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chrisdeb
Désolé les amis, mais c'est bien foutu... Parce qu'on peut débattre, échanger, apporter des idées nouvelles ou pas, réfléchir et essayer de trouver des solutions.... tout ça entre gens concernés, optimistes ou pessimistes. On peut aussi s'écharper comme le font certains ici en ce traitant de vrais ou faux écolos...
Mais voilà, ça ne sert à rien parce que dans ce dans ce monde fou, qui prend les décisions ? Trump la caricature et ses amis dirigeants d'autres pays d'aspect plus ou moins respectable, les industriels qui ne pensent qu'à développer leurs parts de marché pour toujours gagner plus, avoir plus d'influence.
Et tous ces gens font comme si les capacités de la Terre étaient infinies...
Une solution serait la décroissance, mais quel homme politique serait élu en promettant ce type de programme ?
Alors, allons-y, consommons, baffrons-nous, fonçons dans le mur en riant et une fois qu'on se le sera pris, qu'on ne pourra plus faire autrement que de réfléchir et d'inventer un autre monde avec ceux qui resteront on y arrivera peut-être...
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Vogelsang
C'est une émission intéressante. Mais le déterminisme biologique absolu et mécanique de S. Bohler est fatigant. Il y avait eu un débat du même genre entre lui et Lordon que j'avais d'ailleurs montré á mes étudiants dans le cadre d'une réflexion sur l'articulation Nature/Culture.
Lordon mettait en avant les déterminismes inconscients socio-culturels et Bohler ne cessait d'invoquer les mécanismes biologiques. S'ils ne s'agit pas d'ignorer ces derniers, on sait aussi que l'homme n'agit pas seulement par stimulis mais aussi par des représentation s que sa propre subjectivité construit. Et là le lien entre la représentation et le mécanisme, entre l'image même matérielle et la matière (le cerveau) elle même est très obscur. Cf : Matière et Mémoire de Bergson. Ainsi lorsque Bohler affirme que grâce au Stratium "Tout devient trés clair", je passerai sur l'ingénuité et l'innocence de la formule (peu de phénomènes cérébraux sont réellement "clairs" pour l'instant) pour en venir au problème : pour que le stratium délivre sa dopamine, il faut d'abord que la représentation d'un objet (reconnaissance sociale par ex) soit déjà valorisée consciemment.
Soit :est-ce la représentation de ma voiture de luxe qui va déclencher la dopamine?
Ou la dopamine qui va me diriger vers la voiture de luxe?
La réponse est évidente : c la représentation de la nourriture qui va me faire saliver et non l'inverse.
Donc la question porte non pas sur le Stratium qui reste un effet dérivé, mais bien sur l'origine de nos représentations qui vont activer le stratium...
C pourquoi, les analyses marxisantes et spinozistes de Lordon me semble bien plus convaincantes que le réductionnisme auquel se livrent en fait tous les positivistes un peu crédules et qui ne réfléchissent pas leurs propres modèles... Ivresse des sciences de la nature...
Cordialement. -
cells
Tres belle emission.. Pour rejoindre les propos d Alice Desbiolles, il ne faut pas oublier qu il y a eu de tout temps des societes plus respectueuses de l environnement que la societe actuelle. Je pense notament aux populations de type chasseur-cueilleur, ou la restrainte et le respect des ressources est primordiale. Evidemment il ne s agit non plus de retourner a un tel mode de vie mais cela demontre que meme si les hommes et femmes sond guides par leur striatum, il est tout a fait possible biologiquement parlant de restraindre ces impulsions au niveau d une population.
Petit carton jaune par ailleurs a Daniel Schneidermann parceque le "c est foutu" "c est pas foutu", ca ne veut strictement rien dire. Qu est-ce qui est foutu/ pas foutu ?
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sspicco
Mme DUFLOT l’appli WAG est ludique... les compteurs Linky permettent de voir sa consommation en temps réel.
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RC2
ASI et ses abonnés gagneraient à inviter Patrick TORT pour qu'il nous présente son dernier livre relatif à cette question sous-jacente des "excès" de l'espèce humaine : "L’INTELLIGENCE DES LIMITES - Essai sur le concept d'hypertélie" (https://www.revuegruppen.com/gruppen/produit/lintelligence-des-limites/)
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Cultive ton jardin
Pour ceux qui s'obstinent, malgré l'évidence, à nier ou banaliser les bouleversement climatique, un article, parmi tant d'autres, de Reporterre.
Sans trop d'illusion, on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif.
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Poloi
souhaite entamer ici une réflexion commune pour trouver des solutions permacoles pour s'adapter au réchauffement climatique qui est deja la... et aux differentes crises qui s'annoncent et se nourrissent l'une l'autre (en vrac) : effondrement de la biodiversité, déclin des ressources énergétiques (pétrole, uranium) et matérielles (métaux rares, sable pour béton, etc), montée du fascisme et de la repression du peuple dont le tissu social se délite, crise migratoire, effondrement financier, bancaire et monétaire, desertification du pourtour mediterraneen et j'en passe... cela parait etre du catastrophisme anxiogene, peut etre, mais il faut regarder la réalite en face... ou au moins etre prêts au cas où...
A mon avis, il faut à la fois "freiner" (voire totalement arrêter) tout ce qui va dans le mauvais sens, et en même temps créer ou pousser les alternatives crédibles qui vont dans le bon sens. Se pose alors la question: c'est quoi le "bon" sens? une boussole peut etre la recherche du bonheur (individuel et collectif), qui ne peut se passer de bien manger, bien dormir, avoir des relations sociales apaisées - compassion, amour, paix et justice! sans avoir besoin d'etre tous absolument d'accord sur tout, c'est à dire en acceptant la diversité des croyances, opinions et affinités. Cependant, la Paix (l'équilibre) pourrait etre une base commune, d'où découle tout le reste.
Alors quelles solutions devrions-nous promouvoir?
face à l'ampleur du désastre, il faut des solutions "holistiques" (comme dirait l'autre).
en vrac voici quelques idées (dans mon idéal ce qu'il faudrait faire selon moi):
- - reforestation: plantation d'arbres, notamment fruitiers, partout et en masse (en partant des haies existantes pour une meilleure efficacité)
- - recreation d'une économie juste et locale (monnaies locales, monnaie libre) hors système financier criminel, injuste et inefficace. Sortir de la Dette et du capitalisme.
- -creation d'assemblée populaires pour informer, solidariser et impliquer toute la population
- - interdiction et lutte contre tous les pesticides et engrais chimiques et toute pratique industrielle, en particulier dans l'agriculture
- -formation et preparation de la jeunesse, et de la population en general (éducation populaire)
- - création de coopératives agroecologiques (cultures collectives, partage du travail et des récoltes, organisation de filieres -bois pour la construction, tissage pour les vetements, etc)
- -remettre les animaux à leur juste place (laisser des espaces sauvages, repenser l'élevage )
- - sortir les gens de la télé, facebook et google (Whatsapp c'est facebook) car ce sont des outils qui servent aussi à surveiller et manipuler les gens... outils pratiques au quotidien, mais tellement dangereux dans le monde qui s'annonce. (Un point discutable et delicat, certes.). C'est à dire créer des medias/reseaux sociaux locaux
- -formation et développement aux "low tech" - techniques non industrielles que chacun peut se reapproprier.
- - mise en commun des techniques. En particulier pour les domaines de l'habitat, de l'eau et de l'agriculture). Partage et multiplication des graines et plantes sélectionnées pour leur resistance à la secheresse
- - pour les zones a risque : reduction drastique de l'utilisation de l'eau pour preserver notre nappe phreatique (toilettes seches partout!)
- - promotion de la non-violence et promulgation du principe de Paix comme superieur à tout le reste. Mais sans oublier de controler socialement les comportements dangereux, violents ou injustes.
on pourrait les regrouper en 2 grands axes:
- lutte contre la désertification (eau, arbres, pratiques agricoles et urbanisme)
- autonomisation du pays : autonomie vivrière (groecologie pour que chacun mange correctement), autonomie economoque (monnaies et marchés locaux) et autonomie politique (assemblées locales populaires pour decider démocratiquement). Ne plus devoir dependre des oligarques et des multinationales.
ceci est une ebauche à completer... des directions à suivre si on veut s'en sortir au mieux... mon simple avis parmi d'autres. N'hesitez pas à apporter votre pierre à l'edifice!La tache est lourde, mais les enjeux sont immenses ! ça ne nous empeche pas de faire ça un pas après l'autre, dans la joie et la bonne humeur...
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Quentinheim
Encore un gros problème de la réflexion purement centré sur le biologique. Le striatum réponds bien à la question pourquoi l'humain cherche à développer certains comportement qui sont: recherche de nourritures et rapports sexuels. Mais il y a un véritable biais de raisonnement à dire que c'est celui là qui nous pousse à notre perte. Ce biais de raisonnement apparaît lorsqu'il dit que le cortex pousse les humains à créer une civilisation industrielle.
IL EST TOTALEMENT FAUT DE DIRE QUE LA CIVILISATION INDUSTRIELLE EST INHÉRENTE A L'HUMAIN.
Avant l'invasion des occidentaux partout dans le monde et la mise en esclavage des autres populations, de nombreuses civilisations n'étaient pas industrielle. Elles ne fonctionnaient pas non plus sur un système de marché et encore moins sur un système d'accumulation. La civilisation industrielle n'est donc pas l'oeuvre uniquement de notre cortex, mais d'évolution sociales. Voilà la grande erreur du chercheur qui, une fois montrée, permet de remettre en cause tous ces propos.
Le striatum pousse donc l'être humain à satisfaire certains besoins, mais ce ne sont pas les besoins qui génèrent de la pollution. Ce sont la manière dont on produit la réponse à ces besoins.
Exemple simple: le sexe. Si de nombreuses personnes sont sur des sites de rencontre et/ou regardent de nombreux films pornographiques, cela indique plus une dénaturation des rapports sociaux. Les individus sont découplés de la possibilités de vivre leurs besoins sexuels. Parce qu'ils sont seuls, parce qu'ils travaillent la majeur partie de leur temps etc.
C'est donc cette individualisation de l'individu qui le pousse à satisfaire par d'autres moyens ses besoins sexuels.
Les biais de raisonnements des biologistes nécessiteraient une contre émission pour tous les relever avec des personnes issues de sciences humaines, formées dans l'épistémologie. Cette émission reproduit les mêmes raisonnement que la craniométrie pendant le colonialisme (même si l'erreur ne produit absolument pas les mêmes effets, je parle de raisonnement). On observe quelque chose qu'on utilise pour justifier une conclusion sans jamais remettre l'environnement en cause. -
Quentinheim
" On peut arriver à avoir des émissions de gaz à effet de serres négatives rgâce à des technologie d'enfouissement"... Quand la science se transforme en religion... Nous sommes dans cette situation pour des raisons politiques et parce que les grands chaman-e-s du siècle que l'on nomme ingénieur nous ont promis qu'ils et elles pourraient limiter les effets négatifs de ce système. Il est évident qu'enfouir des gaz créerait des poches et déstabiliserait les sols ainsi que toutes la biodiversité. Il est grand temps de politiser les ingénieur-e-s et de faire en sortent qu'ils comprennent que le capitalisme est le problème, donc il nous faut une solution politique pas technologique !
Pareil pour l'écologie des tétrapack recyclable ou celle des marches, cela ne fait peur à personne. Il semble grand temps de ressortir les bouquins de nos anciens sur les révolutions pour passer à des solutions concrètes loin de change.org -
Olivier RAOULT
Excellente émission ! Encore bravo !
Sur les passoires thermiques : Un effort aujourd'hui sinon, demain, quand les choc thermiques se seront encore amplifiés, ces passoires ne se vendront plus du tout, même avec 100% de rabais. Essayeriez-vous d'habiter dans un logement dont les précédents locataires sont morts d'un coup de chaud - ou d'un coup de froid ? Donc, mutualisons un effort (collectif) MAINTENANT, avant qu'il ne soit trop tard !
Autre idée : Au-dessus d'un certain niveau de revenu et/ou de pouvoir, interdiction de climatiser ! Déclimatisons l’Élysée, les bâtiments de la commission Européennes, les ministères, les bureaux des grandes sociétés, les grands magasins et toutes les habitations de plus de 300m2 . Ou, plus simple, encore, interdisons totalement TOUTE climatisation (électrique ?) PARTOUT, sauf dans quelques lieux dédiés à la santé publique !
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Antoine Li
Je trouve aussi que c'est une bonne émission.
J'ai personnellement plus de considération pour ceux qui essayent patiemment (et peut-être trop lentement, mais la faute à qui ?) de dénouer cet énorme problème noeud après noeud, que pour ceux qui restent dans l'incantation inopérante, du genre "tout ça c'est la faute au capitalisme !" (voir certains commentaires dans la discussion). Si je suis d'accord avec eux sur l'enchaînement logique, ça ne nous dit pas comment on fait pour sortir d'un capitalisme aujourd'hui bien en place dans un cadre politique suffisamment civilisé.
Oser parler d'éco-anxiété est une bonne approche, et il est intéressant de voir son extension comme une prise de conscience salutaire plus que comme une épidémie de pessimisme maladif.
Cécile Duflot et Sébastien Bohler se complètent bien: elle montre bien par son témoignage comment le personnel politique est en grande partie éco-aveugle, et il nous propose quelques clés pour en comprendre les raisons psychologiques.Ce n'est pas rien. Si les citoyens parviennent à s'organiser pour leur faire honte, pour les pousser à désintoxiquer la société de la drogue publicitaire, pour revaloriser la solidarité et le collectif, bref pour promouvoir une morale de modération et de responsabilité à long terme, ça peut faire un peu bouger les choses. C'est du reste ce qui commence à se produire depuis la démission assez clairement expliquée de Hulot, depuis la médiatisation de Greta Thunberg, ou depuis le succès de la pétition "L'affaire du siècle".
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BERTY
C'est consternant !
Après avoir tourné autour de la responsabilité des politiques, dosettes de lait, cigarettes, passoires thermiques et du cerveau humain, pas d'accusation du capitalisme, des lobbys et de la course au profits (ou, du bout des lèvres) !
Croire aux petits gestes individuels, à l'action publique est une duperie. C'est l'industrie et l'agriculture intensive qui polluent le plus.
Lutter contre les inégalités, oui ! Mais qui va faire la différence entre le "striatum" du milliardaire et celui qui à tout juste un bol de riz par jour pour survivre ?
Les solutions sont dans la destruction du capitalisme et de la prise en main par les populations de leur propre destin.
(il y aurai beaucoup à expliquer...)Effectivement les moyens techniques existent pour modifier la vie de tous.
Malheureusement, notre "cerveau" est conditionné à croire qu'il n'y a pas d'autre monde possible.
Ce n'est pas avec des écologistes comme ça qu'on va changer les choses, car croire qu'on peu réformer le capitalisme c'est faire croire "qu'un bouc peu donner du lait"
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LAURENT auditeur sud radio
Bonjour à tous, Laurent l'auditeur de Sud Radio , je vous invite à lire :
BASSESSES EXTRAORDINAIRES ET GRANDES CHALEURS .
500 ANS DE SÉCHERESSES ET DE CHALEURS EN FRANCE ET DANS LES PAYS LIMITROPHES.
Par Mr Emmanuel GARNIER. (CEA -CNRS )
Nous pouvons toujours essayer encore et encore de nous persuader que nôtre époque climatique est unique, j'usqu'à sombrer dans le ridicule ,pourquoi pas !
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Asyla
j'ai trouvé la fin très abrupte et je n'ai pas eu du tout l'impression que l'émission a fait le tour de sujet .. J'ai rarement cette impression à la fin d'@si.
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cécile clozel
Bon, c'était une émission intéressante, mais... j'attendais "se préparer à l'après", parce que moi, mon éco-anxiété ça fait un moment que c'est ça qui la nourrit — surtout depuis que je me suis confrontée de près à la façon dont notre bureaucratie/police/justice parvient à faire (sous l'injonction des gouvernants, je n'en doute pas) un parcours du combattant du simple accueil d'un gamin qui vient de traverser l'enfer.
Ça fait un moment que je pense que le point de non-retour est dépassé, qu'on les aura, les catastrophes — qu'on les a déjà, pollutions, extinctions, réchauffement... et que dans le même temps on est à la ramasse sur les questions politiques et humanitaires. Comment on va faire ? Quand les pénuries pousseront chacun à cogner pour survivre, quand les citadins fuiront les villes devenues mortelles (un petit coup de chaud dans les serveurs, et hop, plus d'électricité, plus d'eau...), quand les dictatures paraîtront la seule solution pour maintenir un minimum de "commun", comment on va faire si on s'est pas remué le cul, vite vite, pour initier à tous les niveaux de la coopération, du partage, de la solidarité, pour inventer des systèmes politiques qui les rendent possibles, qui les rendent plus performants que la lutte sauvage pour la survie ou les états policiers ???
Et, dans le même temps, comment on va se démerder, concrètement, pour préserver/redévelopper la production locale des biens de première nécessité (nourriture, eau, énergie, logement, vêtements), l'accès à la santé et à l'information, si telle ou telle fonction de notre fragile système de production se casse la gueule ?
Se préparer à l'après, oui, y a urgence à développer de l'autonomie partout où c'est encore possible, mais j'ai eu vraiment l'impression que pour tous les intervenants de l'émission, comme pour presque tout le monde, je le crains, la sidération est là, l'impossibilité de prendre acte du "c'est foutu", le violent désir de croire encore que rien n'est perdu. Hélas...
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Asinaute sans pseudo 3535c
Proposition à faire à l’Assemblée :
Remplacer les publicités sur internet, à la télévision, et dans les rues, par des conseils pour moins produire de déchets, moins consommer, se rafraîchir sans clim, etc.
Pour les entreprises :
Seulement autoriser des communications informatives sans mise en scène complètement irrationnelle du genre « je mets du déo j’ai cinq top model esclaves sexuelles à mes pieds ».
Et ce dans toute l’Europe.
Et avec des moyens : par exemple trois poubelles pour le tri et pas une vague poubelle jaune fourre-tout intriatable ; des trains régionaux à l’heure etc.
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Cobalt 60
Il a été un peu questions des lobbies dans cette émission. Ce serait bien qu'Arrêt sur images y consacre une émission. Quelles sont les agences de lobbying ? Quelles sont leurs méthodes ? Où sévissent-elles (le parlement européen semble en être infesté) ? A défaut d'inviter des lobbyistes par nature discrets ou des politiciens au discour formaté prévisible, peut-être qu'un spécialiste de la question pourrait nous éclairer.
Je me pose des questions particulèrement sur les méthodes à l'échelon individuel : chantage à l'emploi ou à la délocalisation auprès des élus ? Promesse d'un bon poste dans une entreprise pour les enfants ? Dîners ou voyages "d'information" ? Entrisme dans les cercles poitiques ? Corruption ? Études bidons ?
On n'évoque jamais les stratégies concrètes de lobbying.
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Oblivion
Bonjour les humains,
un point que je n’ai pas compris. Nous avons deux choses, donc, le striatum et le cortex.
J’ai vérifié, ils existent chez d’autres animaux. J’ai bon sur ce point ?
Notre cortex est tellement fort qu’il nous fait inventer des bidules intelligents.
Que les autres animaux, pauvres démunis, n’ont pas inventé. Ouuuuh ! la honte !
Et donc, le striatum, additionné à notre cortex très intelligent nous rend cons comme des peignes à cul au point de mettre en danger la survie de l’humanité.
J’ai un doute : notre cortex, il est si balèze que ça?