'est précisément cette incapacité à choisir son camp, parce qu'incapable de faire le diagnostic. Depuis les années 60, le consumérisme a vanté les bienfaits de l'écoute de nos pulsions, car rien n'est meilleur pour la consommation qu'un comportement pulsionnel, sans trop de garde-fous, facilement manipulable. Mais d'un autre coté, en vis-a-vis de cet idéalisme feint concernant les bienfaits de la libre expression de nos pulsions, apparait le spectre de pulsions envahissantes pour l'autre, voire prédatrices ou nuisibles, mais qui ne se vivent pas comme tel : comme je prends du plaisir, tu dois aussi prendre du plaisir, et au moins, me laisser jouir sans exprimer d'inconfort.
Le moment emblématique de l'émission concernant cette difficulté à comprendre l'enjeu aura été ce moment très embarrassant où Stephen des Aulnois a péniblement tourné autour du pot de la question du porno hardcore, bien incapable de le justifier. Il était pris dans ce paradoxe que beaucoup de défenseurs du porno ont souvent du mal à démêler ou identifier : l'apparente innocuité de la consommation de porno en général, et la violence revendiquée et exprimée sans ambiguïté par ce genre de porno qui se veut amoral.
Le porno est par définition régressif ; c'est à dire qu'il vise à jouer sur des leviers psychologiques les plus proches de pulsions primitives que possible. Le Hardcore serait donc d'une certaine façon le niveau le plus régressif possible, qui agite les pulsions les plus bestiales et primitives. Sans avoir lu d'études sur cette aspect, j'ignore si l'on peut dire qu'il est dangereux d'imbiber des cerveaux de telles représentations, car sans distanciation, ce sont potentiellement des activateurs de comportements ; mais c'est au moins une hypothèse qui mériterait une investigation sérieuse.
Comme toujours, il y a une question qui se pose quant à la manière de policer les représentations fictives de la violence, du racisme, du sexisme. Est-il pire d'interdire que d'autoriser ? Est-ce qu'à force de laisser ces représentations imbibées l'imaginaire, notamment des plus jeunes qui n'auront rien connu d'autres, ne détruisons-nous pas les représentations acceptables par la société et qui protègent chacun et chacune d'abus égoïstes ? Ou au contraire faut-il laisser "du mou" pour que les plus tourmentés par leurs pulsions aient ainsi une soupape ?
Ma réponse à cela, en attendant d'avoir pu consulter des études sérieuses et fiables sur ces questions, est que quoique l'on choisisse, il ne faut pas faire l'économie de briser les tabous sur ces questions, affronter le caractère régressif du porno, le dire, le comprendre, pour que chacun puisse utiliser ce pouvoir exutoire et masturbatoire avec le recul qu'il s'impose. Bref, c'est important de mettre des mots sur ces phénomènes, et les plus justes possibles, les moins complaisants possibles.
Sans être hostile à la pornographie en tant que "plaisir coupable", compris comme une satisfaction bon marché d'un besoin naturel (un peu comme on mangerait des bonbons à la gélatine de porc comme coupe-faim), je suis en revanche assez hostile à la tendance qui voudrait en quelque sorte "idéaliser" le porno parce qu'il serait tantôt le "reflet de notre société" (ce que je ne crois pas donc), tantôt transgressifs. Le porno est certes transgressif, mais ce caractère transgressif n'est pas celui de l'indépendance d'esprit ou du raffinement intellectuel ; au contraire, il repose sur un abandon de soi à l'asservissement à ses propres pulsions, voir sur un déni d'intellectualisme. -
ceci n'est pas un pseudo
pas vu l'émission apparemment pas terrible.
si le porno est responsable du machismosexisme, les jeux vidéo et films de guerre sont responsables de la violence ?
Je comprends pourquoi le gouvernement veut interdire les cigarettes au cinéma. Tout se tient. Le bas peuple est incapable de faire la part des choses, il faut l'éduquer, lui dire ce qu'il a le droit de voir. -
Diogene
"Sommé de prendre des initiatives concrètes pour combattre les violences faites aux femmes, Emmanuel macron a répondu, le 25 novembre, en ciblant le porno, qui aurait franchi la porte des établissements scolaires"
Ben une étude américaine a justement démontré que l'accès au porno avait pour effet de diminuer le nombre de viols (étude basé sur la comparaison du nombre de viols dans les états avec accès facile au porno et les autres)
https://www.scientificamerican.com/article/the-sunny-side-of-smut/.
Donc la solution, cher Jupiter : du porno pour tous! :D C'est bien ce que vous vouliez dire par "cibler"? :D :D :D -
Catala93
Beaucoup d'infos intéressantes sur le porno que peu d'hommes ( moins les femmes) assument de regarder. Il est important de comprendre ce qui se passe derrière une industrie qui représente un temps cumulé de visionnage de 1,2 millions d'années, cela se passe de commentaires ... Le parcours de Fatima Benomar inspire le respect, lire son portrait dans Libé (un exercice qui reste le dernier bastion à défendre pour ce quotidien) . Mais elle ne plaque pas toujours à bon escient sa grille d'analyse féministe et anti-patriarcale. Quid des femmes qui participent aux tournages de vidéos pornos ? De la collaboration forcée à "l'insu de leur plein gré" comme Richard Virenque ? Il serait intéressant d'interroger d'autres actrices moins connues qu'Ovidie et Brigitte Lahaie. -
pekinight-030313 pekinight
4 ados pris au hasard auraient certainement fait 100x mieux que ces pseudo experts. -
pekinight-030313 pekinight
Fatima Benomar découvre que le capitalisme s'apparente à l'esclavage. Une vraie lumière. Malheureusement elle n'applique cela qu'au porno. Il y a encore du chemin à parcourir. -
pekinight-030313 pekinight
Espérons que le féminisme ne soit pas à l'image de Fatima Benomar. Car ça ne vole pas bien haut.
J'aimerais bien voir comment 5 hommes peuvent mettre leur penis dans l'anus d'une femme. C'est un exploit de contorsion ? -
Strumfenberg ( Aloys von )
le plaisir est coupable, mais la faute est délicieuse. -
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beajacq
Bonjour l'équipe de @SI que je suis fidèlement depuis tant d'années!
Je crois qu'un aspect important du danger du porno, surtout dans son évolution actuelle, n'a pas été mis en évidence dans cette émission.
Il s'agit de l'avilissement du désir et du plaisir féminins.
En effet, la plupart des vidéos pornos accessibles sur le net et des commentaires qui les accompagnent assimilent le désir et le plaisir féminins à des vices répréhensibles et du coup les violences et les humiliations sont autorisées puisque légitimées en "juste" punition. Dans la plupart des vidéos commerciales, dès qu'une femme manifeste (même très discrètement) qu'elle a envie de sexe, elle devient une "chaudasse" ou une "salope" qui ne mérite que d'être "défoncée". A mettre en relation avec les arguments utilisés par les avocats de violeurs....
Les vidéos montrant une pleine jouissance féminine sans domination plus ou moins "punitive" sont rares, et se trouvent dans les vidéos d'amateurs "home made".
Si je concède q'@si ne pouvait pas montrer des images pornographiques au cours de l'émission, et donc ne pouvait pas s'y "arrêter" il aurait été pédagogique de décrypter cette perversion de la mise en scène, qui, à mon avis, peut induire des comportements dominateurs voire violents vis à vis des femmes, surtout chez les jeunes qui accèdent aux vidéos pornos avant d'avoir été instruits sur le sujet et bien avant leur premier rapport sexuel, ou déculpabiliser les adultes qui les pratiquent.
En prime, notre historienne préférée aurait pu rappeler la condamnation du plaisir dans notre civilisation, en particulier chez la femme, et peut-être voir dans cette évolution récente du porno (et plus globalement dans la pornographisation de la société) un retour funeste au passé.
Bien amicalement -
Zéfling
J'ai quand même l'impression que les invités n'étaient pas les bons pour traiter le sujet...
Comme une impression d'un hors-sujet complet. -
endorphine
Et sinon pour la définition du porno amateur je dirais que le "faux amateur" c'est du porno produit par des "pros" mais où les actrices ou acteurs sont des amatrices (dans le sens elles ont un vrai job dans la vraie vie), mais seront rémunérés plus ou moins bien par la prod. En gros ces amateurs contactent des boîtes de prod spécialisés dans ce type de porno (genre en France J&M, pour ne pas citer le nom complet) pour tourner.
Le porno amateur "pur", c'est un couple qui se dit: "tiens, filmons nous et mettons ça sur internet. Et si on peut gagner de l'argent avec tant mieux".