1. Sarkozy, prénom Jean

    Il a finalement renoncé. L'annonce de la nomination de Jean Sarkozy, 23 ans, à la tête du quartier de La Défense avait suscité hilarité et réprobation : internautes, électeurs sarkozystes, presse internationale.

  2. Dray, la Justice et la presse

    Ses achats de montres, d'habits de luxe, ses notes d'hôtel, se sont étalés dans la presse pendant six mois, sans qu'il ait accès au dossier. Et puis ? Et puis, rien d'autre, qu'un simple "rappel à la loi". La presse peut-elle avoir raison contre la Justice ?

  3. Peillon découvre les médias

    Rude découverte, en deux étapes, que celle du fonctionnement des médias par le socialiste Vincent Peillon. D'abord, il se fait confisquer par Royal une réunion politique. Ensuite, il pirate le débat sur l'identité nationale, en posant un lapin spectaculaire à France 2.

  4. Tibet, contrechamps

    Le pot de terre contre le pot de fer ? Oui bien sûr ! Mais pourquoi les medias sont-ils si discrets sur les lynchages anti-chinois au Tibet ? Comment le public chinois est-il informé ?

  5. Proglio : pourquoi l'imbroglio ?

    Double rémunération, double casquette : l'arrivée de Henri Proglio à la présidence d'EDF a déclenché un tollé politique et médiatique. D'un côté, le consensus des éditorialistes et des humoristes. De l'autre, les "lemmings" de la majorité. Tentative de plongée au coeur de "l'improglio"

  6. Lait, camembert : la crème de l'omerta ?

    Une émission sur les fromages industriels déprogrammée. Un livre relativisant les bienfaits des produits laitiers quasi-boycotté : le lait tourne mal. Mais l'industrie laitière reste un puissant annonceur.

  7. Dati, une si belle hystérie

    Pendant et après son passage au ministère de la Justice, Rachida Dati a suscité une médiatisation personnelle hystérique, de la part de journalistes aussi prompts à l'adulation qu'au lynchage.

  8. Boutin, sans ministère fixe

    Drôle de ministre, qui pense qju'elle a été virée parce qu'elle ne faisait pas assez de buzz, et n'a pourtant pas cessé de faire du buzz. Rendue à sa liberté de parole, Boutin décrypte Boutin : coups de com', langue de bois, tout y passe...

  9. Mitterrand et sa "mauvaise vie"

    Dans le sillage de l'affaire Polanski, le ministre de la Culture est rattrapé par son roman "La mauvaise vie" (2005). Il y décrit sa pratique du tourisme sexuel en Thaïlande. Apologie ? Pédophilie? Littérature, morale et politique entrent en collision.

  10. Chercheurs en grève

    "Y a de la lumière, c'est chauffé" : ce sarcasme de Sarkozy moquant leur "conservatisme" a cristallisé l'opposition des enseignants-chercheurs à la réforme de leur statut. Après deux mois de grève, leur colère se focalise contre Le Monde.