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danmark13
Je suis parfaitement en phase avec cyril camard...et je rappellerai à daniel Schneidermann, que Le Media se defend d'être une courroie de transmission de la F.I. Meme si ceux-ci sont des gens de la F.I. qui l'ont créé ...et qui entre parenthèses se sont éloigné s ...Moi-même sympathisant de la fi je n'accepterais pas ce melange des genres , car ensuite comment faire sa propre opinion. La F.I. a son propre média....canal fi # 6ooo abonnés. ensuite ne pas douter de l'honnêteté de l'ensemble des journalistes..soit ..il existe bien des moyens multiples pour cadenasser la parole...des ex: ?? vous-même @asi '', là-bas si j'y suis '' ''ce soir ou jamais'' et une foule de " Gaspard Glanz '' ça vous suffit mon cher arrets sur images...???
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abracadabra
On peut à mon avis largement déclarer la supériorité de l'émission du (Le)Media sur le même sujet : https://www.lemediatv.fr/les-programmes/vraiment-politique/les-medias-contre-la-democratie/
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Sixou
https://www.letemps.ch/economie/lhebdo-fin-laventure
Quelle surprise d'apprendre que le Bondy Blog a été créé par des journalistes suisses !
... aujourd'hui au chômage ....
heum ....
en fait non ....
bon, ils ne parlent pas trop de problématiques sociales locales dommage il y en aurait tant à dire ....
mais est-ce réellement possible en Suisse ?
allez je vous donne la réponse:
- non.
j'y vis et j'y travaille dans le domaine social entre autres
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abracadabra
Nassira El Moaddem dénie la qualité de journaliste aux éditorialistes mais malheureusement l'éditorialiste est un journaliste, ce qui contribue à la confusion dont elle parle. Elle se rattrape dans sa phrase en parlant de "journalistes de terrain" (on pourrait parler de reporters ou de journalisme d'information). Mon ressenti (est-ce un fantasme ?), c'est que, dans la logique d'un système plus global, le journalisme de commentaire, plus facile, moins coûteux, plus rentable économiquement, a vampirisé le journalisme de terrain, qui n'a plus de valeur en lui-même, mais ne fait que servir de support, d'aliment, de carburant au bavardage journalistique.
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musicmusique
https://www.lemediatv.fr/les-programmes/vraiment-politique/les-medias-contre-la-democratie/
En complément! Crdlt
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bastounet
my god....des formateurs bien formés a former de dociles informateurs.....scoop ! les chiens de garde se reproduisent entre eux ....
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DimBou
Comme pas mal de gens, je n'ai pas regardé cette émission en entier, tellement le propos m'a semblé convenu et passant largement à côté des vrais problèmes que rencontrent les journalistes aujourd'hui.
Proposer ce genre de sujet d'émission sans un membre d'Acrimed ou du Monde Diplomatique s'avérait déjà très osé, mais le faire sans inclure un seul journaliste salarié ou apprenti journalise, c'est carrément un exploit !
Autour de la table : 3 personnes en position de direction et 1 journaliste indépendant qui est son propre patron... Pas étonnant que le problème de la détention des titres de presse ne semble pas se poser pour eux, ils croient faire partie du même camp.
Courage à tous les journalistes qui se battent au quotidien face aux conséquences de la concentration des médias, peut-être qu'ASI leur consacrera un jour une émission, plutôt qu'à leurs patrons ou professeurs.
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Bruanne
Je sais qu'ici on ne parle pas de la ZAD mais comme Gaspard Glanz est dans l'émission, je voulais juste rappeler qu'hier et aujourd'hui il est à NDDL, les jours d'avant dans des facs occupées, que Taranis News a besoin d'argent, que les journalistes ne sont pas les bienvenus dans ces lieux où la Police fournit directement les images à la presse.
Je ne partage pas toutes les opinions de Gaspard Glanz, mais je pense que son travail mérite d'être soutenu.
C'est ici son Tipeee, et même un don de 1 € ça lui est utile.
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phudipapa
Il aurait été intéressant de savoir avec quels médias ces écoles ont des accords (s'ils en ont)pour mettre leurs élèves en stage.
Déçu par cette émission, les journalistes ne sont manisfestement pas les mieux placés pour parler des journalistes, il a manqué, je trouve un regard extérieur.
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FlooD
La critique des médias vise moins les journalistes que les éditorialistes qui occupent une partie importante du panorama surtout télévisé.
Du coup on comprend bien que les directeurs d'école défendent leur progéniture mais c'est pas tant eux qui sont dans le viseur et les Brunet et cie restent critiquable.
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dorfinger
Tjs les memes problemes de son décalé depuis maintenant quoi , 3 ans ?
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pholles
Émission extrêmement décevante ! Il y avait pourtant à dire sur le "parti médiatique" et l'absence de pluralisme et de diversité dans la presse, en particulier à la télévision (journalistes baignés dans l'idéologie dominante, presse aux mains des milliardaires, etc.) !
Vu la situation actuelle, et en particulier le traitement médiatique sur la grève (évoqué à juste titre sur le site), on pourrait s'attendre à autre chose que ça. Par exemple avoir des clés d'analyse liées à la formation des journalistes (il suffit d'écouter Julie Joly pour s'en convaincre).
Je suis franchement mal à l'aise face à l'absence de recul critique sur la profession et la presse en générale, par l'analyse proposée bien trop corporatiste et souvent choquante.
Comme beaucoup je n'ai pas réussi à terminer l'émission.
Next !
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Artur Porto
Je ne sais pas si c'est audible de le dire en toute liberté, car j'ai trouvé que cette émission contribuait ouvertement à la réflexion sur les questions ou quelques unes des questions qui se posent à la presse, à la formation des journalistes à l'invention et création de nouveaux médias ou des nouvelles formes d'informer et de débattre.
Le discours des deux Directeurs a l'intérêt de nous permettre de mieux percevoir les enjeux et les recherches -les tâtonnements- pour améliorer leur rôle auprès des jeunes postulants au métier.
Les expériences de Bondy Blog et de Tanaris (que j'ai découvert) me paraissent des initiatives, des modes de faire, de créer autrement que je pensais -et je le pense- que cela méritait plutôt un soutien -critique sans doute- mais sincère et engagé de la part des abonnés d'arrêt sur images.
C'est que ce média -AsI- n'est pas pou moi la Pravda ou l'Osservatore Romano. Ni bulletin de parti ni feuille paroissiale. J'attends que les questionnements et/ou les désaccords suscités par l'émission nous ouvre à la réflexion plutôt qu'à la parole définitive, que certains commentaires "plus dans le vrai que moi tu meurs", s'évertuent à dicter.
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pierrounet
N-ième parallèle Mélenchon / Le Pen...
Vous n'en avez pas un peu marre?
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Bole Palmai
Une émission surprenante. Elle l'est de bout en bout, mais comme tout le monde je n'ai pas pu m'empêcher de rire lorsque le sujet de la dépendance économique au cac40 a été évoqué et de lever les yeux au ciel devant le peu de pugnacité de la confrérie à son égard. Cependant, je crois qu'il faut garder à l'esprit que toutes les personnes autour de la table sont journalistes et que c'est une profession qui a notoirement du mal a faire son auto-analyse / auto-critique. Soyons honnête, quand on veut faire une critique des media, faut pas inviter quatre journalistes.
De toutes façon, ça n'est pas une émission sur le système médiatique. On passe de la formation des jeunes journalistes, à l'accès des populations aux écoles de journalisme, à la pertinence d'avoir des écoles de journalisme, puis à la neutralité réelle ou supposée des journalistes, de leur réelle ou supposée indépendance idéologique puis économique, et enfin on y parle des nouveaux formats. A mon sens, dans tous ces thèmes, la pertinence des propos des invités est vraiment pauvre en terme de critique des média, mais ça n'était pas le but.
Si beaucoup d'asinautes semblent ne pas être allés jusqu'au bout de l’émission, c'est pourtant là qu'y réside l'intérêt que j'y ai trouvé : la réinvention du journalisme par la forme de production que les journalistes s'attribuent pour faire leur travail. Autant, la forme qu'adopte le BB me semble plutôt convenue, puisque l'abonnement dont Nassira El Moaddem parle n'a pas grand chose de révolutionnaire. C'est un principe de premium bien dans l'air du temps et dont il faudrait détailler les conditions d'accès et d'usage, mais qui ressemble a ce que peut faire Le Media (la coopérative en moins, m'enfin ça a l'air bien tout de même). Autant, la manière que Gaspard Glanz a choisi me semble vraiment intéressante, car c'est celle de la mutualisation des frais et des salaires pour permettre un forme de travail qui n'aurait nul part ailleurs : on met en commun le réseau et les piges pour financer le matériel et les frais divers. Ca, c'est du coopérativisme exemplaire. C'est une véritable manière d'aborder la relation au travail qui revient en force à la faveur de la précarisation des métiers (pas seulement du journalisme) et qui incarne, à mon sens, le renouveau de cette profession à bout de souffle, pour ne pas dire qu'elle est dans un état franchement pittoyable. C'est une manière embryonnaire de reconstruire le journalisme comme un commun mutualisable (au sens institutionnel) et dont on pourrait immaginer le développement à la manière de ce que l'on pratique dans le coopérativisme de plateforme. Il est dommage que la question des conditions de production arrive en fin d’émission dans une aussi petit lucarne de temps. A refaire, donc ? Probablement. -
florian ROBERY
La crise de la Presse ne vient en aucun cas du mode de recrutement des jeunes, qui sont surtout surdiplômés et surtout motivés pour trouver du travail. La crise de la Presse et des Médias en général vient que les grands journaux et les télévisions sont entre les mains de quelque milliardaires qui se permettent de prendre en otages les rédactions et les journalistes encore honnêtes qui n'en peuvent plus de déverser la doxa libérale n'ont que le choix de faire jouer leur clause de conscience et de créer un autre Média, isn't it Daniel?
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kusto
Je reposte ici une réponse plus bas à Neity, parce que bon après toute cette rédaction, ça me fait un peu mal au cœur de rester cacher en sous-sous-sous-réponse.
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Je trouve au contraire que ce débat devrait à nouveau être bien plus approfondi, par Asi ou nous-même. Je constate dans les commentaires ici un appauvrissement de cette question pourtant essentielle, en séparant en deux camps: d'une part les affreux, ceux qui se prétendraient «neutre et objectifs» mais qui ne seraient que les dévots d'une pensée unique libérale et d'autre part les paladins du journalismes, qui osent et ont le courage de leurs convictions.
Cette pensée binaire, ce manichéisme de la critique des médias, j'accuse Le Média de l'exacerber, et d'en être au moins partiellement responsable. Ils en font un argument de vente et de promotion et l'excluent donc du débat nécessaire à la compréhension de sa complexité.
Je pensais, peut être naïvement, que critiquer la position «neutre et objective» des médias était un fait reconnu. Que cette dénonciation revenait à tirer sur l'ambulance (sur Asi), et que son acceptation était le préalable nécessaire à la critique des médias. La vraie question est qu'au-delà se constat posé (et ce depuis de nombreuses années), quels sont les contours et les limites du journalisme?
Je ne pense pas que cela puisse être un blanc-seing à faire tout et n'importe quoi (ce dont je n'accuse pas Le Média) au seul prétexte qu'on assume ses positions. Asi est un média de gauche qui ne s'en cache pas, et pourtant il a des visions dissonantes sur le journalisme avec Le Média. Plutôt que de le ranger dans la case des vendus comme certains le font ici-même, il serait bien de s'interroger sur ces différentes notions.
La première est de différencier la limite entre le militant et le journaliste. Le premier est au service des idées qu'il défend, le second au service de l'information. Du moins c'est une position défendue par moi et beaucoup de journalistes. C'est ce qui différencie l'éditorialiste, qui donne un jugement sur des faits, et un journaliste qui recherche et communique ces faits.
S'il est sain de reconnaitre ses positions et ses biais, c'est justement dans une démarche d’honnêteté pour d'une part lutter contre ses propres travers, mais permettre au receveur de l'information d'être attentif à ces biais. Mais cela ne doit pas empêcher le journalistes de chercher l'information, et qu'elle soit le plus juste possible. Car c'est normalement son rôle, allez chercher l'information que l'on a pas le temps ou la possibilité d'aller chercher nous-même, mais c'est ensuite à nous de nous faire une opinion.
Mais ces frontières sont floues et complexes, le véritable enjeu est de les détricoter. Le Média franchit régulièrement ces frontières et en cela il est critiquable. Sur la question du nombre de manifestants, ils tombent complètement dans le militantisme: il ne s'agit plus d'aller chercher de l'information, ce qu'ils qualifient de «pas notre travail» mais de discriminer les informations sur la seule base de leurs opinions. Là où un journalisme engagé irait faire sa propre enquête sur les biais d'Occurence ou du comptage de la police, ou effectuerait son propre comptage. Car le rôle d'un journaliste n'est pas de choisir à notre place le meilleur chiffre, mais de nous donner des outils permettant de faire ce choix.
Un autre point est la complexité d'être honnête sur ses idées. Se présenter comme «de gauche, féministe et écologiste», est un point de départ. Mais ce n'est qu'une ébauche des biais possibles, pour embrasser l'ensemble des idées et des positions possibles, il faudrait présenter un vrai programme politique et culturel. On a des gauches, des féminismes et des écologismes, et au delà, en quoi tout cela renseigne sur les parti pris dans la géopolitique ou la vision de la chanson française?
Le dernier point est celui de la verticalité, qui était posée lors de l'émission mentionnée par Faab (émission avec Le Média et Ebdo). Est-ce au média d'imposer ses partis-pris aux journalistes? Le parti-pris d'un média n'est-il pas le résultat de son comité de rédaction plutôt que celui pris en amont? Si le parti-pris des fondateurs ou propriétaires jouera sur la politique d'embauche et a une influence, les parti-pris du média est plus un fait observable que décidable. Là où ça se complexifie avec un média télévisuel est que les émissions sont un travail d'équipe, ce qui rend les clashs inévitables lorsque l'on sort du consensuel, que ce travail soit effectué coopérativement ou avec une organisation verticale, et qui est un vrai défi pour le Média, là où un journaliste papier peut garder sa personnalité dans ses papiers.
C'est un long pavé mais il me semblait nécessaire de rapeller les divers enjeux variés et complexes de la critique des médias qui ne peut se résumer à de simples oppositions binaires.
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jean-françois copé-décalé
Après 20 min, j'arrête le visionnage et je me (re-re-re-re) remets la vidéo de 2010 avec Anne-Sophie Jacques et Henri Maler. Nostalgie...
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Robert·
Une autre question. Comment recrute-t-on des développeurs front end ?
Il y aura 1 ans après-demain que vous avez lancé l'appel à la "perle rare" chargée de répondre à un cahier des charges que vous aviez longuement réfléchi de renouvellement du site. Vous l'avez manifestement trouvée. Trois mois après une mise ne ligne annoncée comme triomphale le suffixe "beta" **reste accolé à l'adresse web ce qui peut-être considéré comme un record en la matière.
* on a du mal à imaginer ce que devait¨être la version "alpha" si même il y en a eu une.
**Apparemment il n'existe pas de législation sur la durée maximum d'un beta-test ni sur sa commercialisation.
Pauvres de nous !