-
bobydbsound-214457 bobydbsound
Ca date du 05 juillet 2019 cette émission, maintenant nous sommes le 23 septembre 2019 et Greta est en Amérique du Nord(USA) et ne veut pas voire ou même rencontré D. Trump à raison car il est lui aussi comme en France " Climatosceptiques " aussi et sa démarche va de façons inclusive car tous les participants son pacifique elle est attendu à l'ONU comme le rapporte l'Obs. Alors jusqu'à maintenant pour les pessimistes c'est un pied de nez et ont attend Greta au Canada et bien sur au Québec soit Montréal dont la mairesse Valérie Plante l'attend à l'hôtel de ville (....) So Far so good ! Bravo car si cette façon ne sensibilise pas les Gouvernements du Monde de quoi et comment expliquer que la non-violence est une façon " Politiquement Correct " puisse fonctionner aux générations grandissante sinon un coup de poing sur la table ? Merci !
-
ghostinthemuf
Juste pour dire que j'ai failli recracher mon café en entendant Daniel dire que "le respect de la biodiversité est aujourd'hui le modèle dominant" dans les questions d'aménagement ;-) Y a peut-être malentendu mais quoi qu'il en soit, je me permets de suggérer un sujet d'émission compatible avec ASI : le décalage (que dis-je, le gouffre) entre le temps d'exposition médiatique des questions environnementales (de moins en moins négligeable) d'une part et l'évolution du droit et des pratiques d'autre part (minime pour ne pas dire ridicule, et en tout cas désespérément insuffisant au regard des enjeux, y compris voire surtout au sujet de la biodiversité);
-
chavi
Bonjour
Merci pour cette excellente émission.
La philosophe prétend que c'est par identification et anthropomorphisme que nous défendons les animaux. Si c'est le cas c'est bien malheureux. Nous devrions défendre tout autant ce qui nous est différent, parce que ça nous est différent. Parce que cette différence emportera en disparaissant une infinité de connaissances irremplaçables. Défendre un organisme parce qu'il nous ressemble me paraît relever de la maturité d'un électeur de trump.
L'intuition et l'émotion dont parlent le militant extinction ne permettent pas de développer une méthode scientifique, mais elle sont pourtant nos seuls moyens de prendre conscience que "la vie" n'existe pas que dans ce qui nous ressemble. Elles sont notre seul moyen de communication avec le monde animal et végétal.
Une journée à plus de 40 degrés sans clim rappelle très vite les limites du pouvoir du rationnel
-
Sébastien Albert
Je suis un peu triste que le réprésentant d'Extinction/Rebellion n'ait pas plus la parole : ennui, manque d'expérience ou difficulté de faire bonne figure face à la fulgurance (par ailleurs passionante) de la famille Larrere ?
Daniel S. aurait pu relever...
Merci. -
Jombie
Merci pour cette émission. Madame Larrère mère est très agréable à écouter (quelle chance pour Mathilde !). Je ne regrette pas le déséquilibre de temps de parole entre elle et le militant, qui n’apportait pas grand chose, je trouve. Peut-être un problème de structuration de l’émission ? Manquait-il un autre invité ?
-
caius lapsus
de Rugy comment il va? l'escrologie se porte bien?
-
claudine dahon
On note que la hiérarchie de la morale reste une question d'identification, abordée rapidement par la philosophe. Lorsque l'abondance de la nourriture nous permets de nous passer de viande alors on peut considérer un lapin comme une peluche, alors qu'en période de famine c'est un festin. D'ailleurs l'affiche du parti animaliste aux dernières élections était un petit chien à l'air triste.
Si notre sensibilité peut être utile, elle ne peut pas nous donner d'indicateur du bien universel seulement le reflet d'une époque.
Deux problèmes se présentent : d'une part la violence des humains qui n'ont de respect que pour ce qui leur ressemble, et rejettent les autres comme étant des objets.
D'autre part la nécessité de montrer la biodiversité comme souhaitable, indispensable à la survie des humains.
Ce n'est plus une question d'identification mais d'inversion totale de la hiérarchie qui nous formate.
L'équilibre écologique fait de nous les êtres les plus inutiles voire nocifs que porte la terre alors que les minéraux l'eau, les plantes puis les animaux, les êtres les moins sensibles, sont les choses les plus nécessaires à notre survie.
Ce retournement intellectuel est encore bien loin de notre cheminement mental écologique.
Notre sensibilité peut être modifiée et notre sens moral se baser sur autre chose que la sensiblerie, se baser sur la nécessité de l'harmonie, de la place à laisser à l'autre, au tout autre, faute de quoi nous n'y survivrons pas.
-
shuppy
les lobbies c'est comme les chasseurs : il y les bons et il y a les mauvais et parfois les bons se comportent comme les mauvais
-
brieuc.guinard-112607 brieuc.guinard
Comme d'autres personnes ici, je trouve triste la non-présence sur le plateau d'antispécistes, ou en tout cas d'une personne experte en philosophie animale. J'ai trouvé que Mme Larrère rendait parfois les choses un peu confuses, la pire confusion étant (argument d'homme de paille) de dire que l'antispécisme ne va pas pouvoir faire la distinction entre les besoins des individus… or c'est tellement immédiatement réfuté qu'elle aurait pu se douter que cela n'est pas le discours des antispécistes, ou du moins que s'ils peuvent dire des choses qui ressemblent à cela, ce n'est pas exactement ça qu'ils ont en tête. Bref, une bête application du principe de charité intellectuelle (penser que les autres ne sont pas stupides).
Je suis également surpris de ne pas avoir entendu les mots « écologie profonde » dans une émission sur le thème de l'écologie et de la morale… même s'il a été un peu question de ceci.
-
Léa Carlat
Sacré découverte que cet atlas de la justice environnementale. Mais il me semble qu'on est vraiment loin du compte pour la France, il va falloir leur donner plus d'infos aux Barcelonnais. :-)
-
littlepurpleplum-001259 littlepurpleplum
Je n'ai pas encore fini de visualiser le contenu, mais pour l'instant, je suis choquée. Opposer la non-violence et la violence, est-ce que ça n'est pas une erreur de base ?
1 - Si l'on prend en compte la violence actuelle, sous l'angle social, sous l'angle écologique, réagir nécessite parfois un certain degré de violence. Se défendre face à la police, ce n'est pas, selon moi, être violent, c'est ne pas demeurer dans la posture pacifiste.
2 - Je vous invite à lire le livre de François Cusset " Le déchaînement du monde" qui démonte systématiquement l'imagerie artificielle d'icones telles que Gandhi, Luther King etc. La thèse, en gros, c'est que le capitalisme avait besoin de lisser leur image afin de les montrer en exemple pour qu'une partie du mouvement social s'y identifie, en opposition avec les supposé·e·s violent·e·s quand en fait - et il s'inspire de la lutte de NDDL pour illustrer son propos - il s'agit plus de choix stratégiques que de postures. Il est parfois plus porteur de s'employer à la non-violence (et donc d'élargir la base mobilisable) et parfois nécessaire de résister clairement sous peine d'être invisibles.
En fait, tout le soucis de nos jours, c'est que l'on crie à la violence pour un oui pour un non alors que notre société n'a jamais été si pacifiée (précisément parce qu'elle n'a jamais été aussi pacifiée). Une vitrine cassée ? Violence ! Un distributeur HS ? Violence ! Un abri-bus vole en éclat ? Violence !
Un jeune se fait tuer par la police ? Il avait certainement fait quelque chose pour mériter de risquer ça...
Une personne se fait mutiler par la police en manifestation ? Fallait pas y aller...
Pour ma part, je m'estime non violente car mon mode d'action premier n'est pas la violence. Mais je ne suis pas pacifiste, surtout pas. Si la violence se déchaîne autour de moi lors d'une action, je ne m'empêcherai certainement pas de réagir. Débattre de ces thèmes est important mais n'oublions pas le contexte. Je pense que la violence de la certitude que nos gouvernants ne chercheront pas à faire quoi que ce soit mérite une réponse à la hauteur, une réponse qui ne se contente pas de revendiquer. Une réponse qui affirme notre droit et celui de celles et ceux qui nous suivrons à vivre dignement.
Je reprends mon visionnage ... Merci pour vos émissions ! -
Compte supprimé à la demande de l'utilisateur
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
-
romain gary
Intéressant comme toujours. Cette émission en appelle d'autres :) Je rejoint globalement la réflexion de Mme Larrère, sauf en ce qui concerne l'abandon du terme "besoin" au profit de "intérêt". NON je pense que, humains comme animaux, nous sommes des êtres de besoins (cf Arthur Janov pour ce qui est des humains). Pour une poule par exemple, le non respect de pouvoir se mouvoir sur un sol, et de le gratter (instinct de rechercher des vers de terre) peu être considéré comme un non respect d'un besoin. Je fait cependant une grande distinction en terme d'ordre de grandeur, entre le non-respect des besoins des humains, et celui des animaux (Par ailleurs, chaque espèce a ses besoins propres et différents). Ma réflexion très rapide est la suivante : Un humain ressent la douleur mais aussi la souffrance. C'est à dire que le souvenir d'une douleur trop intense ou trop prolongée est inscrite, et donc se poursuit , même lorsque cette douleur a disparu; C'est ce que l'on appelle le traumatisme. Pour un animal ce n'est que très peu le cas. Bien entendu, cette affirmation est controversable et matière à débat, cependant je pense qu'elle peu être une bonne base, une bonne piste de départ pour la réflexion. A mon avis, anthropomorphiser les réactions des animaux face à la douleur est autant une erreur que de ne pas du tout la prendre en compte.
-
sigir
Bonjour,
un commentaire valable pour plusieurs émissions (pas toutes) : il y a des différences entre le volume sonore (ou en tous cas l'intelligibilité) des différents intervenants. C'est assez pénible quand on essaye d'écouter à faible volume pour ne pas déranger, on entend très bien la question et je suis obliger de monter le son pour comprendre la réponse.
Je précise que j'utilise du matériel (interface audio et enceintes) de studio. -
Faylix
Bon, mémé réac qui raconte n'importe quoi sur l'antispécisme, c'est marrant 5 min mais une heure complète sans contradiction, c'est pénible.
-
Max Médio
L'émission renvoie par moment au livre " Un éternel Treblinka " (2008)
Un éternel Treblinka, de Charles Patterson, Dominique Letellier
La souffrance des animaux, leur sensibilité d’êtres vivants, est un des plus vieux tabous de l’homme. Dans ce livre iconoclaste – que certains considéreront même comme scandaleux –, mais courageux et novateur, l’historien américain Charles Patterson s’intéresse au douloureux rapport entre l’homme et l’animal depuis la création du monde.
Il soutient la thèse selon laquelle l’oppression des animaux sert de modèle à toute forme d’oppression, et la « bestialisation » de l’opprimé est une étape obligée sur le chemin de son anéantissement. Après avoir décrit l’adoption du travail à la chaîne dans les abattoirs de Chicago, il note que Henry Ford s’en inspira pour la fabrication de ses automobiles. Ce dernier, antisémite virulent et gros contributeur au parti nazi dans les années 30, fut même remercié par Hitler dans Mein Kampf. Quelques années plus tard, on devait retrouver cette organisation du « travail » dans les camps d’extermination nazis, où des méthodes étrangement similaires furent mises en œuvre pour tétaniser les victimes, leur faire perdre leurs repères et découper en tâches simples et répétitives le meurtre de masse de façon à banaliser le geste des assassins.
Un tel rapprochement est lui-même tabou, étant entendu une fois pour toutes que la Shoah est unique. Pourtant, l’auteur yiddish et prix Nobel de littérature Isaac Bashevis Singer (qui a écrit, dans une nouvelle dont le titre de ce livre est tiré, « pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ») fut le premier à oser la comparaison entre le sort réservé aux animaux d’élevage et celui que les hommes ont fait subir à leurs semblables pendant la Shoah.
S’inspirant de son combat, Patterson dénonce la façon dont l’homme s’est imposé comme « l’espèce des seigneurs », s’arrogeant le droit d’exterminer ou de réduire à l’esclavage les autres espèces, et conclut son essai par un hommage aux défenseurs de la cause animale, y compris Isaac Bashevis Singer lui-même.« Le livre de Charles Patterson pèsera lourd pour redresser les torts terribles que les hommes, au fil de l’histoire, ont infligés aux animaux. Je vous incite vivement à le lire et à réfléchir à son important message. »
Jane Goodall, primatologue« Le défi moral posé par Un éternel Treblinka en fait un livre indispensable pour celui qui cherche à explorer la leçon universelle de la Shoah. »
Maariv, journal israélienThèmes:
Sciences humaines et sociales, lettres
Collection :
-
Jean-Michel Bidot
Très mauvaise emission cher ASN, entre l'illuminé qui ne sait que s'assoir et paraphraser, la philosophe qui sert le service minimum mais qui balance, sans contestation, ses opposants bergers (combien de brebis pour un 4X4?), heureusement notre chère historienne marxiste a produit sa chronique toujours intéressante.
L'été n'excuse pas tout!
-
Cultive ton jardin
Et merci à Louis, à la fin de l'émission, d'avoir tenté (malgré l'interruption de Daniel) de réhabiliter la sensibilité, les émotions, et de pointer que tout voir sous l'angle du pur "rationnel" en éliminant, comme une impureté, tout ce qui est de l'ordre du sensible, de l'humain, de l'intuition, de la révolte "morale", cette stérilisation forcée de tout ce qu'il y a d'humain en nous non seulement ne nous aide pas à résoudre le problème, mais est constitutif du problème.
Et qu'on ne résoud pas une difficulté en continuant le mode d'action et de pensée qui l'a engendrée.
-
Cultive ton jardin
J'en suis à une heure d'écoute, le représentant de Extinction/Rébellion n'a plus dit un mot depuis longtemps, par moments il s'emmerde ferme (je crois) Qu'est-ce qu'il fait là, ya comme une petite erreur de casting. Alors que manquent d'autres, les antispécistes dont on parle superficiellement en leur absence, les bergers ou les amis des loups (un vrai problème, co-exister mais comment?).
Extinction/Rébellion, il faudra les ré-inviter pour traiter des modes de lutte ou de résistance, de la "violence" (laquelle?), des attitudes "inclusives" ou excluantes ( au lieu de faire çi, faisons ça), en gros de la bio-diversité des modes d'action versus le sectarisme. Et de cette question qui nous obsède: face à des adversaires puissants, arrogants, insensibles et implacables, qui ne bougent pas d'un pouce, que faire qui soit "efficace"?
Car un mode de lutte, on en prend soudain conscience en voyant gazer des gens assis et pacifiques, n'est considéré comme légitime qu'à condition d'être inefficace.
-
Chimiste Approximatif
bonjour
Au sujet du pastoralisme évoqué dans l’émission, je pense que la question la plus pertinente est la suivante :
Qu'est ce qui fait le plus de mal à l'élevage de brebis en montagne ? l'ours, le loup, ou bien la viande de mouton de nouvelle Zélande qui arrive sur nos marchés à des prix trop concurrentiels par rapport à nos coups de production ?
De plus, il est important également de diversifier ce que rapporte une brebis pour maintenir la rentabilité de l'élevage :
une brebis à viande n'est peut-être pas ce qui rapporte le plus
les brebis peuvent produire aussi du lait et donc du fromage, mais aussi de la laine. ( je regrette que l'exemple de la scoop Ardelaine n'est pas essaimé partout où il y a des moutons en france)