"J'ai hésité à porter le message des FARC à Hollande..."

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Roméo Langlois, Pascale Mariani : nos rapports avec la guerilla colombienne

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Comment faire son travail de journaliste dans un pays en guerre, dont une partie importante est contrôlée par une guérilla? Peut-on filmer cette guérilla tout en entretenant des rapports professionnels avec le gouvernement légitime du pays et avec l’armée? C’est l’éternelle question du journalisme de guerre. Sur notre plateau, Roméo Langlois, qui a été fait prisonnier par les FARC pendant un mois et Pascale Mariani, qui a co-réalisé plusieurs de ces documentaires.

L'émission est présentée par Daniel Schneidermann, préparée par Laure Daussy
et déco-réalisée par François Rose.
Didier Porte décortique d'abord les clips parfois savoureux de la campagne législative.

Roméo Langlois raconte les conditions de sa capture, alors qu'il suivait l'armée régulière de Colombie, qui effectuait une opération anti-drogue. Une opération qui devait être de routine, et qui a dégénéré. Il raconte l'encerclement par les FARC, l'armée qui envisage de l'exfiltrer, sans succès... Fallait-il porter ou non un gilet pare-balle, au risque d'être confondu avec les militaires? Langlois est blessé lors de l'attaque. "Les FARC ont réussi à fermer la plaie", raconte-t-il, mais n'avaient pas de matériel de radio. Ce n'est qu'une fois re...

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