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Chti_Suisse
Bonjour
Trouvé sur le site de 20minutes.ch un article passionnant
dont le titres est "Risqué de dévoiler ses dates de vacances sur Facebook"
C'est donc risqué je cite :
* technique complémentaire pour les vols en appartements en période de vacances.
* L’information publiée sur le site de réseautage pourrait ainsi vite se transformer en invitations imprudentes à venir «visiter» son appartement pendant son absence.
* «On donne comme directive générale de ne divulguer aucun élément pouvant aider à être identifié et localisé», indique Jean-Philippe Pittet, porte-parole de la police
J'ai peur vite ... faut que j'efface mon profil facebook, twitter, myspace, second life !!!!!
Sauf que au milieu de l'article :
"toutefois à sa connaissance aucun cas de cambriolage qui puisse être directement lié à la divulgation d’informations sur un site tel que Facebook, par exemple.
Ouf j'ai failli avoir peur !
Question la presse même en ligne a t'elle peur d'Internet ? -
LPR
En gros les usagers de Facebook sont responsables du contenu qu'ils mettent sur leur page ( s' il y a un probleme l'usager est responsable ), mais en s'enregistrant, tout usager donne a facebook le droit irrevocable, perpetuel, non-exclusive, transferable (!), deja paye avec l'inscription ( cad : aucune possibilite de demande des droits d'auteurs pour une photo par exemple ) a une license mondiale ( incluant le droit de sous-licence ( cad que facebook peut revendre les donnees en tant qu'une license separee ) permettant a facebook de copier, publier, archiver, scanner, transmettre, projeter, modifier, traduire, adapter, creer des derives creatifs (!) distribuer a de multiples partenaires etc. vos donnees.
^ Traduction pas trop dans le language legal, mais j'espere assez comprehensible.
A mettre bien en evidence avec le "vite dit" de Gilles Klein ce matin mentionnant la surevaluation de facebook.
Il y a a mon avis de la vente de Facebook dans l'air : ces nouveau terms, ne pouvant qu'interesser beaucoup plus tout les acheteurs potentiels, et faisant certainement monter les encheres
ici copy du texte original et lien :
Licenses
You are solely responsible for the User Content that you Post on or through the Facebook Service. You hereby grant Facebook an irrevocable, perpetual, non-exclusive, transferable, fully paid, worldwide license (with the right to sublicense) to (a) use, copy, publish, stream, store, retain, publicly perform or display, transmit, scan, reformat, modify, edit, frame, translate, excerpt, adapt, create derivative works and distribute (through multiple tiers), any User Content you (i) Post on or in connection with the Facebook Service or the promotion thereof subject only to your privacy settings or (ii) enable a user to Post, including by offering a Share Link on your website and (b) to use your name, likeness and image for any purpose, including commercial or advertising, each of (a) and (b) on or in connection with the Facebook Service or the promotion thereof. You represent and warrant that you have all rights and permissions to grant the foregoing license
Ici le lien ( date de revision : le 4 fevrier ) -
OuvreBoîte
http://www.nytimes.com/2009/01/14/technology/internet/14cyberweb.html -
LPR
La derniere comapagne de Burger King :
Downloadez une aplication qui permet de sacrifier vos "amis"
10 amis est le prix d'un sandwich
ici pour downloader l'application -
Julie
Moi,
je trouve que David Abiker se contredit : quand il dit que c'est complètement réactionnaire d'avoir peur d'internet pour les enfants, et qu'il enchaîne en disant qu'il est évident qu'il ne faut pas laisser les enfants seuls sur internet, que c'est comme une casserole d'eau bouillante, je trouve ça étrange ... Sa manière de conclure montre qu'il pense en fait, quoi qu'il en dise, que Nadine Morano a bien raison de faire ce spot qui rappelle juste aux parents que internet , même virtuel, amène des rencontres réelles, et des impacts réels sur les gens.
Je trouve aussi dommage que vous n'ayez pas ciblé l'émission plus sur le problème qui apparaît à la fin, celui de la confidentialité de Facebook. -
Pablo le berger
Bon je viens de parcourir le forum. Je n'ai pas le temps de tout lire mais rapidement je constate que beaucoup d'entre nous sont demandeurs sur les enjeux de confidentialité réelle. De l'émission on peut sortir plutôt rassuré car informé sur le coeur de la problématique internet: Internet est un outil donc il faut apprendre à s'en servir, être accompagné à son usage. Il faut être avec l'enfant afin de sélectionner les contenus qui correspondent à sa capacité d'analyse et de mise à distance d'une image.
Le problème réel devient celui d'accompagner les accompagnants.?! Quel droit donnons-nous à Facebook et surtout à Google???!!!. L'émission en général retrace bien toute la complexité des points de vue existants sur Internet et l'éducation à son usage. Mais je suis frustré de ce manque primordial. Car derrière le sujet de départ de l'émission c'est celui de la confidentialité réelle de nos pratiques internet. L'émission aborde cette question à la fin mais si légèrement qu'elle laisse le spectateur au moment où une question primordiale pourrait obtenir une série de réponse. Clairement toutes ces données que nous mettons en ligne. Qu'est-ce que Facebook en fait, peut en faire, en a fait, pourrait bien faire? Tiens une question comme ça "Internet espace de liberté peut-il être un espace sans droit. Et s'il connaît un droit, est-ce celui en vigueur aujourd'hui ou doit-on légiférer spécifiquement en sa direction? -
matjö
Ce que je retire du reportage et du spot du ministère c'est qu 'on essaie de nous faire peur. Aurait on peur que les gens se mettent a communiquer, voire meme à echanger des points de vue et à penser?
Aprés tout,iIl n y a rien d etonnant a retrouver sur le net le meilleur comme le pire de la vrai vie .
De plus il faut remarquer qu'il n'y a pas beaucoup d'annonceurs sur facebook, encore moins francais. Peut etre que le temps de cerveau disponible volé par facebook fait peur aux annonceurs télés et autres.... -
Sylvain Briand
David demande en fin d'émission en quoi une multinationale et moins ou plus dangereuse qu'un gouvernement... le réponse n'est elle simplement pas que l'un essaye de nous vendre des trucs, et que l'autre fait des lois qui nous dirige ? Le premier n'aura jamais rien sans mon consentement, le deuxième peut me contraindre quelque soit mon avis... Personnellement je trouve la différence pas négligeable mais bon :/ -
admin
sagacité perdue à la question : pourquoi avoir peur de donner des info au gouvernement plutôt qu'à une multinationale ? je suis étonné que vous n'ayiez pas distingué les acteurs, dans un cas, c'est le sujet qui met ce qu'il veut et il en est responsable, dans l'autre cas ce sont des barbouzes qui vous considèrent comme un objet et qui stockent ce qu'ils veulent sans que vous le sachiez et sans que cela soit vrai (voir les carnets de Bertrand). -
Xavier Guilbert
Si j'ai beaucoup apprécié les interventions très justes (comme tout le monde l'a déjà dit) de David, je trouve dommage que l'on n'ait pas mentionné à un moment l'élément fondamental qui se trouve derrière ces sorties répétées et paranoïaques contre Internet: le mythe, le fantasme même, comme quoi il serait possible (même simple) de réguler tout cela via une solution technique, et que (horreur) personne ne fait rien, et qu'il y aurait donc quelque part une responsabilité non assumée.
Internet (au global) souffre ici d'être largement basé sur la technologie, et la technologie aujourd'hui a valeur de magie. Intégrons cela dans la dérive sécuritaire ambiante, renforçons-le par l'incompréhension (et donc l'inquiétude) d'une partie de la population plus âgée qui n'a pas grandi avec, et on se retrouve avec un fort désir de régulation, de contrôle -- avec l'agitation de tous les épouvantails qui vient à la fois comme justification et comme expression de toutes ces inquiétudes.
La télévision, d'ailleurs, s'en donne à cœur-joie et profite de cette occasion de casser du sucre sur ce concurrent qui l'inquiète et la met en danger. Ça tombe bien d'ailleurs, parce que c'est du spectaculaire qui attire de l'audience -- on voit bien d'ailleurs dans l'extrait d'Envoyé Spécial combien la question sur la drogue est "suggérée" par le journaliste, visiblement à la recherche de quelque chose de croustillant. Je me demande bien combien d'utilisateurs de Facebook ont été contactés pour réussir à trouver ces deux jeunes filles parfaites pour la télévision: symboles de la pureté virginale, et pourtant Facebook les corrompt... Grosses ficelles, et pourtant tout le monde gobe cela.
Dernier élément (et après j'arrête, promis), le fait que l'on touche à des cordes sensibles sur lesquelles la demie-mesure n'est plus permise. On parle de délinquant sexuel, et brusquement tout sens commun disparaît, il faut frapper fort, et peu importe le cours de la Justice et autres détails. Outreau a beau être passé par là, il suffit de sortir l'argument du pédophile pour que (sécurité des enfants avant tout) on tire à boulets rouges sur tout. Avec bien sûr, l'argument imparable à toute tentative de réponse modérée: "et si c'était votre fille, vous la laisseriez en pâture?"
Vu l'emballage médiatique général que l'on peut constater encore sur ce genre de sujets, je trouve que Daniel aurait pu se montrer encore plus incisif vis-à-vis, par exemple, de l'absence totale de chiffres venant justifier ce genre de campagne, mettre également le tout en perspective: on teste Internet, mais on ne se demande pas ce qui se passe avec la télévision, c'est un peu biaisé comme approche, non? Sans compter qu'il faudrait se demander comment les questions ont été posées...
Il y a de grandes chances que ce type de reportage se reproduise, et qu'@si se retrouve à nouveau à débattre sur le sujet, je pense qu'il serait salutaire de se montrer encore un peu plus critique. -
Fédor
Belle émission. Dramaturgie élégamment dosée. Distribution au cordeau.
La Mère de Famille, parfaite. Menue, dignement flétrie, bien décidée à encadrer ses enfants sur internet. Mais elle est absolument favorable aux Nouvelles Technologies (Ah oui c'est formidable !). Seulement, c'est une mère de famille : peut-on rêver plus castrateur que de présélectionner les sites que son enfant doit consulter pour préparer son exposé ? Avouez que c'est difficile de résister à la tentation. Il y avait les livres interdits et les lectures édifiantes, il y a maintenant un prétexte moins ringard à la censure : la présélection parentale (et n'en doutons pas, essentiellement maternelle). A ce propos, j'étais tout à l'heure dans une librairie et j'ai failli faire un scandale : figurez-vous qu'il y avait un livre de Sade à portée d'enfant. Aucun avertissement. Aucune vitrine fermée. Les gens sont d'une inconscience... criminelle !
Le Facebookeur, au petit poil. Jeune, informé, décontracté, technique, légèrement naïf. Ben oui, tout va bien quoi. Facebook c'est juste super pratique. Non, et puis y a le bon et le mauvais Facebookeur. Bon, le mauvais Facebookeur, il va sur Facebook et là, tac, il raconte sa vie, direct. Alors que le bon Facebookeur, il va sur Facebook, bon... il raconte sa vie, mais bon, c'est un bon Facebookeur quoi.
Le David, un régal. Lucide, détaché, fin et même temps créatif, surprenant, incisif contre cette harpie de Morano. Bon, pourquoi le cacher ? Je suis fan de cet observateur fataliste (parfois légèrement mélancolique) et en même temps dynamique, enthousiaste et bavard. Il faut absolument que dès la fin de ce commentaire je le demande en Facebook Friend (là, mentalement, j'essaie de le dire avec un pur accent, comme mon idole). Non, on n'empêchera pas ces mutants de l'an 2000 de faire les ancestrales conneries sur internet. Putain David t'as raison c'est beau cette jeunesse en marche vers l'hyper-communication. J'espère vivre assez vieux pour voir le jour où le spot de propagande gouvernementale (et Européenne) mettant en garde contre Internet, sera une archive absurde, incompréhensible et ridicule. N'ayant pas la télé, je ne connaissais pas ce spot terrifiant.... de bêtise domestique.
Le Daniel, tranquille. On sent que c'est l'émission pépère. On l'entend presque se féliciter intérieurement "Ah...un peu de calme, ça fait pas de mal. Non parce que la dernière fois entre Joffrin et les deux là, David et Judith, pires que des ados ! Enfin là, je les ai séparés... De toute façon Judith elle s'en fout de Facebook. Elle pensait que c'était une librairie en ligne... "
Du coup, belle décontraction dans la relance et l'enchaînement et une émission nette et sans bavure. Sur le fond, un lien intéressant entre la levée de bouclier contre Edwige et le fichage volontaire sur Facebook. Bien vu, parce que ça ronronnait tranquillement, et hop là, d'un coup, ah ben oui, on est con en fait, non ?
Et ben non on est pas con, et c'est là l'objet de mon commentaire. (Et d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi je me suis senti obligé de raconter l'émission avant d'en arriver là.) Si Facebook était un bon plan pour les services de renseignements de l'Etat, il n'aurait pas besoin de ficher lui-même. La remarque du Facebookeur était pertinente : on ferait bien plus de choses en travaillant l'immense réservoir de données de google, parce qu'on pourrait croiser les infos. Et nul doute que ce travail est en cours. De plus, la différence fondamentale entre Facebook et Edwige c'est que l'un publie les données multiples mais difficilement vérifiables qui construisent une image de soi plus ou moins fantasmée, et que l'autre accumule des faits constatés comme autant de pièces à charges : opinions, orientations sexuelles, engagements divers...
Le Fédor, increuvable. Mégalo, hautain, tordu, un peu cuistre, parfois drôle. On sent qu'il doit avoir un truc à régler avec les femmes. Un frustré. Un Houllebecq. Tiens et si c'était Houllebecq ? Non trop bavard. C'est toujours quand il n'a rien à dire qu'il est le meilleur. ça pourrait presque faire penser à Luchini. Non c'est pas possible, parce qu'en même temps c'est un peu pathétique, ce mec qui prend en otage le forum en se prenant pour un chroniqueur caustique, qui se fait tout un cinéma... dans le vide ou presque... On dirait ces mecs dans le métro qui veulent vous infliger un air plein de fausses notes. Et si c'était ça, dans le fond, internet ? De tristes et laborieux chat sur internet pleins de lol et de smiley qui font office de drague, des commentaires qui se prennent pour des chroniques, une énergie considérable pour exister dans le flux, saillir de la foule. Vote pour moi et je voterais toi. Taguez-moi. Regardez mon profil, j'ai mis des nouvelles photos…
Au fait, votez pour ce commentaire et laissez un commentaire sur mon commentaire : je voterai pour votre commentaire. -
Paul Preziosi
J'ai deux enfants (adolescents) membres de Facebook et, franchement, la plupart du temps,
leurs échanges avec leurs congénères sont plutôt gentillets. Peut-être parce qu'ils sentent,
instinctivement, que tout n'est pas bon à dire à tout le monde. Les deux jeunes filles d'Envoyé
Spécial sont évidemment "extrêmes", comme toujours à la télévision (il faut du spectacle).
Que dire des risques dont, forcément, je me préoccupe, en tant que père ?
- Pédophilie: un pédophile rusé et averti sur le plan technologique pourrait facilement
contourner les différents traçages inhérents à Facebook mais il pourrait agir,encore plus
facilement et anonymement dans le monde réel, et sans compétence technique particulière.
- Drogue: Il est très facile de se procurer n'importe quelle drogue en de très nombreux
endroits de Paris ou d'autres grandes villes de France, sans pour cela avoir besoin
d'autre moyen que deux pieds (et encore) et d'un billet de vingt euros.
Bref, le seul moyen de répondre à ces risques du monde "virtuel" ou réel est l'éducation.
En fait, si Facebook présente un danger, c'est surtout pour les adultes, dans un cadre
professionnel. Si les adolescents n'ont généralement que des secrets de Polichinelle
à protéger, la vie privée des adultes est souvent peu compatible avec une exposition
sur le web. Notamment en raison des risques qu'elle peut, malheureusement, faire peser
sur les ressources vitales de leur famille. -
JUSTIN COLBART
M'sieur Daniel S. m'énerve : ou il a mal regardé l'extrait de l'émission Envoyé Spécial, ou il est de parti-pris, mais il me semble avoir entendu le commentateur dire clairement (acte 2, 2 mn 19) : "Heureusement, Olivier n'est pas obligé de répondre"…
Remarquez, moi, Facebook, je m'en tamponne le coquillard, mais pourquoi tant de haine ??? -
Emilie
Aux alentours de la 32ème minute, Mme Fima-Fromager tempère les dangers de la télé en disant qu'à la télé les logos du CSA mettent en garde contre les émissions susceptibles d'impressionner ou de choquer les enfants et que les enfants n'ont pas à regarder ces émissions.
Oui mais...
Ils le font !
D'ailleurs voici le genre de conversation que j'entends régulièrement dans l'école élémentaire où je travaille :
"T'as regardé quoi à la télé hier soir ?
- Titre de film, sur telle chaine.
- Ah ouais ? Et c'était interdit aux moins de combien ?
- Aux moins de 10 ans.
- Ah ouais ? [moue de mépris, allure fiéraude] Et ben moins j'ai regardé telle série sur telle chaîne, c'était interdit aux moins de 12 ans !
- [admiration éperdue] Wahh !!"
Ça devient un défi, un titre de fierté. Voire même de provocation envers les enseignants. Que font les parents ? Ils regardent la télé dans le salon, puisque les enfants l'ont dans leur chambre ! Je ne vous raconte pas la violence que je retrouve chez ces mêmes élèves, la confusion entre le réel et le virtuel, etc.
Vous avez déjà regardé Prison Break ? La plupart (pas tous, heureusement) des garçons de 9 10 ans de ma classe n'en loupent aucun épisode.
Alors, moi aussi, j'ai recherché les trucs interdits à leur âge. Mais je tombais sur des livres, des bédés, et comme cela est dit dans l'émission, ce n'est pas la même chose, le média change le rapport aux images.
Pour moi, professionnellement parlant, mon "pire ennemi", ce n'est pas internet, c'est la télé ! -
djinneo
ah oui, c'est vrai, c'est l'hiver. merci pour cette soupe @si -
eugene riousse
Je tiens a préciser que l'engouement des jeunes pour facebook, du moins des adolescents est du au fait qu'il peuvent désormais y accéder.
En effet je dirai qu'il y a environ un an le réseau était fermé aux mineurs il y a la aussi des questions à se poser.
Si le réseau a été ouvert c'est que soit , il ne comporte pas de risque majeurs pour eux, soit c'est une question d'argent.
Peut être que la deuxième option est la plus probable.
Enfin le cas de ces deux adolescentes est tout simplement grotesque , envoyé spéciale est tout simplement aller chercher des jeunes filles gravement dérangées.
Je suis moi même incapable de trouver de la drogue sur facebook.
D'ailleurs ce n'est pas grâce a facebook qu'elle peuvent se procurer de la drogue, mais bien parce qu'elle parle au contact approprié, et qu'elle savent pertinemment que celui ci répondra par l'affirmative.
C'est tout simplement le même principe que de s'adresser dans une cour d'école, à celui que l'on sait etre un dealer. -
Nymton Ema
Merci d'être revenus sur ce reportage.
Je regrette cependant que vous ne soyiez pas revenus sur l'aspect commercial de la gestion des données utilisateur que le journaliste a eu raison de souligner.
Personnellement, je suis plutôt avide de nouvelles technologies, fasciné par les nouveaux gadgets, les flux rss et les réseaux sociaux.
Cependant, le respect de ma vie privée va de pair avec cette passion, et comme sur internet personne n'est là pour la défendre, je me tiens informé pour éviter au maximum de laisser des traces que ce soit dans les mots que je tape, les sites que je consulte ou les gens que je côtoie.
C'est pourquoi j'ai décidé de ne pas m'inscrire sur Facebook.
Et j'ai été content qu'un journaliste s'interroge enfin sur le respect de la vie privée face à internet.
>Parce que de nouveaux logiciels dits spywares ou espiogiciels installé à l'insu de l'utilisateur visent précisément à faire commerce de nos habitudes de surf et de nos centre d'intérêts en violation de tout principe du respect de la vie privée.
>Parce que l'essentiel des virus informatiques ne cherchent plus maintenant à détruire notre ordinateur, mais bien à le mettre à disposition pour spammer d'autres utilisateurs dont les adresses ont été récupérées sur internet ou dans des carnets d'adresses d'odinateurs infectés.
>Parce que la vente de fichiers est pour internet l'équivalent d'une spéculation boursière : une vente de biens virtuels sans rapport avec la réalité dont la valeur d'échange est démesurée (pour exemple : un ami travaillant dans une startup à Londres dont l'activité était de collecter des adresses en organisant de fausses loteries m'avait dit qu'une personne ayant rempli un formulaire de centres d'intérêts sur le site pouvait rapporter près de 10 livres à la boite à chaque vente de fichier).
>Enfin parce que la CNIL qui n'arrive même pas à faire en sorte que le respect de la loi informatique et libertés soit appliqué à la carte Navigo (l'inscription sur liste rouge est payante !) ne peut en aucun cas régler le problème posé par les site étrangers.
Alors sur ce genre de sujet, m'est d'avis qu'il faut mieux en faire beaucoup pour informer, notamment sur ce véritable trafic de données privées.
En cela je souhaitais féliciter le journaliste pour avoir enfin levé le voile sur ce qui est déjà, bien que très mal connu, un des enjeux majeurs du respect de nos droits avec l'arrivée des nouvelles technologies.
Peut être que grâce à lui certains auront pris conscience des dangers qui planent sur nos vies privées. -
Olivier RAOULT
Sur le fond, ce que dit Véronique Fima-Fromager semble raisonnable mais, concernant les exemples concrets qu'elle avance (suicides sur Google Images et 14--18/torture), je vous conseille d'essayer vous-même ! Ce n'est pas probant du tout. Donc, soit elle se fonde sur des on-dit, soit elle ment plus ou moins sciemment. Bref, ça décrédibilise pas mal son discours. Dommage ...
Quant à Morano, je me souviens que son exemple à elle, c'était que ses enfants tapent son propre nom et voient "les torrents d'ordures (sic)" que l'on déverse sur elle. Révélateur, n'est-ce pas ? Faites aussi l'essai et si vous voyez des ordures, faites passer ! Fantasme, toujours du fantasme ...
Merci à tous -
tomboul
A quand un spot publicitaire sur la dangerosité du grand-pére ou de l'oncle pédophile ??
N'oublions pas que la majorité des crimes pédophile se passent en famille !!!