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gondalah
Moi qui ai cru que cette série d'émission avait pour but de réconcilier les vénusiens et les martiens...
Cette émission doit être certainement très intéressante, mais je n'arrive pas à dépasser la première question que je me suis posé.
C'est quoi donc le premier métier de ce Cardon? Salarié chez Orange ou Sociologue?
Désespérant... -
Youri Ligotmi
... mais cette année je passerai le mois d'aout sans arrêt sur image !
non pas que les sujets soient initéressants, au contraire, mais voilà je suis juste un "mal entendant" comme on dit.
Et il s'avère que la prise de son + le marmonage de Justine et de ces interlocuteurs m'interdisent d'aller plus loin.
En attendant le sous titrage, faites attention l'année prochaine. -
Strumfenberg ( Aloys von )
avec tous ces trucages d'images, on ne peut plus faire confiance à aucune. -
François G.
Encore une fois, chez ASI, une vraie leçon de travail journalistique...
'Vrai journaliste faisant son travail'
See what I mean, David ? -
T. Jefferson
Uh! J'espère que l'émission est moins démago que le titre... -
yannick G
"Il faut faire une confiance absolue au public d'Internet"
Dominique Cardon
Justine a beau le relancer plusieurs fois sur la question des propos condamnables publiés régulièrement sur internet, le sociologue en reste à sa pétition de principe, le paternalisme, c'est mal, l'esprit libertaire des pionniers, c'est mieux. Reprenant à son compte leur slogan selon lequel "On ne lutte contre les idées les plus insupportables soient-elles qu'avec d'autres idées, pas par la censure"(vers 55'), que rien, hélas, ne permet empiriquement d'étayer.
Cela se saurait depuis le temps.
Un optimiste béat dans la force pédagogique de la raison qui colle mal avec le constat que fait également Cardon (vers 27-28') selon lequel, quelque soit l'esprit critique mobilisé, cela n'a pas de conséquence sur l'acte. Autrement dit, on peut ne pas être dupe et continuer à consommer de la merde.
Difficile dès lors de partager sa confiance dans le public.
yG -
catsimdac
Que le cameraman change de métier, par pitié... -
Yanne
Je voulais aussi féliciter Slobodan.
Le premier plan, avec Justine qui parle dans ce paysage, était très réussi, bien cadré et net.
Et par la suite, même s'il n'y avait qu'une seule caméra, le changement de position ne rendait pas l'image moins fluide.p
Bref ! On finira par faire de vous un vrai cadreur unique !
Vous approchez de la perfection...
En plus, avec Miss Jolie Justine, vous avez un modèle en or ! -
tetatoto
Tout à fait passionnant, mais pourquoi filmer avec une caméra comme si on en avait deux? -
rmara
Où l'on apprend qu'en sociologie aussi les sociétés privées se mêlent de recherche fondamentale, (on s'en doutait hein) et où l'on voit des chercheur en sociologie affirmer qu'ils font du "consulting" pour des émissions télé ou des grands groupe de communication à titre "amical" (on s'en doutait moins) Quand il ne s'agit pas de collaborations ouverte ...
Et personne n'y voit de conflit d'intérêt ... En plus d'être ennuyeux, c'est navrant ...
Navrant également de voir à quel point ce chercheur prend des pincettes au sujets d'informations détenues par des sociétés privée car ces informations (concernant des statistiques sur des usagers ) appartiendraient à ces mêmes sociétés. Ainsi un chercheur n'aurait pas le droit de puiser dans des données statistiques anonymes (quoi que d'origine personnelles) concernant les usagers de ces sociétés alors que ces mêmes sociétés se chargent elle de revendre ces même données à d'autres sociétés et ce tous les jours ... on voit où est le pouvoir ... et ils emble parfaitement accepté/validé par notre chercheur et notre journaliste au demeurant sympathiques ...
Navrant que cela ne choque personne ici ... -
pipo
Une émission éclairante notamment sur l'état de la recherche sur Internet en sociologie. J'ai trouvé beaucoup de franc parler à Dominique Cardon. Les questions surprenantes, ou critiques de Justine Brabant l'ont sans doute poussé à sortir des sentiers battus, à se montrer pédagogue, puis à se positionner avec force. Cet effort réciproque de compréhension donne son charme à cette émission, en plus fort bien réalisée. Merci. -
Mr Patella
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jede
Salut Justine,
plusieurs asinautes ont fait des observations et commentaires sur votre comportement d'interviewer. C'est vrai qu'il y a des aspects à améliorer. Je vous fais confiance. C'était votre "première" en solo. C'était déjà très bien. Aller revisionner la première émission de Daniel S.sur
France 5... Vous êtes déjà en avance...
Bye -
Mr Patella
Merci Justine pour cette excellente émission. Joli travail.
On retrouve vers 1h20 la question insoluble (du moins scientifiquement): démocratie vs aristocratie.
Je pense qu'il faut sélectionner les meilleurs individus pour diriger une société.
L'avis de DS est contraire, ainsi que celui de Dominique Cardon, dont la phrase la plus discutable et la plus polémique (je pense qu') "Il faut faire une confiance absolue au public d'internet" a été choisie comme titre représentatif, selon la logique habituelle de la presse.
L'avis de Justine sur la question reste indéterminé, ce qui est à mon avis la marque d'une intervieweuse intelligente.
Quoi qu'il en soit, c'est un plaisir de prendre connaissance des travaux d'un laboratoire de recherche dont les thèmes d'étude sont passionnants, et l'idée des liens supplémentaires est parfaite.
On sent un vrai cheminement de pensée entre les émissions de Maja de l'année dernière, qui avaient pour objet d'interviewer les gourous d'internet, et les émissions que celle-ci semble annoncer, qui adoptent un poste d'observation plus analytique.
Donc Bravo Justine!!!
PS: Emission des matins de France Q avec Gérald Bronner comme invité, sur à peu près le même sujet (avec un avis différent, comme quoi la sociologie est intéressante mais pas omnipotente...) -
Djac Baweur
J'en ai rêvé, Justine l'a fait. -
Pat de Saint-Rémy
Quelle fantastique et passionnante énission Justine... Merci !
PG -
Animal Collective
Est-ce possible d'avoir des conseils pour afficher les vidéos dailymotion en plein écran, quand elles sont incrustées sur un site, comme ici ?
Ca fait un moment que je n'ai plus qu'un écran noir.
Merci d'avance ;-) -
Vincent Alsteen
Génial, très content d'avoir renouvelé mon abonnement, c'est exactement ce genre d'émission que j'attendais d'@si.
Certains commentaires que j'ai survolé ont un effet d'abîme assez comique, puiqu'on aborde justement la question du public qui regarde ce qu'il aime détester :-) -
Strumfenberg ( Aloys von )
A props du " Rital bashing" en usage chez beaucoup d'honorables asinautes: J'ai appris, lors de ma carrière et même avant, que la haine de l'intello n'est rien d'autre que la haine de soi. -
djinneo
Cet entretien peut être synthétisé en 2 grandes parties: les médias historiques d'un côté, et internet de l'autre.
Je regrette qu'à 3'44", J.Brabant n'ait pas saisi l'opportunité de creuser le sujet de l'évaluation des opinions. A RTL, D.Cardon dit avoir travaillé sur "comment évaluer les opinions convenables qui peuvent passer à l'antenne et celles qui ne méritaient pas de passer à l'antenne. Evaluer qu'une opinion est stable ou n'est pas stable".
Voilà un sujet particulièrement intéressant. A bien des égards, il rappelle les rouages de la "fabrique du consentement", et de la "pensée unique". Il aurait été extrêmement profitable de questionner D.Cardon sur les critères retenus et plus généralement sur les outils d'évaluation des opinions.
Au lieu de ça, on est resté à la superficie. Mais cette première partie est assez rafraîchissante et incontestablement effleure la sociologie.
La seconde partie quant à elle quitte petit à petit les aspects sociologiques, qui restent toutefois sporadiquement encore présents pour Flickr, pour n'être plus qu'un banal questionnement technique sur le fonctionnement du référencement Google. Assez ennuyeux du reste puisque là aussi, la journaliste ne semble pas vouloir rentrer dans le détail, et au final, on assiste in fine à une lecture en diagonale de la page wikipédia du pagerank.
Ce que je me demande surtout, c'est quel est l'intérêt de s'entretenir avec un sociologue, si c'est pour lui poser des questions techniques. Interviewer un SEO par exemple aurait tout aussi bien fait l'affaire pour cette deuxième partie.
Pour cette deuxième partie, j'ai également la désagréable impression d'avoir assisté à un exposé naïvement militant dégoulinant de bons sentiments: la méchante Orange qui tond la laine sur le dos de sociologues consentants, la nécessaire censure contre les méchants pédophiles nazis sur les internets mondiaux, Google et Twitter en collabo'... bref pas tout à fait du niveau d'un sociologue comme D.Cardon.