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  • Daph 9 décembre 2008 à 17:58
    A voir : 3 reportages sur les EGPE sur http://www.telesorbonne.com/.
    Une interview du vice-président du pôle concentration, pluralisme et développement, Patrick Eveno
    Une interview de Francois Bonnet, Vincent Truffy de Médiapart
    Un reportage sur l'appel de la colline, ou les Etats Généraux off organisés par RSF et Mediapart.

    La mort de la presse n'est pas écrite!

  • Lucie 7 novembre 2008 à 12:34
    [large]Attention à vos miches les @sinautes, il va falloir choisir vos mots. Sarko est procédurier ( recours volontiers à la procédure....ce n'est pas une insulte....c'est un fait avéré ) (sic : pour les RG en ligne) ![/large]

  • Denis Leroy 4 novembre 2008 à 17:13
    A Daniel Schneidermann :

    j'ai posé la question sur les forums de Libé concernant les aides financières aux sites info liés à la presse papier.
    J'ai bien sûr été censuré.

    Puisque vous bossez à Libé, pourriez-vous leur poser la question et nous tenir au courant sur @si de leur réponse?


    Merci d'avance


    Denis.

  • alain-b 3 novembre 2008 à 16:57
    À lire aussi cette petite enquête numérique de Plenel : Le publicitaire de Sarkozy met en scène les Etats généraux de la presse

  • Camille Payet 3 novembre 2008 à 14:48
    À voir, cette vidéo qui montre la volonté de Sarkozy de tout vouloir contrôler et de se transformer en directeur des programmes. Un ahurissant exposé des motifs !

  • claire philipp 3 novembre 2008 à 12:53
    DS, vous avez changé de chemise pour éviter le penchant bien connu de G. Holtz pour la marque au crocodile? PS: le pastel ne vous va pas au teint...

  • MHélène 2 novembre 2008 à 23:53
    SARKOZY, piège à con !....
    C'est désespérant ! Oui vraiment désespérant de se sentir ainsi entraîné dans de telles embrouilles, dans de telles magouilles.
    Que voulez-vous je n'ai plus en tête, en de telles situations, que les chansons de François Béranger dont j'imagine quel serait le désespoir de se rendre compte de l'encore si évidente pertinence de ses chansons...

  • Ervé 2 novembre 2008 à 14:59
    C'est Sarko qui reçoit Manmohan Singh, le premier ministre indien, et Recep Tayyip Erdogan, le premier ministre turc.
    Pour faire le kéké, il les emmène seul, sans cortège officiel ni gardes du corps, visiter la campagne française.
    Evidemment il se paument (ça se passe dans le Limousin, contrée reculée où on ne rencontre pas âme qui vive à des kilomêtres à la ronde), et finalement, à la tombée de la nuit, il rejoignent une ferme et demandent asile aux propriètaires.
    Ceux-ci n'ont qu'une pièce exiguë à leur proposer, dans laquelle se trouve un lit à deux places.
    Qu'à cela ne tienne, déclare Manmohan Singh, je vais aller dormir dans l'écurie.
    Mais Sarko et Erdogan ont eu à peine le temps de s'allonger côte à côte, que le premier ministre indien entre dans la chambre. Désolé, dit-il, mais il y a dans cette écurie une vache, animal sacré que je ne voudrais, en aucun cas, déranger avec mes ronflements.
    Erdogan se dévoue à son tour, mais revient aussi rapidement que précédemment son homologue indien. Il y a un porc là-bas, se lamente-t-il, animal impur dont je ne puis tolérer la compagnie.
    Sarko se trouve donc contraint de céder sa place, et se dirige à contrecoeur vers l'écurie.
    Une minute s'est tout juste écoulée depuis son départ, lorsque la vache et le cochon font irruption dans la chambre en meuglant et en grognant très fort : C'est insupportable, il y a Sarkozy dans notre écurie !

    (Adaptation française d'une histoire sur Berlusconi, qui circulait en Italie à l'époque de son premier mandat).

  • Renard 1 novembre 2008 à 19:55
    C'est sarko avec sa cour ( journalistes véreux, politiciens dans l'art de tourner la veste, vedettes cherchant ou recherchant une notoriété perdue ou en devenir, bref des gens de petites vertus ) visitant son dernier avion dernier cri !

    Soudain lui vient un besoin urgent, le voila aux toilettes à assouvir un besoin des communs des mortels.

    A sa droite ! quatre petits boutons attirent son attention ( l'homme possède en effet plusieurs cerveaux )

    Il appuie sur le premier bouton, un petit jet d'eau tiède vient laver son noble postérieur, génial s'exclame t' il !

    Le voila déjà appuyant sur le second, un souffle d'air tiède vient sécher son noble séant, parfait se réjouie t' il !

    La tentation pour le troisième est irrésistible, un plumeau vient lui poudrer les fesses, quel progrès dit il admiratif !

    Enfin voila le quatrième bouton, et là plus rien ! le trou noir ! Il se réveille dans un lit d'hôpital, entouré du personnel médical l'air grave, que fais-je questionne t' il. Le professeur apparait de derrière les infirmières, et lui répond. Vous étiez dans votre dernier joujou ? AH OUI se souvient il !

    Vous êtes allé aux toilettes - oui je me souviens - vous avez appuyé sur les boutons ? oui oui répond t' il

    Sur le premier, le petit jet d'eau ? oui génial vraiment ! Le second, le souffle d'air chaud ? oui parfait quel progrès ! Puis sur le troisième, le poudrier ? oui ! oui ! un délice ! et enfin sur le quatrième oui et là je ne me rappelle de rein ! Hélas président ! C'était le retire pampax ! et votre gigi il est dans le bocal ! .......

  • Cassandre 1 novembre 2008 à 14:51
    Gagner l’Elysée



    Pasqua avait presque vaincu quand surgit un inconnu
    La ville de Neuilly se donnait au jeune Sarkozy
    Fallait quelqu’un qui dise « moi », ce s’ra donc un avocat
    On croyait qu’ça suffirait, c’n’était que l’entrée

    Gagner l’Elysée, Gagner l’Elysée
    Cécilia, s’ra ravie, Nicolas, sauve sa vie
    Plus de complexe d’infériorité s’il gagne l’Elysée

    Il croit Chirac foutu mise tout sur Balladur qui échoue
    Quand on descend du mauvais train on cherche ses copains
    Z’ont essayé d’se recaser, ont fayoté, agenouillés
    On le croit coulé il sait vivre en apnée

    Gagner l’Elysée, Gagner l’Elysée
    Cécilia, s’ra ravie, Nicolas, sauve sa vie
    Plus de complexe d’infériorité s’il gagne l’Elysée

    Chirac devenu le roi nu plutôt qu’boire la cigüe
    Supporte son ennemi près de lui chaque mercredi
    Le ministre rue dans les cordes, on dit qu’ils se mordent
    Mais parfois même les vautours vous parlent d’amour

    Gagner l’Elysée, Gagner l’Elysée
    Cécilia, s’ra ravie, Nicolas, sauve sa vie
    Plus de complexe d’infériorité s’il gagne l’Elysée


    Oeuvre originale : Les Champs-Elysées (Paroles et Musique: Pierre Delanoé)
    Interprète originel : Joe Dassin

    Auteur : TERNOISE!


    Sarkozy aurait-il été traumatisé par cette chanson sur l'air des champs- Elysées de Joe Dassin ?

  • Lucie 31 octobre 2008 à 23:19
    C'est Bigard qui lui écrit ses sketches!?

  • eric bernardin 31 octobre 2008 à 20:22
    Info donnée par Frédéric Bonneau ce midi sur Europe 1. Ce que dit Sarkozy est faux. Les deux trottoirs sont en zone touristique (confirmé par le maire du 8ème, UMP)

  • Luckydie 31 octobre 2008 à 17:42
    "Cinq fois que Nicolas Sarkozy nous chante le refrain de la vendeuse des Champs-Elysées qui est heureuse de travailler le dimanche": http://desourcesure.com/politiqueaffaires/2008/10/travail_le_dimanche_sarkozy_ra.php

    Et non pas 4.. oui je sais c'est un détail. ;-p

  • Rosalie 31 octobre 2008 à 15:05
    J'ai trouvé assez drole ce monsieur qui répète plusieurs fois qu'il est opposé à toute subvention de l'état, et qui, à propos d'une question importante, répond : "c'est l'actionnaire qui décide".
    Désolée, mais il me semble bien préférable d'être subventionné, à condition que ce soit sur de bons critères et dans la transparence, comme le suggère DS, que de dépendre d'actionnaires dont le seul souci est la rentabilité .
    Malheureusement, la presse dont rêve notre président, c'est bien d'une presse aux mains des grands groupes économiques.
    Pourquoi donc l'état ne serait-il pas garant de l'accès à l'information, comme il doit l'être de l'accès à la santé et à l'éducation?
    Cela supposerait de l'argent public, mais surtout des structures, des institutions, des règles, dans lesquelles les journalistes, les lecteurs, auraient une place véritable, pas symbolique. En finir, entre autres, avec la plaisanterie que représente le CSA.

  • Lucie 31 octobre 2008 à 14:04
    L'essentiel semble avoir été abordé : Quel est l'argent qui détient l'information!
    Quand un tableau synoptique systématique à toute édition papier ou sur le net, permettant précisemment de voir d'où vient l'argent de ceux qui nous parlent!?

  • Patrice Lallement 31 octobre 2008 à 13:34
    Je ne suis pas sur d'être d'accord avec l'enthousiasme général sur cette émission. Je ne remets pas en cause la qualité des intervenants, mais je n'ai pas senti une vraie révolte. Mis à part Laurent Mauduit, qui a clairement laissé entendre qu'il fallait réagir contre la machiavélique opération de notre omniprésident, j'ai trouvé les autres interlocuteurs bien soumis. Tout le monde est d'accord pour admettre que le principe est anti-démocratique, mais personne ne souhaite réagir (à part L.Mauduit). Le représentant de RUE89 a même laissé entendre qu'il se sentait bien dans ce système, et qu'il n'avait pas l'intention de le remettre en cause.
    C'est d'ailleurs le problème des médias (même des meilleurs comme @si). Il n'y a pas d'action au delà des constats. Certains me diront que ce n'est pas le rôle des journalistes, mais alors qui peut encore agir face aux attaques incessantes de ce gouvernement contre nos libertés ? Où est le courage qui devrait caractériser cette profession ? Que penser lorsqu'un journaliste comme Denis Robert est abandonné par tous, et traité comme un pestiféré par ses confrères ? Que dire lorsque un pitoyable personnage comme Philippe Val s'en prend honteusement aux sites d'informations Web ? Est-ce que tous ces journalistes ont peur de subir les foudres des autorités occultes qui les obligent à manger dans leur main ?
    Personnellement, je suis très inquiet, et cette émission ne m'a pas rassuré. Je repense à l'article de Judith "Dans Crise, il y a opportunité", et je me dit que les thérapies de choc liées aux crises sont de plus en plus d'actualités.

  • LionelXIII 31 octobre 2008 à 12:57
    Bonjour,
    Je ne comprends pas l'argument du monsieur de 20 minutes ( Filloux?)
    En quoi est il plus moral de toucher des sous de coca,de nike, total ou de l'industrie de l'armement?
    Cela est moins douloureux? cela paye plus?
    Personne pour lui poser la question?
    C'est vrai que l'honnêteté des grosses entreprises n'est plus à démontrer....
    ;o)

  • Anthropia 31 octobre 2008 à 12:38
    Pourquoi le gouvernement nome ça Etats Généraux, si ce sont des Etats particuliers ?

    http://anthropia.blogg.org

  • constant gardener 31 octobre 2008 à 12:34
    Belle émission, bien dense.
    Parmi les choses importantes qui ont été dites, je m'arrête sur la question des subventions : ASI pourrait enquêter par exemple sur la façon dont les syndicats ouvriers ont été domestiqués progressivement à coup de subventions plus ou moins déguisées (organismes paritaires, de formation, ...). Les positions souvent surprenantes des dirigeants syndicaux actuels se comprennent mieux quand on connait les sources de financement. NB : ce n'est pas hors sujet; c'est "retour vers le futur de la presse".

  • Patrice Guyot 31 octobre 2008 à 12:28
    Bien sûr qu'il faut faire des États Généraux !

    C'est très bien les États Généraux, la preuve dans Wikipédia : Ils se réunirent jusqu'en 1789 sur une période de 487 ans. Les derniers, convoqués en mai 1789 par Louis XVI pour résoudre la crise financière due aux dettes de l'État, évoluèrent, suite au Serment du Jeu de Paume et à la réunion des trois ordres le 27 juin, en une Assemblée nationale constituante qui décida de rédiger une constitution écrite, ce qui fut le commencement de la Révolution française.

    De toute manière des États Généraux organisés par l'Elysée sous l'égide du pion du Net, lui-même appointé par [s]l'Elysée[/s] le contribuable, c'est une sinistre farce (comme le dit avec pertinence l'un des intervenants de l'émission : imagine-t-on le Maison Blanche se livrer à une aussi grossière comédie ?)

    Aussi curieux que cela puisse paraître les États Unis sont – dans certains domaines au moins – beaucoup plus démocratiques que la France, sans doute en raison de nos stupides pulsions monarchiques : le Watergate ou l'affaire Clinton – Lewinski (lamentable au demeurant) ne pourraient avoir lieu en France.

    Que notre président de poche veuille prendre le contrôle des médias c'est une évidence qui ne souffre aucune discussion, il entend également être le juge suprême et décider qui doit aller en prison et pour combien de temps, il a bien l'intention de subventionner (grassement) qui lui convient et d'affamer ceux qui lui déplaisent ou ne cirent pas avec suffisamment d'entrain ses chaussures à talonnettes…

    Ce qui est plus étrange c'est que – globalement – lémédias s'écrasent mollement : voilà ce que c'est de se laisser acheter ou de rêver d'être enfin acheté…

    Comme nul ne l'ignore – surtout ici – lémédia intéressants et fiables sont ceux que personne n'achète, sauf leurs lecteurs : Le Canard enchaîné ou @si, par exemple. Au moins est-on certain qu'ils ne dissimulent pas les turpitudes de Bernard Arnauld (premier annonceur de France et excellent copain de Sarkozy) par nécessité de boucler la fin de mois.

    C'est important, très important même… Mais trop rare aujourd'hui, hélas !

    A propos il y a des réserves sérieuses, même à l'étranger :

    États Généraux de la presse écrite : la Fédération européenne des journalistes (FEJ) s’inquiète des propositions de N. Sarkozy

    Voir sur le site d'ACRIMED

    Enfin la soudaine disparition du Réseau Voltaire ( quoi que l'on pense de Thierry Meyssan : « Si j’avais plié, je n’aurais pas eu à partir » )

    * L'étouffement très organisé de Denis Robert,

    * Le catapultage de Siné,

    * L'éjection de Daniel Schneidermann, etc.

    Le nettoyage démédia bat son plein, et nous n'avons plus longtemps à attendre pour que tout le monde soit au pas...

    Il restera à lire Albert Cossery, particulièrement "La Violence et la Dérision " qui traite précisément de ce sujet. Attention de l'acheter avant le prochain autodafé (se souvenir à cette occasion que la température nécessaire pour faire brûler un livre est : Fahrenheit 451 ( 233°C) comme l'écrivit Ray Bradbury et le filma François Truffaut)

    ***


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