ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 12 mai 2013 à 16:41
    Je trouve étrange, compte tenu de la réputation d'impartialité d' Arrêts sur Images, que la question du vote antisémite n'ait pas été abordée. Ce n'est pourtant pas le vote FN qui manque dans certains quartiers de Paris.

  • StephaneCORBION 23 février 2008 à 11:01
    Ce qui me frappe, plus que le détour par le vote juif, c'est la débilité des arguments : telle association à plus de subvention qu'une autre ? et alors!.. pour quel projet ?
    Passer une heure sur ce constat, sans autre argument que de se répéter, face à une question de fond posée avec pertinence, c'est triste.
    Que monsieur Cavada fasse mine de trouver cette causerie intéressante... c'est triste également.
    Il est vraie que, lorsqu'il animait son émission télé, je trouvais déjà bizarre sa logorrhée doctement emphatique.

  • Babibocho 22 février 2008 à 17:15
    Ce qu'on peut voir d'intéressant dans cette vidéo, c'est deux conceptions différentes du journalisme, deux écoles, et deux générations. D'un coté, un journaliste écrivant des livres d'enquête, de son propre aveu complètement étranger à la nébuleuse Internet (boudiou, ça existe encore ? Félicitations si c'est sincère !), et de l'autre, un jeune vidéaste, familier avec les concepts des nouvelles technologies et leur utilisation. On sent bien cette différence pendant l'interview, même si la question n'est pas explicitement abordée.
    J. Sahel ne me parait pas complètement clean. La question posée pendant la réunion, incontestablement polémique (à raison peut-être), le cadrage qui change ostensiblement pour mettre Cavada dans le champ, la justification un peu incohérente pendant l'interview (comment un vidéaste sachant mettre en ligne sa vidéo sur DailyMotion peut s'emmêler les crayons pour citer le permalien sur son blog ?), l'auto-promo à peine déguisée ("en ce moment, j'ai pas de boulot"), tout ça ne parait pas très clair. D'autant plus que sur le fond, il n'y a pas vraiment de différence de point de vue entre les deux invités. Et que le livre, d'après DS, évacue ce sujet en deux lignes et évoque donc bien d'autres choses. En cherchant sur Internet, on trouve des liens "Cavada, piégé par Stefanovitch ?". Ce serait plutôt "Stefanovitch et Cavada, piégés par Sahel ?".

    Le débat était intéressant pour ça, cette confrontation de deux visions qui remonte en fin d'interview, la montée en puissance d'un buzz sur Internet (et sa pseudo-valeur) réclamant d'autres sujets. Après, le reste, antisémite ou pas, à mon avis non, même si le commentaire sur les 4X4 était un peu affligeant. Peut-on s'interroger sur le fait que des écoles israëlites, interdites aux autres confessions (si tel est bien le cas), reçoivent des subventions d'une République laïque, sans être qualifié d'antisémite ? J'espère que oui.

    Cette "polémique" aura eu au moins une vertu : démontrer que Cavada n'est vraiment qu'un fifrelin, menteur comme personne, et décidément de bien peu d'intérêt. Et de voir l'émergence d'une nouvelle technique sur @si : le buzz-teasing, ou comment entretenir, voire créer, un buzz avec un sujet non encore diffusé (à voir les commentaires dès avant la mise en ligne, ça fonctionne :-)).

  • Balthaz 22 février 2008 à 00:32
    disons que cavada est gâteux
    je préfèrerais que l'on parle du seul ultranationalisme politiquement correctement accepté, le sionisme et des dégâts qu'il a occasionné.
    je veux pouvoir dire que je suis antisioniste sans me faire traiter d'antisémite, ce que je ne suis pas.

  • fanfan 20 février 2008 à 22:44
    Pourquoi vous concentrer sur une ânerie sans conséquance au lieu d'évoquer l'instrumentalisation d'enfants morts en déportation au service de l'achat d'un vote communautaire largement hypothétique ? Entre les sarconneries et les réactions de Simone Veil, cela ferait un champ d'analyse intéressant.. Mais casse-gueule.

  • matti 20 février 2008 à 22:20
    Moi, François Cavada, il ne me fait plus rire depuis qu'il a quitté Charlie-Hebdo !

  • Madeleine SCHOTT 20 février 2008 à 22:01
    Difficulté pour voir la vidéo et même les.
    Je reviendrai plus tard.
    Madeleine

  • Julot Iglésias 20 février 2008 à 21:40

    Interrogé par @si, Jean-François Probst, [...] : « Certes, l'homme est un peu rude, sans doute en raison de ses origines serbes »...
    Manifestement, Jean-François Probst - malicieux? - fait allusion aux origines ethniques de votre invité sans trop de crainte de s'attirer les foudres du lobby serbe ...

  • Ignatius Reilly 20 février 2008 à 20:48
    le "vote juif" n'existe pas en soi.
    Par contre on peut mentallement schematiser les liens de cause à effet : on peut "ordonner" notre vision de l'univers (et plus précisément ici notre vision de l'electorat) grâce à la fabrication de concepts, et ainsi pouvoir prevoir que telle cause aura tel effet.
    Par exemple, on fabrique les concepts "jeune/vieux" ou "blanc/noir" ou "yeux verts/yeux marrons/yeux bleus" etc... qui ne sont rien d'autre que des séparation du Tout (ici l'electorat) en petites entités. Ainsi on pourra proposer une explication du monde, sa dynamique, ses interactions, etc... :
    reportage TF2 sur quelques voleurs de poules => peur des personnes agées => vote protectionniste à droite.

    mais on pourrait aussi donner une explication en d'autres termes (concepts):
    reportage TF2 sur quelques voleurs de poules => "repli sur soi" de l'opinion publique => vote protectionniste à droite.

    Bon l'exemple est mal choisi mais j'espere que vous comprendrez.

    ces concepts n'existent pas en soi, mais sont des "façons de voir les choses". Ces "théories peuvent être plus ou moins valables (validées ou pas par la pratique), mais de toutes façon comme toute notre vision du monde est ainsi, personne ne peut juger de la Véracité Ultime d'un point de vue : le monde est une illusion, la vérité est relative.

    Donc le vote juif n'existe pas en soi, c'est juste une façon de schematiser les choses, de classer les humains, ed mettre dans des cases.
    Il faut bien se rappeler que cette schematisation n'est qu'une astuce mentale pour comprendre et agir le mieux possible dans le monde, ce n'est pas la réalité, qui est infiniment plus complexe.

    Cette schematisation-là est elle valable? en partie oui. Dans quelle mesure? j'en sais rien.

  • justeaupassage 20 février 2008 à 16:14
    Bonsoir,

    Nous (collectif) en étions dès le départ !

    Vous pouvez même suivre nos échanges avec Guy BIRENBAUM depuis son blog.

    Notre note est celle-ci : http://gueulante.blog.20minutes.fr/archive/2008/02/17/cavada-la-video-le-vote-juif-et-le-reste.html

    Avec cette réunion à ASI, on constate qu'après hélas, on vient de mettre un homme plus bas que terre, JM CAVADA, pour une polémique qui ne valait rien dès le départ ou du moins pas envers JM CAVDA !

    Envers les propos de Yvan, l'écrivain journaliste, là oui il y a matière à débat, mais pas envers l'attitude de JM CAVADA.

    On (collectif) aime bien ASI mais parfaois cela tourne tout de même à de la prese papier de bas niveau.

    Sans rancume, on reste fidèles bien sûr.

    JD
    gueulante.fr

  • Fred Hurier 20 février 2008 à 15:05
    OULALA OULALA OULALA OULALA OULALA OULALA

    Des fois je plains notre cher DS !

    Sujet très intéressant, avec un bon angle d'attaque, mais que faire quand 100% des invités (en même temps ils n'étaient que deux) refusent de jouer le jeu (celui d'@si) et ne sont là que pour tirer la couverture à leurs pieds ???

    En résumé, ça donne quoi?

    Les propos de Stefanovitch lors de cette réunion étaient-ils déplacés?
    TOUT LE MONDE en convient (y compris le principal intéressé)

    Etaient-ils antisémites?
    NON, même si c'est dans l'intérêt de certaines "organisations" de le faire croire

    Qui est à l'origine de ce buzz?
    CAVADA en organisant et en s'appropriant cette séance de dédicaces à des fins politiques, STEFANOVITCH en se laissant naïvement instrumentaliser et manipuler (trop content de faire parler de lui), et SAHEL en déclenchant le buzz à des fins militantes (un journaliste qui prend la parole en plein reportage pour contredire l'auteur juste au moment où il critique l'homme politique de son bord, ça se passe de commentaires)

    Comment s'est propagé le buzz?
    Comme tous les buzz... ça commence par quelques relations, un écho au sein d'un milieu un peu plus actif que les autres, des mots choc, et un bon timing (la même séquence il y a quelques mois quand Sarkozy était bien haut dans les sondages ou quand Cavada n'avait pas encore retourné sa veste aurait fait un immense flop)

    Finalement, une seule question sous-jacente mais cruciale n'a pas réellement été détaillée : quelle faute a réellement commis Cavada, pourquoi tout ce buzz?
    La faute est (à mes yeux) uniquement politique. De plus, elle a le malheur (pour Cavada) de correspondre à une période de crise politique pour la droite. En effet, si ses propos avaient été clairement antisémites, Stefanovitch aurait été inquiété par la justice, et nous aurions pu reprocher à TOUS LES CITOYENS qui se trouvaient dans la salle de ne pas être intervenus (y compris Sahel, d'ailleurs, qui se vante de n'avori réagi que sur l'aspect de l'analyse peu rigoureuse des chiffres donnés par Stefanovitch). Alors qu'a donc fait Cavada en organisant cette réunion puis en se taisant quand les propos de Stefanovitch sont allés trop loin? Il les a tout simplement cautionnés, et s'est par conséquent affiché en homme de la division. Il s'est fait le porte-drapeau d'une droite qui divise, qui monte les communautés les unes contre les autres au nom d'idées peu glorieuses, et avec des arguments plus que "légers". Il s'est fait le porte-drapeau d'une droite qui louche (sans l'avouer) du coté de son extrémité la plus sale ("yen a marre de filer notre argent aux pédés et aux juifs"). Et ça, tant qu'il ne franchit pas pas ligne définie par le code pénal, un simple citoyen peut se le permettre, même un journaliste. Pas un candidat à des élections municipales qui se prétendait centriste il y a encore quelques semaines. IL A SIMPLEMENT COMMIS UNE ERREUR POLITIQUE et il l'a juste payée cash... maintenant il se débat pour ne pas perdre pied, pendant que ses détracteurs profitent de cet épisode pour le noyer.

    Vive la réactivité d'Internet !!!

  • Elsa Marie 20 février 2008 à 14:36
    moi . j'aime bien DELANOE . j'habite la campagne et ce que je connais de Paris depuis DELANOE me plaît ....
    c'est sur, j'ai peut etre pas grand chose à ramener dans ce débat, quand même très Parisiens mais enfin ...
    Pour ce qui est des municipales, chez nous, c'est plutôt la communauté des agriculteurs et des chasseurs ...
    et croyez moi, c'est peut etre pas des politicars professionnels, mais ya des trucs pas jolis jolis... et pas de camera , ni de debat ..
    à part le reportage bien caricatural pour remplir la case du 13h .sur TF1 !!

  • arnaud doerflinger 20 février 2008 à 13:54
    Ce qui est drôle c'est que l'arme inventée par les partis politiques (en première ligne le PS) ,qui consistait à traiter son interlocuteur d'antisémite pour le faire taire se retourne contre les tenants de ce système...Maintenan avec cette affaire,t sera traité d'antisémite toute personne qui n'appele pas à lyncher publiquement ce qui tiennent ces supposés propos!

  • François Descamps 20 février 2008 à 12:45
    A l’aune de ma petite expérience : adhérent d’asso et même j’ose le dire, président de certaines.. Ayant monté quelques dossiers de demandes de subventions, j’ai pu constater que celles si sont accordées le plus souvent, de manière partiale.
    Entre les associations qui se constituent uniquement pour recevoir des subventions et le lobbyng de certains auprès des décideurs municipaux pour leur petite assos, le saupoudrage et difficile à comprendre, mais les grosses miettes se retrouvent sur les comptes des associations dont on peut assez facilement trouver les connections entre les dirigeants d’icelles et les élus. Le constatant dans une ville de 100 000 habitants, je me dit que le problème doit être 25 fois pire à Paris.
    Sans vouloir entrer dans cette polémique parisienne je pense que Monsieur Stefanovitch aurait du, comme le suggère Monsieur Sahel aller au fond des choses (sur un ou deux exemples) et expliquer pourquoi telle asso recevait plus ou moins de subvention qu’une autre, car un maire accorde une subvention pour un projet parfaitement défini dans la demande de subvention, même si in fine cette subvention accordée sert à tout autre chose, les asso sont si peu controlées !…

  • Yanne 20 février 2008 à 12:40
    Très intéressant !
    Moi aussi, quand j'ai vu la "bande annonce" sur le site d'@SI hier, je m'étais dit : tempête dans un verre d'eau. Comment DS, après nous avoir fait cet excellent article sur l'enfumage, la fumigation et l'enfumement, tombe-t-il dans un piège aussi grossier ? Si je remplace le 12ème par le 14ème, l'école Loubavitch par l'école Diwan, et le vote juif par le vote breton, je ne vois pas trop où est le problème. Les 4*4 ? Mais à ma connaissance, les personnes de banlieue qui peuvent amener tous les jours leurs enfants dans des écoles dans le centre de Paris ne sont pas des pauvres. Ce sont donc forcément des gens riches qui déposent leurs enfants en voiture. Avec des 4*4.

    En même temps, que deux protagonistes importants d'une polémique frou frou acceptent la confrontation qui leur permette de s'expliquer, surtout qu'ils devaient bien s'en vouloir, avait un intérêt indéniable.
    Et effectivement, pour moi qui ne suis que peu au fait des buzz (j'ai connu ce mot chez @SI), je trouve qu'à travers ce qu'ils racontent, l'histoire de cette vidéo était très intéressante. Elle analyse bien les niveaux de la "sauce qui prend" dans ce four à micro-ondes qu'est le net, où tout surchauffe et finit par se répandre dans les médias traditionnels.

    Et j'ajoute que le fond de sauce n'a pas été analysé, parce que ce n'était pas le sujet, mais il me sembe qu'il est transparent : Jean Marie Cavada (C'est pas un prénom breton, ça ?) a trahi juste au mauvais moment : il quitte le Modem pour l'UMP au moment où le Super Imperator perd ses batailles dans les sondages. Cela fait de JMC un imbécile. Cela méritait bien que la meute médiatique fonde sur lui au moindre soupçon de faute et le mette en pièces. C'est le jeu politique et médiatique. Ce n'est ni nouveau ni plus immoral que d'habitude. Personne dans cette arène des jeux romains ne peut l'ignorer, surtout pas les spectateurs.

    In memoriam.

  • Luc 20 février 2008 à 12:04
    Parler de « vote juif », c'est considérer que les personnes de confession juive voteraient tous pareils, du fait même de leur choix religieux. On pourrait alors parler de « vote catholique », « vote musulman », etc.

    Aux Etats-Unis, voter en fonction de son appartenance à une communauté peut effectivement amener à faire reconnaître des droits supplémentaires à cette communauté car la politique américaine reconnaît et encourage le communautarisme.

    En France cependant, un groupe social ne peut obtenir des droits supplémentaires ce qui limite l'intérêt de voter en fonction de son appartenance religieuse.

    Le vote individuel n'est-il alors pas influencé par son appartenance religieuse ?

    Obligatoirement ! De la même manière que la classe sociale, la catégorie d'âge, le sexe, et d'autres appartenances catégorielles influencent nos choix de vie (et donc notre vote), le fait de croire ou non en Dieu et de se sentir proche d'un groupe religieux influence notre vote.

    Une étude du CEVIPOF étudie plus en détail le poids de la variable « religion » dans le vote politique. Le résultat : « toutes choses égales par ailleurs, en 2002, les électeurs qui se déclarent « sans religion » ont voté 6,3 fois plus souvent pour la gauche que les catholiques pratiquants réguliers ! On le constate, c’est, et de loin, l’écart le plus important creusé par les différentes variables envisagées – presque deux fois plus grand que l’effet du statut professionnel ! Non seulement donc la prise en compte des modalités de l’appartenance sociale n’a pas fait disparaître les écarts constatés par le simple croisement de la position religieuse et du vote, mais elle les a accrus. Si les catholiques pratiquants votent à droite, ce n’est donc pas parce qu’ils sont bourgeois, mais bien parce qu’ils sont catholiques pratiquants… »

    L'appartenance religieuse influence le choix politique comme d'autres appartenances sociales, mais on ne peut cependant pas parler de vote communautaire car d'une part, tous les membres d'une même religion ne votent pas dans le même sens politique et d'autre part voter pour sa communauté n'a pas de sens dans une démocratie non communautariste.

    http://raisoncritique.blogspot.com/

  • Laure12 20 février 2008 à 12:04
    Pour la première fois je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'analyse d'@si. J'ai bien entendu pour les 4x4 mais ce qui m'a le plus choquée c'est la belle phrase d'avant : "c'est le problème du vote juif et c'est le problème des subventions et ça c'est pire que Dachau parce que c'est donner des subventions à des gens qui ne les méritent pas."
    Alors le problème des subventions à Paris c'est pire que Dachau ?
    J'aurai bien aimé que monsieur Stefanovitch s'explique plus sur cette phrase que sur les 4x4.
    Laure du 46.

  • Balthaz 20 février 2008 à 11:35
    http://www.dailymotion.com/relevance/search/amis%2Bsarkozy/video/xjubp_les-amis-de-sarkozy_fun

    et pour voir Maya dans la deuxième vidéo

  • 2.G 20 février 2008 à 11:09
    Chers @sinautes,

    Le simple fait d"employer les mots "vote juif" dans la même phrase est dérangeant.
    Penser qu'il y a un vote juif, c'est également penser qu'il y un vote homosexuel.
    Penser qu'il y a un vote juif, c'est de penser qu'il y un vote noir, jaune...
    Penser qu'il y a un vote juif, si ce n'est pas de l'antisémitisme, c'est d'un maladresse son nom.
    Cela ressemble à du racisme et la loi le puni (encore).
    Et vouloir faire des conférences pour ne pas être entendu, Mr Stefanovitch est un concept nouveau.

  • mujer 20 février 2008 à 10:01
    Désolée, je n'ai pas encore pu voir en intégralité votre émission. Le préchargement trop long, j'ai fait chauffer la machine une fois puis les autres fois j'ai abdiqué. J'ai sagement rempli mon questionnaire concernant mes moyens de visionnage et j'attends du nouveau. Serais-je la seule à me plaindrre ? Dans ce cas prévenez-moi !


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.