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SimonF
Le 7 septembre 2023, Arnaud Rousseau en tête-à-tête avec Emmanuel Macron pendant 1 heure 30.
AR : Dit Manu, ça commence à être difficile avec toutes ces règles stupides, si on peut plus utiliser les pesticides, récupérer l’eau dans nos bassines ou rouler avec le GNR on va crever. Ça n’a plus de sens, on va pouvoir enfin travailler ou pas ?
EM : M’en parle pas, entre l’Europe et les écolo-terroristes je ne sais plus comment faire.
AR : Tu peux vraiment rien faire ? Moi je ne garantis pas que je pourrai tenir mes troupes encore très longtemps.
EM : Bon, tu sais, je vais réfléchir et je te rappelle.
AR : OK, mais ne tarde pas trop quand même.
…
Décembre 2023
EM : Allô, Arnaud, c’est toi ? Comme promis, je te rappelle.
AR : Super, t’as une bonne nouvelle ?
EM : Pas encore, mais j’ai un plan. Là, je suis avec Fesneau, Darmanin et Attal, on s’est mis d’accord. En nous y mettant tous les cinq on va pouvoir faire avancer le schmilblick, mais il va falloir mouiller la chemise.
AR : C’est-à-dire ?
EM : Oh, c’est simple, tu dis à tes gars de bloquer les routes, nous de notre côté on vous laisse faire. Après une semaine ou deux, on cède à vos revendications. C’est tout bénéf pour tout l’monde, vous vous obtenez ce que vous demandez, nous on peut bloquer toutes ces règles, transition écolo et tout le bastringue sans qu’on y soit pour rien. Ni vu ni connu, on annule tout et on repart sur de meilleures bases.
AR : OK, je crois qu’on peut faire ça. Mais faut vous engager à nous foutre la paix, pas de lacrymo, pas de blessés. On est pas des gilets jaunes, non plus. C’est pas évident, comment vous allez faire ?
GD : On dira qu’on ne répond pas à la misère par la répression, ou quelque chose comme ça.
EM : Mouais … Faudra voir … Sinon, pas de problème, tu peux nous faire confiance. Pour faire vrai, tu nous mettra un peu sous pression.
AR : Ça, je sais faire. Du genre : « Méfiez-vous, je ne suis pas sûr de pouvoir contenir les troupes ». À ce propos, y’aura peut-être quelques excès, justement. Vous connaissez les gars, ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère. Surtout avec ceux de la Coordination Rurale mais c’est un peu comme vous avec le RN, on arrive à s’entendre. Reste la Confédération paysanne, mais bon eux, ils comptent pas. On commence quand ? Parce que faudrait pas trop tarder. Avec l’hiver on va bientôt avoir un créneau, mais il faudrait pas trop traîner.
EM : OK, on dit pour le début de l’année, le temps de vous organiser. On en aura fini avec la loi immigration, ça permettra de « tourner la page » et de passer à autre chose. Tout devrait être bouclé pour le salon de l’agriculture où je pourrai faire le tour du cul des vaches tranquille.
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komp
Dommage que Véronique Lucas n'apparaisse pas sur la l'arrêt sur image en fond de titre de l'émission car c'est quand même elle qui donne le plus d'éléments factuels variés en mesure d'éclaircir le débat...
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cécile clozel
« On a l’impression que cette question des contraintes réglementaires … vient cacher le fond du problème... »
La contestation des normes et des contrôles n’est pas seulement là pour cacher le fond du problème, c’est à dire le modèle actuel de production agro-industrielle : car la bureaucratie fait partie de ce système*, du « fond du problème » et sa contestation est une mise en cause d’un des piliers du capitalisme financier dictatorial.
La bureaucratie, l’inflation des normes et des contrôles, de la paperasse, des lois et des réglementations, des subventions/perfusion dominées par les déclarations, état-des-lieux, évaluations, tutti quanti, et surtout l’augmentation constante et irrépressible, depuis des dizaines d’années, de cette féodalité des bureaucrates largement soumis aux pouvoirs politiques et aux lobbies, bref, la bureaucratie est au cœur de ce système économique — et pas seulement dans l’agriculture — et de notre oppression.
La colère est présente partout à son égard. Mais si facile à biaiser, quand l’analyse de fond de « qui elle sert et à quoi » n’est pas faite !… Du coup, là, ce sont les normes environnementales qui vont morfler. Mais nos dirigeants ne vont pas « jeter le bébé avec l’eau du bain », il vont la garder précieusement, l’eau du bain bureaucratique. Il ne jetteront que le bébé.
Monde de … non non, je vais pas dire monde de merde, les engrais naturels sont précieux. Monde de NPK !!!
*décidément, David Graeber nous a laissé quelques armes conceptuelles...
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Max Médio
Darmanin n'a pas osé dire "je m'étouffe" à propos des violences agricolères.
Se rappeler que les forces de maintien de l'ordre ont réclamé et ont été carapaçonnées après avoir été sérieusement secouées par la manifestation de pêcheurs le 4 février 1994 à Rennes.
Ce souvenir explique la réticence du ministre à envoyer ses effectifs au casse pipes.
Il n'a pas envie de voir ses troupes se faire défoncer ; au risque d'avoir les syndicats de policiers et les gendarmes sur le dos. Déjà qu'ils ne sont pas contents du tout de s'être fait sucrer tous leurs congés.
Hors de question de prendre le risque que des gaulois réfractaires en tracteurs lui démolissent ses policier pour les J.O.
Il faut calmer l'angoisse présidentielle, le manque d'effectif, pour sa grande fête de l'été...
Les syndicats agricoles peuvent donc tout demander et faire ce qu'ils veulent.
Ils ont un boulevard, les autoroutes et le périph' en plus, avec la bénédiction de Macron et d'Attal.
Dixit Darmanin sur TF1.
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Traroth
La FNSEA ne fait que courir derrière un mouvement qui se fait largement contre elle, et pourtant, les médias des milliardaires font comme si elle était l'alpha et l'oméga de la défense des agriculteurs. Le gouffre entre le récit médiatique et la réalité ne cesse de s'élargir !
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Bartabac
Ce qu'il y a de bien et apparemment de nécessaire à la comprenote des macronards , c'est qu'il peut y avoir un maintien de l'ordre sans éborgnés , sans fractures du crane , sans mâchoires et sans dents explosées , sans morts ....Merci les agriculteurs !
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grrrz
perso les gros fafs de la CR; qui veulent se payer de l'écolo et du gauchiste (et de l'inspecteur du travail); qui pensent que le réchauffement climatique "c'est des conneries"; et à qui le pouvoir déroule le tapis rouge; eux ils me font très peur.
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marco negre
un rappel :
➡️ 23 août 1990 : à Thouars, dans les Deux-Sèvres, plus de 200 moutons sont brûlés vifs dans un camion anglais, lors d’une manifestation de la FNSEA. Ailleurs, des affrontements violents ont lieu entre les agriculteurs et les forces de l’ordre, surtout dans les départements de l’Ouest. Aucun scandale, aucune condamnation.
➡️ 20 septembre 2013 : dans la Nièvre, une manifestation de la FNSEA est organisée à Saint-Brisson. Les agriculteurs dévastent le parc naturel régional. Une cinquantaine de tracteurs et des remorques remplies de déchets saccagent la maison du Parc et ses abords, jardin et étang compris. Les agriculteurs donnent des coups de bâton aux agents présents. Quelques lignes dans la presse locale.
➡️ Septembre 2014 : des membres de la FNSEA incendient le centre des impôts de Morlaix, sans que la police n’intervienne. Le responsable du syndicat dans le Finistère tire alors «son coup de chapeau» aux auteurs de l’incendie dans la presse.
➡️ Octobre 2014 : à Nevers, une manifestation de la FNSEA dévaste le centre-ville, en particulier la préfecture, qui reçoit des tonnes de pneus et de lisier. Des affrontements violents ont lieu avec la police.
➡️ Novembre 2014 : à Valence, le centre-ville est dévasté par la FNSEA qui déverse des tonnes de lisier partout et détruit du mobilier urbain. La mairie évalue les dégâts à 70.000 €. À Châlons-en-Champagne, la FNSEA réclame la suspension des contrôles de l’inspection du travail et brûle une voiture des inspecteurs en pleine rue devant leurs locaux. Des fonctionnaires sont menacés : «contrôleurs, vous êtes prévenus». Au même moment à Nantes, la FNSEA dégrade l’esplanade de la préfecture de Nantes, et torture des ragondins pendants des heures, avant d’en tuer plusieurs sous l’œil des forces de l’ordre et des journalistes.
➡️ Juillet 2015 : une mobilisation d’éleveurs de la FNSEA conduit à d’importantes violences à Rennes et Quimper. Des supermarchés sont saccagés, des voitures de police renversées. Les dégâts sont énormes.
➡️ Août 2015 : à Grenoble des dizaines d’agriculteurs, dont le président de la FNSEA locale, attaquent la Direction départementale des territoires : incendie, vitres brisées, lisier… Les CRS ne procèdent à aucune arrestation. La presse locale ne parle ni de «grogne» ni de «casseurs» mais de «raz-le-bol».
➡️ Décembre 2015 : la FNSEA se mobilise devant le Conseil d’État à Paris. Du lisier est déversé, un feu allumé. Cette fois-ci, il y a des arrestations, mais les personnes arrêtées sont relâchées le jour même. «Cette réponse policière semble démesurée, injustifiée et très sévère en comparaison d’autres actions plus violentes et haineuses vis-à-vis de la République» s’emporte la FNSEA.
➡️ Février 2016 : à Paris, des membres de la FNSEA saccagent le stand du ministère de l’Agriculture lors du salon du même nom. Le mobilier est détruit, des vitres sont brisées. Le syndicat revendique : «notre action est légitime».
➡️ Mars 2021 : opération nocturne dans les quatre sous-préfectures du Puy-de-Dôme. Dégradations, lisier déversé, envahissement des bâtiments. Les casseurs sont ensuite gentiment reçus par les autorités.
➡️ Février 2022 : à Castres, opération «coup de poing» de la FNSEA dans les supermarchés. Des ballots de paille sont enflammés devant un Leclerc avant que les manifestants ne remplissent des caddies de nourriture et partent sans payer. La direction laisse faire. Lorsque des manifestations sociales ont tenté le même type d’action ces dernières années pour redistribuer les denrées, la violence policière, les arrestations et de lourdes poursuites ont été systématiques.
à compléter par Darmalin, le patriote compréhensif
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dudu
La différence de "traitement policier" entre agris, emmenés par la Fnsea/Cr (celle-ci proche voire très très proche du RN), et les gilets jaunes et autres manifestants environnementaux est quand même frappante (si j'ose dire) !
Le Temps de Genève se demande d'ailleurs pourquoi les réclamants n'ont pas été plutôt à Bruxelles :
Ne serait-ce pas surtout pour obtenir en France des avantages fiscaux profitant aux grosses sociétés ?
N'est_ce pas Arnaud ?
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komp
L'émission est conçue à l'envers. Le mouvement n’est pas « les agriculteurs ne sont pas contents !? Ah non c’est juste l’extrême-droite » comme la narration de votre émission semble le sous-entendre. Le point de départ de la mobilisation pour moi vient de l'extrême droite, forte de ses électeurs et de sympathisants glanés sans doute grâce aux réseaux sociaux de la fachosphère, c'est elle qui était à la manoeuvre dans mon coin de France bien avant que la FNSEA puis la Conf ne rejoigne le mouvement pour fort heureusement ne pas lui laisser toute la place.
Le discours de Darmanin faisant mention du « patriotisme » est là pour contenir la colère, une sorte de « Je vous aiaiai compris ». Il y a une sorte de « bon sens » dans le choix de ce mot car effectivement cette colère est nourrie très fortement par le sentiment d’injustice de savoir mis sur le marché français des denrées agricoles et agro-alimentaires produites dans des conditions interdites en France. Mais il y a également de la « manœuvre politicienne » dans le choix de ce terme, en ce qu’il est tellement connoté d’extrême-droite qu’il force tous les acteurs du monde agricole qui ne sont pas de ce bord à se désolidariser du mouvement. Décrire et décrier une situation de concurrence déloyale n’est pas égal à promouvoir la préférence nationale.
Dans la même veine, il y a ce qu’on pourrait appeler la « métonymie glyphosate » dont il n’est pas question dans l’émission mais que l’on voit refleurir à chaque mouvement agricole. Par simplicité et sans doute un peu aussi ignorance, ce produit a été choisi comme THE pesticide. Les débats sur les projets de son interdiction puis de sa reconduction occupent régulièrement les antennes et les fils d’actualités, il fait image. Or il s’agit d’un herbicide dont l’utilisation ne peut pas se confondre avec celle d’un fongicide ou d’un insecticide. Les demandes faites de réautorisation d’utilisation de produits phytosanitaires efficaces contre des moucherons ou des spores n’ont rien à voir avec le glyphosate. Il s’agit de pouvoir « produire » des fruits sans vers et qui ne pourrissent pas avant la récolte. Mais comment formuler une telle demande complètement anachronique dans un contexte où chimie ne rime qu’avec destruction et où il est plus facile à une cerise turque de devenir française qu’à un réfugié Syrien d’obtenir le droit d’asile, où il est plus facile pour une olive marocaine de faire de l’huile d’olive AOP qu’à un travailleur Marocain d’obtenir un titre de travail ?
Une chose qui n'a pas été abordée non plus, c'est le lien étroit qui existe entre la production, le mode de production et le territoire. On ne peut pas transitionner partout pareil. Les besoins ne sont pas les mêmes partout. Et puis est il besoin de le rappeler il ne suffit pas qu'une mesure soit dite agro-écologique pour qu'elle le soit.
Il y a un paradoxe, un angle mort je ne sais pas comment le nommer dans le discours qui critique le monde agricole. Il me semble qu’on ne peut pas à la fois dénoncer le fait qu'a été mis en place un modèle dominant fondé sur une idéologie pour qu'une autre domination fondée sur une autre idéologie vienne faire exactement la même chose à long terme. Il est nécessaire que plusieurs modes de production, marchés, discours coexistent. Si un écosystème est plus résilient du fait de sa diversité biologique, un anthroposystème aussi. Malgré votre effort d'exhaustivité vous avez oublié tellement de monde dans votre liste d'acteurs du monde paysan : les retraites de merde, les parents retraités qui bossent gratos, les aides-familiaux, les formes sociétaires, les arboriculteurs, les fermes familiales, la transformation fermière, la question de la vente directe, les exploitations « moyennes »... Nous sommes un tel bassin de biodiversité comme vous l’avez rappelé que c'est vraiment douloureux de toujours en conclure que nous sommes soit des imbéciles manipulés, formatés malgré nous, inconscients petits soldats d’un projet qui nous dépasse soit son opposé politique, résistant, dur à la tâche et luttant seul contre Goliath ! En fait ne vous en déplaise nous sommes comme vous !
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poisson
Comme souvent décrypter les médias revient à décrypter le sujet abordé, pour qu'on voit nettement ce qui est éludé. C'est dit en conclusion de l'émission!
L'agriculteur qui doit remplir un formulaire a-t-il conscience de toutes les normes du même ordre que subissent toutes un tas d'autres corporations?
L'agriculteur qui se plaint de ne pas pouvoir planter des haies tellement il y a de règlements à prendre en compte, alors que tout le monde a bien vu que "ces paysagistes" du territoire ont tout arraché ces 30 dernières années.
Quant à se lever tôt, tu parles d'une contestation!
Celui qui ne gagne pas sa vie, augmentation du carburant du tracteur, ne voit-t-il pas que tout le monde en est là?
Agriculteurs et gilets jaunes, même combat, unissez-vous!
Ah? Quoi? C'est pas possible? Pourquoi?
Parce que ils sont en colère et que ça n'a rien de commun avec être contestataire?
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pompon
Le titre m'interpelle! Y a-t-il beaucoup de professions qui peuvent être incarnées par un seul individu?
Que les "gros" se cachent derrière les "petits" quand il s'agit de revendiquer est un grand classique. Et la plupart des médias savent choisir leurs témoins.
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Bartabac
flash info "Un pompier , un policier blessé , le préfet condamne !"
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Bartabac
La fnsea va encore gagner , le gouvernement n'a aucuns pouvoir sur les productions des pays qui font partie des libres échanges , donc , ils vont baisser les normes en europe .Comme l'avait souhaité macron il y a peu , c'est dingue ce timing et cette convergence des grands esprits des industriels de l'agricole et des neolibéraux . Par contre je n'ai toujours pas entendu quelqu'un dire en france qu'il veut manger de la merde . Mais bon , je ne suis pas omniscient .et y'a bien des lèches culs ...Juste comme ça ,vous comptez augmenter le financement des hopitaux ? Parce qu'il va avoir foule du coup et avec des maladies qu'on n'a pas encore inventées ...Après ,avec la retraite a 64 ans ...Vous etes sur qu'il n'y a pas de stat ?..
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Pietro
intéressant et bien mis en perspectives. Touts les hypocrisies sont montrées dans un monde agricole enrégimenté par les gros capitalistes de la campagne
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Lorie
Emission intéressante, je dirais même passionnante. Les invités ont très bien disséqué tous les problèmes,m'ont appris certaines choses. Mais pas un seul paysan sur le plateau, sont-ils trop bêtes pour participer à cette émission d'intellectuels parisianistes?
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Templerizière
Une question sur la médiatisation de ce mouvement.
On voit de nombreux parallèles qui sont fait avec le mouvement des Gilets Jaunes, mais pourtant il y a un aspect dans sa médiatisation qui pose question quand on la compare avec celle des Gilets Jaunes.
Lors du mouvement des Gilets Jaunes, on a vu apparaître un nombre considérable de tribunes, articles, analyses etc. pour mettre en lumière/pointer du doigt/s'étonner/s'indigner (rayer la mention inutile) du "manque de soutien" des banlieues populaires envers le mouvement des Gilets Jaunes.
Par exemple, on n'a jamais mis en lumière l'absence de soutien du monde agricole envers le mouvement des gilets jaunes (alors qu'on souligne par ailleurs aujourd'hui les similitudes dans les difficultés qu'ils rencontrent).
De même, sur le mouvement actuel, on demande très peu (à ma connaissance) leur avis aux personnes qui s'étaient mobilisées au moment des Gilets Jaunes de ce qu'ils pensent de ce mouvement, s'ils le soutiennent ou non (et accessoirement de ce qu'ils pensent de la différence de traitement en terme de répression).
Pourtant, que ce soit géographiquement, ou en terme de revendications, ces questions me paraîtraient autrement plus légitimes et intéressantes à poser que le questionnement inquisiteur que les banlieues populaires ont subi à l'époque.
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Pakal
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Odyssée
Merci à ASI de tenir ses promesses...
Merci pour cette émission qui décortique les images, les discours, les agendas, les sous-textes.
Merci pour ce recul, pour les invités avisés.
J'ose dire qu'ASI me semble être un des rares vrais "média", pas juste une photographie de l'instant, déformée, trop focalisée, insuffisante pour comprendre.
Alors oui, mon ego est flatté d'être abonné à ASI, et il vous remercie pour le boulot !
(pour les bouleaux en voie de dépérissement, on en reparlera, en effet.......)