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  • aspasie g. 26 février 2013 à 18:21
    Je pense que cette émission le jeu de la mort met finalement plus en cause le manque d' éducation véritable au civisme et au comportement
    moral dans le cadre éducatif plus que le poids de la télévision qui n' est qu' un média influent parmi d' autres et n' a pas inventé l' influence sur les masses (le fascisme et le bolchévisme l' ont fait bien avant)

  • htintin 26 mars 2010 à 19:50
    ok, j'ai 5 minutes à perdre en attendant de voir la nouvelle emission donc un lien gratuit et juste pour ceux qui veulent pouvoir donner une réponse à l'autorité quand elle outrepasse ses droits ou devoirs.

    Rage against the machine - Killing in the name of

    Citation de fin : "F... you I won't do what you tell me !" et il faut le dire comme le chanteur surtout.

    et n'allez pas croire que c'était hors sujet, mais c'était juste un clin d'oeil

    (allez en route vers la nouvelle emission sur le cas zemmour .... hmmf, pas convaincu de la profondeur du sujet au premier abord, verdict sur l'autre forum)

  • beyondtheeyes 26 mars 2010 à 16:38
    [lasserpe.blogs.sudouest.com]

  • jiji1 25 mars 2010 à 00:27
    En tant que psycho clinicien, je trouve le retour de S. Bohler tout à fait nul. En même temps je comprends DS devant son plateau vide , il faut toujours combler le vide (à la TV ou sur internet). Tout de même mettre trois heures pour parler de Déni (freudien) quand on est soi-même cognitiviste...c'est vrai que c'est dur. Parler de gens à table avec quelqu'un tombé dans l'escalier, personne n'y entend rien. Petite expérience sur le déni: "il est trois heures du matin, vous dormez, le téléphone sonne, on vous annonce, alors que rien ne le laissait présager, qu'un très proche parent à vous est décédé. Quelle est la première phrase que vous allez dire? "c'est pas vrai, c'est pas possible" !! Première réaction pour lutter contre la douleur : le DENI. Inutile d'aller chercher des circonvolutions sans intérêt pour dire ça. Il se fait tard, mais concernant la partie sur Karski et la violence de l'extrême, je suis aussi resté sur ma faim avec S. Bohler. J'espère y revenir plus en détail. De mon point de vue une émission qui démissionne: il ne faut pas faire confiance à nos (vos) experts.

  • Winston Smith : misanthrope 24 mars 2010 à 21:40
    à tous ceux avec qui j'ai discuté dans ce fil, content de trouver des gens qui apportent de l'eau à mon moulin ici et si j'avais su cela avant je ne me serai pas lancé dans de longs messages.:

    Après la diffusion du Jeu de la mort sur France 2 ce mercredi 17 mars, retour sur le "Petit cours d’auto-défense intellectuelle" de Normand Baillargeon, professeur en sciences de l’éducation à Québec

    "La première chose qu’il faut faire, c’est prendre soin de votre cerveau. La deuxième est de vous extraire de tout système d’endoctrinement. Il vient alors un moment ou ça devient un réflexe de lire la première page de votre journal en y recensant les mensonges et les distorsions, un réflexe de replacer tout cela dans un cadre rationnel. Pour y arriver, vous devez encore reconnaitre que l’Etat, les corporations, les medias et ainsi de suite, vous considère comme un ennemi ; vous devez donc apprendre à vous défendre. Si nous avions un vrai système d’éducation, on y donnerait des cours d’autodéfense intellectuelle."
    Noam Chomsky

    http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1888

  • Elihah 24 mars 2010 à 18:13
    Soumission à l'autorité ..... dans la MaisonMammouth

  • Philippe BARRAUD 24 mars 2010 à 16:20
    J'aime bien Daniel Schneidermann, mais quand va-t-il cesser d'interrompre les invités toutes les dix secondes ? Il faut apprendre à ECOUTER une argumentation enfin !!! Sinon, à quoi bon se targuer d'être différent des autres animateurs de télévision ?

  • Lorie 23 mars 2010 à 23:02
    Quand les gens signent,donc acceptent le jeu,ils ne savent pas qu'ils vont etre le"maitre du jeu"et croient qu'ils peuvent eux-memes recevoir la décharge électrique ce qui change la donne;n'empeche cette émission prouve que l'etre humain est soumis comme les loups le sont dans une meute .Que ça nous plaise ou non c'est ainsi et tout nous y amène:l'éducation que l'on reçoit,la hiérarchisation de la société,la religion,l'adoration des idoles quelles qu'elle soient!Espérons simplement que nous aurions fait parti des"désobéisseurs"!

  • marcel verplaetse 23 mars 2010 à 22:44
    Sympa le retour de Sébastien . La mise en évidence des coupures
    dans l'émission et les clashs entre animateur et invité très bien aussi .
    Quel dommage que l'on ai pa vu cela en direct !!

  • Xavier Guilbert 23 mars 2010 à 19:40
    J'imagine que c'est un parti-pris, mais je trouve étonnant qu'il y ait eu si peu de commentaires sur la forme même du documentaire, que prolongeait le débat qui a suivi. En ce qui me concerne, je n'ai pas réussi à y voir un simple documentaire, tant la mise en scène jouait sur les (grosses) ficelles de la télé-réalité, ne serait-ce qu'avec le recours à une musique bien dramatique comme il faut pour souligner chacun des moments de la démonstration -- au point que cela en devenait obscène. Daniel avait souligné dans son 9-15 l'omniprésence d'un discours aux accents scientifiques renforcé par un professeur à la blanche barbe (sans compter le cours magistral fait à l'animatrice elle-même). Et que dire de la conclusion aux échos de L'île de la tentation, les candidats-cobayes commentant face caméra leur propre ressenti, avant de tirer les leçons de cette expérience?
    Bref, on avait là un documentaire qui cherchait avant tout à nous convaincre de la crédibilité de l'expérience, et de son intérêt -- en écho sans doute au battage médiatique qui en avait précédé la diffusion. Il fallait du sulfureux, du spectaculaire, et on en a eu. Du scientifique, c'est peut-être moins sûr...

  • francky 23 mars 2010 à 12:42
    ce qui me fait marrer tout de même c'est le gros coup marketing de cette émission, on a donc l'émission, le dossier dans philosophie magazine et le bouquin, à quand les stickers, les posters, le menu chez mc do, c'est sûr que tout le monde essaie de survivre, ceux qui font les émissions de merde et ceux qui les critiquent, sans parler de ceux qui y participent, le problème est beaucoup plus profond dans une société (mondiale) qui prône l'individualisme, l'écrasement de l'autre pour sa survie, en gros le néolibéralisme et tout ce que ça engendre, d'ailleurs n'y a-t-il pas plus de gens qui discutent sur des forums ( internet ) que dans la vraie vie, sur ce d'ailleurs je retourne bosser...

  • Varlin 22 mars 2010 à 21:32
    J'en connais qui ne passeront pas leurs vacances ensemble. Traiter DS de bidonneur et autres noms d'oiseaux, comme le fait Christophe Nick, ça ne me semble pas être le signe d'une franche camaraderie.

  • Citizen Jane 22 mars 2010 à 19:32
    Voir l'article sur mon blog :

    http://libreire.blog4ever.com/blog/lire-article-340538-1683109-faut_il_regarder__la_zone_xtreme____reflexion_meta.html

  • sébastien lautié 22 mars 2010 à 17:41
    Je n'ai pas eu du tout la même analyse de l'émission: je distingue le pouvoir de l'autorité (identique à celle de milgram) du pouvoir du cadre télévisuel. Vous pouvez la lire ici :
    http://www.televore.com/spip.php?article413
    Cordialement,
    Le televore (.com)
    webmaster de www.televore.com

  • Thom 22 mars 2010 à 16:54
    Post post, postum : dans mes postss je parlais bien de Jean-Léon Beauvois, le psychologue social, celui qui a travaillé avec Robert -Vincent Joule, non pas du Jean-Louis Beauvois évoqué par certains posteurs dont je ne connais pas le travail, non plus d'ailleurs que celui, d'Hervé Joule.

  • GIGI 22 mars 2010 à 15:31
    très, très bonne émission;
    2 remarques:
    rapport à la 1ère partie:
    depuis que je regarde très très peu la télévision, je n'ai plus le même comportement: moins violente et + moi même;
    la télévision, les magazines, la publicité, les jeux vidéo? dépersonnalisent et cela a des conséquences dramatiques;
    sur la 2ème partie:
    je dis souvent rapport à des événements que je ne comprends pas que je manque d'imagination et j'ai du mal,
    comme le juge de l'époque, à les accepter donc à pouvoir apporter éventuellement une solution;
    c'est un gros problème; je me sens effectivement limitée;

  • Totorugo 22 mars 2010 à 15:13
    Anne-Sophie, on ne dit pas plutôt une échappatoire ? C'est par insoumission à la haute autorité symbolique d'Alain Rey que vous le dites au masculin ? :-)

  • beyondtheeyes 22 mars 2010 à 14:05
    Vite dit : Lu "Le documentaire « Le jeu de la mort » : une critique de la télévision ?" - publié le 22 mars 2010 par Henri Maler
    [www.acrimed.org]

    Ce que montre le documentaire, ce n’est ni LE pouvoir de la télévision ni celui de la télé-réalité sur les téléspectateurs, mais le pouvoir exercé par un dispositif emprunté à certaines émissions de télévision sur ceux qui ont accepté, littéralement, de « jouer le jeu ».

    P.S. : je trouve cocasse que l'auteur reprenne Christopher Nick qui aurait parlé d’une « Kohlantisation de la société », entendant par là que l’émission Kolhanta (au cours de laquelle des couples sont soumis à l’épreuve de leur éventuel déchirement par des séducteurs) produit dans la société les « valeurs », voire les comportements qu’elle diffuse.

    Je ne suis pas non plus expert en la matière ( [mauvaise foi] Voici, Gala ? Non non jamais feuilletés, ou peut-être une fois par hasard dans la salle d'attente chez le médecin [/mauvaise foi] ), mais cette émission au cours de laquelle des couples sont soumis à l’épreuve de leur éventuel déchirement par des séducteurs, ne serait-ce pas plutôt "L'île de la tentation", aussi diffusée sur TF1 ?

  • Thom 22 mars 2010 à 13:46
    Je suis un peu consterné par le tour qu'a pris l'émission, et celui que prend le débat. Une première remarque : s'agissant d'autorité scientifique et de l'expérience de Milgarm, je note avec étonnement qu'il est fait mention de la présence à l'émission de Hondelatte (je ne l'ai pas vue) de Jean-Léon Beauvois, que Monsieur Lacroix renvoie dans ses cordes avec quelque mépris en lui reprochant de faire l'amalgame entre la télévision et le troisième Reich ; il aurait dit : "nous sommes dans un système totalitaire". Qui de Beauvois ou de Lacroix fait cet amalgame ? De surcroît, il ne sera plus question de la présence de J-L Beauvois à cette émission, et on dissertera avec plus ou moins de bonheur sur la soumission, Sébastien Boher songeant à l'extrème fin, et à propos du second sujet à évoquer les travaux de Festinger. Mais sait-on que Jean-Léon Beauvois, en dehors du fait de se commettre dans une émission de télévision paraît-il du plus mauvais goût, est l'un des plus grands psychologues sociaux français, dont les ouvrages concernant l'autorité, la soumission, font justement autorité dans la profession ? Ses ouvrages comme "soumission et idéologie", ou "petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens" -je recommande ce dernier à M. Lacroix, comme un excellent ouvrage de vulgarisation de ce que la recherche en sciences sociales fait de mieux en France sur le sujet (les autres ouvrages sont un peu techniques)-, auraient pu éclairer un débat un tantinet enlisé dans l'anecdote, celle du courageux journaliste contre le très méchant animateur, et aider à mettre en perspective ce que les deux sujets avaient de commun : peut-on expliquer que des êtres humains, en pleine possession de leurs facultés mentales, des individus normaux, pas des monstres ni des êtres abjects, puissent accepter l'inacceptable ? Hélas, l'expérience et l'expérimentation scientifique le prouvent toutes deux, la réponse est oui, dans les deux cas ; la sensibilité, l'intelligence, la probité ou la capacité des individus n'y change rien, seuls des dispositifs indépendants de vigilance et de contre-pouvoir politique, économique, écologique et humaniste drastiques peuvent espérer limiter les dégâts à venir.

  • Ave 21 mars 2010 à 20:11
    pour les coupés je pense qu'il est réalisé lors du changement de plan, du gros plan vers le plan large en hauteur. On distingue un changement de tonalité dans la voix du philosophe.

    J'ai vu cette émission, et il y a quand même beaucoup d'éléments intriguants sur sa crédibilité pour un candidat qui viendrait jouer.

    Le fait que les décharges sont mentionnées en voltage sans indication sur l'ampérage. (une cloture de 10 000 V avec une intensité de 10 mA n'est pas dangereuse) A partir de I : 20 mA il y a un risque de mort.

    Le jeu d'acteur est bidon, on n'y croit pas une seconde, une décharge est brève, l'acteur au contraire traine en longueur. Pas d'insultes ni rien envers lui il reste parfaitement consensuel.

    Enfin en ce qui concerne les participants comment croire que la télévision publique aurait l'autorisation du CSA pour organiser un jeu dans le quel des sévices corporels sont appliqué aux candidats ?


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