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Limonchell:o)
Jean-Michel Baylet a trois enfants1 : Victoria, chargée de mission à la Fondation « La Dépêche »6, Jean-Nicolas, nommé directeur délégué de La Dépêche du Midi en auprès de la direction générale du groupe7 puis directeur général adjoint et directeur de la publication en 8 et Jean-Benoît, qui copossède l’entreprise Viking Investissement SA, avec sa mère9.
En 2000, Jean-Michel Baylet divorce de son épouse Marie-France. Cette dernière se remarie en 2002 avec Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel depuis 2016.
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Crétin des Alpes (en liberté conditionnelle)
Quitte à passer pour un radoteur, je vais répéter.
"C'est celui qui paie l'orchestre qui choisit la musique".
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smurf
Émission passionnante, centrée sur le cas emblématique la Dépêche, mais vous auriez pu faire le même genre d'émission dans à peu près toutes les régions de France avec le journal du coin.
Attention, c'est vrai que la presse et la presse régionale en particulier est en perte de vitesse et a un lectorat vieillissant.
Mais je pense que, dans beaucoup d'endroits, en l'absence de concurrence, le journal local fait encore la pluie et le beau temps.
C'est la principale source d'info locale pour des gens plutôt âgés certes mais qui certainement vont plus voter que le moyenne (simple supposition de ma part car déjà les gens âgés votent plus que la moyenne mais si quelqu'un a des stats là-dessus).
Sinon, je n'ai pas trop compris Alexandre Joux quand il disait que ce qui intéressait les lecteurs de PQR, c'était uniquement l'actu locale qui avait un impact sur leur vie personnelle. Cela me paraît bien réducteur et limite méprisant pour les lecteurs de PQR. Il me semble que la PQR, cela ne devrait pas être que la fête à la saucisse du coin (je caricature, d'ailleurs, c'est bien que la PQR parle aussi de la fête à la saucisse).
Concernant la région toulousaine, il est normal que la Dépêche parle plus d'aéronautique que d'autres quotidiens régionaux vu l'importance de cette industrie là-bas. Par contre, en parler uniquement de manière positive sans recul, cela me paraît absurde (ou malhonnête). L'évolution de l'industrie aéronautique dans les prochaines années, cela intéresse les gens, je pense. Surtout que des décisions doivent (devraient ?) être prises maintenant pour assurer l'avenir de la filière et aussi surtout pour rendre la région moins dépendante de cette industrie.
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candide
Régional de l‘étape, je peux dire que le Dépêche et Pierre Fabre soutiennent l’Autoroute depuis 20 ans, et la Dépêche relaie complaisamment les éructations des poliques locaux (de l’ extrême droite aux socialistes) contre les. Opposants’ qui sont des assistes’ des eco terroristes etc. Je conseille France 3 Occitanie sur internet, journal écrit quotidien et l ,EMPAILLÉ qui est trimestriel pour une autre info pas de droite
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Pietro
en conclusion, il faut abolir le droit de proprièté , des journaux en particulier. et des autoroutes au moins
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Asinaute sans pseudo a50cd
Merci pour l'émission !
Par contre hâte de voir si Alexandre Joux est capable d'être pertinent, vu son absence totale d'implication dans l'école de journalisme qu'il dirige, lui qui est bien plus concerné par les classes de communication...
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Ervé
"IL" est mort.
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JLT
Avec mes sincères remerciements pour la qualité de cette émission qui met en évidence l'influence des propriétaires de la PQR sur le contenu des articles. Cela va mieux en le disant, en l'illustrant, en le dénoçant... Les interventions de Joux finalement le prouvent à merveille. Comment dit-il au juste? Que les vues à long terme concernant l'aéronautique ne concerneraient pas les lecteurs de la PQR... Je le trouve cyniquement très drôle
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Jean-Pierre RADO
Les modèles économiques et juridiques actuelles des médias et de leur capital induisent de fait des choix éditoriaux en lien avec les propriétaires. Pourquoi s'en offusquer tant que l'on ne posera pas les bases légales d’un nouveau modèle de propriété des médias. Il serait vain de débattre sur le sujet qu'il s'agisse de la PQN, de la PQR ou de tout autre support d'information journalistique dont les ramifications sont largement connues sans aborder la question de la législation sur la limitation de la concentration en assurant la transparence financière, le pluralisme des entreprises de presse tout en considérant que l'information est un bien public.
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Davesnes
Alexandre Joux : "Quand vous lisez le Figaro, vous savez que vous lisez un journal de droite, quand vous lisez Libération, vous savez que vous lisez un journal de gauche".
Cet homme est trop fort. Pour le Figaro, c'est facile. Mais Libération ? Moi, quand je lis Libération, je ne sais pas. Certains journalistes penchent (pas trop tout de même) à gauche. D'autres de l'autre côté et même bien à droite, comme Quatremer.