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thierry bartholomeus
je suis très étonné qu' à la recherche des responsabilités , les marques, les consommateurs, les médias qui n en parlent pas , ................, qu on ait jamais évoqué la responsabilité des politiques.
Ce sont eux non qui ont mis en place un système économique qui met en compétition les travailleurs du bengladesh et les travailleurs en france ; comme si on faisait des match de foot avec une équipe de deux contre une autre équipe de 20 personnes . Et aprés s' étonner de ne jamais toucher un ballon ; et de discuter sur le poid du ballon , de la pression athmosphérique, de la hauteur du gazon .......... Ne vit on pas dans un monde où est clamé à longueur de pub que plus c est moins cher , plus c est mieux à acheter ..mais on veut du travail pour tous ; ce n ' est juste pas possible ....... Si les politiques mettaient en place une règle du jeux où ce qui arrive du bangladesh soit au même prix que ce qui est produit en france , la compétition serait peut être sur la qualité , les conditions de travail mais plus sur le travailler plus pour moins cher. Le smic pourrait redevenir un salaire décent .........
Pendant l entre deux guerre , un èxilé , travailleur au salaire plancher gagnait sa vie et la possibilité d acheter un terrain en périphérie de paris pour y construire sa maison . Le progrès , il est où ??????????? -
Pietro
emission bien pensante et dénuée de volonté de mettre fin à,ces scandales par les ouvriéres elles m^emes qui ne sont pas interrogées, les syndicats sont totalement absents ici et au Bangladesh. Ces deux ong font assez bcbg... voire dames patronesses -
valrie
Il y a une cause commune à l'exploitation de la main d'oeuvre des pays étrangers (tiers monde le plus souvent), et aux conditions de travail des vendeur(se)s, manutentionnaires etc... en France, c'est le néolibéralisme mondial et tous les mantras qui vont avec (baisse du coût du travail, délocalisation, concurrence etc...). Au final ce sont toujours les mêmes qui en bénéficient, certainement ni l'ouvrier, ni le manutentionnaire, ni le petit vendeur, ni l'acheteur.
Et tout ceci est organisé de main de maître. Ceux qui ont le pouvoir, sans forcément parler de l'argent, même s'il va souvent avec, s'entendent très bien entre eux, et ceci depuis toujours (lire "les évangélistes du marché" de Keith Dixon) pour faire leur cuisine et ils savent très bien y faire (contrôle des médias, de la télé etc...) afin que la masse des travailleurs ne trouve ou ne pense pas à y redire : du pain et des jeux, la recette est éternelle, même si une prise de conscience commence à se faire chez les peuples, grâce en particulier à la toile.
Pour reparler de l'émission, on y parle beaucoup du T-shirt ou de la petite fripe de chez Mango, Xsara ou autre, soi-disant à 1 ou 2 euros. Où avez-vous vu jouer ça ? C'est pas si bon marché ! Les smicards, chômeurs, ceux qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté (1 personne sur 10 actuellement) ne peuvent pas s'habiller chez ces marques, chez aucune marque d'ailleurs. -
mutenpiste
Encore de la macédoine de légumes avec plein de petits pois dedans …
Non c’est vrai, moi je peux plus les voir en peinture les petits pois, à force d’en avoir trop ingurgité sans doute, à force de les voir aux menus hebdomadaires des résidents en l’écurie asinienne. Pas seulement Insipides… ce n’eut été qu’un moindre mal … mais à force de m’être servis désormais ils me donnent systématiquement des coliques…
Ah oui, alors aujourd’hui on avait changé la présentation ce n’était plus le petit pois réjoui et replet mijoté du sénat entouré de ses disciples verts exigeant une garantie d’au moins 5 années de service à table mais de deux jeunes pois gourmettes exigeant d’être servies à des cuisines moins épicées…
C’est vrai qu’à l’heure où les médias se saisissaient d’un fait divers sanglant au Bangladesh, pays aux mœurs et usages particulièrement « hot » comparativement aux nôtres, rappelé par l’annonce quotidienne d’un nouveau décompte des cadavres retrouvés dans les éboulis d’un immeuble , il y avait condition favorable à une écoute plus sensible aux désirs de reconnaissance de ces deux spécialistes en macédoines allégées.
Mais là dressé par ces jeunes divas des jardins abusant de ces maux tragiques en terre inconnue devenus par le seul effet de leurs mots, inouïs et historiques pour nous couper l’appétit et toute envie d’épicer nos plats autrement qu’à la verveine ou à la camomille …. Je me cabrais et ruais en refus obstinés d’obéissance à leurs injonctions et ce, malgré leurs minois souriants jusque leurs naïvetés désarmantes… (ou déjà rouées ?) à vouloir me faire brouter aussi des algues bretonnes poussant en baie de St Jammes…
Dans mon espèce, j’appartiens à une race de teigneux qui ne se laisse pas facilement amadouer quand il a une idée en tête..
Alors le Bangladesh, ses mœurs et ses coutumes, je ne les rejette pas à l’occasion d’un dernier et spectaculaire sang versé pour avoir palais plus propre, j’ai à l’esprit les efforts des survivants aux flots mortels aux guerres et aux famines qui ont tué en 40 ans millions des leurs et dont l’amélioration des existences en leurs terres surpeuplées et ingrates passe aujourd’hui entre autres par une industrie du textile taillée « Monde ».
N’assiste-t-on pas là, à une autre échelle et face à d’autres concurrences à l’industrialisation d’un pays en développement comme ce fut le cas ici avec d’autres réalités au cours du XIXè siècle entraînant alors dans son progrès de nouvelles prises de conscience et de progrès sociaux.
Que peuvent donc bien produire au Bangladesh les bons sentiments de nos 2 charmantes petites pois usant d’une nouvelle médiatisée pour faire le buzz et exprimer leurs injonctions funestes à jouer à notre mesure, là bas et dès maintenant, leurs partitions productives?
Une prise de conscience en France de l’histoire moderne et tragique du Bangladesh, de ses réalités démographiques et économiques, de ses progrès, de ses retards ? Non ce n’est pas l’objet ici, on se sert d’un fait divers inoüi et historique, la messe est dite…
Un projet ambitieux pour développer d’autres alternatives économiques mieux valorisées à leur avantage dans le commerce international. Non ce n’est pas l’objet ici, nous on veut sanctionner les donneurs d’ordre ici…
Pour habiller d’autres pays plus affamés encore en déshabillant le Bangladesh ?
Non, je ne braille à tue-tête au spectacle de mes 2 rombières en mal de célébrité ou de sens à leur existence que parce que je n’y ai entendu que leurs mièvreries , leurs mots sans conscience plein de ces bonnes intentions avec lesquels on n’en finit pas de repaver les enfers terrestres. -
boy meet girl
à ce propos
http://reveilmutin.wordpress.com/2013/04/01/pasolini-le-vrai-fascisme-cest-le-pouvoir-de-cette-societe-de-consommation/
Pier Paolo Pasolini : « Moi, je crois que le véritable fascisme, c’est ce que les sociologues ont appelé, de façon trop débonnaire, « la société de consommation ». Une définition à l’air inoffensif, purement indicative. Et bien non ! Si on observe la réalité avec attention, mais surtout si on est capable de lire à l’intérieur des objets, des paysages, dans l’urbanisme, et, surtout, à l’intérieur de l’homme, on voit que les résultats de cette société de consommation sans soucis, sont les résultats d’une dictature, d’un véritable fascisme. " -
Joan38
Voilà comment des consommateurs s'intéressent aux salariés :
« Dignité au rabais, ou le délicieux cadavre du Virgin Megastore » -
Thomas Fayolle
Tiens je regarde Canal plus en ce moment, la nouvelle édition, et il y a (enfin si j'ose dire) un sujet (relativement long d'ailleurs) sur le sujet. -
Coline E
Bonjour,
Pour rebondir sur le fait qu'aucun magazine féminin n'en a parlé, je voulais juste souligner que certains blogs de mode l'ont fait, comme Géraldine Dormoy sur Café Mode.
L'article est ici: http://blogs.lexpress.fr/styles/cafe-mode/2013/05/12/doit-on-continuer-dacheter-du-made-in-bangladesh/
Je pense que c'est interessant de le souligner, car les blogs de mode sont en train de remplacer les magazines féminins en matière de prescription chez les lectrices (surtout les plus jeunes).
A quand une émission sur les blogs de mode d'ailleurs? :) -
JACQUES CATEL
Très bonne émission. Il manque :
- les conditions de transport, avec la déréglementation des transports (bateaux, avion et camions).
- l'avis des économistes libéraux que l'on entend à longueur d'émissions sur les autres plateaux télés ou radios.
Pour terminer, ce qui est dit dans votre émission était déjà dans le livre de Pierre Pierrard "La vie ouvrière à Lille sous le second empire", ainsi que dans la chanson d'Alexandre Desrousseaux "Le p'tit quinquin" qui décrit les conditions de vie d'une dentellière à Lille à la fin du XIXème siècle! -
Olivier Deleauvive B.
Le bilan humain s'alourdit de jour en jour. Nous en sommes à plus de mille morts depuis l'effondrement de cet immeuble.
Comme dirait Coluche : "hé ben, Gla- dèche!"
Plus sérieusement, après que la fourrure naturelle ait focalisé toute l'attention des défenseurs des animaux, on a l'impression que la crise justifie cette autre forme d'infraction aiguë aux principes éthiques : La multiplication d'enseignes de vêtements, notamment pour femme fabriqués dans des conditions déplorables. Tout ceci sans que l'opinion ne s'en émeuve plus.
Ces pseudo labels mis en place à la hâte par les marques fleurent bon l'éco-responsabilité de pacotille. -
boy meet girl
et pour finir :
Tweets de : Quitterie ?@Quitt3rie 28 Avr
" Merci @pierrehaski Y aura-t'il une enquête demain ds Rue89 dans un magasin @Mango pour demander aux clientes et aux vendeuses leur avis ? "
La vendeuse, Madame, survit à peine en France avec son salaire et vous imaginez combien elle est triste en apprenant cette nouvelle mais elle ne peut pas perdre son job en dénonçant son employeur sur son lieu de travail le jour qui suit ce drame
Croyez-vous Madame que c'est une façon intelligente et respectueuse d interpeller le personnel d un point de vente Mango ?
Je me demande qu elles sont vos conditions matérielle de vie ?
La vendeuse Mango ne soutient pas les façons d agir de son employeur elle le subit bien souvent également et n'est pas responsable de ce désastre humain ! Elle ne s enrichie pas sur la misère du Bangladesh mais elle tente de survivre en France avec son smic de chez Mango !!! -
boy meet girl
je travaille dans une succursale d'une grande marque de pret à porter française,
prix de revient moyen net par pièce 20 euros prix de vente allant de 50 euros à 400 euros,
une masse salariale payée au smic, souvent en CDD, un manque de personnel permanent restriction d heures hebdomadaire souvent 3 vendeuses sur une surface de vente de 150m2 avec 1500 visiteurs le samedi, une manutention à un rythme souvent difficile à tenir, la pression du chiffre, etc etc etc
alors j imagine que les conditions des travailleurs en Chine ou en Inde où sont fabriqués nos collections ne sont pas vraiment la priorité des actionnaires du groupe...
et quand mes clientes me regardent d un œil noir et agressif quand je leur réponds que la jolie robe qu elles essaient, est fabriquée en Chine je souris intérieurement.... elles sont à peine aimables voir agressives, exigeantes, se plaignent au siège quand on ne court pas les servir au bout de deux minutes, viennent à 19h le samedi pour faire leur essayage etc etc mais prennent l air horrifié quand elles connaissent le lieux de fabrication de la robe!
Ah, plus facile d être émue par les conditions de fabrications sur lesquelles elles ne peuvent pas agir que d être agréable avec la vendeuse au smic, épuisée, qui supporte une pression de folie, une hiérarchie exigeante, qui ne peut pas louer un appart correct et faire vivre ses enfants avec 1000 euros par mois plus heures sup. pas payées surtout après 19h quand cette même cliente choquée par le made in RPC fait durer le plaisir en cabine après 19h au lieu de nous laisser fermer le magasin, faire le ménage et enfin rentrer à la maison pas plus tôt souvent que 20h 30 ....le manque de compassion de certaines clientes pour la vendeuse mais son air affligé en lisant l étiquette made in india me semble parfois risible
Quitterie Delmas n est pas vraiment connue, me semble-t- il, pour la défense des conditions salariales en France mais c est très courageux de sa part d interpeller les groupes de prêt à porter sur Facebook. Mais fait-elle partie de ces clientes qui nous posent cinquante questions ( à 19h ) sur le mode de fabrication de notre marque en nous regardant avec mépris comme si nous étions responsables de ces horreurs en Asie ? J espere que non !!!
très bonne émission comme d habitude -
Stéphane A.
Quelle que soit la prestation de Quitterie de Villepin lors de l'émission, la présentation qu'en fait ASI manque de précision. En effet, elle n'est pas que "blogueuse" et "citoyenne", elle est aussi gérante de la société DEUX MILLE VINGT SEPT (dont il n'existe quasiment aucune trace) et "Conseil en stratégie et communication" (il suffit de lire sa page Viadeo). Il m'a fallu quelques secondes pour trouver ces informations... -
pfafenbak
En lien avec le sujet, un court article. Qu'en pensez-vous ?
http://blog.francetvinfo.fr/classe-eco/2013/05/05/la-vraie-tragedie-du-bangladesh.html
Un point de vue assez liberal (au sens économique), mais des infos très intéressantes sur l'origine de l'industrie textile du Bangladesh. -
emilie bouyer
Je viens de voir l'émission.Formidable. J'ai un message pour "monsieur Zadig et Voltaire" C'est Victor Hugo qui parle :"C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches "
Déjà,le nom Z et V ...Le tunisien 4,70 vendu 80...Zadig de Voltaire s'en serait offusqué. -
Lotophage
Il a manqué un invité sur ce plateau, un défenseur des marques : Alexandre Delaigue !!!!!!!!! lui, il nous aurait expliqué que les ouvrières du Bangladesh ne sont pas exploitées et que les marges des marques ne sont pas si grandes. -
MAFALDA79
Bravo, pour une fois plus de femmes que d'hommes sur le plateau
Mais il est question de chiffons !
et la dernière fois c'était quand ? autour du 8 mars ???
Par ailleurs, ce sujet ne m'a pas apporté grand chose de nouveau
sauf :
Pas de droit de douane quand on importe du Bengladesh (sujet qui n'est ni repris ni discuté)
pouvez vous me dire pourquoi il n'y a pas de droit de douane
peut-on considérer cela comme de la concurrence déloyale par rapport à la production en France
comment cela entre dans le budget de la France : aide aux pays en voie de développement ? ou quoi ?
Anne Marie -
las truitas
Un documentaire de Michaël Sztanke , Asie le réveil ouvrier " a été diffusé sur france O il y a deux mois.
http://www.dailymotion.com/video/xxcs4v_asie-le-reveil-des-ouvriers_webcam#.UYbp-4ImqYE
Le dernier quart d'heure évoque le combat syndical des ouvriers du textile au bangladesh. -
Irfan
Le choix du sujet était vraiment bon, mais le choix d'inviter Quitterie de Villepin est assez étonnant. Cette jeune femme, héritière, qui vit bien, est scandalisée par un évènement grave. Elle pianote sur son ordinateur, fait quelque chose d'utile, effectivement, en relais d'ONG, de réseaux d'ONG (on pense à Amensty, Avaaz, pour les plus grandes), et ça parle à des journalistes français parce qu'elle a été formée dans la même école que beaucoup d'entre eux, parce qu'elle a été politique, et parce qu'elle est la nièce d'un homme politique qui a été important - et manifestement, elle a pu profiter de son entremise par moments dans sa carrière de "citoyenne".
Votre transparence quant aux refus d'invitation vous honore, mais je suis très étonné de n'avoir entendu mentionner aucun syndicat. Ils devraient être en pointe sur ce sujet, et je crois que beaucoup de leurs militants le sont... alors, une CGT spécialiste du droit du travail, qui milite contre cette forme de mondialisation par le bas, par l'exploitation toujours plus dure de celui qui est toujours plus faible (i.e. on délocalise de Chine parce qu'il commence à y avoir des demandes salariales élevées, des mouvements sociaux, et on va au Bangladesh, au Vietnam, un peu au Laos et en Birmanie - mais faut faire attention parce que là, les gens savent que les régimes sont vraiment pas bien), plutôt qu'une de Villepin, ça me semblait bien indiqué.
J'ai eu l'impression que Mme de Villepin donnait un point de vue de nantie découvrant la misère (un accident inédit ? vraiment ? hé bien non, c'est une litanie qui existe depuis au moins le XVIIIe siècle, avec plus ou moins d'intensité selon les crises, et donc les choix et les luttes qui en résultent. Le côté "il faut prévenir les mannequins, qui ont un cœur" est assez insupportable, cela relève d'une logique misérabiliste, de dame patronnesse. Alors oui, ça part d'une bonne attention, mais plutôt qu'attendre de millionnaires de 20 ans qu'elles deviennent des militantes, il faudrait parler de leurs salaires, de leur médiatisation... c'est cela qu'on attend sur @si !
"On est tous dans le même monde"... même en France, entre ceux qui vivent avec 600€/mois et ceux qui vendent des tableaux et des livres rares pour des dizaines de milliers d'euros, est-on vraiment dans le même monde, Mme de Villepin ? Tout le monde a-t-il accès au net ? A-t-il le temps de venir cliquer sur les pages des mannequins ?
Peut-être aussi une invitation aux journalistes de Fakir, aux anciens du Plan B, qui déploraient la quasi absence de journalisme social dans tous les médias français. Car voilà un des angles morts de l'émission : on a peu parlé de ce drame et de ses ramifications, pour de multiples raisons (le monde indien est totalement ignoré de la majorité des médias français ; les marques jouent un rôle de pression par les régies publicitaires ; ) mais on ne parle pas non plus des accidents du travail en France, on parle trop peu de la paupérisation des salariés, des conditions qui s'aggravent. C'est un niveau extrêmement moins dramatique que ce qui se passe au Bangladesh et ailleurs, mais si les médias ne parlent pas des drames nationaux, malgré leur tropisme hexagonal, comment voulez-vous qu'ils parlent de pays exotiques dont les Français ignorent presque tout ?
Enfin, chose qui manque énormément pour cette émission sur @si : une analyse des médias étrangers. Notre réaction de petit consommateur français, c'est bien intéressant, mais connaître la couverture bengalie sur ce sujet, la couverture en Inde, au Pakistan ; celle qui a eu lieu aux EUA (que je connais un peu mieux), voilà qui aurait été en plein dans votre vocation. Certes, c'est très compliqué, il y a parfois une barrière de la langue, mais beaucoup de journaux importants du monde indien sont édités en anglais...
Merci donc pour le sujet de l'émission, pour Dorothée Kellou qui est intéressante, claire, et correspond bien au traitement qu'@si a de sujets de ce type, mais je pense que vous avez mal préparé l'émission, peut-être vous manquait-il des outils, peut-être était-ce un sujet trop ambitieux pour une équipe restreinte numériquement.
"On est sur internet", Daniel : faites des appels à de vrais spécialistes par internet (des géographes du Bangladesh par exemple !), ou prenez une semaine de recul en plus pour que les choses permettent une réelle analyse. Mais là, des moments agacent, et d'autres moments laissent sur notre faim. -
FORTUNA
Il y a donc des fringues propres et des fringues sales.
Mais n' est ce pas la même chose pour tout ?
Quand on veut acheter des fraises, n' a t on pas le choix entre de l' espagnole à 4 euro le kilo... et la "gariguette"... à 14 euros ?
On vis dans une société à deux vitesses : les pauvres ont l' obligation de se nourrir de produits sales, produits par des esclaves, plus pauvres encore qu' eux (la main d' oeuvre des serres espagnole est illégale et surexploitée).
Les super riches se gavent sur le dos de la misère : celle qui produit... mais aussi celle qui consomme.