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Jir's
Très bonne émission, mais à beaucoup de moment j'aurais aimé intervenir. Sur la vulgarisation à la télévision, vous avez oublié E=m6 et c'est pas sorcier, qui pour moi ont été des sources d'inspiration et qui ont fait en partie que je suis aujourd'hui physicien. -
babouchka 16
J'ai trouvé l'émission intéressante mais je m'attendais à une réflexion plus précise quant aux enjeux de ces fusées lancées par Elon Musk, dont le nom n'a jamais été évoqué et quant au défi lancé d'envoyer des humains sur Mars. A quand une émission consacrée à ce singulier personnage? -
delphes
oooh ! vous avez coupé le meilleur moment de Big Bang Theory : quand Sheldon lui répond "comment ça, tu ne vois pas les nombres premiers d'une autre couleur que les autres ?"
Et, au cas où, canal + diffuse la série sans les rires enregistrés. -
ManEatDog
L'entertainment et la communication de la NASA, et donc des US ne se justifierait-il pas une fois de plus par la bataille menée
à l'infinie contre la puissance Russe ? Ne nous voilons pas la face, les US aiment à se montrer comme les premiers et les meilleurs.
On parle de science là , pas de la nouvelle robe d'unetelle, ne mélangeons pas tout. -
QuantumLogic
Pour info, les rires ne sont pas enregistrés dans Big Bang Theory, la série est tournée en public. -
Annie Huet Annie
Ce genre d'émission dont le sujet ne m'intéresse pas outre mesure, ni d'emblée, l'espace et moi ça fait 15, suis plutôt terre à terre vous voyez, m'a bien plu. Ça aère, par les temps qui courent..... Et puis les intervenants très chouettes. Merci. Pis finalement, très intéressant !! ah ah, on a le droit de changer d'avis en cour de route non ? ben si. Y'a que les imbéciles qui ne changent pas, en général. Non mais. -
sigir
Je suppose que celui qui s'occupe du son était en vacances !
Je vous invite à lui confier cette vidéo à son retour afin qu'il s'en occupe. Je parle essentiellement des grosses différences de niveau entre les intervenants entre eux et par rapport aux vidéos qui obligent à constamment modifier le volume si on ne veut pas que ça soit parfois très fort. -
gemp (ASiiii c'est finiiii... ♫♩)
Très sympathique émission.
Néanmoins, je suis un peu surpris que personne n'ait relevé deux inexactitudes qui me semblent de taille. Bon, ça n'a que peu d'importance scientifique, ça concerne The Big Bang Theory (à 57'45"). Je ne parle pas de l'introduction d'Anne-So qui ne mentionne que "deux physiciens" alors qu'il y a, quand même, et depuis le début, Rajesh Koothrappali qui est, justement par rapport au thème de l'émission, astrophysicien (c’est d’ailleurs celui qu’on voit dans l’extrait avec Sheldon). (Et il y a aussi Howard, mais bon, ce n'est qu'un ingénieur.)
Ce qui m'a légèrement choqué en premier lieu, c'est la remarque de Daniel: «Ça serait imaginable en France? Alors là, on n'est plus du tout dans les obstacles économiques parce ça coûte rien à produire». Sans rigoler. On peut envisager de minimiser les coûts, certainement, la France est en pointe sur l'austérité comme on sait. Mais rien que les créateurs de la série, Chuck Lorre et Bill Prady n'en sont pas à leur coup d'essai (Dharma & Greg, Two and a Half Men pour Chuck, j'en passe). J'ai un peu de mal à imaginer (n'ayant pas vraiment fait l'effort de trouver des chiffres) qu'ils ne soient pas des "obstacles économiques". Sans compter la distribution, payée à l’origine plusieurs dizaines de milliers de dollars par épisode chaque, dont les trois principaux acteurs ont négocié en 2014 des contrats d'un million de dollars par épisode (le précédent de Friends revient en mémoire). Ce genre de truc coûte bonbon à produire, surtout sur la durée et quand ça marche.
Mais surtout, surtout, ce qui m’a franchement stupéfié c’est le «rire enregistré». C’est extraordinairement mal connaître la fabrication de ces séries qui sont enregistrées en public, sur une scène, avec de vrais rires de vraies gens. Un peu comme au théâtre, tiens. Démonstration sous-titrée en français mais image pourrie (meilleure qualité v.o. – NB: les liens renvoient environ au deux tiers du reportage). Nombre de séries américaines sont faites comme ça et je n'en connais pas d'équivalent en France (enfin, le doublage est probablement réalisé avec des «rires enregistrés», mais ledit doublage est déjà tellement une catastrophe que ça n'a pas beaucoup d'importance).
Si vous passez à Burbank, en Californie, vous pouvez (difficilement, c’est gratuit) trouver des billets pour assister au tournage d’un épisode, ils sont actuellement en plein dedans. -
Yannix
Donc, si j'ai bien compris votre émission, les extraterrestres pourraient bien exister pour de vrai finalement? Dire qu'@SI nous avait fait une émission spéciale "E.T."&Complots cet été pour nous convaincre du contraire...
Mais bon, moi j'ai bien aimé cette émission. :-) -
Djac Baweur
Assez déçu par le contenu de l'émission (même si je suis heureux qu'on parle de science sur @si).
En effet, on semble y accepter de manière bon enfant que des dessins animés de robot mignon c'est top cool.
Moi aussi, comme Philippe Henarejos, je dois être vieux jeu, mais enfin, on perd complètement de vue les enjeux réellement scientifiques.
Car, que montrent les dessins animés : des robots qui se posent sur une comète. À la question "pourquoi aller sur Mars", la discussion se focalise sur le fait que (version Florence Porcel) ce serait un rêve magnifique, ou bien que l'homme est plus ou moins efficace que les robots.
Mais tout ceci n'est au fond qu'une présentation d'enjeux technologiques, d'innovations techniques. Où sont les enjeux de science ? Qu'est-ce qu'on fait, au fond, avec des cailloux de Mars - c'est là la vraie question ? Qu'est-ce qu'on fait avec des cailloux et comment on fait pour en déduire des choses ? Et quelles choses ?
Tout le problème est donc qu'en cherchant à faire rêver avec de l'innovation, on perd totalement de vue la science (on se pose sur une comète ou sur Mars pour étudier l'évolution du système solaire et en comprendre la formation).
Mais quand bien même l'innovation technique serait en effet assumé comme sujet central : rien n'est réellement jamais expliqué. Tout est exposé tel quel, ex nihilo.
Quels sont les problèmes auxquels il a fallu faire face, quelles sont les solutions qui ont évoquées, comment a-t-on repoussé celles qu'on a considéré comme mauvaises... Le cheminement qui fait parvenir à la solution est le plus souvent oublié, expurgé, pour n'en montrer que le résultat, imposé comme évident : "voilà ce qu'on va faire - et ho là là qu'est-ce que cela fait rêver". Mais exit la démarche, les essais et erreurs, la manière de parvenir au résultat.
Or je pense que c'est peut-être le meilleur moyen de rendre passionnant les sciences : montrer les erreurs, les errements, les arguments, les tentatives d'explications, pourquoi celles-ci échouent, et pourquoi finalement celle-ci est la bonne. Tout d'un coup, au lieu d'un résultat artificiel balancé directement ("je vais vous raconter la formation de l'univers/les atomes/le cerveau/...") qu'on doit avaler comme étant vrai, on assiste alors à une véritable aventure humaine - intellectuelle, mais humaine. Si en plus on pimente par la description de la vie des scientifiques qui participent à cette aventure, c'est d'autant plus vivant.
Mais l'émission se borne plus ou moins à avaliser cette comm' qui nous prend pour des gamins de 5 ans "parce que ça nous fait rêver". Non seulement avec de telle comm', on passe à côté des véritables enjeux scientifiques, mais en plus on tend à cautionner que la science doit être à tout prix "catchy" et "sexy" et "good looking". Le piège, c'est que ça permet à beaucoup de pseudo-scientifiques de se faire passer pour scientifiques, et que ce qu'on gagne à être sexy se perd le plus souvent en vraie profondeur critique et méthodique. À vouloir rendre la science "catchy" et "sexy", on en vient à inviter des Sebastien Bohler, par exemple...
Et puis il y aurait de l'"info" à côté de la comm", dixit Axel Villard-Faure - mais on connaît déjà tout le problème de l'info en politique, en science j'ai peur que cela ne donne pas grand-chose de mieux. L'info c'est bien, mais ce n'est pas cela non plus qui va expliciter les enjeux profonds des découvertes, y compris celles datant de plus d'un siècle.
Car on fait des jolis dessins animés de robot sympa, mais en attendant combien de français savent de quoi parle la relativité générale et à quel point cela façonne l'Univers de manière complètement ahurissante ? Combien savent ce qu'implique la mécanique quantique ? Ou savent que le boson de Higgs déconnecte la matière de la masse - c'est-à-dire rend une de nos sensations les plus triviales complètement ahurissante, elle aussi ?
À vouloir rendre la science aussi "cool" qu'un jeu vidéo, je crains qu'on ne fasse qu'éloigner les gens de la démarche scientifique réelle, et donc ne faire que rendre les scientifiques encore plus isolés.
En attendant, le seul et l'unique : Etiienne Klein, comment donner le goût des sciences ? -
brigitte celerier
l'explication par la culture "littéraire" des responsables de télévision me laisse un tantinet rêveuse/ -
Strumfenberg ( Aloys von )
Sœur Thérésa se canonise, et aucun projet d'émission sur ce phénomène scientifique ? -
Nicolas Dély
Je ne comprends pas pourquoi on ne parle pas des emissions traduites sur discovery science fr tous les lundis. C'est bien de descendre les chaines de tnt et de faire de la pub a netflix. Mais pourquoi pas discovery science?
En ce moment
http://www.discoveryscience.fr/les-cles-de-lunivers-4/ -
Motion
Excellente émission, merci ! Étant un "space geek" moi-même j'en redemande. Et je reviens sur ma réaction d'hier au billet de Daniel, l'embauche d'un chroniqueur scientifique serait une excellente nouvelle. -
RST
Une de plus. Ça devient lassant
J'attends avec impatience une émission pourrie que je puisse me lâcher -
Myrk
Pourquoi sur le plateau personne n'a le cran de dire que les Bogdanov font de la pseudo science et que ce sont des faussaires ? -
Olivier Faraway
Une chouette émission qui est passé très vite! - assez rigolo la tête des invités à l'évocation des frères Bogdanov. ^_^
L'arrêt de l'émission "C'est pas sorcier" du fait d'une baisse des audiences a peut être aussi contribué à la frilosité des patrons de chaîne obsédés par les audiences.
Pour ma part, je "consomme" de la science principalement en écoutant des podcasts et, là aussi, les productions en langue anglaise (la langue de la science!) occupent une grande place. Une explication est que les productions anglo-saxonnes ont un potentiel d'audience de plus de 600 millions d'anglophones natifs vivant dans les pays les plus riches alors que le marché francophone est beaucoup plus restreint. -
Miaou
Super emission, c'est bien de montrer le décalage entre la télé et les envies intellectuelle du public !
ca manquait d'un chercheur lambda pour comprendre la com' dans un institut de recherche. D'ailleurs si vous avez besoin d'un... Bon faudra allez jusqu'à v dans le carnet d'adresse, merde j'ai aucune chance. -
Benjamin
La vie existe sous 2 km de glace au pôle Sud (où les températures sont positives).
La vie a existé pendant 82% du temps qui nous sépare de la formation de la Terre (3,7 sur 4.5 milliards d'années).
Donc, sur la base de ces deux éléments, le bon sens veut que la vie soit certainement aussi ailleurs que sur Terre. Autrement dit, imaginer que la vie se soit développée uniquement sur Terre relève de la fiction.
Si l'on considère l'homme comme un "fruit" de la Terre, de la même façon qu'une pomme est le fruit du pommier, et que la Terre est unique dans ses composantes physiques, alors l'homme est sans doute unique dans l'univers.
Une super émission :) -
unefoisnestpascoutume
Dans un autre style de production, j'attire votre attention sur cette série de la Cité des sciences :
https://jpcourbatze.wordpress.com/