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Winston Zweig
Je savais pas que je regardais post-pop ! In Treatment et The Affair très bonnes séries. Mais par contre l'émission.... La France pas interventionniste, j'ai bien rit. Les scénaristes qui nous explique qu'ils relisent les scénars des autres pour pas merder la série : j'ai bien rit. Déjà que la bande annonce montrait toute la série si en plus on en voit de nouveaux extraits... Mais Emmanuelle Walter, êtes-vous journaliste ou juste fan de série de parisiens ?
Aucune perspective, sur les attentats, la relation avec la police (puisque vous ne vous êtes intéressé qu'à Reda Kateb), le milieu des séries pendant le confinement, on a quand même effleuré le sujet des scénaristes pas contents sans trop comprendre pourquoi en plein milieu d'émission. C'est bien ça change du virus mais faut essayer de faire une vraie émission arrêt sur images la prochaine fois ! -
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emmanuelle emmanuelle k.
Je voudrais juste remercier particulièrement Pauline Guéna et Reda Kateb pour le personnage qui m'a le plus bouleversé, Chibane. Extraordinaire de vérité. Merci.
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troisi
Magnifique analyse de Hassina Mechaï sur orientXXI de la série en thérapie :
"si les quatre autres personnages en analyse sont des êtres individualisés portés par une trajectoire de souffrance singulière , Chibane est avant tout un être sociologique." Elle parle de la grille culturaliste , de la vision manichéenne et dépolitisée, le retour de "l'homme arabe" , l'éternel suspect ... etc...
A lire .
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Dobenas
C'est la première fois depuis le paléolithique que j'abandonne une émission encours de route.
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Ferdinand14
Je dirai même plus : “une belle opération de promotion”. J'attendais un peu plus de recul critique… Je n’ai pas regardé jusqu’au bout.
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Offset
Je rêve où l'on mélange allègrement la psychologie et la psychanalyse ? Surtout que la série n'a pas l'air de traiter de psychanalyse dans le fait, mais en utilise le nom.
Ça aurait quand même été intéressant de creuser ce point non ? -
Evariste
Depuis qu'Emmanuelle Walter a pris le pouvoir, les émissions ne m'intéressent plus. Les thèmes Bobos de Paris ont remplacé les analyses et les discussions entre personnes compétentes. Cher Daniel, pourriez-vous vous inspirer d'Emmanuel Taddeï? Sinon, j'aurai le regret de me désabonner.
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Brenda Relax
Je vois que de nombreux commentaires sont durs. Eh oui, l'exigence de critique est haute chez les asinautes. Et je rejoins globalement les critiques sur l'émission, on a l'impression d'un moment d'autosatisfaction et de promotion, sans aucun recul.
Sur la série, elle se regarde bien, notamment grâce à des dialogues travaillés et d'excellents acteurs. Mais une fois le visionnage achevé, on ne peut s'empêcher de constater qu'on a regardé une série bourgeoise et consensuelle, une série époque Hollande I. On aurait pu voir Hollande et Gayet sur ce canapé. Enfin, tout ça était quand même prévisible au vu de la production.
Sur la "fronde" des scénaristes, ah ben oui. Mais le problème, c'est toujours la production, c'est eux qui ont l'argent, c'est eux qui décident. Et eux vont te dire que c'est ou le public qui décide, ou le "regard de l'auteur", mais un auteur bien choisi bien sûr. Ça me rappelle Carrère (oui, Carrère!) qui se plaignait d'avoir été foutu dehors lorsqu'il bossait au scénario de "Revenants", au profit de jeunes loups ambitieux qui ont ôté tout intérêt à la série. Frédéric Pierrot est d'ailleurs au casting, coïncidence.
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VivlaLib
Dès la présentation des "invités" (les scénaristes, en toute objectivité !), j'ai su que je ne pouvais pas m'attendre à un point de vue critique qui m'éclaire sur mes propres réserves : une psychanalyse c'est autre chose ; un psychanalyste c'est autre chose... Une bonne série (si ça existe) c'est autre chose !
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sanslesdents
On aurait pu s’attendre à ce qu’un travail préparatoire à une émission
où il va être question des « névroses traumatiques » (c’est ainsi que
se nomment les troubles qui surgissent lorsqu' on est soumis aux violences
d’une guerre, d’un attentat, d’un accident), soit établi, pour qu’on
ne vienne pas parler de psychanalyse à ce propos.
Qu’une série de télévision face le choix de l’amalgame entre :
Psychothérapie, expertise, psychanalyse, cela ne me choque pas,
vu la place réservée à cette dernière depuis quelques décennies.
Venir titiller le spectateur sur le plan des affects cela est « de bonne guerre »,
mais comme l’a montré une « Asinaute » ( benedicte vidaillet ),
Cela n’a aucun rapport avec la psychanalyse.
De grâce essayez d’imaginer autre chose, essayez de penser
que l’être humain n’est pas juste constitué d’un moi,
toujours prêt à « maîtriser » nos actes, nos affects, notre paraître.
Mais qu’il se débrouille aussi avec un inconscient
(les 9/10 ème de son être pensait Freud),
et que ça, c’est sa richesse, l’essence de sa singularité.
Une série de télé ne peut absolument pas en tenir compte,
des journalistes eux ne devraient-ils pas se demander pourquoi !
Pourquoi une patiente demande à Freud
qu’il se taise, pourquoi il fait le choix de privilégier la voix au regard ?
Pourquoi on peut avoir besoin de soins, de toutes sortes de soins, d’une part,
et d’une expérience (une aventure) autre, dans un autre registre ?
Les psychanalystes ne sont pas tous des médecins !
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Ghis
Pour revenir au sujet, j'étais de mon côté contente de voir une émission sur un sujet" plus "léger" et je trouve que d'avoir choisi comme angle la fabrication de la série est un bon exercice de décryptage. Intéressant de connaître le rôle des scénaristes dans les séries (j'avais en effet davantage entendu parler de Nakache et Toledano pour En thérapie) et de voir toute la réflexion sur l'adaptation par rapport à celle d'origine.
Mais je reste quand même un peu sur ma faim, je ne sais pas pourquoi. J'ai peut-être simplement été influencée par les commentaires que j'avais parcourus avant de regarder l'émission...
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Ghis
Comme d'autres commentaires, le peu de prises de parole de Pauline Guéna m'a un peu gênée et m'a fait penser à ce vieil article du Monde, qui je trouve est important à lire, que l'on soit un homme ou une femme :
https://www.lemonde.fr/societe/article/2017/03/02/manterrupting-sexisme-sur-la-voix-publique_5088231_3224.html
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freT
Chaud.... J'en suis à la bande annonce, j'ai juste envie de quitter.... Ca sent tellement le réchauffé, le revu et resucé mille fois... Bon, allez j'essaie.
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Hallucined Imposteur
Beinh, fatigué des neurones, je mate sur Härte (chaine du repentir) Replay -Miss Patricia- quelques épisodes de la scierie.
Premier réflexe, je cherche l'âge de Mélanie Thierry et je me marre : 39 ans la ouin ouin ! Ça ne colle pas.
Après quelques "28 minutes" d'analyses en souffrance, je me lasse et me casse.
Vu "Bè Tipoul" et me suis laissé piéger par "In Treatment". Rien à voir avec le Traitement français.Et sur beaucoup de point.
Et entièrement d'accord avec Camille Bolivard sur le remplacement d'un militaire par un policier de la BRI.
Sur ce, je vais m'auto-suicider.
A lundi si le coeur vous en dit !
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Teymour
Deux hommes scénaristes (David Elkaïm et Vincent Poymiro) dénoncent la personnalisation médiatique de deux hommes réalisateurs (Eric Toledano et Olivier Nakache) qui invisibilise leur travail.
Et que se passe-t-il avec la troisième invitée, Pauline Guéna, femme scénariste ?
Au vu des plans larges, elle a plein de choses à dire mais on ne lui donne la parole que pour moins de 1% du temps de l'émission (6 minutes 10 secondes sur 76 minutes).
Même dans une émission de décryptage des médias, animée par une femme journaliste, le réflexe médiatique de la personnalisation masculine des rôles prime sur une parole plurielle et collective.
Quel dommage...
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nicolas spengler
Bonjour,
je fais partie des amateurs de la série que je trouve excellente. Je regrette que vous n'ayez pas pointé le question de la sous-représentation des femmes parmi les auteurs: une seule parmi les sept scénaristes et aucune réalisatrice sur cinq! En 2021, c'est extravagant, surtout pour une série qui parle de la vie et de ses drames, des fantasmes, des rêves, des parents et des enfances. Pendant l'émission, la parole de la scénariste n'a pas été suffisamment sollicitée par Emmanuelle Walter qui a beaucoup privilégié les deux hommes dans l'adresse de ses questions: d'ailleurs le temps de parole de Pauline Guéna est assez faible et de manière significative, quand elle s'exprimait de manière passionnante, elle semblait chercher dans le regard de son comparse sur le plateau comme une approbation de ses propos. Il n'en faisait pas de même bien sûr. Il y a du chemin à parcourir pour atteindre la parité. Et à ce titre, nous sommes tous perdants.
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Ro
Dans une émission traitant d'une série qui à pour principal objet la psychothérapie, pas une/un psy... Dommage.
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Tony A
"on pense à l'identification du spectateur constamment. On ne pense qu'à ça".
Une façon bien élégante de parler de l'audimat.
On sent bien l'objectif d'atteindre le public le plus large : parité genrée parfaite, équilibre des âges (une ado, une majorité d'adultes, deux ou trois séniors). On sent juste la difficulté à toucher le "populo", mais le flic un peu bas du front d'origine maghrébine est là pour faire le job.
Je dirais, pour faire court, que les ficelles sont un peu grosses. Cela dit, si je recommande cette série, c'est moins pour ce qu'on y apprend sur la psychothérapie, que pour le jeu des acteurs. Ils sont tous excellents !
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Yanisper
Super émission, merci ! ça faisait un peu longtemps que je n'avais pas retrouvé cela sur ASI. Bravo !