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evemarie
J'ai été formé a l'AFPA en programmation il y a 23 ans , et c'était une excellente formation niveau de sortie BTS et pour y entrer un test psychotechnique . Voila comment ont peu former des gens qui sont sans bac a un bon métier , mais Sarko a cassé l'AFPA et personne n'a rien dit , la gauche s'en fou de former les gens, et les techniciens informatique pour la plupart sont autiste et méprisant avec les non techniciens , voila pourquoi on ne les aime pas parceque leur hiérarchie ne les comprend pas du coup externalisont ce type de poste . -
Robert Clerc
et bien voila un plateau rafraichissant ! Bravo -
danielr
À la lecture des commentaires j'ai l'impression de ne pas avoir vu la même émission.
42 est une initiative privée qui propose un modèle d'enseignement très différent du modèle de l'éducation nationale (mais peut être pas si différent d'autres écoles d'informatique type EPITA). Ce modèle n'est pas imposé à qui que ce soit, et il s'adresse à des gens qui ont été rejetés par le modèle classique et ne revendique pas du tout être un adapté à tous. Je vois ça comme une expérience d'enseignement alternatif grandeur nature et l'avenir de ceux qui ont bien voulu s'y soumettre nous montrera bien assez tôt dans quelle mesure c'est un succès ou un échec.
Le sujet de l'émission n'est même pas là. La question posée est de savoir si oui ou non en France, le développeur est considéré comme un simple exécutant ou non. Selon moi, la réponse est plutôt oui vu leur place dans la hiérarchie des administrations publiques ou des grosses sociétés. Il y a également un certain dédain qui sous entend qu'écrire du code c'est sale et que ça devrait être un simple tremplin vers des activités managériales.
L'autre question, selon moi encore plus passionnante, est de savoir si une formation de base en informatique apporte des compétences transférables dans d'autres domaines. Selon moi ce ne sont pas seulement des compétences mais une façon de voir le monde: en termes de systèmes interconnectés sur lesquels on peut agir. Et ce n'est pas un hasard si ces quelques dernières années, les individus ayant le plus contribué à changer le monde ont un bagage informatique. -
Jean-François Armengaud
Le fait qu'un Niel Boy puisse developper sur ASI ses arguments sans contradicteur est-il sans aucun rapport avec le partenariat d'ASI avec FREE pour http://www.arretsurimages.tv/ ?... -
Pierre38330
" et si c'est de la nyckelharpa c'est encore mieux "
Niquer les repas, c'est une des mille et une façons de préparer sa ligne pour la plage ?
Mais où va t-il chercher tout ça ? -
PatriceNoDRM
Et l'orthographe, ça s'apprend en piscine ? ((reportage France-Info - 7 avril 2014))
Etre informaticien, ce n'est pas que savoir programmer, c'est aussi :
- savoir s'exprimer oralement de manière claire et compréhensible (faire une présentation avec - ou sans - vidéo-projecteur…)
- savoir s'exprimer par écrit de manière claire et compréhensible et sans (trop) de fautes (rédiger un rapport, une proposition de prix …)
- avoir une bonne maitrise de l’anglais, à l’oral comme à l’écrit (correspondre et plus généralement travailler avec des collègues étrangers…)
- savoir travailler en équipe (sens du compromis, savoir convaincre, gérer les situations de conflit…)
- savoir gérer un planning (découper et organiser un projet…)
- savoir anticiper et gérer les risques (minimiser les risques dans l'utilisation d'une nouvelle technologie…)
- etc
Enfin, c’est aussi se nourrir correctement (et pas uniquement de pizzas), avoir une éthique (et ne pas raisonner que par la technique), lire, aller voir des spectacles (pour s'ouvrir intellectuellement), s’intéresser à « la vie de la cité » (et ne pas se comporter en no-life égoïste)...
Faute de quoi, on n'est qu'un OS (ouvrier spécialisé) de l'informatique, prêt à être exploité, et qui contribuera à ce que les autres le soient.
Tout ça, ça s’apprend en piscine ?
PatriceNoDRM (un prof qui apprend à ses élèves l'informatique et pas à nager) -
regisb
Se pourrait-il que Kwané Yamgnane soit moins intelligent que son téléphone portable ? -
Pierre38330
Je viens de prendre connaissance du Vite dit : "un Niel's boy taille le bac à la française"
C’est fou ce qu’avec un peu de culot on arrive à faire passer.
Je cite de mémoire, donc pas tout à fait textuel.
« Le jeune, le jour du bac, ses parents se sont séparés la veille, il est mou du genou, résultat il ira pas à polytechnique… »
Non mais allo !
Le pire c’est que le jeune cadre dynamique-efficient-évolutif-opérationnel-et-performant qui nous éructe ça pas tout à fait face caméra et avec force gesticulations, le pire c’est qu’il ne croit pas un mot de ce qu’il dit.
C’est avec des mensonges de cet acabit que l’on fait les réformes de l’enseignement. -
flopflop
Pour avoir été étudiant à EPITA presque en même temps que Kwame et pour répondre aux questions, oui il n'y a que peu de profs et d'enseignement traditionnel dans le modèle mais c'est ce qui fait sa force.
Ca fait maintenant plus de 12 ans que je bosses et je n'utilise plus directement les connaissances qu'EPITA m'a apprises. Elles sont obsolètes. Mais je ne leur en veux pas bien au contraire. Cette formation m'a été très utile.
Notre directeur des études (M. Testemale) avait l'habitude de dire aux étudiants qui se plaignaient de la charge de travail quelque chose comme suit : "Mon but c'est de vous pousser dans des situations absurdes, de manière à vous faire perdre tous vos repères et vous forcer à faire des choix". Et a un étudiant qui se plaignait plus tard lors de la même réunion qu'il ne pouvait pas faire tout ce qu'on lui demandait et qu'il allait donc devoir sacrifier certains projets, il a répondu : "Et bien ca par exemple c'est un choix ! Savoir se prendre un zéro pour ne pas se prendre DEUX zéros !". Au dela des compétences techniques que nous a donné l'école (plutot solides par rapport à la concurrence au deumeurant), c'est la vraie valeur ajoutée de cette formation. Placer les étudiants des situations incongrues, parfois très inconfortables et ce de manière controlée (puisque nous restons dans une école et pas dans la vraie vie) et les forcer à se prendre en charge, à ne pas attendre d'instructions de l'extérieur, à gérer leur charge de travail. En un mot à pouvoir être le capitaine du bateau lorsque c'est la tempête. Ca ne convient pas à tout le monde, mais la plupart des étudiants changent rapidement en quelques mois de ce traitement. Et on se surprend après quelques mois à avoir une capacité à abattre les taches qui nous aurait paru herculéenne avant ce traitement. Alors même qu'au bout d'un moment on ne bosse plus 20H/24. Une fois que l'on se connait soi même et que l'on a appris à se gérer on est d'une grande efficacité y compris dans des situations non claires (par exemple un mauvais management au dessus de soi ou un marché qui se cherche et ne sait pas ou il va).
La plupart des MBA disent former au "leadership", mais finalement l'essence du leader est bien celle qui est apprise ici. Garder la maitrise de la situation, se connaitre soi et ses équipes, quelles que soient les circonstances. Y compris et surtout lorsqu'elles sont absurdes / injustes / changeantes.
Après il est clair que ce modèle ne peut pas convenir à tous les étudiants, il nécéssite une grande motivation initiale (je viens pour apprendre l'informatique et je suis prêt à en chier pendant quelques temps), la possibilité à supporter psychologiquement cette formation. Mais il faut rappeler que c'est un environnement simulé qui reproduit a peu près la vraie vie et va pousser les étudiants à se "trouver" tout en leur faisant apprendre et assimiler des connaissances par l'expérience. Ils seront après coup d'excellents professionels.
Seul reproche sur 42 : EPITA avait un mix de cours théoriques et d'enseignement type 42. Même si nous séchions souvent ces cours théoriques et qu'ils étaient peu importants dans la note finale, ils avaient je pense leur importance. Et cette importance était renforçée par cet apprentissage si particulier. Quand après quelques mois à écrire des parseurs comme un galérien tu avais un cours de théorie des langages, le sujet n'était plus "abstrait" mais très concrêt. Tu savais exactement pourquoi il fallait écouter le prof et à quoi cela allait te servir. Mais si tu jugeais que cela ne correspondais pas à tes projets, tu avais encore la possibilité de "sécher" (choix que n'ont plus les étudiants d'EPITA aujourd'hui et c'est une vraie perte pour l'école qui se portait mieux lorsque Pierre Testemale assurait la direction des études). -
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Nikko
mon école d'informatique a été fondée dans les années 60 par un consortium d'industriels. Le vieux débat...
Il y a surtout un problème de salaire et d'âge. A 35 ans, tu es déjà vieux. -
PatriceNoDRM
Pas mal ce publi-reportage ...
PatriceNoDRM -
Lea Andersteen
J'avoue que le titre ne me donne pas envie. Pourquoi? Parce que je suis analyste-programmeur et je connais l'état du métier, au delà des légendes:
1- il y a TROP de développeurs,
Quand on voit par exemple Visual Studio et son efficacité on se rend compte que cela fait dix ans qu'un développeur génère plus de code à la seconde que les développeur que l'on voit dans les films qui tapent du code à toute vitesse (et on s'étonne de la main-mise de Microsoft sur le marché...): auto complétion et auto-génération du code donne une vitesse proprement démente: en quelques secondes, un développeur peut générer 10.000 lignes du code. La généralisation du code objet permettant une réutilisation du code tout à fait importante optimise également les rendements et la multitude de librairie déjà disponibles évitent également de réinventer la roue continuellement: regardez les jeux vidéos, combien utilisent leur propre moteur vidéo? Pas grand nombre...
L'informatique aussi s'est concentrée, comme tous les secteurs, entrainant également une réduction de postes...
2- les entreprises depuis les années 90 n'embauchent plus les débutants avec moins de 3 ans
Il n'y a que deux types de postes: Junior (3 ans d'expérience) ou sénior (5 ans ou plus..) dans les outils demandés pour le poste et non en général. Il y a aussi de nombreux postes en ouverture uniquement pour remplacer le développeur actuel par un plus expérimenté, ou pour le forcer à faire des heures supplémentaires. Les entreprises cherchent aussi les moutons à 5 pattes... Et vu la quantité d'informaticien au chômage (et on ne compte même pas ceux qui exercent un autre métier du coup...), elles peuvent se le permettre...
En conclusion: L'objet de l'informatique est de diminuer les besoins de main d'oeuvre, y compris en informatique... C'est.folie que d'imaginer qu'il y a besoin de plus en plus d'informaticiens. Folie. -
Erwan
Entre l'Education Nationale et les quelques intiatives privées qui ont commencé à éclore, le fossé culturel semble infranchissable.
Heu... et ça aurait été complètement impossible d'inviter au moins un représentant du système universitaire classique ? Ou même seulement de parler du système universitaire classique, de nous expliquer ce fameux "fossé culturel" ? Vous savez, celui qui forme les 99% restants de développeurs (qui pour la plupart s'en sortent plutôt bien d'ailleurs, bizarrement pas tellement affectés par ce "fossé culturel").
Au lieu de ça l'émission semble partir du principe que l'université c'est un vieux machin poussiéreux qui ne peut qu'être culturellement dépassé, forcément. Et vive les initiatives privées qui savent faire parler d'elles (et y ont un intérêt évident au passage). C'est pratique : on se pose une question, ils prétendent apporter une réponse, pourquoi chercher plus loin ? Qu'ils n'aient même pas encore sorti leur première promo, qu'on ne sache rien du taux d'échec, on s'en fiche du moment qu'ils nous disent que c'est eux les meilleurs. Cool.
Je suis peut-être un peu dur, mais enfin cette émission prend vraiment la question par le petit bout de la lorgnette : d'abord en restreignant la question à l'enseignement supérieur ce qui est un contre-sens comme je disais plus haut, ensuite en se focalisant sur les écoles soi-disant "innovantes", et enfin en ne cherchant même pas à mettre leur discours en perspective (au point d'oublier complètement qu'elles ne formeront jamais qu'une petite minorité des futurs développeurs, pas nécessairement meilleurs que les autres). -
François Lemaire
L'émission part un peu dans tous les sens parce que le terme développeur n'est pas défini. Un développeur, au sens le plus littéral, est quelqu'un qui écrit du code pour transformer des données d'entrée en données de sortie. Dans cette acception, en première approximation, je suis d'accord avec M. Yamgnane, tu as 0 ou 20 ; tu sors les bonnes données ou tu ne les sors pas. Il faut nuancer ce jugement avec les performances du programme créé, les ressources qu'il consomme, mais en gros je suis d'accord. De même, je suis d'accord qu'il est plus important pour un développeur d'apprendre l'algorithmique et le "computational thinking" qu'un langage précis ; les langages informatiques, ça va, ça vient, certains sont plus adaptés à certaines taches et d'autres à d'autres, la méthode raisonnement est plus importante.
Ensuite, l'émission étend - sans le dire - la notion de développeur en lui ajoutant le fait de définir quelles seront les données d'entrée et de sortie ; en quelque sorte, on passe du pur développeur qui "pisse du code" à un développeur / chef de projet / expert fonctionnel / inventeur. Et là j'ai du mal à suivre M. Yamgnane qui nous explique grosso modo que les développeurs seront les maîtres du monde parce que leur méthode de raisonnement serait supérieure (et je suis développeur moi-même). Quand on regarde objectivement les grandes réussites de développeur de formation, il est rare que des commerciaux ne traînent pas dans le coin : Zuckerberg qui pique l'idée de Facebook, Bill Gates de Microsoft qui se voit donner sur un plateau le développement de MS-DOS par IBM, Brin et Page qui font appel à Eric Schmidt pour transformer leur idée géniale Google en cash-machine, etc. Certes, quelqu'un de formé au "computational thinking" aura des idées d'amélioration de produits ou de services que n'auraient pas des services commerciaux ou marketings, mais des idées complètement nouvelles de produits ou de services, de tête, je n'en vois pas.
Sur le sujet initial de l'émission, je dirais que la formation informatique dans le supérieur en France est médiocre, mais ce n'est pas tellement mieux ailleurs dans le monde. Les développeurs que je récupère sont des perroquets qui ne comprennent pas vraiment comment marche la machine ; l'époque des développeurs passionnés / bidouilleurs / génies des garages est passée depuis belle lurette et l'enseignement est à mon goût bien trop superficiel, spécialisé et cloisonné. D'ailleurs ceux sortant de l'EPITA ne sortent pas vraiment du lot, dans mon expérience ça serait même plutôt l'inverse, mais je n'ai peut-être pas eu de chance... Quant à l'image du développeur en France, ça dépend de quoi on parle. Si on parle de la valorisation sociale, je trouve la situation plutôt bonne ; si on parle de la considération pour les développeurs dans le haut managériat et leur place dans la chaîne de valeur de l'entreprise, en dehors des sociétés dont l'objet est principalement informatique, on pourrait certainement beaucoup mieux faire. Autant le développeur n'est pas le génie créatif ultime que décrit M. Yamgnane, autant dans les entreprises non informatiques sa capacité à apporter au business de l'entreprise est assez mésestimée. -
protagoras
Plus ça va plus je trouve cette émission néo-libérale, à moins que ça soit les néo-libéraux qui s'approprient tt les nouvelles tech.
S'adapter à la vrai vie ? Le meilleur moyen pour ne pas la changer
« Vous avez besoin d'un programme dans 24h, et bien mon bon maître vous attendrez un peu plus longtemps, ça vous laissera le temps de réfléchir à la stupidité de votre demande »
A aussi, l’intelligence ce n'est pas de répondre à la problématique mais de poser celle-ci. -
parpour
Bravo pour l’émission ! Sujet intéressant et avec des gens intéressants.
En voyant le titre je ne m'attendais pas du tout à ça, mais je ne suis pas déçu.
Dans cette école 42 le but est de former des warriors en informatique pouvant être capable d'innovation / création et donc devenir un acteur essentiel dans les entreprises.
Cependant pour que cela marche faudrait il encore que les mentalités change au sein des dirigeants d'entreprise (Française) et du management en général, qui ont fait pour la plupart des écoles de commerce et qui n'ont pas du tout la même mentalité ni la même vision que les ingénieurs, et qui n'ont pas encore l'intention de faire des ingénieurs des pairs...
Donc que va devenir la majorité des étudiants de cette école qui devront travailler pour la plupart dans les SSII pour des grands compte ??
? Attention à la déception, ou il faut s'attendre à les voir partir aux US
Pour moi si il y a quelque chose à faire, c'est revoir la maniéré de former les dirigeants, ou alors comme il est dit dans l’émission que les ingénieurs deviennent des dirigeants comme aux US ou comme en Corée du Sud... faut il encore changer les mentalités...Bravo pour l'emmission -
Julien
Dommage... Il y a tant de choses à dire sur les méthodes d'enseignement de l'informatique en France, sur les carrières des développeurs, ces premiers "cadre-techniciens", sur l'impact de la massification des études supérieures sur la sélection des enseignants-chercheurs dans un domaine nouveau, sur l'évolution des pratiques face à l'accès permanent à l'information, sur la pédagogie par projet, sur l'impact de la destruction de l'enseignement supérieur à très court terme sur les capacités d'embauche des entreprises, sur la fiscalité qui n'est pas adaptée à l'immatériel et fait complètement foirer des dispositifs comme le crédit d'impôt recherche, même sur la place des informaticiens dans la société, leur image dans les médias, la place des filles...
Bref, il y avait tant de choses à dire, à décortiquer, tant d'approches possibles sur le sujet !
Mais bon, une plaquette de pub creuse, court-termiste et démago pour des boites privées, c'est bien aussi hein. -
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Quessou
Kwame Yamgnane a effectivement son argumentaire bien ficelé (et limite caricatural) avant même de mettre un pied sur le plateau, ça se sent. Il est dommage que Jean-Marc Manach ne cherche pas à lui apporter une contradiction un peu plus vigoureuse.
Son argumentaire pour dénigrer le Bac est aussi ridicule : Quelque soit la filière, le bac d'histoire, c'est en aucun cas apprendre les dates de règne des Rois de France. Le programme étant (du moins, quand je l'ai passé, en 2009) vachement plus axé sur l'histoire contemporaine. Et plus axé sur la connaissance et la compréhension de faits historiques relativement récents que sur l'apprentissage bête et méchant de dates.
Et il ne prend même pas la peine de parler des matières scientifiques au bac, qui sont infiniment plus importantes, étant donné que l'écrasante totalité des élèves rejoignant par la suite une formation en informatique (IUT, école d'ingénieurs,...) provient d'un bac S. Parce que oui, avoir une rigueur scientifique, c'est important, avoir son bagage en maths dans certaines branches de l'informatique, c'est important.
42 ne sera bon qu'à former des développeurs d'applis lambdas, ou web. Car les élèves qui la rejoindront n'auront pas la capacité de s'adapter à des domaines plus pointus (RV, Simulation,systèmes embarqués...) et plus porteurs, par manque d'encadrement et de bagage scientifique.